Pakistan : le musulman déshabille son ouvrière hindoue, la pend la tête en bas, la bat et la viole…

Au Pakistan, au Nigeria et de plus en plus en Europe, on considère comme acquis que les femmes et les filles non musulmanes peuvent être prises par des hommes musulmans à des fins sexuelles. Pourquoi tant d’hommes musulmans ont-ils cette idée ? Pourquoi cela continue-t-il à se produire ?

Le Coran enseigne que les femmes mécréantes peuvent être légalement prises à des fins sexuelles (cf. son autorisation pour un homme de prendre des « captives de la main droite », 4:3, 4:24, 23:1-6, 33:50, 70:30).

Le Coran dit : « Ô Prophète! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Dieu est Pardonneur et Miséricordieux. (33:59)

L’implication directe est que si les femmes ne se couvrent pas de manière adéquate avec leurs vêtements, elles peuvent être violées, et que ce viol serait justifié.

Firstpost

New Delhi : elle est allée demander son salaire, mais cette ouvrière hindoue de Bahwalpur, au Pakistan, a été brutalisée par son employeur musulman.

La femme, épouse du travailleur asservi Gangaram, a été suspendue la tête en bas, battue et violée collectivement par six ou sept hommes.

Il s’agit d’un autre cas qui témoigne du bilan absolument lamentable du Pakistan en matière d’atrocités contre les minorités, en particulier les hindous.

L’incident a eu lieu à Bhawalpur, dans le Pendjab pakistanais, après que la femme, Savitri Bai, se soit rendue chez le propriétaire musulman Mohammad Akram pour lui demander son salaire.

Mohammad Akram s’est ensuite rendu au domicile de la femme avec des armes et l’a menacée. Il l’a ensuite kidnappée et elle a été victime d’un viol collectif et battue.

Dans une vidéo, Savitri Bai déclare : « Il m’a enlevée et emmenée dans un lieu inconnu. Là-bas, ils m’ont déshabillée et ont continué à me battre. »

Elle ajoute : « ils avaient couvert mon visage et continuaient à me battre ».

Elle a ajouté qu’elle s’était rendue là-bas pour recevoir des salaires, mais « au lieu de régler ses dettes, ils m’ont dit qu’ils me battraient si je demandais de l’argent ».

L’employeur accusé a essayé d’étouffer l’affaire en entrant en négociation avec les médecins traitant la victime…

L’exploitation sexuelle et la molestation de femmes hindoues par des musulmans sont devenues monnaie courante en Inde. Alors que le système laïque est assoupi, l’islam resserre ses tentacules autour des femmes vulnérables et les fait tomber une à une. C’est le cas d’une jeune femme hindoue de 19 ans appartenant à la communauté marginalisée des Dalits (intouchables) qui est devenue la victime de la brutalité islamique dans ce pays d’Asie du Sud. Le crime a été signalé à Indore, dans le Madhya Pradesh.

La victime a été repérée par ces musulmans après avoir publié un post Instagram dans lequel elle cherchait des opportunités d’emploi. Répondant à sa recherche d’emploi, Arbaaz Khan lui a tendu la main et lui a présenté un autre agresseur comme un « consultant en emploi ». Ils lui ont demandé de venir les rencontrer au Regal Square à Indore le 14 septembre.

On lui a offert des rafraîchissements et de l’eau et elle a commencé à avoir des vertiges juste après les avoir consommés. Alors qu’elle était inconsciente, elle a été transférée dans une maison de la colonie Vijayanagar d’Indore, où d’autres hommes ont rejoint Arbaaz et le deuxième agresseur et ont commencé à la violer collectivement.

La femme a progressivement repris conscience et a supplié les hommes de l’épargner. Mais ils ont refusé, affirmant : « Nous irons au jannat [paradis] si nous avons des relations sexuelles avec une femme hindoue ».

Elle a essayé de les convaincre de la laisser tranquille, en soulignant qu’elle était mariée et enceinte de six mois, ce à quoi ces agresseurs ont répondu : « Humare Islam mein sab chalta hai [Tout est juste dans notre islam]. »

Ils ont menacé de les tuer, elle et son mari, si elle prenait des mesures contre eux, et ont pris la fuite. La victime a rejoint son domicile et, accompagnée de son mari, s’est adressée à la police.

Elle était terrifiée par cette épreuve, mais elle a réussi à trouver le courage de se souvenir de chaque événement et de déposer une plainte officielle contre les quatre hommes. Elle a nommé Afzal Patel, Arbaaz Khan, Prince Syed et Syed dans sa plainte ; ils ont depuis été arrêtés.

Bien que ce crime horrible se soit produit à la mi-septembre, l’administration et les médias ont travaillé main dans la main pour empêcher le public d’en prendre connaissance. Un incident aussi marquant que celui-ci serait parvenu jusqu’au dernier coin de la planète s’il s’était agi d’une femme musulmane se faisant agresser par des hommes hindous.

Il est ensuite promu dans les mosquées et les madrassas (écoles religieuses islamiques), les universités islamiques et autres institutions socio-religieuses islamiques.

Il y a quelques jours, un ancien tweet de la sphère musulmane à propos du conflit actuel sur le hijab en Inde a fait surface et est devenu viral.

Dans ce tweet, Adv Nizam Pasha citait le Coran et suggérait que le hijab distingue les femmes musulmanes des autres afin que les agresseurs puissent les épargner.

En février de cette année, le parlementaire musulman Zameer Ahmed a laissé entendre que les femmes se font violer parce qu’elles ne portent pas le hijab.

De tels messages ignobles de la part d’hommes musulmans éduqués établissent que ce sont leurs textes religieux qui les guident pour identifier une femme musulmane, la laisser tranquille et reporter leurs tendances à l’agression sur la prochaine femme non musulmane qui se promène dans la rue.

Dans un clip audio devenu viral sur Instagram il y a quelques mois, on entend un jeune musulman nommé Nadeem déclarer : « Les hindoues devraient être identifiées, violées et tuées. »

Dans de  nombreux cas de djihad sexuel,  des hommes musulmans ont dit à leurs victimes hindoues qu’elles méritaient d’être agressées sexuellement. En 2017, Muhammad Shafi, un médecin du Kerala, a été arrêté pour avoir agressé sexuellement plus de 30 femmes hindoues. Interrogé sur les raisons pour lesquelles il ne ciblait que les femmes hindoues, il a répondu : « En tant que musulman pieux, je pense que c’est un péché d’agresser une fille musulmane. »

Racontant les horreurs et le harcèlement dont sa femme hindoue a fait l’objet de la part de sa famille musulmane, un ex-musulman a révélé que sa famille lui disait qu’un homme musulman établissant une relation sexuelle avec une femme hindoue recevrait des avantages spirituels équivalents à l’accomplissement du hajj (pélerinage à la Mecque).

C’est pourquoi son père et son frère ont essayé de violer sa femme hindoue et ont même menacé de violer sa fille de 12 ans, née d’une femme hindoue. Le couple a expliqué en détail comment on apprend à la société musulmane à considérer les filles hindoues comme de simples objets sexuels.

Les jeunes esprits musulmans sont bombardés avec l’idée que seules les femmes musulmanes sont dignes de respect, car elles cachent leur beauté sous la burka ou le hijab. L’idée vicieuse selon laquelle les femmes non musulmanes se promènent nues et « ne demandent que ça » a incité des fanatiques religieux comme Arbaaz Khan à s’en prendre aux femmes hindoues en Inde et aux femmes non musulmanes issues de familles chrétiennes et sikhs au Royaume-Uni.

Note de Christine Tasin

Merci à Jules pour cet article susceptible, par son horreur, de faire comprendre aux masses inconscientes que le voile islamique cher à la Sandrine Rousseau ne sert qu’à cela : distinguer la musulmane de la non musulmane afin de signaler d’une croix rouge celle non pas qu’on peut violer, mais celle qu’il faut violer. Pour faire peur à toutes les femmes et pour qu’elles encouragent leurs filles à se convertir pour être à l’abri.

L’horrible vérité, l’horrible situation, c’est juste ça. Le djihad. Qu’on se le dise.

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