Covid : le Conseil d’Etat va-t-il obliger Véran à nous permettre d’utiliser l’Ivermectine ?

Après le scandale de l’hydroxychloroquine dénigrée et interdite, vont-ils oser recommencer avec l’Ivermectine, saluée de toutes parts, testée depuis près d’un an partout sauf en France ?
Nous voilà obligés de passer par le Conseil d’Etat pour avoir le droit d’utiliser une molécule, un médicament utilisé lui aussi depuis des dizaines d’années lui aussi !  Je veux bien qu’on m’appelle complotiste, mais on le serait à moins ! Parce que, comme le signale France Soir dans l’article ci-dessous, ils se sont dépêchés de donner toutes les autorisations nécessaires pour le remdesivir dont nous savions dès avril grâce à Raoult qu’il était et inutile et toxique… ce qui n’a pas empêché l’UE de l’acheter, avec nos sous, pour un milliard ! 

Dans une video Debriefing, nous évoquions la requête en référé-liberté récemment déposée devant le Conseil d’Etat pour solliciter des services de l’Etat une Recommandation Temporaire d’Utilisation (RTU) en faveur de la molécule ivermectine comme traitement contre la covid.

Le ministère de la Santé et les diverses agences avaient jusqu’à jeudi 21 pour produire un mémoire en réponse et c’est l’agence du médicament (l’ANSM) qui s’y est collée. On apprend qu’à la suite et depuis la demande adressée le 28 décembre 2020 par Me Teissedre au ministre de la santé et à l’ANSM, une évaluation de la demande est en cours. La directrice générale de l’agence s’est même engagée à informer l’avocat des parties du résultat de cette évaluation. Histoire sans doute de s’attirer les bonnes grâces du Conseil d’Etat avant l’audience En effet, une demande similaire avait déjà été faite au mois de novembre 2020 ce qui veut dire que la seule évaluation du besoin de recommandation semble prendre à la technocratie sanitaire un temps infini. Surtout quand on sait qu’il s’agit d’évaluer l’une des molécules les mieux tolérées et avalées au monde, qui fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’OMS. Espérons que le juge saura rappeler pour une fois à l’agence du médicament que le temps est compté. Pour le vaccin comme pour les traitements.

Il n’est toutefois pas question de se réjouir trop vite car l’agence est prudente et réservée, beaucoup moins zélée que pour évaluer le vaccin ou le Remdesivir qui, lui, avait obtenu pendant l’été une Autorisation Temporaire d’Utilisation dont on sait qu’elle n’était pas justifiée. L’ANSM observe, embarrassée, qu’aucun industriel n’a fait de demande pour l’ivermectine, ce qui n’a rien d’étonnant puisque l’ivermectine est un générique, et que les essais cliniques sur l’ivermectine comme traitement anti-covid sont menés partout dans le monde, sauf en France. Cette situation semble beaucoup la contrarier, comme si la pluie de résultats montrant une efficacité spectaculaire étaient suspects d’exotisme scientifique.

L’audience est prévue lundi 25 janvier 2021 à 15 heures au Conseil d’Etat à Paris. A suivre

https://www.francesoir.fr/societe-sante/livermectine-au-conseil-detat-le-25-janvier

Ci-dessous, en complément, un article datant d’avril 2020… annonçant des résultats spectaculaires, confirmés il y a quelques jours par Alexandra Henrion-Caude dans son interview sur Tv Libertés ((c’est un anti parasitaire, en une dose, vous karcherisez l’affaire)…. On pouvait imaginer, espérer ? que les essais, en janvier 2021, seraient terminés, nous permettant de bénéficier des avantages de l’Ivermectin dans le traitement du Covid…
Bizarrement, le seul pays où les essais n’ont pas eu lieu, c’est la France… 
Christine Tasin
L’ivermectine, un médicament antiparasitaire, tue le coronavirus en 48 heures
Partout dans le monde, des scientifiques se précipitent pour développer un vaccin ou un traitement contre la maladie à coronavirus (COVID-19), causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2). Maintenant, une équipe de chercheurs a découvert qu’un médicament déjà disponible dans le monde peut tuer le coronavirus dans un laboratoire en seulement 48 heures.
Le médicament, l’ivermectine, un médicament antiparasitaire, est un inhibiteur du virus SARS-CoV-2 in vitro et peut effectivement provoquer une réduction du virus à 48 heures dans les cultures cellulaires. Le médicament approuvé par la FDA peut être utilisé pour être réutilisé pour traiter les patients affectés par le COVID-19, qui s’est répandu dans 184 pays et territoires.

Les chercheurs de l’Université Monash de Melbourne, en Australie, ont publié leur étude dans la revue Antiviral Research, montrant comment ce médicament déjà largement utilisé peut aider à lutter contre la pandémie mondiale actuelle qui se propage sur les continents.

ARN viral COVID-19 réduit
L’équipe a travaillé avec l’Institut Peter Doherty des maladies infectieuses et immunitaires. Ils ont montré que l’ivermectine réduisait l’ARN viral COVID-19 présent dans la culture cellulaire jusqu’à 93% après 24 heures et de 99,8% après 48 heures, à une réduction d’environ 5000 fois de l’ARN du coronavirus, laissant entendre que le médicament peut potentiellement éradiquer le virus.  « Nous avons constaté que même une seule dose pouvait éliminer essentiellement tout l’ARN viral en 48 heures et que même à 24 heures, il y avait une réduction significative de celui-ci», a déclaré le Dr Kylie Wagstaff du Monash Biomedicine Discovery Institute. »

« L’ivermectine est très largement utilisée et considérée comme un médicament sûr. Nous devons déterminer maintenant si le dosage que vous pouvez l’utiliser chez l’homme sera efficace – c’est la prochaine étape« , a ajouté le Dr Wagstaff. « 

Les chercheurs ont cependant averti que les tests effectués dans l’étude étaient in vitro et que des essais sur l’homme sont toujours nécessaires pour déterminer l’efficacité et la sécurité du médicament contre le coronavirus. L’ivermectine a également montré son efficacité in vitro contre un large éventail d’autres virus, tels que le virus de la grippe, le virus Zika et le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).
Réutilisation de l’ivermectine
L’ivermectine est un médicament approuvé pour traiter les maladies parasitaires, telles que la rosacée, les poux de tête et la gale. Il a été développé en 1975 et a été largement utilisé dans le monde entier depuis le début des années 1980.
«À une époque où nous sommes confrontés à une pandémie mondiale et qu’il n’y a pas de traitement approuvé, si nous avions un composé qui était déjà disponible dans le monde entier, cela pourrait aider les gens plus tôt. En réalité, cela prendra du temps avant un vaccin est largement disponible », a expliqué le Dr Wagstaff.

Bien que le mécanisme d’action par lequel l’ivermectine agit sur le coronavirus soit encore inconnu, le médicament agit sur d’autres virus en les empêchant d’inhiber la capacité des cellules hôtes à les détecter et à les combattre.

L’ivermectine, par conséquent, justifie une enquête plus approfondie sur les avantages possibles chez l’homme. D’autres essais doivent être effectués pour s’assurer que le médicament est efficace. S’il est efficace sur les humains atteints de coronavirus, il peut être largement utilisé pour traiter les populations touchées car il a déjà été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Les pays luttent contre le COVID-19
De nombreux pays ne sont pas préparés à l’arrivée de la maladie à coronavirus, qui est apparue en Chine en décembre 2019. Depuis lors, elle s’est propagée dans la plupart des pays du monde, touchant tous les continents à l’exception de l’Antarctique.Les États-Unis signalent les infections les plus élevées, avec plus de 368 000 personnes touchées par le virus. Il a un nombre stupéfiant de 10923 décès. L’Italie compte le plus grand nombre de décès, avec un bilan de 16 523 morts, tandis que l’Espagne compte plus de 136 000 cas confirmés et 13 341 décès. Le Canada compte plus de 16 000 cas confirmés, tandis que l’Allemagne, la France et la Chine comptent respectivement plus de 103 000, 98 000 et 82 000 cas.Le coronavirus a également dramatiquement affecté le Royaume-Uni et l’Australie, avec respectivement plus de 52000 et plus de 5700 cas.

BEATE
Traduit pour Résistance républicaine par Beate

 515 total views,  1 views today

image_pdf

9 Commentaires

  1. Ah merde alors encore une molécule générique qui ne rapporte plus rien et qui semble marcher sur le Covid, sale coup pour Macron, Véran et toute la bande de corrompus qui roulent pour Big Pharma. Qu’est ce qu’ils vont bien pouvoir nous trouver encore pour l’interdire et faire de la France le seul pays où on laisse crever les gens pour engraisser Big Pharma?

  2. Ivermectine et HCQ sont efficaces, on ne les utilise pas. On préfère traiter par le Doliprane…pas connu du tout comme étant antiviral , juste antipyrétique , analgésique…= 1er scandale. Maintenant ils se battent pour obtenir assez de doses de vaccin non testé, pour une 1ere injection..sans avoir compté les doses de rappel sans lesquelles le vaccin est nul !! = 2eme scandale. On n’est plus à un scandale près !!!

    • Ils ont commandé 70 millions de doses pour 66 millions de Français ? Ils doivent avoir prévu large pour les clandos alors !

    • La stratégie de Veran pour manipuler les médecins est particulièrement perverse :
      Il commence par les enfermer dans une double contrainte (d’un côté obligation de traiter les malades – serment d’Hypocrate – et de l’autre interdiction de prescrire des médicaments efficaces comme HCQ ou Azithromycin ou Ivermectine). Pour qu’ils ne deviennent pas schizophrènes il leur offre l’opportunité de faire des vaccins ant-covid19. 
      – Pour échapper à cette nouvelle double contrainte (les vaccins peuvent tuer mais je dois faire quelque-chose) il leur laisse la possibilité de prescrire hors AMM en endossant toutes les responsabilités. Et pour pousser ceux qui hésitent encore il leur dit que c’est l’Etat qui prendra à sa charge toutes les complications ou dommages collatéraux à la vaccination…

  3. scandaleux, nous en sommes arrivés comme la corée du nord, mais bonnes gens il faut réagir

  4. Je les hais et je ne suis pas seule. Quand arrivera le jour, je souhaite voir tous ces escrocs assassins se noyer dans 1 fosse à purin, ou 1 fosse remplie de leurs saloperies de vaccins et remdesivir. J’ai l’impression et l’espoir que ce jour arrive. J’entends de+en+ de discours de gens enfin éveillés et qui expriment une rage envers tous ces « décideurs », menteurs moralisateurs. Les gens ne sont plus dupes. Le gouvernement big pharma les journalistes…tous ceux qui participent à cette mascarade ne peuvent plus cacher leurs mensonges. Et ils vont devoir payer.

    • des assasins dans toute leur splendeur, les français sont devenus des moutons, ils subissent des lavages de cerveaux sans rien dire, mais où est notre FRANCE si glorieuse, si réactive, nos ancêtres qui ont combattu pour notre pays et nos libertés doivent se retourner dans leurs tombes, comme l’on dit,

      • Quoi qu’on pense de Philippot, c’est le seul à se bouger et organiser des manifs le samedi dans plusieurs villes de province ! Moi aujourd’hui, pour la première à Lyon, j’Y étais et vous, s’il n’y en a pas encore chez vous, qu’attendez-vous pour vous mettre en contact et en organiser cher vous ?
        Si vous ne faites rien, effectivement, vous êtes un mouton et vous bêlez pour rien !

  5. Où s en procurer ? Là est le problème. Ho Hé les dealers, vous étés où ?Après tout c est du business, non? Ça doit pas être plus nocif que la cocaïne ce truc là et vous auriez des clients, idem pour la chloroquine…On vit dans un monde de fous!

Les commentaires sont fermés.