Les journaleux demandent à Macron de faire taire Zemmour et ses soutiens


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9 Commentaires

  1. Mais aucun de ces connards n’évoque la séquestration de Jordan FLORENTIN de LIVRE NOIR par Yacine Bellatar, le pote à Micron…

  2. Il fut un temps où les journalistes réclamaient une sanctuarisation de la liberté d’expression. Les artistes, écrivains, dissidents politiques réclamaient la même chose. Il fallait garantir une liberté individuelle en laquelle on croyait vraiment, et il fallait aussi ménager une place à une forme de contre-pouvoir jugé nécessaire. Aujourd’hui les journalistes possèdent le pouvoir et font pression pour bâillonner les dissidents. Ils ont basculé de l’autre côté. Mais cela ne serait pas possible si le pouvoir politique ne s’était pas auparavant vidé de sa substance. Selon mon interprétation, c’est l’absence de politique (sa désertion, son déclin) qui permet à d’autres pouvoirs de s’imposer à travers l’opinion, les médias, les idées dominantes. C’est la même chose avec le mouvement woke; il prospère comme n’importe quelle idéologie pourrait prospérer, parce qu’aucune idéologie n’est supportée par un pouvoir authentiquement politique. Ces courants sont en roue libre dans une société qui n’est pas gouvernée mais « gérée ». Dans un monde réglé par les lois du marché et la gestion technocratique des flux (les plus divers), les courants d’opinion, d’idées, de propagande (appelée « information ») peuvent s’imposer et occuper toute la place parce qu’ils ne sont pas gênants (contrairement aux artistes, journalistes et dissidents dans le régime « politique » à l’ancienne). Zemmour est pour eux un problème moins par les mesures qu’il pourrait prendre à l’encontre du journalisme que par la restauration du politique qu’il promet. Le retour du politique serait la fin de la récréation, le retour aux choses sérieuses en quelque sorte.
    L. Fidès, auteur de « Face au discours intimidant » (L’artilleur).

  3. La leçon des anciens.

    Lorsque j’étais enfant, nous habitions la campagne.
    Comme tout un chacun dans les petits villages, nous disposions d’une petite cabane sur laquelle, pompeusement, il était écrit : « WC ».
    C’est là que la presse retournait à ses origines. Issue de la merde elle retournait à la merde après avoir copieusement frottée les trous du cul.
    Wallace

    • Et a l’époque ils n’étaient pas aussi pourris que maintenant !! on pouvait se frotter le cul avec sans trop de risque !! et en grande partie, on pouvait se fier un peu aux avocats……… et même aux docteurs ! l’argent pourrit tout !

  4. ils ne pourront pas dire grand chose ils sont tous subventionnes et si Eric est élu ce que nous espérons ils ont peur pour leur subventions donc on ne dit rien

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