Non ! L’Europe n’est pas née de l’islam ! Le monde imaginaire des musulmans est un long mensonge

 Tels le nez de Pinocchio, les minarets s’allongent au fil des mensonges de l’islam

            1. Comment l’islam s’est emparé du monopole du récit, de l’écriture de l’Histoire, et comment personne ne lui a disputé ce monopole jusqu’à notre époque

Les écrits fondateurs de l’islam, coran, hadiths et sûra, se sont imposés tout naturellement en tant que seuls récits de cette période des conquêtes arabes (7, 8 et 9 è siècles) non seulement aux musulmans mais à toute l’humanité du simple fait qu’ils n’ont jamais pu être mis en concurrence avec d’autres récits de la même époque traitant du même sujet. Soit que ces documents aient été détruits par les conquérants soit qu’ils n’aient jamais existé en nombre suffisant pour traverser le Moyen-âge et les siècles. Les archéologues et historiens n’ont en effet pu retrouver que très peu de documents écrits, historiques et archéologiques contemporains des conquêtes arabes et provenant des civilisations des Byzantins, des Coptes, des Juifs, des Perses, des divers Berbères, des Bédouins, et autres populations de cet obscur Moyen-âge du Moyen-Orient bousculé par les Arabes, documents traitant de ce sujet précis : les origines de l’islam.  Cette pauvreté de documents sur ce sujet, proche du presque rien, est à l’origine d’une situation bien dommageable pour la science historique. Car le récit islamique, davantage documenté sur la situation au paradis et en  enfer que sur celle de son époque, est embourbé dans le   mythique et le merveilleux. Il ne tient pas compte des faits réels (que l’archéologie découvre aujourd’hui) mais il les déforme, les amalgame, les fait disparaître en les remplaçant par un récit imaginaire et inventé. Seul récit de son époque sur l’origine de l’islam, il a fini par faire autorité et s’imposer au même niveau qu’un récit historique. L’islam, seul narrateur, a ainsi profité de sa situation de monopole pour imposer son récit.

Encore maintenant, tous, nous continuons à attribuer à Mahomet les dires et faits que le coran et les hadiths lui prêtent, alors que rien ne prouve que ces récits, écrits 80 ans après la disparition du personnage en question et durant deux siècles, aient quelque lien avec la réalité historique.

 Les musulmans n’ont pas fait évoluer leur loi, puisqu’ils la croient  d’origine divine, donc intangible, inadaptable aux lieux et aux époques.

Les musulmans continuent à vouloir ressembler à leur prophète et à reproduire les faits que le coran lui attribue. Notamment les guerres, l’usage de la violence et de la terreur, leur subsistance par la razzia. Ce gel de la façon de vivre comme aurait vécu Mahomet a eu des répercussions catastrophiques.

Or, historiquement, on ne sait rien de lui. Les textes musulmans se contentent d’assurer  que ce personnage de prophète a vu l’ange pendant 23 ans, qu’il a dicté le coran jusqu’à sa mort en 632 et que l’islam est donc bien l’émanation de la ‘’révélation’’ divine qui a été directement inscrite dans le coran. Nous avons les preuves aujourd’hui que, historiquement, cette histoire est fausse.

Cette manipulation des faits, ce grossier montage destiné à attribuer l’écriture du coran au secrétaire du Mahomet de La Mecque entre 610 et 632, donc en faisant remonter l’origine de l’islam à la période mecquoise du personnage créé de toute pièce dans le coran, est faux, ce qui discrédite tout l’islam. Légende, oui ; faits historiques, non. Et cela est grave. Car, d’abord, l’islam ne peut plus s’imposer comme la vraie religion donnée aux Arabes par le seul vrai dieu. Car, ensuite, la loi attribuée par eux à Dieu et donc intangible n’est en réalité qu’une loi humaine datant des siècles des conquêtes arabes, elle est donc adaptable aux lieux et époques suivantes. Enfin, l’islam n’étant plus bâti sur le socle présenté comme historique et qu’il avait construit à cet effet, mais sur des mensonges, des mythes, des légendes, n’a plus aucune crédibilité.

En effet, en lieu et place de preuves matérielles et de témoignages vérifiables et croisés, nous n’avons, par ces seuls écrits islamiques disponibles, que des textes religieux faisant intervenir un dieu, sa façon d’avoir créé l’Univers, un ange, 23 années de révélations célestes en arabe à un hypothétique personnage de La Mecque dont le nom même a été oublié par les rédacteurs du coran qui ne le citent que quatre fois en lui donnant le surnom de ‘’Digne de Louanges’’ (Muhammad). Une histoire peu crédible que les actuelles découvertes archéologiques mettent à mal en nous dévoilant de nombreux anachronismes, des constructions littéraires invraisemblables, la fabrication d’un mythe. Ces textes fondateurs étant surtout constitués d’un nombre faramineux d’indications morales personnelles, familiales, sociales, politiques, accompagnées d’invectives et de menaces en cas de manquements à leur observation stricte.

La vie des musulmans, selon ces écrits faits pour les terrifier, les soumettre et les obliger à filer droit, n’est en réalité qu’une épreuve à subir ici-bas, la vraie vie étant après la mort, dans le paradis du dieu des Arabes.

Car les Arabes se sont engouffrés dans un mythe en assurant avoir été  choisis par le dieu-créateur, qu’ils assurent être l’unique dieu et plus grand que les autres priés par les autres peuples, avec pour mission d’islamiser tous les peuples de la Terre et de les soumettre à la loi arabe. Cette islamisation engendre forcément des conflits lorsque les populations renâclent et résistent. Mais la paix sur le monde, but de l’islam, ne pourra se réaliser qu’à la fin de l’islamisation de tous les peuples. Cette même islamisation engendre également des frais, mais les guerriers de l’islam sont défrayés par les butins pris sur les peuples conquis. Ces mêmes peuples ont à choisir entre accepter la volonté du dieu des Arabes et adhérer à l’Oumma, être vaincus et risquer la mort, payer l’impôt de soumission au vainqueur qui devient alors un protecteur du peuple soumis en cas de conflit avec un autre prédateur.

L’Histoire de cette époque et de cette partie du monde a donc été écrite par l’islam et constitue un faux en écriture. Le but des rédacteurs du coran était d’imposer une loi sociétale aux membres de cette nouvelle organisation qui réalisait de façon spectaculaire des victoires militaires avec facilité, sans obstacle et presque de façon incompréhensible. Donc miraculeuse. Contribuant à la création d’Allah, le dieu des Arabes.

2. Comment les musulmans voient le monde

Le monopole de fait du récit de leurs victoires s’étant imposé à la nouvelle organisation islamique appelée islam, l’Histoire de cette époque n’a donc été écrite, jusqu’à maintenant, que par l’islam. On peut savoir, grâce à ce récit, comment les musulmans voyaient le monde à la fin des conquêtes arabes. Et à quoi donc correspond, à notre époque encore, cette vision du monde par les musulmans. Comment les musulmans voient le monde aujourd’hui.

Il s’agit d’un monde partagé en deux parties inégales : la Terre de l’islam (de son origine et de ses conquêtes confirmées par l’islamisation des populations) et, en face, la Terre où porter la guerre de conquête. Jusqu’au moment final où, le monde ayant été conquis, règnera l’amour et la paix. Ce qui permet d’affirmer que l’islam est une religion de paix et d’amour. Peu importe le temps intermédiaire entre le début de la conquête et son achèvement : le temps ne compte pas pour l’islam, comme pour Allah.

L’Histoire sainte merveilleuse de l’islam continue à être racontée par des menteurs professionnels

Profitant de la crédulité des populations pauvres conquises, les prédicateurs musulmans répandirent, sans crainte d’être contredits, cette histoire des mille et une merveilles dues à Allah et à son prophète. Et ils continuent, aujourd’hui encore, à diffuser ce même récit. Ils le présentent sous une forme historique, celle que nous avons appris à utiliser, alors qu’ils sont restés dans le mythe, la légende, le merveilleux, l’anachronisme, la déformation apologétique, le mensonge.

C’est ainsi que le mythe d’une Jérusalem musulmane, d’où le prophète quitta en rêve une nuit pour monter au ciel voir les autres prophètes juifs et Jésus et saluer Allah, s’inscrivit dans l’imaginaire musulman. De même, le pays des Coptes byzantins, qui deviendra l’Egypte, est présenté comme ayant accueilli la nouvelle religion avec bonheur, en totale contradiction avec les découvertes archéologiques et historiques récentes montrant la fuite dans le désert du Sinaï des chrétiens persécutés.

Le sort des nombreuses tribus berbères de ces contrées d’Afrique du Nord qui sont devenues aujourd’hui la Libye, la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, n’a pas eu davantage de possibilité de se faire connaître autrement que par le récit islamique bien succinct : conversion et enrôlement dans l’armée des guerriers de l’islam, ou élimination.

La conquête de la péninsule ibérique, une fois passé le détroit de Gibraltar en 711, a laissé davantage de traces dans les récits musulmans, tellement le pays plut aux conquérants avec ses fleuves et ses rivières, sa richesse agricole, son climat, sa douceur de vivre. Le mythe d’un pays, al Andalous, gouverné par l’islam et où les trois religions monothéistes et abrahamiques coexistaient dans la concorde, la paix et la prospérité, a été largement entretenu dans le but de reconquérir cette Espagne perdue par les musulmans en 1492 et qui, dans leur imaginaire, fait toujours partie des ‘’Terres de l’Islam’’. Nombre de mosquées, y compris en France, portent le nom de ‘’Al Andalous’’, afin de stimuler l’ardeur conquérante des fidèles.

3.   Les ennemis de l’Occident lui demandent de ‘’rembourser ses anciennes victimes’’ en utilisant la fausse histoire écrite par l’islam

Cette histoire, écrite par les Arabes, et n’ayant pas eu de concurrente durant de longs siècles, a fortement influencé nombre d’historiens acquis à cette idée que l’Occident doit tout à l’Orient et en particulier aux Arabes. Ce serait grâce à eux que les connaissances de l’Antiquité égyptienne puis grecque seraient parvenues à Grenade, Cadix, Séville et au monde occidental les découvrant tardivement à la Renaissance et les utilisant pour éclore et éblouir le monde.

L’Occident, de par ses réussites techniques, intellectuelles, scientifiques, de qualité de vie, s’est attiré de nombreuses jalousies de la part de populations restées à la traîne.

Celles-ci l’accusent alors d’être le seul responsable non seulement de leurs retards et de leur pauvreté, mais d’être responsable de tous les maux de la Terre, notamment en ‘’écologie’’ !

Et puisque le responsable a été trouvé et est désigné, il faut le faire payer !

Nous subissons actuellement cette campagne de culpabilisation de l’Occident. Elle rassemble et réjouit nos accusateurs qui attendent que l’on paie puis que l’on chute : ils sont prêts à nous remplacer !

Ces ennemis de l’Occident utilisent l’Histoire racontée par l’islam (tant qu’il n’y en a pas d’autre, les autres sources font défaut : l’islam en a conservé le monopole) pour faire passer ce message : l’Occident n’a pu réussir que grâce aux apports extérieurs (orientaux, surtout arabes) considérables, alors que ses réussites propres ne furent que très minimes.

Leur but est de faire croire que l’Occident n’a rien créé, mais qu’il doit tout aux autres. En conséquence de quoi l’Occidental s’est approprié ce qui ne lui appartenait pas et il doit aujourd’hui dédommager ses victimes.

D’où l’énorme campagne wokiste et décolonialiste destinée à culpabiliser les peuples de l’Occident, désignés comme responsables de tous les malheurs de la Planète. Cette campagne d’accusation de l’Occident est ainsi présentée comme une juste cause  destinée à faire payer les pollueurs, voleurs, colons, saccageurs de l’Orient, que sont les Occidentaux.

Mais c’est uniquement l’Occidental, l’homme blanc, qui doit être abattu et remplacé par ses anciennes victimes, que sont les racisés et les femmes des associations féministes, ces victimes du patriarcat et de la ‘’masculinité toxique’’. En effet, en pleine crise occidentale de féminisme, les penseurs de cette accusation contre l’Occident se sont vite aperçus, qu’ils pouvaient compter sur les femmes blanches occidentales  pour créer une intersectionnalité des luttes : ‘’tous.tes contre l’homme blanc occidental !’’

A cela s’ajoute la lente déchristianisation de l’Europe, ce qui favorise la prédication et l’installation de l’islam. Cette idéologie orientale se présente comme étant ‘’la solution’’ pour remplacer le ‘’monde chrétien’’, héritier du monde hébreu et du monde grec que Rome avait synthétisés. Cette valorisation de l’islam est mise en scène par les décolonialistes et les wokistes qui le présentent comme étant  la religion la mieux adaptée de par son histoire et son succès populaire (de nombreux sportifs et intermittents du spectacle sont à la manœuvre pour faire la promotion de l’islam) .

C’est ainsi que l’on voit féministes et islamistes militer ensemble contre l’Occident et coller ensemble des affiches contre l’homme blanc coupable de tous les maux !

4. L’Europe est née de l’islam. L’Europe doit tout à l’islam

Un historien sénégalais, Cheikh Anta Diop (1929 – 1986) s’est illustré il y a quelques dizaines d’années par des positions africanistes qui sont réutilisées régulièrement par un monde politique militant contre l’Occident.. Des rappeurs s’en inspirent (Maître Gym nous a récemment rappelé que les Africains peuplaient autrefois l’Europe, et que les pyramides d’Egypte servaient aux anciens Africains à produire de l’électricité), des footballeurs invités à la télé et des pancartes brandies dans des manifs nous rappellent ses thèses : les Hellènes avaient autrefois pillé les Africains et c’est grâce à cette richesse intellectuelle et matérielle enlevée à l’Afrique que la Grèce a pu développer la civilisation que le monde reconnaît et qui a servi à développer toute l’Europe.  La Grèce, et donc toute l’Europe et tout l’Occident doivent tout aux Africains qui avaient développé une antériorité civilisationnelle. En conséquence, les militants woke et décolonialistes nous réclament un dédommagement, capital et intérêts ; quelle magnifique logique !

Au Moyen-âge, la formule « Lux ex Oriente » (la Lumière nous est venue d’Orient) n’était pas destinée à combattre l’Occident et à remplacer les Occidentaux par les Africains ou les Asiatiques, mais à faire le lien entre  les Européens et les premiers chrétiens et donc avec les Byzantins, avec les anciens Grecs, Hébreux, Phéniciens, Egyptiens, etc.

Cette formule sera détournée plus tard par les woke et les décolonialistes dans leur entreprise anti-occidentale et leur promotion d’un Orient d’où tout serait issu et à qui on devrait tout rendre avec dédommagement. Ils prétendent que l’Europe est née de l’islam, car, disent-ils, ce sont les Arabes en s’installant en Andalousie dès le 8 è siècle  puis les Turcs ottomans en prenant Constantinople en 1453 qui ont joué le rôle essentiel de passeurs de textes antiques qui sont à l’origine de notre civilisation et du développement de l’Europe.

Leur entreprise de démolition les aveugle et la pauvreté de leurs arguments annule leur thèse. D’abord ils confondent Arabes et musulmans, puisqu’ils ne tiennent pas compte des apports non négligeables des Arabes chrétiens. Ensuite, ils ne peuvent expliquer pourquoi, malgré un tel butin intellectuel et matériel, les troupes musulmanes n’ont su que stagner, s’entredéchirer, patauger dans la médiocrité et entraîner leurs populations dans la pauvreté sans rien inventer au service de l’humanité.

C’est surtout le livre d’une Allemande, partisane du projet impérialiste germaniste, adhérente du parti nazi, amie de Himmler, Sigrid Hunke, qui continue encore aujourd’hui  d’avoir une forte influence sur les woke et les islamistes engagés dans la conquête de l’Occident. Elle publia en 1960 son ouvrage majeur ‘’Le Soleil d’Allah brille sur l’Occident’’ dans lequel elle reprend la thèse que l’Europe est née de l’islam grâce à la transmission des textes orientaux de l’Antiquité par les musulmans parvenus en Europe. Ce transfert des textes par l’islam a abouti à ce qu’elle présente comme une évidence : tout ce que l’Occident connaît de bien, il le doit à l’islam.

Le projet nazi et germanique de Hunke, dans sa détestation de la romanité, s’accommodait parfaitement du remplacement du christianisme par l’islam. Le paganisme germanique et l’islamisme trouvaient chez elle le même terrain d’entente que celui qui réunit aujourd’hui l’islamisme et le néo-féminisme : la détestation de l’Occident chrétien.

En cherchant à modifier de l’intérieur notre identité, notre civilisation, nos choix de vie, nos coutumes, notre environnement (comme les enlèvements de statues religieuses, remplacées par nouvelles mosquées), en effaçant notre passé, en déconstruisant ce qui fonctionnait pour la satisfaction générale de notre population, ces ennemis de l’Occident ont une obsession : nous remplacer.

Cela s’appelle ‘’djihad’’ en langage musulman, ‘’conquête’’ en bon français.

Notre résistance est évidemment nécessaire ; notre riposte est possible, chacun à son niveau ici, sur ce site. Elle consiste à déconstruire l’islam et l’ersatz d’histoire telle qu’il l’a écrite et imposée. Cette nécessaire déconstruction de l’islam en France est également concrètement possible par notre opposition aux projets de constructions de nouvelles mosquées, de lieux de prédications, et par notre opposition à toute tentative qui rend l’islam visible dans l’espace public.

L’obscurantisme et les méthodes de l’islam portent tort à la France et aux Français : opposons-nous à l’islam en France !

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