Nouvelle mosquée de Tours : la presse en extase devant l’avancement du projet.
Jacques BENZAKOUN de la « Nouvelle République » est-il un journaliste musulman ?
On est en droit de se poser la question après les articles qu’il fit paraître en 2017 et 2018 à propos du chantier d’une nouvelle mosquée au pays de Rabelais, Balzac ou encore Descartes…
Coeur de la culture française, la ville de Tours est aussi au centre du pays des « châteaux de la Loire ».
Mais certains ont trouvé que ça manquait un peu de mosquées tout ça… cherchez l’erreur.
Le journaliste semble pour le moins en empathie avec la « communauté musulmane ».
Les titres des articles le suggèrent d’abord ; un véritable travail d’Hercule que la construction de cette mosquée : « contre vents et marées, la mosquée prend forme », « le chantier repart enfin »…
On sent l’impatience de ce journaliste qui paraît un peu beaucoup mélenchonien sur les bords…
« Il faut en avoir de la patience et de la persévérance lorsque l’on veut construire une mosquée en France », renchérit Jacques Benzahoun.
Ben oui, pourquoi refuser l’assimilation à la culture religieuse nationale dominante, en se contentant des églises et cathédrales déjà existantes et qui sont loin d’être bondées de monde ?
Ou même des quelques synagogues qui restent dans notre pays.
L’islam, c’est tellement mieux paraît-il…
https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/mosquee-de-tours-le-chantier-repart-enfin
https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/contre-vents-et-marees-la-mosquee-prend-forme
« On ne reviendra pas, non plus, sur des promesses de dons sans lendemain, notamment de Tour(s) plus.
C’était en mai 2014 et c’était, il est vrai, pour la partie culturelle de l’édifice » ajoute le journaliste.
Revenons-y, pourtant, bien au contraire !
Quelle tartufferie que cette pratique consistant à contourner la laïcité pour financer une mosquée au nom d’une prétendue « culture » qui n’est en rien celle de la France, ni celle du pays tourangeau.
A qui fera-t-on croire que les touristes viennent du monde entier (de moins en moins, cependant, compte tenu des dangers sécuritaires qu’ils encourent dans notre pays) pour voir des mosquées en Indre-et-Loire ?
Il est normal que ces promesses de dons n’aient pas été tenues, car elles sont en réalité illicites.
L’islam ne participe pas de la culture française et ne peut donc être financé avec de l’argent public.
La démonstration peut être faite à partir de la définition de la culture d’un pays :
http://resistancerepublicaine.com/2018/04/27/le-film-ramdam-le-nouveau-mauvais-coup-darte/
Cette démonstration permet de révéler la supercherie de l’usage du champ lexical de la « culture » en la matière afin d’obtenir des financements publics qui ont des visées électoralistes et démagogiques.
http://resistancerepublicaine.com/2017/06/03/pas-de-culture-francaise-mais-ils-sont-prets-a-financer-la-culture-musulmane-cache-sexe-de-lislam/
Le journaliste de la « Nouvelle République » se garde bien de la moindre remarque critique, alors qu’il fait état d’une « subvention de 482.000 € versée dès le départ par le gouvernement algérien via la Mosquée de Paris » ainsi que d’un « un prêt de 300.000 € de la Mosquée de Paris ».
Des musulmans « d’autres régions de France » ont aussi participé au financement.
En quoi ça les regarde ? Si ça, ce n’est pas la révélation d’une volonté d’islamiser la France, on se demande bien ce que c’est…
Le journaliste écrit même :
« depuis, devant la difficulté à récolter des fonds au sein d’une communauté très morcelée et l’urgence à construire des salles de prière, l’aspect culturel a été abandonné ».
Quelle urgence ? Quel texte, quelle exigence religieuse imposerait de disposer d’une mosquée, une « urgence à construire des salles de prière » ?
Un journaliste n’est-il pas censé faire preuve d’esprit critique ?
Du côté de France Bleu, le point d’exclamation enthousiaste est de la partie : même neutralité journalistique, si l’on peut dire : « la grande Mosquée de Tours bientôt hors d’eau ! »
https://www.francebleu.fr/infos/societe/malgre-les-difficultes-le-chantier-de-la-grande-mosquee-de-tours-avance-1526623613
La mosquée « comptera 2700 places pour les hommes, et 500 places pour les femmes ».
Oups… quid de l’article 225-1 du Code pénal : « constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur sexe » ?
Que fait Schiappa ?
L’article 225-2 du même code prévoit en effet que la discrimination ainsi définie « est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsqu’elle consiste à refuser la fourniture d’un bien ou d’un service ».
Or, l’accès à une salle de prière constitue la fourniture d’un service, la mise à disposition d’un local, aussi précaire soit-elle.
L’article 225-3 prévoit cependant que la répression ne s’applique pas pour les « discriminations fondées, en matière d’accès aux biens et services, sur le sexe lorsque cette discrimination est justifiée par la protection des victimes de violences à caractère sexuel, des considérations liées au respect de la vie privée et de la décence, la promotion de l’égalité des sexes ou des intérêts des hommes ou des femmes, la liberté d’association ou l’organisation d’activités sportives ».
L’appartenance à l’islam ne fait donc pas partie des exceptions légales.
On n’ose pas imaginer que les critères de la « décence » visée par le texte, en République laïque française, soient empruntés à la charia.
Faut-il penser que cette séparation, cet apartheid sexuel échappe à la répression en tant qu’il vise à prévenir la réalisation de violences à caractère sexuel ?
Si une femme souhaite prier dans la salle des hommes (ne serait-ce qu’une islamophobe, par provocation), l’en empêchera-t-on ?
Le cas échéant, un procureur ira-t-il ennuyer les intéressés comme la buraliste d’Albi Marie P. est ennuyée actuellement ?
En clair, existe-t-il un privilège pour les musulmans à ce sujet, là où les autorités de poursuite sont intransigeantes pour les citoyens lambda dès qu’un musulman est visé par une discrimination
(par exemple, dans l’affaire Marie Laforêt : https://ripostelaique.com/pour-marie-laforet-traitee-de-discrimineuse-par-le-mrap.html) ?
Note d’Antiislam
Maxime, 2200 femmes vont échapper au bourrage de crâne de l’ignoble Coran, ne nous en plaignons pas :=)
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et voilà, comment on est repoussé petit à petit hors de nos territoires
Vous faites vos courses chez « Auchan Sud Poitiers » ? Alors vous contribuez à financer le salaire de Saïda El Jebbah, responsable commerce qui se vante de faire le ramadan !
http://www.centre-presse.fr/article-605644-vienne-le-halal-est-prometteur-mais-les-clients-sont-mefiants.html
L’article de « Centre presse » consacre au halal dans la Vienne ne nous apprend pas grand chose de nouveau à ce sujet. Les filières bio et halal sont mises en parallèle, ce qui contribue à banaliser le halal ainsi que d’autres journaux l’ont fait auparavant.
http://resistancerepublicaine.com/2018/05/16/quand-le-figaro-nous-enfume-en-assimilant-bio-et-halal/
En revanche, l’article appelle l’attention quant à la neutralité de la responsable commerce interviewée par lui.
« Pour le halal, nous sommes sur le même principe que pour le bio. Les clients sont de plus en plus demandeurs donc nous étoffons pour couvrir le plus possible de besoins », explique Saïda El Jebbah, responsable commerce, qui veille sur le rayon appelé « saveurs du Maghreb ». D’origine marocaine, musulmane pratiquante (elle fait ramadan), elle est aussi la première cliente. « Ça me permet d’apporter mon regard, de donner un avis sur les produits consommés. »
Faut-il en déduire que pour gérer le rayon « saveurs du Maghreb », il fallait être originaire du Maghreb et si possible musulman ?
L’ancienne ministre El Khomri aura beau jeu de nous expliquer que les Maghrébins sont discriminés à l’embauche en France…
On appréciera la formule « les clients sont de plus en plus demandeurs » : euphémisme pour dire qu’il y a de plus en plus de musulmans pratiquants en France. Ce ne sont pas tous les clients, bien entendu, qui sont demandeurs.
À cet égard, on peut être étonné de voir apparaître dans l’article de presse local cette revendication d’appartenance à l’islam et de ses origines de la part d’un membre du personnel de l’enseigne de grande distribution.
Quel est le but recherché ?
Renforcer la sécurité du magasin en prévenant les djihadistes : « ici, le halal n’est pas géré par un « mécréant », prière de ne pas commettre d’attentat dans notre magasin » ?
Attirer la clientèle musulmane : « Oyé peuple d’Allah, ici c’est une sœur qui pourvoit à votre alimentation » ?
En tous cas, faire état de son origine et de son appartenance à l’islam auprès de la presse peut participer d’un démarche promotionnelle sous-jacente fondée sur le communautarisme.
Un mot qui a fait son entrée dans le dictionnaire Larousse : « tendance du multiculturalisme américain qui met l’accent sur la fonction sociale des organisations communautaires (ethniques, religieuses, sexuelles, etc.) ». http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/communautarisme/17550
Cette définition mériterait toutefois d’être actualisée pour tenir compte de l’expansion du communautarisme, spécialement musulman, dans les démocraties occidentales en général.
Il est important de rappeler à ce sujet que la CJUE puis la Cour de cassation autorisent un employeur à prévoit dans le règlement intérieur de son entreprise l’obligation pour le salarié en contact avec la clientèle de ne pas revendiquer d’appartenance idéologique.
« L’employeur, investi de la mission de faire respecter au sein de la communauté de travail l’ensemble des libertés et droits fondamentaux de chaque salarié, peut prévoir dans le règlement intérieur de l’entreprise ou dans une note de service soumise aux mêmes dispositions que le règlement intérieur en application de l’article L. 1321-5 du code du travail, une clause de neutralité interdisant le port visible de tout signe politique, philosophique ou religieux sur le lieu de travail, dès lors que cette clause générale et indifférenciée n’est appliquée qu’aux salariés se trouvant en contact avec les clients » (Cass. 22 novembre 2017).
On peut penser que Auchan Poitiers Sud n’a pas pris une telle disposition, ou bien que la salariée interrogée ne l’a pas respectée.
Sera-t-elle à ce titre sanctionnée ?
Les choses ne sont pas si simples car les juridictions ont précisé : « en présence du refus d’une salariée de se conformer à une telle clause dans l’exercice de ses activités professionnelles auprès des clients de l’entreprise, il appartient à l’employeur de rechercher si, tout en tenant compte des contraintes inhérentes à l’entreprise et sans que celle-ci ait à subir une charge supplémentaire, il lui est possible de proposer à la salariée un poste de travail n’impliquant pas de contact visuel avec ces clients, plutôt que de procéder à son licenciement ».
Le licenciement n’est donc pas encouru du seul fait du refus de ne pas faire état auprès de la clientèle de son appartenance à l’islam.
Toutefois, la portée de cette jurisprudence reste à préciser actuellement : faudra-t-il distinguer le cas où le salarié aura manifesté son refus de neutralité avant la prise de fonction, ce qui permet de l’orienter vers un poste où il ne sera pas en contact avec la clientèle, le cas échéant (aussi contestable cette solution soit-elle : http://resistancerepublicaine.com/2017/11/25/catastrophique-arret-de-la-cour-de-cassation-le-voile-autorise-en-entreprise/) de celui où le refus de la neutralité est consommé par un acte public de révélation de son appartenance à l’islam après l’entrée en fonction ?
L’arrêt de la Cour de cassation doit en effet à mon avis être interprété comme une validation de la possibilité d’interdire la revendication d’une appartenance idéologique auprès de la clientèle a priori, c’est-à-dire dès l’entrée en vigueur du règlement intérieur, le salarié en désaccord pouvant alors immédiatement notifier son refus de la clause du règlement intérieur et être soit affecté à une autre tâche, soit être licencié en cas d’empêchement de le faire, faute de poste disponible.
Celui qui n’exprime pas son désaccord ou n’obtient pas un reclassement sans contact avec la clientèle en raison d’une impossibilité réelle de l’employeur de le proposer doit alors s’abstenir de violer la clause, qu’il est censé avoir accepté même s’il avait été embauché auparavant.
Celui qui, d’autre part, n’est pas normalement en contact avec la clientèle mais exceptionnellement le serait en s’exprimant dans la presse comme dans le cas présent serait aussi dans cette situation : s’il ne démissionne pas, il est censé accepter le règlement intérieur.
Les commerçants trouvent parfois un avantage à ne pas faire preuve de neutralité idéologique, afin de séduire un type de clientèle donné. Se tromperait-on vraiment en pensant que le magasin Auchan a permis à sa salariée de faire mention de son appartenance à l’islam et de son origine marocaine pour draguer le client musulman pendant le ramadan ?
Alors, certes, on trouve du halal dans toutes les grandes enseignes.
Je sais cependant que depuis ce jour, je suis devenu un ancien client de Auchan Poitiers Sud…
Bonjour Maxime,
Mais imaginons que demain, Auchan Poitiers Nord,Est, Ouest et tous les autres s’halalisent… On fait comment pour les courses ?
Si cela se trouve, dans 15 ans, ce sera le tour des enseignes bio…
Et combien de subventions de l’état ? C’est-à-dire maire, député, sénateur, etc.
C’est désolant.
Peut être une petite satisfaction ( si la moquée du facteur cheval ne saute pas comme font les Corses ) à partir du moment ou on construit sur le terrain des autres ( la France ), je crois que le bâtiment ne peut pas appartenir au constructeur…
On pourra en faire un centre culturel avec piscine et tout ce qui faut pour ouvrir l’esprit des gens …
C’est moche , on dirait un blockhaus
Envoie donc une femen ou simplement une nana en minijupe, dans la mosquée, le vendredi, tu verras le » vivre tous ensemble « , crétin de France Bleu,
tu es sûr de la couleur ?
moi, je dirais France vert-caca, la lumineuse couleur des envahisseurs
« La grande mosquée de Tours, un projet à vivre tous ensemble ! »
2 700 places pour les hommes, 500 pour les femmes.!!
Et une caserne de plus. Il n’y a plus qu’à faire rentrer les soldats et leur expliquer comment nous égorger. Nos élus sont en dessous de tout, et ne méritent que la corde. Pauvre France, il y a longtemps qu’elle est vendu à l’islam.
« si l’on peut dire : « la grande Mosquée de Tours bientôt hors d’eau ! »
on y prévoit des prêches en Hurdu, pour les nouveaux arrivants pakistanais. 😆
Jacques BENZAKOUN de la « Nouvelle République » est-il un journaliste musulman ?
a priori non!
Benzaken, benzakoun, sont des patronyme juifs séph
signifiant en hébreu: fils du vieux (Zaken, : vieillard)
encore un qui préfère le « chibre » pas latin a son Livret natal…. (l’ ami Yann devrait apprécier..)
Heu, je ne suis pas doué au jeux de mots…
Le tibre palatin ? Son livre est Natal (kwazoulou ?)
@ Maxime
Il y a peu, en gros titre dans mon journal local : « Permis accordé pour la future mosquée de… ». J’hésite entre la colère sourde ou le défaitisme.
Yann
« et au Tibre palatin, je préfère mon Liré natal »
du Bellay…
Ha mais oui… Là, c’est plus clair !
Cela ne va pas plaire à Christine, mais j’avoue que j’apprécie modérément la littérature du XVIième siècle…