Depuis que j’ai été agressée par un migrant, j’ai profondément changé

Cet édito est dédié à mon amie Florence, une femme intelligente.

C’est fou ce qu’on change en une vie. Je n’ai plus rien de la jeune militante féministe des années 70, ni de la gauchiste des années 80, qui défendait farouchement l’abolition de la peine de mort…

Le retour au réel a été progressif, donc pas trop douloureux, mais il a fallu, surtout cette année se rendre à l’évidence que la tournure que prenait la France et l’Europe, si la mondialisation forcée et le métissage se généralisaient, me contrariaient vrai-ment beau-coup.

Bien sûr qu’elle a changé ma France du début des années 70, avec ses boulangeries, ses épiceries Félix Potin, ses boucheries à tous les coins de rue, et mon “marchand de couleurs” au dessous de chez moi, qui accrochait ses bassines et ses balais au plafond, qui tombaient, quand on dansait trop le jerk au dessus.

Moi, les immigrés ça ne me posait, intellectuellement pas de problème, tant que mon mode de vie n’était pas perturbé. Je me suis toujours proclamée non raciste. J’ai fermement défendu mes idées, et été bienveillante avec tous, toute ma vie… Tant qu’ on ne changeait, ni mes moeurs, ni ma religion, ni ma conception de l’enseignement et de l’éducation, et qu’on n’était niphysiquement, ni sanitairement en danger.

Parce que les observateurs suisses nous ont prévenus (dans un rapport de la Revue Médicale Suisse) les migrants arrivent avec la tuberculose, le SIDA, leurs parasitoses, et les hépatites sexuellement transmissibles… C’est même une “bombe épidémiologique” qui arrive !

Il a fallu que je me fasse agresser par un migrant, et que je voie la détermination au fond de ses yeux, pour que je mesure personnellement sa barbarie, enfin je l’ai appelé comme cela, c’était quelque chose que je ne connaissais pas, que j’ai lu juste dans le regard de ce jeune homme, plus jeune que mes enfants, qui eux n’ont jamais eu cette lueur inquiétante. Un truc du genre : “Je suis venu de loin, j’en ai bavé pour arriver jusqu’ici, et tu vas me donner ce que je veux, sinon toute façon j’aurai ta peau. “

Mon chien aussi a senti cela, et pour la deuxième fois de notre grande affection mutuelle, je lui dois la vie. Il a grogné et aboyé tellement fort, que les voisins sont arrivés pour jeter mon agresseur dehors. Et j’ai modifié mes horaires de travail, et mes conditions d’accès pour que cela n’arrive plus.

La France, le pays des bisounours de l’immigration

C’était en juin 2016, et quelque chose a définitivement changé chez moi. Je me suis alors dit : “Ne généralisons pas !” Mais une force inconnue m’a soufflé :” Vérifie quand même, renseigne toi ! “

Et alors, j’ai découvert tous les articles et les rapports qui n’arrivent pas jusqu’au lecteur de France, le pays de bisounours de l’immigration.

Tous ces articles de la presse étrangère, non-relayés chez nous, les viols de femmes âgées de plus de 70 ans dans les cimetières, juste pour les punir d’être chrétiennes et d’enterrer leurs soeurs ou leurs maris, les viols de femmes et d’enfants réitérées dans les camps de réfugiés, les révoltes des camps d’autres pays d’Europe, dont les travailleurs sociaux retranchés dans leurs bureaux sont sauvés, in extrémis, par les force de l’ordre ou l’armée, et les viols de milliers d’allemandes et de suédoises …

En France, les autorités savent cela, et  elles dispatchent les migrants, en petit nombre, en les surveillant comme le lait sur le feu..

Quand à notre Président, il n’hésite pas à visiter un possible escroc brutalement sodomisé, (ce qui est fort triste pour ce jeune homme et n’aurait jamais dû arriver), (pour éviter un incident diplomatique avec un Vice-Premier Ministre africain, parent  de la victime) mais n’a pas un geste pour quatre policiers, dont deux grièvement blessés, un homme, et une femme brûlée vive, qui a perdu son visage dans l’exercice de son travail, pour notre protection à tous…

Mais une partie de la population française, désinformée, rêve encore d’une assimilation douce et de métissage tranquille.

Certains nationalistes  français, eux aussi ont compris, eux, qui ont reçu, et bien reçu même, la proposition d’aide de la Hongrie. Ces nationalistes, peu courageux, qui tiennent à leur confort, organisent déjà leur départ à l’Est .

La Tchécoslovaquie arme ses citoyens.

Le Danemark, qui avait déjà voté une loi en faveur de la saisie des biens de valeur des migrants, et qui les a refusés depuis fin 2016, modifie sa constitution pour ne jamais laisser les non-européens être majoritaires.

Moi qui étais une démocrate convaincue, je le suis un peu moins. Je sais qu’il va falloir une main forte pour sortir la France de ce bourbier, et rien n’est certain.

61 % des Français ont compris. La désinformation des médias en a endormi environ un tiers, ceux qui subissent le discours unique dominant et ont fait des études, qui les ont formatés, et les autres sont malhonnêteset mentent tout en préparant leur départ hors d’ Europe.

La France d’en bas, elle, confrontée à la réalité du marché du travail, et la proximité sociale est étrangement lucide. Et les intellectuels de la mépriser, et de la traiter de demeurée complotiste et populiste…

Comme quoi, il faut toujours respecter et écouter la base, ceux qui sont sur le terrain, les sentinelles, les premiers à lancer l’alerte !

Je me donne six ans pour partir. Parce que j’aime vraiment cette France, où je suis née.

Une première et une deuxième élection présidentielle. Parce que je suis une optimiste, positive et que je veux croire à la voix du peuple, encore un peu. mais sans me mettre en danger.

Et si la population européenne arrive à survivre, malgré des statistiques démographiques désastreuses, et repousser cette invasion, je suis pour qu‘elle aide les pays dont viennent les migrants, et cesse aussi de leur voler leurs richesses…

Français réveillez vous !

Comme le dit l’Archevêque de Pompéi, dans 10 ans vous serez tous musulmans…

par votre stupidité !