Traduction d’un article du NZZ de Zurich
Quatre musulmans chez Markus Lanz : « Comment se fait-il que nous soyons tellement indignés par ‘Dehors les étrangers’, mais qu’on ne constate presqu’aucune réaction ici ? »
Quatre représentants de la foi islamique sont invités à une heure tardive à la discussion télévisée de la 2e chaîne allemande ZDF. En fait, tout doit tourner autour de l’islam radical, au lieu de cela, il est également question des braillards de Sylt.
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Une telle réunion n’a sans doute jamais été organisée à la télévision allemande. L’animateur, Markus Lanz, a invité quatre musulmans à son entretien télévisé jeudi soir. Selon la chaîne ZDF, il doit être question du conflit au Proche-Orient, de la fédération des mosquées Ditib et de racisme antimusulman. Mais en réalité, la discussion prend une autre direction tout à fait inattendue.
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Dès le début, Lanz révèle qu’il n’a pas été facile de trouver des participants car il aurait rencontré plus de réponses négatives que jamais, comme s’il en pleuvait, particulièrement de la part de représentants d’associations islamiques. En lieu et place, la conseillère en radiodiffusion du HR, Khola Hübsch, le psychologue Ahmad Mansour, l’ancien conseiller juridique du Ditib, Murat Kayman et le sociologue autrichien, Mouhanad Khorchide avaient pris place sur les fauteuils blancs du studio TV.
Hübsch objecte qu’elle peut comprendre les nombreuses réponses négatives. Après chaque apparition lors d’un entretien télévisé, elle paraîtrait à la une de la presse à sensation, les pires choses lui seraient reprochées, elle serait diffamée. « Exemple ? » demande Lanz, sur ce aucune réponse de la part de Hübsch. Au lieu de cela, elle en vient à parler de sa dernière apparition dans l’émission de la première chaîne ARD, « Dur mais juste ».
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La conseillère en radiodiffusion, Hübsch, veut plus de compréhension pour la sharia.
Dans cette émission, la conseillère en radiodiffusion de la Hessischer Rundfunk critiquait le projet de programme de base du parti CDU pour la phrase disant que la sharia ne fait pas partie de l’Allemagne. Ce qui serait du populisme, d’après Hübsch. « La sharia est l’enseignement des normes, l’éthique islamique. Quand un musulman va à la mosquée, quand il prie, quand il jeûne, quand il aide son voisin (. . .) C’est ça, la sharia. »
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Hübsch passe sous silence qu’en vertu du droit pénal islamique, les femmes sont susceptibles d’être punies par un juge pour adultère. Des délits particulièrement graves selon la conception musulmane sont également passibles d’après la loi de la sharia de la flagellation ou de la lapidation. Hübsch explique avoir voulu essayer « d’objectiver les termes ».
Et subitement, il est à nouveau question des braillards de la soirée sur l’île de Sylt, qui avaient déjà fait l’objet de discussions passionnées dans une émission précédente de Lanz. La vidéo sur portable avec des chants xénophobes, enregistrée dans une discothèque de Sylt, a provoqué en Allemagne des discussions sur la xénophobie.
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« Indignation sélective » qui dérange l’islamologue Mansour
L’expert en extrémisme Mansour se montre détendu lors de la diffusion de la vidéo de Sylt, mais met en garde contre son instrumentalisation pour éviter des discussions légitimes comme celles relatives à la criminalité d’étrangers ou de clans. « Mais pourquoi sont-ils criminels ? », demande Hübsch et voudrait axer la discussion sur des facteurs socioéconomiques, mais Mansour ne s’y laisse pas entraîner.
Il s’est étonné, dit-il, de la rapidité avec laquelle le chancelier fédéral, Olaf Scholz, et d’autres personnages politiques s’étaient indignés contre cette vidéo de Sylt. Mansour se demande où ils pouvaient bien être deux jours auparavant, quand des étudiants avaient dessiné sur le mur de l’Université Humboldt des symboles du Hamas. L’indignation sélective, cela le gêne, dit-il. « Comment se peut-il que nous soyons tellement indignés par ‘Dehors les étrangers’, mais qu’on ne constate que peu de réactions ici ? »
Une dynamique pour la table ronde se développe progressivement. L’animateur essaye de laisser répondre les invités de manière égale à une question concrète, par exemple : « Existe-t-il dans l’islam un antisémitisme structurel ? » Mais la débatteuse Hübsch tente constamment de changer de sujet, relativise toute critique de l’islam. Ainsi se tisse un pêle-mêle discursif, difficilement supportable en certains points, involontairement comique ailleurs. Quand il est question de criminalité des étrangers, elle affirme que la part de culture et de religion était surévaluée. « C’eût été une discussion substantielle de parler de la criminalité masculine », dit la publiciste.
Aucun problème avec « from the river to the sea » ?
Quand les occupants agressifs de l’université berlinoise reviennent à nouveau sur les tapis, la musulmane déclare : « Faire comme si tous ceux qui sont contre la souffrance à Gaza, qui voudraient attirer l’attention là-dessus, que tous ceux-là sont des antisémites… » Lanz l’interrompt plusieurs fois, la tient en échec : « Personne n’a dit cela ici, Madame Hübsch. Personne n’a dit ça, ici. »
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Un débat sur les tags anti-israélites à l’Université Humboldt met cela en évidence. Une photo est insérée. Sur une fenêtre est écrite le slogan désormais interdit en Allemagne « from the river to the sea », en-dessous un triangle en peinture aérosol rouge. Avec des triangles, le Hamas aurait signalisé les maisons de personnes juives, avant de les tuer, explique Mansour.
Lanz : « Comme nous avons éclairci cela, Madame Hübsch, que dites-vous à ce sujet ? »
Hübsch : « Le triangle est un problème. »
Lanz : « Un problème ? »
Hübsch: « Bien sûr. C’est antisémite, nous ne pouvons pas le tolérer, c’est clair. Mais ‘from the river to the sea’. C’est là que ça commence déjà. Au moins deux tribunaux voient cela différemment, c’est ambigu, disent-ils. »
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En fait, Hübsch devait avoir le dernier mot
Hübsch, qui estime déjà problématique le terme « criminalité des étrangers », n’a manifestement aucun problème avec une phrase signifiant de facto qu’Israël ne doit plus exister.
En fait, le mot de la fin doit également revenir à la conseillère en radiodiffusion après bien des contradictions. Lanz lui passe la parole, Hübsch entame un monologue final ayant l’air bien préparé et se terminant par l’affirmation que le gouvernement allemand soutient des crimes de guerre à Gaza. « La moralité flambe. La justice flambe. Nous nous contentons de regarder, nous participons », déclare Hübsch, l’air sérieux.
Mais cela, l’animateur ne peut pas le laisser passer tel quel et demande son avis à Mansour, qui a grandi en Israël. À la fin du temps d’émission, Mansour est visiblement à bout de nerfs à cause de sa co-débatteuse : « Notre culture de mémoire échoue à cause de telles déclarations. Vous regardez le Palestinien, mais pas la société israélite. »
Traduction Jean Schoving pour Résistance républicaine
https://www.nzz.ch/international/lanz-sendung-mit-vier-muslimen-ueber-radikalen-islam-mansour-gegen-huebsch-ld.1832817
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Mais personne pour leur faire remarqué qu’il existe un principe dans lisse lame, à savoir la hijrah?
Eux qui se disent si soumis à Allah l’clébard, ils devraient déjà obéir à cette injonction.
Perso, quand je vois des voilées dans la rue, en passant, je le lui rappelle en lâchant juste le mot quand je la croise…
Ce que tout le monde devrait faire,ne serait-ce pour prendre soin de leurs âme, l’enfer les guettant puisque n’obéissant pas au clébard…
La charia, la loi islamique ou comme c’est indiqué dans le coran il faut tuer les non musulmans (nous), les infidèles (toujours nous), les mécréants (encore nous), lapider, tuer, flagéler, pendre, brûler, terroriser, torturer, tous les autres qui ne sont pas musulmans, c’est du délire et cette secte est remplie de haine envers les chrétiens et les juifs et il faudrait encore plus de compréhension pour la charia. Ils sont gonflés. Ce sont eux avec leur religion de haine qui foutent la merde partout où ils sont, comme les viols, les vols, les agressions, les meurtres etc et il faudrait plus de compréhension, mon cul. Combien de têtes coupées avant de comprendre que cette religion est satanique et comprendre qu’il n’y a qu’une solution pour avoir la paix, c’est l’islam dehors, fermer les frontières et arrêter l’immigration.