Qui est l'ignoble Agnès de Feo qui voudrait faire passer le niqab pour une revanche des femmes ?

Illustration : Captures d’écran du documentaire Émilie König vs Ummu Tawwab, réalisé par Agnès De Féo, produit par Marc Rozenblum (Sasana Productions), 2016.

Il faut commencer par lire ce morceau d’anthologie qui lève le coeur, ou qui donne envie de donner à la dénommée Agnès de Feo, sociologue et documentariste, une fessée en place publique avant de l’expédier vivre en Afghanistan ou au Pakistan, où elle pourra vivre à l’abri du regard des hommes, sans avoir le droit de sortir, sans avoir le droit à l’éducation, à la culture et aux soins médicaux. Elle pourra peut-être convaincre ses futures voisines que c’est elle qui impose le niqab à son mari et non le contraire.

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Après deux décennies de crispation autour du voile et malgré les multiples témoignages des femmes concernées, le grand public continue de croire en leur aliénation. Pourtant mes dix ans de recherche auprès de femmes en niqab font apparaître que leur démarche, en refusant la jouissance du regard masculin sur leur corps, se rapproche davantage d’une revanche féministe et d’une forme de castration symbolique des hommes. Idem pour le hijab, le jilbeb et le burkini. Et si la domination n’était pas du tout celle que l’on croit? 

Shamsou est une jolie Bruxelloise de 20 ans d’origine marocaine et pleine d’enthousiasme. Elle porte le niqab depuis un mois au moment de l’entretien et décrit son voilement intégral comme un processus spirituel, thème récurrent chez celles qui le portent. Puis elle l’explique par des raisons pratiques: car les hommes continuaient à la courtiser lorsqu’elle montrait son visage. Nombreuses sont les munaqabat (femmes portant le niqab) à vanter les mérites du voile intégral comme arme anti-harcèlement.

«Je suis tranquille maintenant, plus personne ne me parle. La drague dans la rue a entièrement disparu. Et les hommes baissent la tête.» 

Comme Shamsou l’exprime, il s’agit de rabaisser et soumettre le regard masculin à sa volonté. Effectivement, le niqab est souvent utilisé par celles qui le portent comme une contre-domination, une revanche face à un ordre machiste toujours présent en France. Avec lui, certaines ont le sentiment d’inverser les rapports de force. Elles refusent ainsi d’être chosifiées par le regard d’autrui, tout en continuant à jouir de la vue qui n’est pas entravée. En reprenant la dialectique du regard de Sartre, les munaqabat seraient de purs sujets, qui jamais ne se trouveraient en situation d’objets puisqu’inaccessibles au regard d’autrui, tout en chosifiant les hommes qu’elles soumettent à leur propre regard. Le niqab les ferait ainsi accéder à un statut d’anti femmes-objets.

 

Mais toutes ne sont pas d’accord avec cette interprétation. Cindy, 41 ans, convertie à l’islam à sa majorité, ne voit pas le niqab comme une protection, mais comme une barrière à ses propres pulsions.

«J’aime que les hommes me regardent, me dévisagent. Je n’ai jamais cherché à éviter leur regard, au contraire j’ai tout le temps besoin de séduire. Si je n’avais pas été musulmane, je serais devenue escort girl. Le niqab est là pour m’interdire de péché.»

Le niqab comme empêchement

Le voile intégral peut s’accompagner de gants synthétiques noirs ainsi que de chaussettes opaques. Chaque centimètre du corps féminin est ainsi entièrement couvert afin de le faire disparaître et de couper net tout désir qui pourrait conduire au péché de zina, relation sexuelle hors mariage. Ainsi le niqab joue-t-il un rôle de contrôle des pulsions: pulsion de séduction chez la femme, pulsion du regard (scopique) chez l’homme qui se trouve alors empêché de jouir par la vue du corps féminin.
Pourtant, alors qu’il représente pour les hommes un empêchement limitant leur champ visuel, le voile intégral n’est perçu en Occident que comme une mesure coercitive envers les femmes. Certes le niqab peut être compris comme une claustration féminine, mais il faut aussi l’entendre comme une frustration masculine, voire une castration symbolique du regard masculin qui se verrait réduit (dans un pays où le niqab serait la règle) aux seules femmes de sa famille.
De fait, le rapport aux hommes est au centre des préoccupations des munaqabat. C’est un rapport complexe et ambigu qui s’explique par leur difficulté à trouver un partenaire masculin pour partager leur vie. La grande majorité de ces femmes est célibataire, en recherche de l’homme idéal. Cette dernière a pu susciter chez certaines le désir de porter le niqab.

La démonstration publique de la piété extrême

La plupart des munaqabat se rattachent au salafisme, un mouvement de réislamisation fondé sur un retour aux origines de l’islam, présumé être la voie authentique. Les salafistes affichent une religiosité publique, afin d’être reconnus comme tels, dans une démarche élitiste, mais qui suscite en Occident un violent rejet de la société majoritaire. Cette posture est très en vogue aujourd’hui chez les jeunes musulmans nés en France, en rupture avec la société. Les codes salafistes leur permettent l’accession à une identité subversive.

Je choisissais des hommes d’un statut inférieur au mien pour me sentir supérieure. Mon niqab, ils devaient l’accepter, sinon je rompais direct

L’entrée dans le salafisme se fait souvent contre la famille. Le niqab n’est pas la reproduction d’une religiosité héritée, mais au contraire la création d’une rupture. Ces femmes entrent dans un schéma de born again redécouvrant une pratique rituelle débarrassée des traditions parentales jugées trop éloignées de la doxa musulmane dite «authentique».
Les munaqabat affichent une piété sans compromis, la pureté de leur pratique par ce signe de reconnaissance caractéristique des groupes, une revendication visible de leur religiosité typique de l’hypermodernité selon le sociologue Raphaël Liogier. Il perçoit chez ces femmes une volonté de s’affirmer comme hyper musulmanes, plus-que-musulmanes, en faisant l’usage de ce voile «volontairement visible». Le niqab et le jilbeb traduisent effectivement une rupture avec la société pour mieux s’en distinguer, tout en affichant ce signe intelligible au sein du groupe.

On pourrait comparer au premier abord le niqab à une forme d’ascèse ou à une piété monastique, un désir de retrait des contingences humaines pour mieux se consacrer à la relation exclusive avec Dieu en faisant le deuil de son supposé pouvoir de séduction.

Capture Agnès de Feo

Pourtant, la réalité du terrain montre des femmes plus proches de la normale que de la sainteté. Alors qu’on aurait pu les imaginer comme d’hyper religieuses, consacrant leur vie à l’islam, la réalité est loin de satisfaire à cette image d’Épinal. L’investissement intellectuel ne suit pas toujours l’engagement vestimentaire, peu se mettent à l’étude des textes en arabe, préférant les traductions françaises. La démarche de se voiler entièrement est moins de l’ordre du religieux au sens strict, que de l’affirmation identitaire, surtout depuis son interdiction en 2010. Les femmes qui le portent aujourd’hui transgressent un interdit pour s’affirmer au-delà du respect de la loi. Mais cette démarche est contraire à la démarche religieuse. Et le prétendu sacrifice de leur séduction est plus complexe. Car beaucoup usent du niqab justement comme objet de séduction.
Shamsou, derrière l’écran noir qui lui dissimule le visage, joue sur l’expressivité de son regard grâce à des yeux bien maquillés. Rien à voir avec le khôl préconisé par le Prophète pour ses vertus curatives, il s’agit là d’un large trait d’eye-liner renforcé par du mascara sur les cils. Shamsou n’est pas la seule, beaucoup de munaqabat maquillent leurs yeux avec des produits de beauté contemporains, bien qu’ils soient théoriquement interdits par les cheikhs salafistes. Comment interpréter cette mise à distance des hommes tout en respectant les codes de la séduction féminine?
Sans doute parce que le niqab n’est pas tant un repousse-hommes qu’un faire-valoir de leur personnalité. Le niqab joue un rôle important sur le marché matrimonial dans la recherche du mari idéal. Il peut être un outil de séduction par la garantie qu’il donne de la piété de la femme qu’il recouvre. Il leur permet également d’exiger de leur futur époux un comportement exemplaire à la hauteur de leur zèle, une séduction s’accompagne aussi d’une domination.

Je soutiens l’égalité homme femme! Je suis très féministe dans l’âme. Je ne suis soumise qu’à Dieu, pas à mon mari, et encore moins à la société ou à la mode

Cindy a tenté une psychothérapie pour résoudre ses problèmes de mal-être et de solitude. À la première séance, le psy l’interpelle: «Pourquoi voulez-vous écraser l’homme, toujours le dominer?» Elle raconte avoir été prise de court par cette question, comprenant pourquoi elle s’est toujours mise en couple avec de petites frappes:

«Effectivement, je choisissais des hommes d’un statut inférieur au mien pour me sentir supérieure. Mon niqab, ils devaient l’accepter, sinon je rompais direct.»

Imposer le niqab au conjoint

Le niqab n’est pas imposé par le mari, mais l’inverse: la femme l’impose à son conjoint. Le voile intégral peut devenir cause de rupture si l’homme ne l’accepte pas. Il figure souvent dans les conditions de mariage. Nawel, jeune munaqaba de 21 ans habitant dans la banlieue de Toulouse, en témoigne:

«J’ai commencé à porter le niqab en 2010, en pleine polémique, j’étais alors mineure. Il y a un an, je me suis mariée avec un homme qui considère le niqab comme non obligatoire, mais il me laisse le porter. C’est pour cela que j’ai accepté de l’épouser.» 

Émilie König, partie combattre en Syrie en 2012, racontait avant son départ avoir rencontré sur les réseaux sociaux un Saoudien faisant ses études de médecine en Allemagne, avec lequel elle avait envisagé de se marier. Mais elle rompt son engagement lorsque son futur lui demande de retirer son niqab le temps de finir ses études:

«Moi, j’ai refusé carrément la main du frère. Je n’ai pas à retirer mon niqab! Je me suis désavouée de dounya [monde matériel], il est donc hors de question que je revienne sur mes positions passées qui sont pour moi maintenant péchés.»

 

Une nouvelle libération sexuelle des femmes?

La sexualité des femmes en niqab est un exemple de réalité contraire au message qu’elles veulent faire passer et surtout à celui reçu par la population française. Pour l’opinion publique, les munaqabat, incarnent un retour à la femme traditionnelle dévolue à son mari. Or, contrairement aux préjugés, les munaqabat usent de la liberté de changer de partenaires. On leur connaît des liaisons multiples. Le mariage religieux par sa facilité d’exécution, pouvant se rompre tout aussi vite, rend possible ces alliances éphémères sans les attacher à vie à un partenaire, d’où leurs enfants de pères différents. Certaines unions ne durent que quelques semaines.

La commission parlementaire précédant le vote de la loi du 11 octobre 2010 n’a auditionné qu’une femme en niqab, Kenza Drider, et n’a retranscrit qu’une dizaine de lignes de son audition

Les femmes de la mouvance salafiste manient parfaitement le discours féministe occidental en voulant lutter contre une société qu’elles présentent comme dominée par les hommes. Shamsou s’emporte: «Je soutiens l’égalité homme femme! Je suis très féministe dans l’âme. Je ne suis soumise qu’à Dieu, pas à mon mari [elle n’a jamais été mariée], et encore moins à la société ou à la mode. Personne ne m’a dit de porter le niqab.» Cette phrase «Je n’obéis qu’à Dieu, pas à mon mari» est fréquemment énoncée par les munaqabat. On peut la comprendre comme une revendication à désobéir au mari.

La revanche de l’ordre machiste 

La surmédiatisation du phénomène du niqab, mais aussi du voile en général et du burkini, a débouché sur des stéréotypes avec des prises de paroles autoritaires parlant au nom de ces femmes. L’exemple le plus frappant est la commission parlementaire précédant le vote de la loi du 11 octobre 2010 qui n’a auditionné qu’une seule femme en niqab, Kenza Drider, et n’a retranscrit qu’une dizaine de lignes de son audition enfouie dans les 643 pages du rapport. Ces femmes ont vu leur destin manipulé par des politiques et des personnalités publiques qui n’avaient jamais eu le moindre contact avec elles. Leur parole a été entièrement passée sous silence au profit des grands ténors du show audiovisuel.

Ces femmes restent pourtant bien les maîtresses du jeu en repoussant les tentatives de domination masculine dans l’espace public. C’est sans doute cette inversion de la domination qui explique la crispation et l’hystérie qui se focalisent périodiquement sur le vêtement féminin musulman. Le citoyen ordinaire relaye l’ordre machiste en les insultant, le plus souvent de prostituées. Et si finalement dans ces polémiques stériles autour du voilement des musulmanes, les Français étaient les otages d’une politique sexiste visant à redonner aux hommes le pouvoir de disposer du corps des femmes?

http://www.slate.fr/story/125391/niqab-inversion-de-domination#xtor=RSS-2

http://www.france24.com/fr/20120411-un-an-loi-port-voile-integral-niqab-espace-public-mesure-liberticide-femmes-islam-france

Mais l’obsession du niqab est aussi vieille que la documentariste :
Un livre et un documentaire sur les Chams, pratiquant une forme originale de brahmanisme et d’islam.
Un documentaire sur « l‘ibadisme, l’autre voie de l’islam »
Un documentaire sur la Tunisie et ses femmes salafistes avec un entretien intéressant :

Dans ce contexte, pour les femmes salafistes, le voile intégral (niqab) est devenu le symbole d’une réislamisation visible de la société tunisienne post-révolutionnaire. Agnès De Féo, sociologue et réalisatrice de documentaires, s’intéresse au port du voile intégral depuis 2004. Elle a d’abord travaillé sur le sujet en Asie du Sud-Est avant de se consacrer à ce phénomène en France et en Tunisie.

Pourquoi cet intérêt pour les femmes salafistes en Tunisie ?

D’abord parce que c’est un prolongement du travail que je mène en France depuis dix ans sur les femmes qui portent le voile intégral, ensuite parce qu’il me paraissait intéressant d’aller observer le phénomène en pays d’islam et a fortiori en contexte post-révolutionnaire. Je me suis donc rendue en Tunisie et, là, j’ai été frappée par ce renouveau religieux visible : je voulais comprendre et ne pas me laisser prendre par l’intuition première et les idées toutes faites.

Quels enseignements en avez-vous retenus ?

Une liberté de parole et un discours d’affirmation identitaire voire de résistance bien élaborée de leur part. Agées entre 16 et 30 ans, pour la plupart célibataires et en rupture avec le milieu familial en raison de leur choix, elles ont toutes fait des études jusqu’au bac et souvent bien au-delà.

En quoi sont-elles salafistes ?

Elles s’autodésignent comme telles et considèrent que les pays musulmans ne le sont pas assez, qu’ils se sont éloignés des vertus de l’âge d’or supposé de l’islam, celui du prophète et de ses compagnons. Elles s’identifient au modèle idéal que sont à leurs yeux les femmes du prophète. Critiquer leur choix , c’est donc, pour elles, une atteinte au sacré en même temps qu’une entrave à leur liberté individuelle. Pour quelques-unes, même si elles ne le disent qu’en off, l’Etat islamique de Daesh représente l’utopie à laquelle elles aspirent, l’imaginaire dont elles rêvent. En même temps, vous le verrez, elles sont aliénées par la société de consommation occidentalisée dont elles prétendent se protéger.

Ne faites-vous pas la part belle à ces femmes « niqabées » qui affirment leur libre choix au détriment de celles qui sont contraintes et soumises ?

Je ne pense pas. Les femmes contraintes et soumises restent chez elles et ne portent donc pas le niqab, alors que celles qui le portent ont accès à l’espace public. Ces dernières me disent-elles la vérité ? Ou sont-elles dans un discours défensif et apologétique bien huilé ? C’est possible. Toujours est-il que même cette construction discursive, si tel est le cas, présente un intérêt. 

Et de nombreux documentaires sur le sujet qui la passionne.
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On peut comprendre qu’elle s’y intéresse,  qu’elle cherche à comprendre le sujet… mais qu’elle en arrive à justifier l’injustifiable au nom d’une dérive d’un féminisme décadent, c’est inacceptable. C’est monstrueux.

D’autant plus monstrueux que ces reportages complaisants renforcent l’idée que la loi française serait une atteinte à la liberté, d’autant que ces reportages renforcent l’idée que le niqab serait la liberté des femmes « pieuses », des « vraies » musulmanes, et, partant, l’idée que les femmes qui ne se voilent pas méritent mépris, injures, voire agression et viol…

Ne laissons pas de côté, non plus, la responsabilité du producteur Marc Rozenbourg qui finance tous ces beaux projets…

 
 

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31 Commentaires

  1. A lire les idées tordues de cette femme, je pensais qu’elle ne pouvait être que laide. Gagné !

  2. Aller simple en musulmanie y a assez de pays de tarés pour accueillir ses connes.
    Pourquoi on n’applique pas la loi.
    Le niquab est interdit mais on en voit toujours plus …..
    Ah oui c’est vrai faut pas faire de vague
    Faut pas attiser la haine…
    Putain qu’il sont cons aux gouvernements…

  3. Une telle avalanche de contresens sur la nature humaine traduit une perte de la réalité, qu’on appelle « psychose », c’est à dire folie. Non seulement cette pauvre femme doit être très laide et très frustrée, mais en plus, elle se complait dans ses fantasmes morbides et construit un monde délirant pour les justifier.
    Ce type de folle furieuse dangereuse, car complice de toutes les ignominies, est à rapprocher du taré Jean Paul Sartre qui écrivait dans : Préface aux « Damnés de la terre » de Frantz Fanon. : « CAR, EN LE PREMIER TEMPS DE LA REVOLTE, IL FAUT TUER : ABATTRE UN EUROPEEN C’EST FAIRE D’UNE PIERRE DEUX COUPS P SUPPRIMER EN MEME TEMPS UN OPPRESSEUR ET UN OPPRIME : RESTENT UN HOMME MORT ET UN HOMME LIBRE »…
    (Se trouve sur internet)

  4. Pour résumer, cette gourde à croisé la route de deux connes Shamsou et Cindy et une terroriste Emilie KÖNIG et elle veut nous faire avaler la généralité qu’elle en a conclu. C’est dommage qu’elle ait tant tardé à mener son étude : elle aurait pu rencontrer Katia Bengana, assassinée à 17 ans pour refus du port du voile.
    Les muzz sont obsédés par le sexe, la verge en langage châtié qui est aussi une ancienne unité de longueur. En s’exilant quelques temps au royaume d’islam, de Féo pourrait rapidement se rendre compte, bon gré mal gré, que la verge sert aussi à mesurer la profondeur des gourdes et qu’elle ne peut rien imposer ni interdire à l’homme mahométan…

  5. Ma chérie….si tu ne veux pas être regardée….ben ne sors pas de ta cuisine….ou disparais complètement…

  6. Qu’est-ce que c’est ces intello musulmano féministes à la mord- moi lnoeud?.
    Pas envie de discuter sur ces folles d’Oualalah. J’aime la liberté à la française et montrer mon visage et le reste si j’ai envie et si je pouvais, je les mettrais dans un avion et hop ! Lâcher de pigeons au-dessus du Sahara..
    .

  7. « Il y aurait plusieurs façons d’être con, mais le con choisit toujours la pire  » (Frédéric Dard)
    Ces débiles doivent vivre dans les pays musulmans, pays de pédophiles et de phallocrates.

  8. Ma compréhension du texte est un peu divergeante : A. de Foe, décortique bien le sujet, reconnaissant objectivement que sous le niquab se cache aussi la séduction, la manipulation, l’instrumentalisation de l’homme.
    C’est à dire qu’en voulant défendre le port du voile, à son insu, elle dénonce une perversion de la femme musulmane, qui se place au-dessus de toutes les autres, méprise les occidentales mais, comme des araignées ou des mentes religieuses, oeuvre à soumettre ceux qui s’attachent à elle.
    Ainsi, arrivons-nous toujours à la volonté de domination de l’islam, qu’il soit aux mains des hommes ou des femmes. Il suffit de savoir de quoi sont capables les femmes qui pratiquent le djihiad : elles sont égales ou pires que leurs hommes dans les sévices.
    Ainsi constatons-nous que le voile n’est pas le symbole de la vertu mais le cache des vices et de l’hypocrisie des adeptes de cette secte maudite.
    L’islam, le voile, les mosquées n’ont pas leur place en France. Que celles qui se masquent aillent vivre leurs fantasmes aux pays des Milles et Une Nuit !

  9. Pour résumer sa pensée: « j’ai le feu au cul et le niqab me sert de cache sexe… »
    Non mais…ça sert à quoi d’autre l’islam !

  10. Pour résumer sa pensée: « j’ai le feu au cul et le niqab me sert de bromure… »
    Non mais…ça sert à quoi d’autre l’islam !

  11. En voilà une qu’il faudrait envoyer d’office en Syrie en aller simple, sans retour possible ! Elle serait dans son élément !

  12. Chère Christine, je vous respecte et vous meritez tout les respects. Vous êtes une grande dame au service des français et de la république laïque. Votre écrit sur la phallocratie est trop long et je n’est pas le temps de le lire. Le voile c’est pour les machos muzz, il existe dans les pays muzz et il n’a aucune raison d’exister en France.
    C’est une tenue de combat d’une soldate mahométane.

  13. Tonton Siegmund, au secours ! Peut-on guérir de ce type de névrose ?

  14. ces musulmanes ne sont pas renseignees sur l islam et la position de la femme il faut trouver un vrai musulman comme mari c est a dire un polygame avec en plus des esclaves sexuelles et elles seront contentes de marier leurs filles de _8 ANS A LEURS COUSINS DE 40ANS SUIVANT LES PRECEPTES SACRES DU CORAN et du prophete la malediction soit sur lui DEBILE ET CONSTERNANT le voile n est pas obligatoire le nez coupe ou defiguree a l acide vous rend moins attractive

  15. Comme on dit…UNE BROUETTE ÇA NE SE RESONNE PAS, CA SE POUSSE !!!
    SI c’est le moyen âge qu’elle aime alors elle peut aller dans le golf ils y sont encore… Marchands de chameau !!!

  16. Circuler dans un tel accoutrement ne doit pas être très commode sur le plan sécurité , en principe nous devons voir sur les cotés c’est quand même plus pratique , puis l’été a 28° a l’ombre je ne vous dis pas ça doit cocoter là dessous Pour les questions sur les regards des hommes là elles se font leur cinéma , mettons cote a cote une européenne et une nord-africaine de 35/40 ans il n’y a pas photo bien sur tous les gouts sont dans la nature et la faim fait manger de tous pains , désolé moi je jeûne !

      • « d’une grande beauté »… pas plus que d’autres. Je n’ai pas dit «moins que d’autres» parce que nous ne disposons pas, dans le domaine, d’études statistiques et, encore moins, de mesures objectives.
        Exemples ?
        Rachida Dati n ‘est pas mal, mais son visage est refait,
        Belkacem n’est pas laide mais pas d’une beauté renversante, quand même (voir le nez et même les jambes, dont elle paraît si fière, et qu’elle expose, mais qui n’ont pas véritablement de galbe)… Benguigui est refaite, euh…
        Adjani touchait à la perfection, d’un père (kabyle ? ) sosie de Marlon Brando ….mais aussi d’une mère, qui, sans doute, lui légua ses yeux bleus…

  17. En Iran I’ll y a des bus separates,et une police de la morale,elle devrait aller en vacamces la bas!!

  18. Quel homme normal pourrait avoir envie de ces momies débiles. Les voilées intégral ont tout à cacher, ce qui veut dire que ça ne doit pas être très appétissant dessous. Leurs « raisons » datent du moyen-âge. Quand on voit les momies, on ne s’en approche certes pas, beurk ! Toutes ces conneries sont d’un autre âge, largement dépassées et conviennent bien aux primates dégénérés qui les imposent. Qu’elles restent connes et sans cerveau, ça ne dérange personne après tout. Même si elles s’habillaient normalement, on s’en écarterait avec dégoût.

  19. On est toujours dans une logique de perle à cacher ou de pièce de 2 € qui passe d’une main et d’une poche à l’autre.
    T’es pas voilée (intégralement d’après cet article) t’es une p*** accessible à tous, t’es voilée (intégralement d’après cet article), les hommes ne te regardent plus (c’est pas faux, autant mater un sac poubelle).
    Et donc pour cette c****, se protéger de la sorte du regard des hommes serait une victoire ??? un bon coup dans les c******* du pervers du coin qui vient vous faire chier, ça c’est une victoire !!! Un taser, une bombe au poivre, voilà des outils pour atteindre la victoire !!! Le Niqab n’en est pas un ! Je conçois que certaines le mettent par conviction religieuse, quoi que l’on pense de cette religion, mais en faire une protection contre les mâles de France qui ne savent pas se retenir, je trouve cet article ridicule
    Le constat est donc : la France est devenu tellement n’importe quoi qu’on frôle le viol à chaque seconde, donc pour me protéger, je me planque … Impressionnant… Belle victoire …

  20. Déjà rien que sa première phrase est débile : « plus personne ne me parle, les hommes baissent la tête ». Super la société qu’elle veut nous imposer : plus de communication, plus d’interaction, un isolement total…
    Si ça lui chante, elle n’a qu’à s’enfermer dans un monastère retiré de toute vie. Je ne vois pas pourquoi elle continuerait à vivre en ville si elle refuse de parler aux autres. Du féminisme ? En faisant exactement ce que nous, les femmes, on ne veut pas que les hommes nous fassent : nous voir comme des êtres inférieurs. Bien la tolérance et l’égalité des sexes. Ce qu’elle fait n’est rien d’autre que du sexisme.
    Soumise à allah ? Qui considère que la femme vaut moins qu’un homme ? Quelle estime de soi. S’interdire de pécher ? Ma foi, si l’on se réfère à la Genèse, Dieu aurait dit : aimez-vous, soyez féconds. Jésus a dit : aimez-vous les uns les autres.
    Ah ouais, c’est vrai, l’autre ordure de mahomet a dit qu’il fallait pas aimer les non-musulmans.
    Verdict (mais on le savais déjà) : l’islam est une saloperie mortifère.

  21. je présume que c’est également l’avis de l’inénarrable Rachid Nekkaz un feministe non je rigole

  22. Le voile intégral ne soumet pas l’homme, il fait disparaître la femme

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