S’il sortait aujourd’hui, “Le Parrain” n’aurait aucune chance de remporter l’Oscar du meilleur film
En effet, l’Académie des arts et des sciences du cinéma est tenue de respecter de nouvelles normes d’inclusion !
Omar Sy (choisi pour le rôle d’Arsène Lupin !) a encore de beaux jours devant lui ! Grâce aux nouvelles règles, il pourra bientôt jouer Louis XIV et, qui sait, remporter un Oscar puisqu’il réside aux USA !
Qu’ils continuent à faire de la soupe woke, quand il n’y aura plus de spectateurs ils reviendront peut être au vrai cinéma.
Voilà exactement ce qu’on appelle le terrorisme intellectuel.
À partir de la cérémonie de remise des prix de mars 2024, les films ne seront pas retenus pour une nomination à l’Oscar du meilleur film s’ils ne présentent pas un personnage principal ou un personnage secondaire important issu d’un “groupe racial ou ethnique sous-représenté”, si l’intrigue principale est centrée sur un groupe sous-représenté, ou si au moins 30 % des acteurs n’appartiennent à au moins deux groupes sous-représentés (femmes, minorités ethniques, LGBTQ ou personnes handicapées).
Une description complète des normes est disponible sur le site de l’Académie.
Certains membres votants de l’Académie se sont mis en colère.
“C’est complètement ridicule”, a déclaré un réalisateur au Post. “Je suis pour la diversité, mais vous obliger à choisir certains types de personnes si vous voulez être nommé ? Cela rend tout le processus artificiel. La personne qui convient au rôle doit l’obtenir. Pourquoi devriez-vous être limité dans vos choix ? Mais c’est le monde dans lequel nous vivons. C’est de la folie”.
Richard Dreyfuss est tout à fait d’accord.
En discutant des nouvelles normes d’inclusion dans l’émission “The Firing Line” sur PBS le mois dernier, l’acteur chevronné a fustigé les règles : “Elles me font vomir”
L’un des plus grands producteurs d’Hollywood a déclaré au Post que très peu de personnes dans l’industrie sont favorables aux nouvelles règles – mais, contrairement à Dreyfuss, elles ne s’expriment pas par crainte de la cancel culture.
“Tout le monde pense que l’Académie est allée trop loin. Il est ridicule de nous dire que nous devons réglementer notre travail”, a-t-il déclaré. “On en parle entre nous, mais cela ne vaut pas le prix d’en parler publiquement ».
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Bande-annonce :
Les choses que vous ne saviez (peut-être) pas sur « Le Parrain »
L’intrigue aurait dû se dérouler dans les années 70
Pendant la préparation du film, le directeur de la production de la Paramount, Robert Evans, avait décidé de moderniser l’action du roman de Mario Puzo et de la situer à l’époque contemporaine. Mais Francis Ford Coppola estimait que le film aurait plus de force s’il se déroulait dans l’Amérique de l’après-guerre. Il finit par obtenir gain de cause et le budget du film, en conséquence, passa de 2,5 à 6 millions de dollars.
Marlon Brando s’est inspiré du mafieux Frank Costello pour créer Vito Corleone
Pour inventer le personnage de Vito Corleone, le romancier Mario Puzo s’était inspiré de plusieurs fameux gangsters italo-américains, de Carlo Gambino à Lucky Luciano. Mais pour lui donner vie à l’écran, Marlon Brando s’est surtout intéressé à Frank Costello, parrain de la famille Luciano, qu’il avait pu observer dans les « Kefauver Hearings », ces auditions d’une commission d’enquête du Sénat sur le crime organisé en Amérique, retransmises à la télévision dans les années 50, et dont Coppola avait fait parvenir les enregistrements à l’acteur. Celui-ci avait surtout été frappé par la voix douce et rauque du mafieux, un timbre qui lui avait fait comprendre, comme il l’expliquera, que « les vrais hommes de pouvoir n’ont pas besoin de parler fort pour se faire respecter. »
Alain Delon aurait pu être Michael Corleone
« Quand je le regarde, je vois la carte de la Sicile », avait l’habitude de dire Francis Ford Coppola pour tenter de convaincre ses interlocuteurs de la Paramount qu’Al Pacino, alors encore inconnu, était le bon choix pour le rôle de Michael Corleone. Mais Robert Evans tiquait devant la petite taille de l’acteur et aurait préféré des comédiens plus « bankables », comme Ryan O’Neal, Warren Beatty, Robert Redford ou Jack Nicholson. Il ira même jusqu’à songer faire appel à son ami Alain Delon : « C’est comme cela qu’il était décrit dans le livre », racontera-t-il plus tard, avant de reconnaître son erreur de jugement sur Pacino : « Je me trompais. »
Robert De Niro a failli jouer deux rôles dans le film
Alors débutant, Robert De Niro avait auditionné pour le rôle de Sonny Corleone, finalement tenu à l’écran par James Caan. Cette audition fut suffisamment marquante pour que la production lui propose le rôle de Paulie, l’un des hommes de main de Don Corleone. De Niro déclina, préférant tourner la comédie mafieuse The Gang that couldn’t shoot straight, où il reprit le rôle que devait tenir un certain… Al Pacino, qui venait d’être choisi pour incarner Michael ! De Niro se rattrapa deux ans plus tard, en portraiturant Vito Corleone dans ses jeunes années dans Le Parrain, 2ème partie.
George Lucas a aidé à la réalisation
Au moment du tournage du Parrain, l’amitié entre Francis Ford Coppola et George Lucas remontait déjà à quelques années. Les deux hommes s’étaient rencontrés sur un plateau de la Warner, quand Lucas était venu faire un stage d’observation sur le tournage de La Vallée du bonheur (1968), une comédie musicale avec Fred Astaire mise en scène par Coppola. Pour donner un coup de main à son ami, le futur réalisateur de Star Wars monta la séquence musicale relatant la guerre des gangs qui suit le meurtre de Sollozzo, et filma quelques inserts sur des manchettes de journaux.
S’il y a autant d’oranges dans le film, c’est à cause du chef décorateur Dean Tavoularis
Les oranges abondent dans Le Parrain : Don Corleone en achète à un vendeur de fruits et légumes avant de se faire tirer dessus en pleine rue ; il en met une dans sa bouche pour faire rire son petit-fils ; on en voit sur la table à manger du producteur Jack Woltz, etc. Si certains commentateurs ont voulu y voir un symbole, le présage d’une mort imminente, la raison de leur présence est beaucoup plus pragmatique que ça : le production designer Dean Tavoularis (qui entamait ici une collaboration de plusieurs décennies avec Francis Ford Coppola) estimait que les oranges offraient un contraste intéressant dans des scènes pour la plupart plongées dans une épaisse obscurité.
Dans une scène coupée, Michael Corleone tuait l’assassin de sa femme
La scène n’est pas dans le film, mais l’image de Michael Corleone, un fusil à la main, coiffé d’un chapeau blanc, fut néanmoins largement diffusée pendant la promotion du Parrain, en 1972. On y voyait le personnage joué par Al Pacino, dans une pizzeria, tuer son ancien garde du corps sicilien, Fabrizio, responsable de la mort de sa première femme, Apollonia.
La célébrissime bande originale a été composée pour un autre film
Signée Nino Rota, la musique du Parrain a bien sûr énormément fait pour la renommée du film. Mais le complice de Fellini recyclait en réalité pour Coppola un vieux thème, écrit à la fin des années cinquante, pour la comédie Fortunella (Eduardo De Filippo, 1958). Il fut en conséquence disqualifié de la course aux Oscars, et sa nomination fut attribuée à John Addison, pour la musique du Limier, de Joseph L. Mankiewicz.
(CNC)
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Je considère que pour les personnes racialisés c’est une insulte que de faire parti d’un quota . Pourquoi , c’est simple cela signifie que les personnes racialisés sont incapables de créer des films . Seraient ils moins intelligents que les blancs ?
Si on tourne un film sur l’assassinat de HENRI IV, Ravaillac devra être noir. Et homo de préférence…
Ce qui n’est pas mentionné c’est la pression de la véritable mafia italo/américaine sur le réalisateur. Ces mafieux ont imposé des conditions : ils s’opposaient à ce que certains codes de la mafia soient révélés par le film, ils ont imposé de faire partie de la figuration pour être présents et pouvoir intervenir si quelque chose ne leur convenait pas, armes à l’appui. Coppola a dû céder sur de nombreux points, notamment sur la présence effective de vrais mafieux dans son film….
Pour la diversité, si les noirs sont représentés, il n’en va pas de même pour les Amérindiens, pourtant les citoyens les plus spoliés de la nation américaine. C’est l’ethnie la plus sous-représentée et la plus mal considérée, encore de nos jours, dans son propre pays ! Un exemple et une leçon à retenir pour nous-mêmes, Français, européens…
Qui aurait l’idée saugrenue d’aller voir un Louis XIV incarné par Omar Sy ? Cela ne ressemble à rien, ne présente aucun intérêt.
Ces nouvelles dispositions, plus politiques qu’artistiques sonnent le glas du cinéma. A quoi bon produire des films pour salles vidées de leur public ?
@ Carole , pas grave les salles vides ils se gaveront de subventions bref on payera quand même sans aller voir leur merde !
Les Ricains ont fait une adaptation de la fameuse trilogie d’Isaac Asimov : « Fondation ».
On peut la décrypter à travers les lunettes woke : il y a moitié d’afro-américains, l’héroïne est une métisse.
C’est carrément lourdingue et anachronique, on y voit la propagande irréaliste avec ses gros sabots, et qui finit par devenir CHIANTE.
De plus le réalisateur a dû avoir une autre vie dans le corps d’une chouette, la plupart des scènes sont tournées dans une demi-obscurité où on peine à voir ce qui se passe.
Un vrai fiasco.
Avec les nouvelles règles , on aura du mal à sortir un chef d’œuvre au cinéma.
L’art doit vivre dans la liberté de la créativité.
Ces règles suivent parfaitement le nouveau bolchévisme qui s’abat sur l’Amérique.
Si j’avais été producteur , j’aurai fait le film à ma manière et avec les personnages de mon choix ; leur oscar ils peuvent se le mettre dans le c..
Je préfère faire des millions d’entrées et être premier au box office qu’obtenir leur sale morceau de ferraille.
Je ne regarde plus les films avec O.S. et de plus, tous les films changeant honteusement les couleurs de peau de la Vraie Histoire, ne m’intéressent pas du tout et je ne les verrai Jamais !
Effectivement, je suis certain qu’ils feront un gros bide ( chez nous ) et là, ils pourront toujours claironner que nous sommes racistes.
Bref, toute la beauté du cinéma s’évapore ainsi que tout ce qui entoure ces dégénérés de mondialistes, wokistes etc… Heureusement que j’ai connu une autre période et ce n’est pas être un vieux con que de le dire car je n’ai que 59 ans ! Celle qui s’annonce pour les jeunes ados actuels est HORRIBLE mentalement et visuellement mais comme ils n’ont rien connu d’autre…
il faut s’excuser d’être blanc dans un pays blanc – le cinéma vu par ce petit bout déformé de la lorgnette sera boycotté comme tout ce qui s’inspire de ces stupidités
En somme, les films à sortir devront se baser sur la race et non la compétence des acteurs. Le déséquilibre atteint tous les domaines. Les règles sont ébranlées et le chaos s’installe au profit de groupes de tarés. Mais je vous rassure les amis, un système sature et c’est la nature des choses. Il se passera un évènement – ce qu’on appelle une singularité; professeur tête en l’air sait de quoi je parle -, qui rétablira les normes « normales ». C’est physique. Il y a des règles qui ne peuvent être transgressées que momentanément. Mais la nature « normale » ne fera que reprendre le dessus. Comme on dit en français : » Le temps est galant homme ». Patientons et on verra.
« Il se passera un évènement – ce qu’on appelle une singularité; professeur tête en l’air sait de quoi je parle -, qui rétablira les normes “normales”. C’est physique. Il y a des règles qui ne peuvent être transgressées que momentanément. Mais la nature “normale” ne fera que reprendre le dessus. Comme on dit en français : ” Le temps est galant homme”. Patientons et on verra. »
C’est exactement ce que je pense, Gamma.
Pour cela que je me sens spectatrice en me demandant jusqu’où ils iront peut-être jusqu’au fond et là, on remontera forcément, c’est physique et inéluctable.
J’espère que les producteurs n’en feront rien. Si j’étais eux, histoire de leur remettre les idées en place à ces tordus, je mettrais soit un esquimau ou un indiens d’Amérique…. Ils sont minoritaires, non ?
En fin de compte, ils mettent tout sur le même plan, handicap (médical), personnes noires comportements sexuels…. Un peu bizarre quand même, je ne sais pas si ils s’en rendent compte.
C’est la « discrimination » positive… interdite normalement par la Constitution Française devenue une valeur souterraine française, non reconnue par l’ensemble de la population.
Quand voyez un film comme le Parrain qui a été Oscarise en 1972 c’est que tout simplement c’est un chef d’œuvre et quand les Wokisto Marxisto Gauchistes d’extrême gauche d’Hollywood font du chantage à l’inclusion diversitaire de force ils veulent tout simplement tuer le cinéma en lui même en obéissant aux injonctions des Affreux Américains et du plus cinglé d’entre eux Spike Lee qui est le maître chanteur de l’antiracisme dévoyé bidonné pour qu’il y ait plus de minorités ethniques dans les films au détriment du talent tout incitant les Affreux Américains à jouer des rôles de personnages de l’imaginaire Européen comme c’est le cas de la petite sirène métisse qui en elle même est un échec cuisant pour Disney ainsi que les absurdités de Netflix et cie. Pour les Oscars 2024 les Gauchiasses veulent passer en force pour imposer la diversité et favoriser l’exclusion des films qui ne respectent les nouvelles règles de la diversité au mépris des minorités ethniques et du cinéma Amerloque et mondiale.
Si vous aussi, comme l’acteur Richard Dreyfuss, les nouveaux critères des Oscars vous font vomir, faites le savoir CONCRETEMENT à l’académie des Oscars :
IMPRIMER l’article d’origine du New York Post et l’ENVOYER à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE de l’académie des Oscars, à Hollywood et/ou à Londres, qui se trouve(nt) sur la page
https://www.oscars.org/contact
Pour imprimer l’article, c’est facile avec https://www.printfriendly.com/p/g/NVAriH
Choisir taille de texte 90% et taille d’images 50%
Cliquer sur PDF, choisir Taille de la page A4, télécharger la version PDF en 4 pages et l’imprimer en deux feuilles recto-verso 1-2 & 3-4.
Au bas de la dernière page, rajouter à la main votre prénom + ville.
Pour envoyer, mettre dans une enveloppe, écrire le nom et l’adresse, timbrer « international » (ou sur-timbrer avec deux timbres France) et poster.
Si ces gens de cinéma ont des c…s, qu’ils boycottent les oscars.
Bonjour Joël… Ils ne le feront jamais, ils aiment trop être vu, surtout les femmes avec leur robes de soirée qui coûtent une blinde. Ces gens là me sortent par les yeux.
Déjà que dans les téléfilms et les pubs de merde qui bouffent la moitié du filme, c’est rempli d’africains ou de muzzs au point que je me demande si ce n’est pas tourné en Afrique. Même là il y a un changement de population. C’est pitoyable, ces connards qui ne veulent plus de blancs me sortent par les yeux. Je boycotte la télé et le cinéma car métastasé par l’Afrique et les pubs de merde. Quelle honte, comment en est t’on arrivé là.
L’opérateur chez qui j’ai souscrit un abonnement internet et téléphone a dû délocaliser son service clientèle en Afrique : les interlocuteurs ont un accent africain si prononcé que l’on ne comprend pas un seul mot. Comme ça les reclamations sont vite expédiées. J’ai juste compris missiou et inteounet. Le reste…
Exact, je le vis aussi. Quand il y a un problème il y a même des solutions ubuesques qui sont proposées parfois avec des demandes de renseignements un peu louches tant elles sont détaillées.
Un jour j’en ai parlé ouvertement dans une des boutiques trouvant normal d’exprimer un problème ennuyeux quand même qu’ils ont à gérer. Celui qui était à l’accueil, sans même que je nomme quoique ce soit ayant juste signalé un langage incompréhensible au téléphone, m’a répondu énervé : « Ah, n’allez pas sur ce terrain-là, ils ont les mêmes formations que nous… ».
Mais quel « terrain » ? Je n’avais rien dit à ce sujet….
Il a confirmé donc sans le savoir, ce que je pensais et ne s’est pas rendu compte de la touche de mépris sous-jacent que sa phrase contenait vis-à-vis de ces employés en comprenant « d’emblée » leur différence via sa seule réponse culpabilisante envers moi.
Derrière, j’ai vu un Monsieur d’un certain âge qui m’a adressé un sourire entendu… voire satisfait.
Se méfier de toutes les questions d’ordre personnel que ces gens louches vous posent.
Ils demandent par exemple votre date de naissance, c’est strictement interdit.
Je crois qu’ils montent des fichiers qu’ils vendront ensuite aux spécialistes du vol d’identité.
Il y a de plus en plus de vols d’identité, le business rapporte gros avec tous les migres qui débarquent.
L’institution judiciaire est impuissante face à ce fléau qui nous envahit, vous entrez dans des années de galère.
Merci beaucoup @frejusien pour ces infos, je ne savais pas pour la date de naissance.
J’ai eu un de ces contacts louches lors d’un appel au service clients de Bouygues Telecom pour un simple renseignement, général en plus même pas personnel.
J’ai trouvé bizarre ses questions à l’infini et son énervement quand je refusais de répondre me disant que je n’aurai pas le renseignement si je ne répondais pas. J’avais failli alerter Bouygues mais je n’ai pas fait, on n’en finit plus, il m’aurait fallu aller en boutique loin de chez moi. J’ai fini par raccrocher, et lui aussi en même temps quand je lui ai signifié le côté louche de son intrusion personnelle.
Le problème, c’est qu’ils ont accès à notre « compte » personnel si je ne m’abuse ? Avec notre nom qu’on ne peut éviter de donner, tous les renseignements dont date de naissance je crois y sont ? Y compris références compte bancaire..
Bonjour@Amélie,
non, ils n’ont pas accès à toutes nos infos, heureusement.
Et ils ne sont pas tous comme ça. Quand vous tombez sur un qui vous semble louche, il vaut mieux raccrocher.
Bonjour @frejusien,
Merci pour ces infos. Je vous avoue que j’ai eu un peu peur après cet appel, j’avais donné quelques renseignements (nom, adresse…) pensant qu’il vérifiait sur mon compte opérateur.
Il ne sont pas tous comme cela c’est vrai, mais on nous demande toujours des détails pour nous identifier et difficile de savoir la limite qui est normale. Maintenant, je retiens pour la date de naissance.
J’imagine, don Mamadou Wonbélé, patron de la mafia sicilienne, avec ses gardes du corps Bisséké Bramako et Bambou Bitakoué. De purs Siciliens. Heureusement que le ridicule ne tue pas. J’imagine aussi Omar Sy dans un prochain film : À la recherche du tueur des Enzymes gloutons de chez Mixte, Mixte, la lessive qui lave plus blanc que blanc…