C’est juste aberrant, voilà des policiers, des principaux de collège, des professeurs, des fédérations de parents d’élèves qui s’arrachent les cheveux, qui crient au secours : des petites racailles organisent pour s’amuser des combats de rues aux abords du lycée… Tout le monde est inquiet. Certes. Ils sont en train d’organiser des séminaires, des formations… avec des psys pour faire comprendre aux petits chéris que c’est pas bien. C’est la méthode Ndiaye qui ne marche pas mais on continue.
Qu’ils sont cons, mais qu’ils sont cons !
Si les gosses kiffent la bagarre c’est précisément parce qu’elle est transgressive et qu’elle leur permet de provoquer tous les adultes et surtout, surtout, les lois françaises.
Pourtant, des solutions simples, il y en a :
1 Les parents vont récupérer les sales gosses à coups de pied au cul, et privés de sortie, de dessert, de télé, de téléphone… que sais-je ? Mais les parents ont encore moult moyens de se faire obéir sur le papier.
2 On supprime les allocs aux parents qui ne sont pas capables de gérer leur progéniture.
3 On embarque tout ce petit monde pour quelques jours de rééducation façon légionnaire…
Oui, je sais, je rêve…
Toulouse: Des collégiens organisent des combats clandestins « pour l’amusement »
DÉPÊCHE — À Toulouse, des vidéos de « fight clubs » entre collégiens circulent et font grand bruit. Si les jeunes ne risquent pas grand-chose d’un point de vue judiciaire, et assurent que c’est « pour l’amusement », les adultes commencent à s’en inquiéter.
C’est aux abords du collège de Pierre-de-Fermat, pourtant réputé et en centre-ville, que la plupart des combats ont lieu. Les adolescents s’organisent sur WhatsApp et se retrouvent en bande où ils peuvent : coin de rue, laverie automatique… « Parfois, la police est obligée d’intervenir, car c’est assez violent », raconte une étudiante, avant d’ajouter que « le phénomène s’est amplifié de la 6e à la 3e ». Tout le monde regardait donc ça poussait certains à faire la bagarre pour être au centre de l’attention. »
S’ils peuvent se blesser sévèrement, pénalement parlant, les jeunes ne risquent presque rien. La police peut intervenir, mais « il faudrait qu’il se passe un événement plus grave pour qu’il y ait de véritables conséquences ». Du côté des parents d’élèves, la FCPE prévoit d’agir, mais doucement. Géraldine Artigues, présidente du conseil local des parents d’élèves du collège Fermat, explique : « Les élèves voient cela comme un jeu. Nous souhaitons avant tout qu’ils prennent conscience que ce n’est pas un jeu, mais bien un combat, de la violence. La sanction viendra lorsque l’information sera passée et que les enfants auront compris la gravité de ces actes. De la pédagogie avant tout. »
Enfin, le rectorat de Toulouse essaie de marquer le coup en convoquant les élèves incriminés. Ils devraient être sanctionnés, mais on ne sait comment.
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Pas grave ! Il faut bien qu’ils se défoulent.
Et n’est-ce pas macron qui a donné le top départ de la violence exacerbée, avec ses LBD, ses matraques et ses grenades, ses gaz empoisonnant ?
Les gosses de parents responsables ne feront pas partie de ces combats.
Ces jeunes se comportent vraiment comme des petits cons que ce soit des jeunes issus de l’immigration et autres qui imitent les acteurs du film Fight Club avec Brad Pitt, Edward Norton les Amerloques de service tout comme le Film Creed en organisant des combats de rue qui consiste à se bastonner jusqu’à la mort pour s’amuser mais plutôt pour se tuer entre eux et que fait les parents ? Rien ils les faire voilà la France Orange Mécanique rêver par Macronor Terminator Flatulator et les Progressistes.
Qu est ce que tu veux qu ils fassent ma bonne amie ?
Il n y a plus de parents comme j en ai eus et tu en eus
Encore une fois, ce pays n’est plus celui de 1970 ! Ce dernier a disparu laissant la place à un autre inqualifiable tant il est composé de crétins et d’envahisseurs ! C’est trop tard et fichu !
De futures recrues pour la NUPES ou les Blacks Bloks. La relève est assurée.
« Attention c’est pas bien, ne recommence pas, ou alors tu vas voir, hein ta compris ». Et le môme a un sourire jusqu’au oreilles qui veut dire qu’il te pisse dans les bottes. Et ça c’est dans le meilleur des cas quand il ne t’envoie pas te faire sodomiser par les grec, avec un chapelet d’injures.
Privé de dessert, j’ai connu ça dans ma jeunesse, et pourtant je n’étais pas un bagarreur.
Bien sûr il m’arrivait de faire des bêtises, donc mon père au lieu de me mettre une baffe, il préférait me priver de dessert (2 semaines ou 1 mois), et même si on allait en visite dans la famille, bin le dessert pour le gars Claude, lui passait sous le nez.
est ce qu’il y a un commentaire a faire certes oui mais il y aurait tellement a dire et cela aujourd’hui ne sert plus a rien le gouvernement est inexistant ces jeunes savent qu’ils ne risquent rien sauf a couper les allocations aux parents mais ça le minus ne le fera pas alors on attend qu’il y est un ou plusieurs morts et on fera semblant de s’indigner