Les migrants exigent que je leur procure sans délai un appartement, une belle voiture et un bon travail

Allemagne: Témoignage d’une salariée d’un centre de migrants « Je n’en peux plus. Ils exigent des appartements et des belles voitures. Ils se comportent de façon inadmissible envers nous, les femmes.»
 
« Je n’en peux plus » Une habitante de Hambourg travaille dans un centre d’accueil des migrants nouvellement arrivés.
 Cette trentenaire raconte à quoi ressemble son quotidien et pourquoi elle envisage maintenant la démission.
 La crise des réfugiés ne cesse de s’aggraver.
 Dans les centres d’hébergement de Hambourg, la situation est aussi extrêmement difficile ; dans le « Welt am Sonntag » une employée anonyme raconte son quotidien.
 
« Depuis l’automne 2015, je travaille en CDI à temps plein dans un centre d’accueil pour les réfugiés qui viennent d’arriver.
J’avais présenté ma candidature à ce poste volontairement, cela correspondait exactement à ce que je souhaitais faire.
Lorsque j’ai reçu la proposition d’embauche dans ma boîte aux lettres, j’étais folle de joie ; j’allais enfin pouvoir réaliser quelque chose de concret pour les réfugiés, et non plus les soutenir seulement théoriquement.
En conséquence, je me suis présentée dans les meilleures dispositions pour mon premier jour de travail dans le centre d’accueil ; j’étais évidemment excitée, c’est sûr, on l’est toujours pour le premier jour dans un nouvel emploi, mais cela m’a réellement bien plu.
Mes collègues s’investissaient dans leur travail et étaient sympas, je n’avais certes encore aucun contact avec les réfugiés, mais je les ai accueillis avec beaucoup d’enthousiasme dans la région et je les trouvais tous formidables.
 
« Cela va être vraiment super ici », me disais-je.

Dans les jours qui suivirent, je me suis investie avec une motivation sans faille dans le travail.
 Il s’articulait autour des jusqu’à 1500 réfugiés, qui étaient logés ici.
 J’étais chargée de leur accompagnement social, je devenais l’interlocuteur des réfugiés pour tous leurs problèmes sociaux, je devais les aider dans leurs démarches de demande d’asile ou leur fixer des rendez-vous chez le médecin s’ils en avaient besoin.
Ma foi, les premiers réfugiés vinrent alors dans mon bureau, dans lequel je voulais organiser l’accompagnement social – et dès les premières rencontres je remarquai que ma représentation très positive et idéaliste de ces personnes et de leur comportement était clairement différente de la réalité.
 Évidemment, il ne faut pas généraliser à l’ensemble des réfugiés, beaucoup d’entre eux sont très amicaux, très reconnaissants, très désireux de s’intégrer, très heureux d’être ici.
Mais pour être honnête, la coopération avec 90% de ceux que je rencontre est plutôt désagréable et malheureusement différente de ce que je m’étais imaginée auparavant.
Premièrement, beaucoup d’entre eux sont extrêmement exigeants.
Ils viennent me voir et exigent que je leur procure sans délai un appartement, une belle voiture et également si possible un bon travail, parce que je dois faire cela, c’est bien pour cela que je suis assise ici et qu’ils sont venus se présenter ici.
Ils exigent que je leur procure sans délai un appartement, une belle voiture et également si possible un bon travail
Si je rejette leurs demandes et que j’essaie plutôt de leur expliquer que cela ne peut pas fonctionner ainsi, ils haussent alors souvent le ton ou deviennent parfois réellement agressifs.
Dernièrement, un Afghan a menacé de se suicider.
Et quelques Syriens et un groupe d’Afghans ont expliqué qu’ils allaient entamer une grève de la faim jusqu’à ce que je les aide à changer d’endroit.
Ils deviennent parfois réellement agressifs
Une fois ils ont vraiment hurlé sur une de mes collègues d’origine arabe « Nous allons te décapiter ».
 En raison de ce genre de choses, les policiers étaient présents auprès de nous plusieurs fois par semaine.
 
Deuxièmement, ils font souvent des déclarations très peu fiables.
Ils viennent me voir avec leurs papiers et me racontent alors une histoire qui n’est absolument pas vraisemblable.
Mais ils s’y accrochent et je ne peux être sûre de moi qu’après avoir discuté de leur situation avec mes collègues, qui me disent souvent que la personne s’est déjà présentée chez eux la veille et a raconté son histoire différemment.
Par exemple, un habitant est venu me rencontrer avec son arrêté d’expulsion, pour me demander ce qui allait maintenant se passer.
Je lui ai expliqué et il est parti.
Peu après, il s’est rendu chez ma collègue et lui a présenté de tous nouveaux papiers d’identité, sous un autre nom, et il prétendait être cette personne avec cet autre nom.
Il ne pouvait ainsi plus être identifié, mais simplement transféré vers un autre camp.
 
Troisièmement, ils n’honorent que rarement leurs engagements.
 
Comme je vous l’ai dit, je fixe aussi les rendez-vous des réfugiés chez les médecins.
 Ils doivent tous réaliser un examen complet, incluant des radios, un vaccin et un check-up complet.
 Mais beaucoup d’entre eux veulent aussi aller voir d’autres médecins, en particulier un dentiste ou un orthopédiste.
Je leur fixe alors des rendez-vous, mais quand le rendez-vous arrive, ils ne se présentent pas.
Cela arrive si fréquemment que les médecins nous ont maintenant priés de ne plus prendre autant de rendez-vous – mais comment devrais-je m’y prendre?
Je ne peux pas refuser de fixer un rendez-vous simplement parce que je pense que le demandeur pourrait ne pas s’y présenter.
Et quatrièmement, le plus grave à mes yeux : certains réfugiés se comportent de façon inadmissible envers nous, les femmes.
 
Il est bien connu que 65%, ou peut-être même 70% selon moi, de ceux qui se présentent à nous sont avant tout des hommes seuls.
Tous sont jeunes, seulement âgés d’une vingtaine d’années, 25 ans au maximum.
 
Une partie d’entre eux n’accorde absolument aucune importance aux femmes.
Ils acceptent notre présence, ils n’ont pas d’autre choix, mais ils ne nous prennent pas du tout au sérieux.
 En tant que femme, lorsque je veux leur dire quelque chose ou leur donner une consigne, ils m’écoutent à peine, rejettent ce que je leur dis parce que cela leur semble sans importance, et préfèrent se tourner vers un de mes collègues masculins.
Ils n’ont pour nous, les femmes, souvent que des regards dédaigneux – ou même insistants.
 Ils sifflent l’une d’entre nous ostensiblement, crient quelque chose dans une langue étrangère que la plupart de mes collègues et moi ne comprenons pas, ils rient.
 C’est vraiment très déplaisant.
Il est même arrivé qu’ils photographient quelqu’un avec un smartphone.
Aussi facilement que cela, sans demander d’autorisation, même si l’on protestait.
 Récemment je suis montée dans un escalier assez raide.
 Certains hommes m’ont suivi, ont monté les marches derrière moi et ont passé leur temps à rire et, je suppose, à parler de moi et à m’interpeller.
 Des collègues féminines m’ont raconté qu’il leur est déjà arrivé des choses similaires.
Elles ont en revanche dit que nous ne pouvons rien y faire.
Que cela fait partie de notre travail.
 Cela se produit si souvent, si à chaque fois on voulait faire un signalement, le centre serait beaucoup moins rempli.
 
Alors ignorez cela et essayez d’éviter que cela vous arrive à nouveau – c’est ce que j’ai finalement aussi fait.
J’ai marché en regardant droit devant moi quand ils me sifflaient par derrière ou m’interpellaient.
 Je n’ai rien dit et je n’ai rien laissé paraître, pour ne pas les encourager, pour éviter de leur donner le sentiment qu’ils me blessaient ou qu’ils avaient de l’influence sur moi.
Cela n’a rien changé ; pour être honnête c’est même devenu pire, notamment dans les dernières semaines lorsque de plus en plus d’hommes d’Afrique du Nord, du Maroc, de Tunisie ou de Libye sont venus dans le centre.
Ceux-là étaient encore plus agressifs.
 
Je ne pouvais plus faire semblant d’ignorer la situation, alors j’ai réagi.
 Pour ne plus continuer à m’exposer.
Concrètement, j’ai commencé à m’habiller différemment.
Je suis quelqu’un qui aime porter des vêtements près du corps, mais plus maintenant.
Je ne porte plus que des pantalons larges et des hauts sans décolleté.
J’avais de toute façon peu l’habitude de me maquiller, juste un peu de mascara de temps en temps.
 Je n’ai pas modifié que mon apparence extérieure, pour me protéger de ce harcèlement.
Je me comporte également différemment.
 
J’évite par exemple de me rendre dans des zones du centre dans lesquelles des hommes seuls se trouvent souvent.
 Et si je dois quand même m’y rendre, alors j’essaie d’y passer très rapidement et je ne souris à personne, afin que cela ne soit pas mal interprété.
Mais la plupart du temps, même toute la journée si possible, je reste dans mon petit bureau.
Et je ne vais plus au travail ou à la maison en métro, parce que récemment une collègue a été suivie par quelques-uns des jeunes hommes du centre jusqu’à la station de métro et a même été importunée dans le métro.
Je préfère m’épargner cela, c’est pourquoi je viens en voiture.
Je sais que cela est difficile à entendre : s’habiller autrement, éviter certains endroits et ne se déplacer qu’en voiture.
Moi-même je trouve affreux de faire tout cela et de considérer que c’est nécessaire.
Mais que dois-je faire, quelle serait l’alternative?
Continuer à être fixée du regard ou à subir du rentre-dedans, ce n’est pas possible.
Je ne m’attends pas beaucoup d’aide des autorités.
Ni à ce sujet, ni concernant les autres problèmes que nous connaissons ici, ni de la part des autorités locales, ni de la part des représentants du ministère des migrations et des réfugiés.
Quand on appelle l’un d’entre eux, très souvent plus personne ne prend la peine de décrocher.
 
La démission est la seule solution qu’il me reste encore.
 Pourtant je l’avais toujours exclue jusqu’à présent ; j’apprécie beaucoup mes collègues et aussi les enfants réfugiés.
Et j’étais si convaincue par ce travail auparavant, il est très difficile d’admettre que la réalité est quelque peu différente de ce que l’on avait imaginé.
Et démissionner reviendrait évidemment à admettre cela.
 
Maintenant j’y songe tout de même concrètement.
Beaucoup de collègues, hommes et femmes, veulent aussi démissionner.
Parce qu’ils n’en peuvent plus, parce qu’ils ne veulent plus observer à quel point les choses vont mal sans rien pouvoir y faire.
 Et pour être honnête : moi non plus, je n’en peux plus. »
 
(…) Die Welt
 
(Merci à Aurélien pour la traduction)
source

http://by-jipp.blogspot.fr/2016/01/becassine-reveil-brutal-boboland.html#more

Petite Mama Merkel ferait bien de prendre au sérieux les doléances du Peuple allemand concernant l’immigration, car si les Allemands ont peur des migrants, je ne pense pas qu’ils auraient peur d’aller la trouver chez elle pour lui casser la figure….

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27 Commentaires

  1. Aaaaah….Aaaaaah……Aaahhhh.
    Tres positive la prestation,a voir si cela fait reflechir tous ces « humanitaires » de merde

  2. Chaque jour ils ont vécu ce que paris a vécu pendant quelques heures. La terreur, les amis et familles qui meurent ou finissent à l’hopital ensanglanté par une bombe.
    Si ils sont là c’est parce que nos gouvernements successifs ont créé le chaos dans leurs pays. L’Irak, la Lybie, la Syrie. Si on veut du changement ils faut s’opposer à la violence des riches, aux guerres d’ingérences, il faut boycotter tout produit, travail, ou compte en banque qui enrichit ces sous-hommes. On a tous le choix.

    • Faux énormément de gens venus d’ailleurs que la Syrie ou l’Irak, 75% dhommes jeunes qui ont abandonné femmes enfants et vieillards c’est le profil de réfugiés fuyant la guerre chez vous ?

  3. Vous nous faites chié avec vos putain de migrants, elle a voulu les aider qu’elle se démerde ! c’est bien a cause de ANGELA MERKEL que cela arrive partout en europe non? cela va être le ko TOTAL dans quelques temps ! et la faute a qui ANGELA MERKEL, c’est bien elle qui a commencé avec c’est migrants à blamer tous les pays de l’europe parce qu’ils ne prenait pas de migrants ! maintenant tout le monde est envahi et ce n’ai pas fini ! bougon notre cul de devant la télé ou devant le pc ET ALLONS REGLER CE PROBLEME NOUS MEME ! plutôt que de pleurer et attendre qu’il soi trop tard! je commence a croire ce qu’ils nous disent nous somment des moutons.

  4. Eh bien cette pauvrette (si si, elle est à plaindre) va comprendre intimement ce que signifie « réchauffer un serpent dans son sein ».

  5. cauchemars et réveil brutal, pour cette bobo, qui voulait faire du bien pour les gentils migrants. Moi si je pouvais lui parler je lui, dirais: bein ma grande tu étais pour l’invasion, maintenant ils sont là et tu pleure, c’est bien fait pour ta gueule.

    • Bonsoir Christian,
      Il y aura beaucoup de patriotes de la dernière heure malheureusement….
      Certains n’ouvriront les yeux que lorsqu’ils auront le canon d’une kalachnikov entre les deux yeux…..
      Mieux vaut tard que jamais?

  6. Ma façon à moi de lutter contre l’islam: j’ai acheté du saindoux, et je cire mes chaussures avec! Vous ne pouvez pas savoir quel plaisir pervers on a à marcher dans les rues, après!!!!
    Quand ça se saura, ils n’oseront plus sortir! (vœu pieux!!!)

    • Bonsoir Philiberte,
      Morte de rire!
      J’imagine vos « chaussures aux saindoux de sept lieues » s’écraser sur un migrant et le catapulter jusqu’en Syrie!!!!
      Vous êtes une vraie patriote vous alors…..

  7. « Dernièrement, un Afghan a menacé de se suicider.
    Et quelques Syriens et un groupe d’Afghans ont expliqué qu’ils allaient entamer une grève de la faim jusqu’à ce que je les aide à changer d’endroit. »
    auriez-vous des mouchoirs à me donner? je suis à court…..

  8. eh voila un vrai témoignage
    d ‘une personne qui vit ces faits
    et voila donc ce qui nous pend au nez aussi en FRANCE
    nous sommes avertis
    ,
    mais c’est l omerta ,
    je me demande
    comment cela se passe dans certain centre d ‘ arrivée en BRETAGNE
    le pas d’ amalgame encore n ‘est pas une réponse
    kénavo

    • Bonsoir Amor,
      C’est vrai que vous posez une bonne question…. Je serais curieuse d’avoir le témoignage de bénévoles de nos trop nombreuses associations droit-de-l’hommiste afin de savoir comment se passe leur quotidien au contact des migrants.

  9. Elle est quand même un peu conne et naïve cette allemande!!!
    « dernièrement un afghan a menacé de se suicider » ??!!
    je pense qu’il doit y avoir une erreur de traduction!
    Elle a sûrement voulu dire!
    « dernièrement un afghan m’a menacée de me suicider! ( de me tuer)!
    ce qui me semble plus plausible!

    • Oui mais, elle apprécie les enfants réfugiés…
      Le problème, c’est qu’après, ils grandissent.

    • Bonsoir Lad12,
      Vous savez, c’est possible, car les pleurnicheries sont la grande spécialité de cette catégorie de population. C’est quand ça ne marche plus que les affaires se compliquent et qu’ils veulent suicider les autres.

  10. Ce témoignage est tellement touchant parce qu’il émane d’une personne , dont la bonne volonté était au départ , à toute épreuve ! mais les meilleurs sentiments viennent inévitablement à s’évanouir devant l’évidence d’une mentalité barbare et arriérée , chez qui les reflexes vulgaires et pervers sont ineffaçables !
    Chassons le naturel par la porte et il revient par la fenêtre , et c’est surtout valable pour ces hommes jeunes africains ou magrébiens , dont l’éducation ou plutôt l’absence d’éducation , les prédispose à adopter un comportement de prédateur froid et parfois ouvertement sadique , tantôt revendiquant des privilèges matériels de manière extravagante et indue, tantôt affichant un innommable mépris de la condition féminine débouchant bien vite sur de la violence cruelle !
    Loin de susciter notre humaine compassion , ces foules d’hommes étrangers brutaux , sales , méprisants et vindicatifs au point de devenir écœurants, en viennent à susciter la répulsion même chez les bénévoles habités par les plus purs sentiments de louable générosité !
    Inutile de préciser que je recommande à ces bénévoles méritants , au témoignage tellement touchant de …DEMISSIONER ! immédiatement ! et laisser aux flics le soin de chasser bien vite ces barbares , à ..COUPS DE PIED AU CUL!

    • Bonsoir Jean-Michel,
      Bien d’accord avec vous! Sauf que pour les coups de pied au cul…. pas question de déléguer! Je crois que nous avons tous envie de nous en charger!
      P.S.: J’ai bien aimé le commentaire que vous avez rédigé sur Riposte catholique en dessous de l’article sur le diner de Hollande avec Barbarin.

  11. Les migrants usent et abusent du consentement sans limite des Français qui ont un sens du sacrifice sans limite…
    Par bêtise,naïveté ?

    • Bonsoir Pugnacité,
      Peut-être parce que les gens négligent de chercher la vérité …..

  12. Évidemment, il ne faut pas généraliser à l’ensemble des réfugiés, beaucoup d’entre eux sont très amicaux, très reconnaissants, très désireux de s’intégrer, très heureux d’être ici.
    Est -ce que cette dame connait ce qu’on appelle comportement pervers?

    • mon oeil!!! zenovief!
      qu’est-ce qu’il y a comme  » pas d’amalgamistes » !
      les viols à Cologne c’était amical ?!
      si c’est ça la reconnaissance!!!!
      bah voyons, ils veulent s’intégrer tout simplement, ! peu importe l’art et la manière!

      • De mon propos c’est juste la question que j’ai posé à la dame L’autre parti est citation du discours de la dame C’est juste une faute de frappe pour guillemets qui n’a pas pris.
        Justement interpellé par ses propos que j’ai posé la question!

      • tous ceux qui restent dans leurs pays!!
        on pourrait dire qu’ils sont amicaux, (si on veut!)
        vu qu’ils ne sont pas chez nous pour commetre leurs exactions!
        malheureusement, eux aussi viendront chez nous prochaînement!!!

    • Bonsoir Zenoviev,
      Certaines personnes ont des peaux de saucissons tellement épaisses devant les yeux, qu’il leur faut un temps d’adaptation quand ils voient à nouveau clair…..

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