Quand les journaleux sont agressés par l’Extrême Gauche qu’ils chérissent !


La maison Roland de Toulouse fut squattée : les soutiens au propriétaire furent agressés.

 

La Dépêche du midi s’insurge de la mésaventure survenue à une de ses journalistes à Toulouse !

Ne vous inquiétez pas pour sa santé physique (par contre le choc psy doit être très dur lorsqu’on se croit du bon côté !), elle n’a pas reçu de coup  de casque, de poing ou pire !

 

Maison squattée à Toulouse :
intolérable agression d’une journaliste
de « La Dépêche du Midi »

Publié le 

L’essentiel : Une journaliste de « La Dépêche du Midi » a été agressée ce vendredi en début d’après-midi à Toulouse par des activistes pro-squat qui la traquaient. Deux plaintes ont été déposées. 

Les journalistes sont-ils devenus des cibles pour les extrémistes de l’ultra gauche* ? Ce vendredi vers 14 heures, un incident particulièrement grave s’est produit à Toulouse avec l’agression préméditée d’une journaliste de la rédaction locale de « la Dépêche du Midi », Claire Lagadic, qui travaille au service des faits divers.
* Ultra gauche pour faire une différence avec l’Extrême gauche !

Notre consœur était assise dans un bar-tabac du quartier du Béarnais lorsque trois jeunes femmes, qui portaient des masques, des bonnets et des manteaux de couleur claire (infos importantes), se sont glissées derrière elle pour lui écraser des œufs sur la tête, lui renverser une bouteille d’eau dessus et l’insulter à plusieurs reprises. Les auteurs de cette lâche agression se sont enfuis après une bousculade avec quelques clients. Deux complices les attendaient à la sortie de l’établissement. Les agresseurs ont été filmés par les caméras de surveillance du commerce et l’une d’entre elles a été identifiée comme une habituée des lieux.

Claire Lagadic était en état de choc après cette agression d’une violence inédite à l’encontre d’un journaliste*. Notre consœur et « La Dépêche du Midi » ont déposé plainte, après les deux plaintes de la veille pour « violence avec usage ou menace d’une arme et violence commise en réunion**« .
* : J’adore « violence inédite », c’est qu’il deux sortes de journalistes, ceux du bon côté que l’on n’agresse pas, ceux du mauvais côté dont les agressions ne sont pas à prendre en compte !
** : avec usage ou menace d’une arme : des œufs, de l’eau.
A Comparer :
Notre caméraman de Livre Noir @MaudPK s’est fait violemment agresser aujourd’hui à #Marseille par un antifas, qui lui a asséné des coups de casque, avant qu’un autre l’oblige à supprimer ses rushs (encore!). Il est vraiment temps que la peur change de camp.
 — Erik Tegnér (@tegnererik) November 26, 2021

À l’évidence, cette action commando n’est pas le fruit du hasard (on s’en doute !). Elle constitue une mesure de rétorsion à l’encontre de notre journaliste, « coupable » selon les agresseurs d’avoir fait le récit d’une maison squattée à Toulouse, rue Bresdin dans le quartier Bourrassol. Ce pavillon inoccupé est squatté depuis une dizaine de jours par une trentaine de personnes. Tout dialogue est devenu impossible entre les occupants, le propriétaire, les policiers et les journalistes*. Jeudi après-midi, déjà, Claire Lagadic avait voulu entrer en contact avec les squatteurs pour connaître leurs motivations et leur donner la parole. Elle a fait alors l’objet de menaces, d’insultes mais aussi de jets d’œufs et d’eau alors qu’elle ne faisait que son travail. Elle avait déposé plainte, « La Dépêche du Midi » aussi.
* : un nouveauté !

Atteinte grave à la liberté de la presse

Cette nouvelle affaire de maison squattée fait suite à celle de Roland, au mois de février dernier au nord de Toulouse mais aussi, plus récemment à celle de Georges, près du quartier des Izards.

Claire Lagadic, comme d’autres journalistes de « La Dépêche du Midi », a rendu compte de ces faits, sans commentaire, ni parti pris. Elle aurait été identifiée sur les réseaux d’ultra-gauche* et suivie par certains fanatiques, jusqu’à son inadmissible agression ce vendredi. A-t-elle été repérée par hasard par les membres d’un groupuscule pro-squat ou a-t-elle fait l’objet d’une véritable traque par ces mêmes activistes ?
* : un nouveauté là encore !

« La Dépêche du Midi » et les journalistes de la rédaction de Toulouse sont indignés par de telles méthodes. Nous  condamnons les agissements de ces militants extrémistes qui constituent une atteinte grave à la liberté de la presse*. Nous poursuivrons notre mission d’information malgré les menaces, d’où qu’elles viennent.
* : au pays de « Je suis Charlie », il y a deux « liberté de la presse », l’autorisée et l’interdite !
Les journaleux pensent que l’on peut fermer les yeux sur certaines agressions sans un jour en pâtir !

Ceci dit, je ne souhaite à aucun journaliste, voire journaleux, de bénéficier de ce genre de traitement !

Remarque : la presse régionale publie quand même des articles sur des évènements locaux, difficile de les occulter, cela se verrait !

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5 Commentaires

  1. Si on cherche les articles de Claire Lagadic dans la Dépêche du Dhimmi, on constate qu’ils font souvent preuve de la culture de l’excuse pour les racailles et de l’indifférence ou du mépris pour leurs victimes.
    Que cette Claire Lagadic soit enfin victime des racailles qu’elle a défendues n’est que justice.

  2. Voulez-vous que vous dise ce que j’en pense? Je m’en contrefous ! L’arroseur arrosé !

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