Les Oscars, dorénavant, ne récompensent plus le meilleur film mais la diversité mise en avant !

C’est un article ancien que je vous propose aujourd’hui… il date du 9 septembre 2020 !

Un mois après la 94ème cérémonie, il ne me semble pas inutile de montrer la progression terrifiante du wokisme, des fois qu’il y ait encore des niaiseux dans votre entourage pour nier la vérité !

Les Oscars imposent des normes drastiques de diversité pour pouvoir prétendre au «meilleur film» 9 sept. 2020, 14:57

Dès 2024, les films qui entendent glaner la prestigieuse statuette devront respecter un strict cahier des charges, comme avoir des acteurs issus de la diversité, raciale ou sociale, ou que le scénario se focalise sur un groupe sous-représenté. L’époque où faire un bon film était le critère principal pour espérer décrocher la distinction américaine la plus prestigieuse du septième art est bel et bien révolue. Amorcé officieusement depuis quelques années, le virage de l’Académie des Oscar faisant prévaloir la politique d’identité sur toute considération artistique est aujourd’hui officiel.

Dans un communiqué publié sur son site, l’Académie a ainsi inscrit dans le marbre les nouvelles règles que les films devront respecter à partir de 2024 s’ils veulent pouvoir prétendre au titre de «meilleur film». «Les normes sont conçues pour encourager une représentation équitable à l’écran et hors écran afin de mieux refléter la diversité du public qui va au cinéma», explique l’Académie en préambule. Quatre règles générales ont donc été établies, et les films devront en respecter au moins deux pour être éligibles. La première est qu’il faut, au choix, que «l’un des acteurs principaux ou l’un des acteurs secondaires importants appartienne à un groupe racial ou ethnique sous-représenté», ou bien que «30 % de l’intégralité du casting appartienne à un groupe social sous-représenté» (femmes, LGBTQ, groupe racial ou ethnique sous-représenté, handicapés), ou encore que le scénario du film «se concentre sur un groupe sous-représenté». L’Académie ne veut par ailleurs pas simplement inciter la diversité à l’écran : les autres règles entendent ainsi pousser les productions à embaucher des responsables (directeur de casting, costumier, producteur, mais aussi directeur marketing, et de publicité) issus de «groupes sous-représentés».

En savoir plus sur RT France : https://fra.mobileapiru.com/international/78598-oscars-imposent-normes-drastiques-diversite-pouvoir-pretendre-meilleur-film

 

Pour rappel voici les objectifs des Oscars jusqu’à ce que les dégénérés prennent le pouvoir dans le monde de la culture l’inculture.

Les Oscars du cinéma (Academy Awards) sont des récompenses cinématographiques américaines décernées chaque année depuis 1929 à Los Angeles1 et destinées à saluer l’excellence des productions américaines et internationales du cinéma. L’attribution de ces distinctions dans les domaines choisis pour représenter les métiers de la création cinématographique (réalisation, interprétation, scénario, technique) est organisée, gérée et dirigée par l’association professionnelle Academy of Motion Picture Arts and Sciences2.

Les récompenses sont décernées aux films et aux personnes qui interviennent et contribuent, aux yeux de l’Académie, les meilleures réalisations, ouvrages et travaux artistiques de l’année écoulée. Si cette compétition est ouverte aux films du monde entier à partir du moment où ceux-ci sont distribués dans le comté de Los Angeles l’année précédant la cérémonie[réf. nécessaire], elle se veut avant tout une célébration de l’industrie hollywoodienne. En conséquence, elle met presque systématiquement à l’honneur des films américains. De plus, il n’existe un Oscar du meilleur film en langue étrangère que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Avant 2020, on recense deux longs métrages, récompensés par l’Oscar du meilleur film, dont le financement n’est pas essentiellement américain : le film du réalisateur italien Bernardo Bertolucci Le Dernier Empereur en 19883,4 ; et le long métrage français réalisé par Michel Hazanavicius The Artist en 20125,6. En 2020, Parasite de Bong Joon-ho devient le premier long métrage non anglophone (tourné en coréen) et totalement produit en dehors de tout lien avec les États-Unis à recevoir l’Oscar du meilleur film et le premier à remporter à la fois le trophée du meilleur film et celui du meilleur film international.

Officieusement, les Oscars ont aussi permis de définir des fourchettes salariales pour chaque corps de métier. Certaines revendications de la profession ont ainsi pu être contenues7.

Les Academy Awards sont les plus anciennes récompenses dans le domaine des médias et du spectacle. Elles sont considérées comme les plus importantes de l’industrie du cinéma mondial. Leurs équivalents américains dans les domaines de la musique (Grammy Awards), de la télévision (Emmy Awards) et du théâtre (Tony Awards) ont été édifiés sur le même modèle.

Wikipedia

 

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4 Commentaires

  1. C’est bizarre ce désir des blancs sur la diversité . Le cinéma a été d’abord une industrie inventée par des blancs . La diversité serait elle incapable de création de films attirant un large public ? A mon avis oui puisque la diversité ne manifeste pas contre cette loi . La diversité accepte d’être incapable de création attirant un public divers . La diversité est à la remorque des blancs créateurs .

  2. Et personne ne va voir ces films hormis les sectataires de l’antiracisme.
    Soirées tristes pour eux, rires faux et grimaçant…si du moins il peut y avoir de l’humour dans ces films.

  3. le grand remplacement arrive aussi à Cannes ; Victor Hugo doit se retourner dans sa tombe en voyant le film de l’autre taré ; plus c’est con et plus les bobos aiment.

  4. Les Oscars, pas plus que la Palme d’Or du festival de Cannes ne récompensent à présent le talent On ne sait plus d’ailleurs ce que le festival de Cannes récompense – tout semble s’être inversé. Il semblerait même, vu le film auquel a été décernée la palme d’or l’an dernier, que ce soient la nullité et l’absurdité . Le film en question, Titane, n’avait aucun sens, ne ressemblait absolument à rien et ne présentait pas le moindre intérêt. Difficile de faire pire, quoique … On ne sait jamais. C’est triste, tout de même, d’assister à l’agonie du septième art.

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