Merci à Maxime d’aborder ce terrible et -crucial-, il a raison, sujet sous un angle politico-philosophique. On peut être en désaccord avec lui sur certains des points qu’il énumère mais sa conclusion est imparable et très juste. Merci mille fois pour cet article qui devrait circuler partout et notamment dans les écoles.
Christine Tasin
Mon article n’est sûrement pas des plus politiquement corrects. Mais je m’interroge quant à ces « harcèlements scolaires » qui débouchent sur des suicides d’adolescents.
D’abord, comment un adolescent peut-il en arriver à se suicider ?
Il faut une force particulière tant physique que morale pour franchir le pas du suicide.
L’instinct de vie, de survie est normalement plus fort.
Même quand on vit des moments difficiles, on s’accroche.
Le monde moderne offre tout un tas d’activités, de dérivatifs pour oublier. On n’est plus à l’époque où il n’y avait pas de moyen de transport, pas de technologie, la guerre empêchant les loisirs, etc.
Un adolescent dont le corps se forme, n’est pas malade, usé, handicapé, exténué, ne devrait pas avoir la force de se suicider.
Il n’a rien qui le condamne physiquement à ne plus vivre, contrairement à qui se voit affronter cancers sur cancers, maladies de Crohn, maladies orphelines qui n’intéressent pas l’industrie pharmaceutique, etc.
Donc rien qui peut pousser l’être humain normalement constitué à se supprimer physiquement.
Quel est ce monde où les enfants, les adolescents ne tiennent pas à la vie ?
Que s’est-il passé dans leur éducation pour qu’on ne leur inculte pas que rien ne vaut la vie ?
Comment peuvent-ils accéder à des moyens de se suicider alors qu’ils n’ont légalement pas le droit d’en acheter ?
Certes tout le monde peut s’ouvrir les veines avec un couteau, mais comment un « bout de chou » peut-il avoir la force morale de passer à l’acte alors qu’il n’a pas celle de surmonter des moqueries ou des coups de gamins de son âge (donc normalement pas aussi forts, eux-mêmes, que des adultes) ?
Où trouvent-ils la force, comment les « harceleurs » auraient-ils vraiment la force de les faire plonger alors que ce sont eux-mêmes des adolescents donc pas encore des adultes avec toute la force physique et mentale qui va normalement avec ?
Où sont les surveillants quand les coups pleuvent ? Où sont les professeurs, les chauffeurs de bus, les autres parents, les autres enfants ?
Quand j’étais au collège, aucun enfant n’aurait pu être tabassé car il n’était jamais seul.
Un enfant qui aurait été frappé aurait été défendu par un autre, un surveillant serait intervenu.
Un enfant mal aimé aurait été aimé d’autres qui auraient compati et qui l’auraient défendu.
Comment cela a-t-il pu changer ? En étant très loin d’être une grenouille de bénitier, n’est-ce pas dû à un recul majeur des valeurs chrétiennes en quelques décennies ? Ainsi qu’un effondrement des services publics, qui ont vocation à diffuser un succédané de ces valeurs (les valeurs chrétiennes infusées dans les mécanismes républicains, c’est l’originalité de la France finalement) ?
Pourquoi ces enfants ne sont-ils pas retirés de l’établissement par mesure de précaution ?
Les parents travaillent, sans doute, mais n’y a-t-il pas un grand-parent pour s’en occuper ?
Trop occupés à partir en vacances en camping car ? Pas de temps pour les petits-enfants ?
Où est la famille dans ce schéma ? Où sont les amis, les gens solidaires pour faire nombre, alerter, exiger de rencontrer rapidement des responsables, faire pression ? Où sont « les parents d’élèves », les syndicats, les enseignants, pour manifester devant l’établissement, faire un blocage comme savent le faire certains dès qu’une réforme remet en cause leur métier ?
Où sont les parents des harceleurs ? Que ne répondent-ils pas du comportement de leur enfant ? Pourquoi ce dernier n’est-il pas exclu de l’établissement ?
Si j’avais subi un harcèlement scolaire me rendant malheureux comme ces enfants, mes parents m’auraient retiré du collège, quoi qu’il en coûte, et auraient trouvé une solution. Cela aurait été l’école à la maison peut-être, ou même plus d’école et ils auraient mobilisé les institutions, les médias en dernier lieu pour expliquer leur démarche et ne pas risquer un retrait d’autorité parentale. Ils auraient demandé de l’aide à la famille, aux amis, aux voisins… remué ciel et terre. Pas du genre à s’exhiber mais pour des faits aussi graves, ils ne seraient pas restés à ne rien faire.
Pourquoi ne lit-on pas de cris désespérés de parents d’enfants harcelés dans les colonnes des journaux quotidiens ?
Ces journaux sont-ils trop occupés à faire la propagande du gouvernement ?
Comment un parent peut-il laisser ainsi son enfant sombrer et attendre l’irréparable pour pleurer ?
Dans ces affaires, il est question de rechercher la responsabilité des uns et des autres… pour toucher des millions d’euros d’indemnisation ?
Là encore, c’est l’influence américaine qui se fait sentir.
Historiquement, la France n’est pas un pays contentieux où les procès en responsabilité pleuvent. Cela nous vient des Etats-Unis.
Chez nous on cherchait à prévenir, déminer les situations dangereuses et on n’avait pas le réflexe d’agir en responsabilité contre l’Etat pour recevoir une somme qui, de toute façon, ne dédommage absolument rien.
On est le pays de la Révolution de 1789, où nous avons dit « l’Etat, c’est nous » en réponse aux Louis qui disaient que c’était eux. On n’a pas la culture d’aller taper dans la caisse publique au moindre désagrément.
A mon époque les enfants ne se suicidaient pas pour harcèlement scolaire et ils recevaient de vrais prénoms, dont la plupart sont dans le calendrier, ce qui leur vaut de se voir souhaiter « leur fête », souhait certes insignifiant s’il en est mais qui marque une appartenance à un groupe social qui l’englobe, un sentiment d’être humain et non une petite chose ou un petit animal.
Combien d’enfants auxquels on donne désormais des prénoms fantaisistes qui pourraient être attribués à un animal ?
Je lis quotidiennement les avis de décès dans mon journal. D’abord, parce qu’il peut y avoir des gens que je connais et dont le décès me touche.
Ensuite, parce que c’est un miroir de la société, un laboratoire de sociologie appliquée. Et franchement, c’est la cata.
La première génération avec ses Maurice, ses René, ses Jacques, ses Geneviève, ses Paulette et ses Robert décède (en général).
La seconde avec ses Isabelle, Magali, Olivier, Pierre, Nicolas ou Evelyne, les enfants, figure en deuxième position.
Puis la troisième dans l’ordre protocolaire et chronologique des générations, avec ses Paul, Julie, Eugénie, Bastien, Agathe, Thomas, Arnaud ou Camille…
Ensuite, pour la 4ème génération, c’est du grand n’importe quoi.
Les enfants reçoivent des prénoms imprononçables, on ne sait pas si ce sont des garçons ou des filles, on pourrait avoir appelé ainsi le chat ou le chien de la maison.
Certes, il reste quelques Louis, Léa, Emilie, Anaïs ou Juliette mais ce n’est plus monnaie courante (Lola, nom du chat d’un amie, passe encore).
Alors à mon avis, la responsabilité des parents doit aussi être questionnée.
Comment en arrive-t-on à donner à son enfant un prénom étranger qui dénote avec ses ascendants aux prénoms français et de sang français ?
Ou un prénom bricolé avec fantaisie, sorti de nulle part, dont on est fier comme d’un nouveau modèle de voiture ou un vêtement qui sort de l’ordinaire ? On fait son pédant en annonçant le modèle de sa voiture ou le prénom de son fils…
Comment ça se fait qu’avant, on savait qu’en appelant Jean-Pierre, Mireille, Sylvie, Mathieu ou Sébastien, le père ou la mère n’appelait pas le chien de la maison ?
Parce que maintenant, quand on appelle Luna, Maya, Joy, Marley, Charlie ou Laïka, on ne sait pas si c’est l’enfant ou le chien ?
Mon coiffeur me disait que ses clients les plus sales étaient des très vieux (syndrome de Diogène, problèmes physiques empêchant parfois de bien se laver ou de se rendre compte de sa saleté) ou, à l’opposé, des mineurs à qui les parents n’apprennent plus à se laver.
D’où des cheveux qui sentent mauvais (les parents ne savent pas répondre quand il demande de quand date le dernier shampoing), des oreilles crasseuses etc. qui lui donnent envie de vomir.
Comment en arrive-t-on à nommer son enfant d’un prénom qu’on aurait pu donner au chien, au chat, à la tortue ou au poisson rouge ?
Comment se fait-il que des enfants ne savent pas se laver ?
Qu’est-ce que ça signifie de la conception qu’on a de l’enfant en 2023 ?
C’est une petite chose, une poupée, un éternel poupon ? Un petit animal abandonné à lui-même ?
Qu’est-ce qu’on leur met dans le ventre, aux enfants du XXIème siècle ?
Comment on leur apprend à se défendre, se construire, comment sont-ils accompagnés ?
Comment est-ce possible qu’un enfant se suicide parce qu’on se moque de ses lunettes, parce qu’il n’a pas de smartphone et qu’il est le seul de la classe dans ce cas ?
C’est tellement insignifiant par rapport à ce que subissaient les enfants des générations précédentes, dont le père était mort à la guerre, dont la mère était fille-mère dans un village où les ragots circulaient, ou encore les enfants élevés dans des fermes aux apparences vestimentaires complètement décalées par rapport aux autres ?
Les enfants de la campagne qui passaient pour des arriérés quand ils arrivaient au lycée ?
Ceux des HLM qui étaient scolarisés avec les fils de bourgeois des quartiers huppés ?
Les enfants de famille nombreuse confiés à des grands-parents, des oncles et des tantes car la maman n’avait pas l’énergie de tous les élever ?
Et les nombreux enfants de l’assistance publique, abandonnés…
Ils ne se suicidaient pas, eux, comment cela se fait-il ?
On leur offrait une orange à Noël, ils n’avaient pas de smartphone et portaient les vêtements des grands frères et grandes soeurs sans remarque des autres élèves.
Dans ces affaires, on suggère parfois que les harceleurs sont issus de l’immigration et que ça expliquerait comment les choses ont évolué.
C’est peut-être parfois le cas, mais ça n’explique pas tout. Le problème sous-jacent, n’est-ce pas la conception que certains parents ont de l’enfant ?
N’est-ce pas cela qui a changé, en plus du reste ?
Et la sauvagerie des harceleurs, pourquoi a-t-elle augmenté ?
Parce que le monde qu’on leur a fabriqué et qu’on continue de leur présenter est plus sauvage, non ?
C’était mieux avant, non ?
Voilà le bilan des tendances politiques qui gouvernent depuis 40 à 50 ans : ici comme ailleurs, catastrophique !
Ces enfants comme leurs parents sont déracinés. Le prétendu engagement du gouvernement contre le harcèlement scolaire ne règlera pas les problèmes de fond, de nature identitaire, problèmes que nie ce gouvernement prétentieux.
C’est ce qu’ils ont fait de l’être humain qui est en cause, à force de manipulations, de passages en force, de mépris, de postulats que tout se vaut, de stigmatisation de ceux qui disent le contraire comme étant extrémistes, en les insultant ou en les faisant condamner en justice.
Ils ont enfermé les nouvelles générations dans un carcan, une prison mentale à ciel ouvert, où l’on ne réfléchit plus, où l’on ne se construit plus par l’esprit critique et la capacité à dépasser les critiques et les attaques en puisant en soi la ressources de répondre, se défendre, faire face.
C’est ce qui explique que des enfants à qui on n’a même pas attribué un prénom qui soit français, ou au moins humain sans ambiguïté, s’effondrent comme se briserait en mille morceaux un objet en porcelaine qu’on ferait tomber.
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Les prénoms suivant les Saints des calendriers, avaient un avantage pour les gosses.
D’abord, ils savaient quand on devait leur souhaiter leur fête, et souvent dans les familles, on faisait un gâteau, et on offrait des cadeaux. Cela est impossible avec les prénoms de « chien ».
Ensuite, cela pouvait être prétexte à un petit cours d’histoire, le saint ayant existé à une époque, on pouvait raconter sa vie à l’enfant, cela lui donnait un repère historique et pourquoi pas un modèle à suivre.
Parents, profs, surveillants (qui surveillent quoi ?), proviseurs ou directeurs, sont de grosses larves baveuses et impotentes.
Les enfants n’ont plus aucun repère, aussi bien ceux abandonnés à leurs harceleurs, que les harceleurs qui ne trouvent personne en face d’eux pour se confronter comme cela devrait être, afin de grandir et d’évoluer.
Un monde démissionnaire, une société de larves.
Contrairement aux affirmations creuses et redondantes de nos polichinelles, nous n’avons plus de valeurs, nous sommes dans une société vide, creuse, sans boussole pour donner la direction.
Beaucoup de questions intéressantes , dans un 1er temps je peux répondre , ce que j’ai entendu sur une chaîne que les réseaux sociaux sont en partie responsables , l’enfant n’a pas de repos car il est malmené en classe, différencié alors que la référence est importante : faire partie d’un groupe, d’une communauté de vie, et que , en rentrant chez lui, le harcèlement continue aux travers des réseaux sociaux, même la nuit ..c’est une explication qui se tient, mais elle n’est pas la seule ! certains parents ne sont pas attentifs ni solides devant l’institution
Je rappelle le suicide d’un jeune garçon qui était homosexuel ( à 12 ans !!) et qui aurait subit le harcèlement, cette cause n’a pas été reconnue !
« Que se passe-t-il ? »… La réponse est simple : notre pays s’américanise. Là-bas, le harcèlement scolaire s’appelle bullying. C’est devenu un véritable fléau, avec un taux de suicide chez les jeunes qui a augmenté de 70% en dix ans.
Tout est dans l’article!
Mais ne vous inquiétez pas. Pour remédier à tout cela, on va faire une météo des forêts pour pas qu’il est le feu au lac.
Madame, vous avez mis en mots toutes mes idées avec votre talent de femmes de lettres et de journaliste. Il est loin le temps où les parents donnaient un prénom qui se trouvait dans le calendrier des fêtes et d’ailleurs les prêtres n’acceptaient pas de baptiser un enfant avec un prénom fantaisiste. J’ai pensé et sous réserve que je me trompe, que le socle familial de cette enfant, n’était pas assez solide. On lit sur le web que cette petite fille a écrit une lettre à ses parents où elle dit qu’elle « va rejoindre son père, dcd alors qu’elle avait 3 ans ». Qui sait si elle n’avait pas une douleur morale prégnante qui s’est exacerbée avec ces harcèlements ? Elle est passée à l’acte peut-être à cause de celle douleur morale antérieure inhérente au décès de son père, qui la taraudait et le harcèlement a été le déclencheur de son acte. Où étaient ses parents lorsqu’elle s’est donné la mort ? MERCI https://www.mamanpourlavie.com/grossesse-maternite/prenoms/14925-pr-noms-invent-s-une-tendance-la-hausse.thtml
» on nous a emmerdé « …pardon pour cette faute même si il y en a peut-être d’autres mais celle-ci…je l’ai vu.
@ Raskasse « Je l’ai vuE »…
Merci. Comme je ne lis et n’écris plus autant qu’avant, je fais bien plus de fautes qu’à mes 12 ans.
Les gens ont été abrutis, abêtisés et lobotomisés par le pouvoir ( l’école qui n’en est plus une et la modernité tueuse intellectuellement ) afin qu’ils n’inculquent aucuns savoirs à leurs mioches ( désolé pour le terme mais ce n’est qu’un mot ) et les confortent dans la niaiserie et la paresse !!!
Donc, à cause des parents démissionnaires, eux-mêmes incultes et fainéants dans leurs vies respectives, comment voulez-vous que les gniards soient un tant soit peu réfléchis ? C’est fichu et c’est bien trop tard pour récupérer l’intelligence de 1970 ! Même les » journalistes ou autres » ne font plus aucunes liaisons en parlant leur propre langue. On nous a emmerder ( pour notre bien ) à les faire mais à chaque fois que j’écoute ne serait-ce qu’un reportage, j’ai mal aux esgourdes !!!
Il se passe qu’un gamin ne devrait pas avoir de smartphone avant ses 18 ans et point barre !!!
Comment faisait-on avant ???
Les gniards ont à peine 12 ans quand leurs parents leur achètent un smart…pfff. On en a pas besoin à cet âge et de plus, cela les empêche de réfléchir, de penser et de créer ainsi que de lire ! Remarque, c’est le but ; que des cons-débiles pour en faire ce que l’on veut.
Quand ma gosse de dix piges me demande un smartphone pour le collège, que les copains en ont déjà
– ouais c’est ça…bah tant mieux pour eux et tant pis pour toi. Mais je t’aime quand-même hein!
Éventuellement un vieux téléphone pour nous téléphoner, smsser et pis c’est tout.
-Mais c’est nul, jvais avoir la honte!
-Ouais c’est vrai, mais la honte c’est pas mortel et je te l’ai dis, je t’aime!
-Bah jprefère rien avoir.
🤗
Et bien parfait ! Ce sera la honte uniquement si ses camarades le veulent.
Et au moins, elle ne sera pas poursuivi par les réseaux sociaux !
Le harcèlement scolaire est un problème majeur dans notre société qui gangrène nos collèges , nos lycées à cause d’élèves malveillants et ignobles qui passent leur temp à persécuter leur camarade parce qu’il est plus brillant qu’eux ou par jalousie . Mais ce qui est terrible dans cette histoire c’est que les victimes ont souvent tendance à se suicider parce qu’ils souffrent de cette situation mais aussi de l’abandon des chefs d’établissement , de l’inspection académique et le ministère de l’éducation nationale qui ne font rien pour aider ces victimes et leur parent . C’est terrible et ça fait mal !
Personnellement, j’ai eu, à ma période collège, des différends avec des camarades de classe, qui se moquaient de moi parce que j’étais en surpoids (je le suis toujours…), garçon manqué pas féminine, rêveuse et dans la lune. Les filles, surtout, prenaient malin plaisir à m’humilier, mais des professeurs ont sévi. Et j’avais d’autres camarades. Même si j’ai souffert du désintérêt des garçons, entre autres, je n’ai jamais songé au suicide parce que j’avais du soutien ailleurs. Dans le cas de Lindsay, elle avait pourtant une amie (harcelée à son tour d’ailleurs) et ça n’a pas suffit. Et vous avez vu le profil de la coupable ? Une blonde genre peste poufiasse qui en plus ne regrette même pas le mal qu’elle a fait. Une vraie psychopathe.
J’ai défendu une camarade comme vous quand j’avais 11 ans. C’était l’autre déléguée de classe et elle souffrait de l’agressivité du neveu du maire. Il me jalousait aussi car j’étais le premier de la classe. Mais il s’est calmé très vite quand j’ai élevé la voix et me suis rebiffé. Il fayottait même, celui qui me traitait de fayot, mais me redoutait à présent… Quant à Corinne, je l’ai croisée à l’âge de 20 ans, elle avait suivi un régime, était fort gracieuse, et se souvenait favorablement de moi. Je la remercie de m’avoir donné l’occasion de montrer mon meilleur jour.
Vous avez vu les séries débiles et malsaines que les parents leurs laissent regarder?😱 tu m’étonnes que les gosses sont de dangereux décérébrés.
Perso ( et je suis tout en imperfection, il n’y a pas de mode d’emploi pour élever et éduquer son gosse mais oui cela demande un minimum constant) j’ai toujours épluché ce qu’ils regardaient à la téloche, même les programmes jeunesse, internet c’est sur mon ordi et la porte est ouverte que je vérifie tout ça. Il n’y a pas de tweet, de face de ploucs, d’instacadabra, de tik tok boum, pour quoi faire? Et promis, on se fait pas ch…pour autant, tant pis si on passe ringards, d’ailleurs on s’en fout on assume.
« Où sont les surveillants quand les coups pleuvent ? Où sont les professeurs, les chauffeurs de bus, les autres parents, les autres enfants ? » Ce sont les enfants des générations précédentes qui ont grandi. Là, nous en sommes à la génération terminale : les enfants se suicident face à l’aberration et à la mauvaiseté désespérante du Système. La lâcheté des adultes, produit des démissions et dégénérescence précédentes de l’éducation expliquent ces gestes désespérés, autrement incompréhensibles. Tout ça se produit de façon parfaitement délibérée, depuis le temps que ça dure. Un jour, un parent ivre de tristesse et de colère fera un carton. Je préfèrerais que ce soit sur un ministre ou un responsable, à titre personnel local ou au plus haut niveau possible. Ca ne s’arrêtera pas avant. Les petits agneaux sacrifiés de la magnifique Démocratie des « valeurs » (dégueulasses). Vivement que ça s’arrête, et ça ne s’arrêtera pas tout seul. Entre trahison en haut et dégénérescence en bas, ça ne peut plus changer de l’intérieur. Mon regard est tourné vers l’est.
Si le suicide est difficilement compréhensible au niveau individuel (je veux dire la possibilité, pas la souffrance insupportable qui y mène), il s’explique en tant que stratégie globale de l’espèce comme l’explique brillamment le biologiste Howard Bloom dans « Le Trône de Lucifer) (2ème degré, rien à voir avec du satanisme comme réagiront au titre las fanatiques d’un autre âge). https://www.babelio.com/livres/Bloom-Le-principe-de-Lucifer-tome-1/1229056
Harcèlement; Jeunesse laissée sans aide ni éducation par des parents trop occupés; Avenir incertain vu la vie elle-même incertaine; etc …., font que certains arrivent à se suicider ! La faute à qui ?…. aux adultes qui se préoccupent plus de leurs intérêts financiers et de leurs loisirs qu’à l’avenir du Pays pour retour à une vie normale !!!!!
La maman de LIndsay (moi je trouve que c’est un beau prénom qui n’irais pas à un chien d’ailleurs pourquoi donner un prénom à un chien ,je connais des chiens qui s’appellent cookie,caramel etc, bien mieux adapté)la maman dit qu’elle a alerte tout le monde, et PERSONNE N’A BOUGÉ, le ministre les reçoit le 5 juin ca leur fera une belle jambe la petite est morte, trop tard ,est ce que tous ceux qui sonts responsables de ça peuvent bien dormir et se regarder dans la glace ?la petite Lindsay s’est suicidée sûrement parce quelle était à bout et que même le soutien de ses proches ne lui suffisait plus .
C’est un prénom d’origine écossaise.
En fait, pour faire un peu « décalé », les parents, et ce depuis au moins 30 ans, aiment bien tenter de trouver un prénom original quand ce n’est pas celui d’un acteur-actrice.
Bon, chacun ses goûts.
@ j’ai deux filles l’aînée a un prénom suédois (nous sommes fds depuis des générations)et la seconde un prénom bien Francais juste parce que ces prénoms nous plaisaient point barre
Je connaissais ce prénom car c’est celui du chien de mes voisins… Ce qui m’a donné l’idée de faire cet article.
Les enfants passent trop de temps sur les réseaux sociaux, sont trop influencés par les guerres entre rappeurs, et pour le reste sont abrutis par le manque d’ambition de notre gouvernement. A mon époque un ministre n’écrivait pas des livres sur les anus ou les filles bien qui avalent, encore moins en exercice et en étant à l’économie quand le pays est en crise…
Je n’ai pas d’enfant et je ne pense pas en avoir un jour car je ne voudrais pas qu’ils vivent dans ce monde-là. D’ailleurs la nature m’a conféré des tares génétiques pour bien me signifier de m’abstenir…
Mes cousins ont procréé, leurs enfants hériteront de ma maison à mon décès, je serai leur oncle en Amérique… et je leur souhaite bien du courage!
@ maxime quelle idée d’appeler un chien lindsay ou donner un prénom à un chien ,chat, ou autre animal d’ailleurs, il y a des noms rigolos par exemple comme pompon, cookie,caramel etc un jour une bonne femme qui avait un caniche et l’appelait dans un parc le caniche avait le prénom de ma fille et ça ne m’a pas plus du tout, et j’avais entendu que dans un cirque il y avait un lama et ils avaient eu la bonne idée de l’appeler Serge sûrement en référence au chanteur ,pas sur qu’il aurait apprécié.
Bonjour,
Merci pour cet excellent article, Maxime, qui pousse à réfléchir.
Je n’ai jamais vu un élève se faire harceler pendant ma scolarité : cela n’aurait pas été toléré.
Je pense que la grande responsabilité vient des élèves actuels qui se la jouent rebelle, mais sont, pour la plupart, des moutons.
un psychologue sur un plateau a dit que ce sont les harceleurs qui sont « malades » pas le harcelé qui est peut être timide ou différent . Aussi il convient, toujours d’après ses dires, d’extraire les harceleurs et de les « traiter » car ils sont eux même en souffrance ! il ajoute qu’un enfant, ces harceleurs, sont remis sur pieds en 15 jours, quand on veut bien les prendre en charge, ils ne sont plus les mêmes et peuvent retourner en classe !
Pour moi la démarche est bonne car en effet ce n’est pas au harcelé de partir, je n’ai jamais compris que l’EN ne fasse pas le bon tri . D’autres parts, en tant qu’infirmière scolaire, je n’ai jamais entendu parler de ce problème, alors que je recevais des élèves en grande souffrance.. mes collègues et moi ! je pense que les réseaux sociaux sont responsables en grande partie
Quand j’avais une dizaine d’année, le méchant de la cour d’école, s’en prenait à moi et malgré ma volonté de me défendre, je n’étais pas de taille, car il était deux fois comme moi. Les copains m’ont défendu et le méchant est retourné dans son coin.
Mon fils au collège intervenait quand les muzzs s’en prenait à un gamin. Le jeux consistait à mettre le gamin par terre et lui mettre des coups de pieds devant les filles, des petites muzzs qui se tordaient de rire devant le gamin à terre qui finissait par pleurer. Mon fils intervenait et en rien de temps la cour d’école était redevenu calme, car les muzzs n’aiment pas la confrontation, seul pas très courageux, ils préfèrent se mettre à plusieurs. Je précise que cela se passer devant les surveillants qui n’intervenait pas, trop occupé à parler.
Le harcèlement n’est pas que scolaire, de plus en plus de parents exigent des enfants ce qu’ils sont incapables de faire. La société ne leur montre pas le chemin qui mène à leur insertion et de toute façon, ne leur promet que des lendemains qui déchantent. Vivre, pour les enfants, est devenu un défi de tous les jours.
Vous avez raison, mais les parents de cette jeune fille auraient pu intervenir directement auprès des harceleurs dès lors qu’ils étaient identifiés et leur imposer un ultimatum d’arrêt des harcèlements sous peine de porter plainte contre eux, voire de rencontrer leurs parents. On lit sur le web que la jeune fille était frappée à la sortie du collège, il était facile pour le beau-père ou pour la mère de se trouver aux sorties d’école pour mettre le holà ou de solliciter un policier municipal. Les doléances de ces parents sont choquantes, quand on est dans une grande peine, on ne va pas s’extérioriser partout dans les médias. Il fallait faire intervenir un médecin qui aurait fait un certificat médical d’arrêt de fréquentation des cours de la jeune fille à remettre à l’administration pour l’alerter officiellement.