Ecole : il faut apprendre à nos enfants à se défendre, pas à trier les poubelles !

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C’est trop facile de pleurnicher, d’en appeler à la cohésion nationale, de sortir des bougies et de faire de pompeux discours à la mémoire de nos morts. Ça leur fait une belle jambe, ils sont morts.

Et ils sont morts pourquoi ? Parce que depuis 50 ans ceux qui nous dirigent, en France comme à Bruxelles, ont joué le triptyque perdant immigration, islamisation, mondialisation.

Alors, il s’agit de demander enfin des actes, des vrais. 

Nous avons déjà répété ad nauseam qu’il fallait stopper l’immigration et imposer à l’islam un statut à la hauteur des dangers dont il nous menace. Nous avons déjà répété ad nauseam que si, en France comme en Israël et comme aux Etats-Unis il y avait la possibilité de se promener 24 h sur 24 avec une arme sur soi, au moins quand on est militaire, policier et tireur sportif, on sécuriserait peu à peu la Cité et on limiterait le nombre de morts lors des attentats. Voir en fin d’article celui sur la légitime défense en Israël, ils sont beaucoup à nous apprendre. Dans 70% des attentats, l’intervention de civils armés a été cruciale !

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Je ne parlerai aujourd’hui que de la prévention au quotidien, susceptible de sauver la vie à nos enfants et qui devrait faire partie, dès demain, des programmes scolaires. 

Oui, des intervenants doivent former nos enfants au Krav maga ou autre technique de défense ; oui, des  intervenants doivent former nos enfants à manier le couteau eux aussi, le fusil… 

Puisqu’il n’y a plus de service militaire, remplacé prochainement par des stages de « vivre ensemble », des stages « contre le racisme »… il appartient à l’école d’apprendre à nos élèves à se défendre, et donc à se battre.

(Avec un sacré problème à gérer néanmoins, ce sont les 20% de musulmans qui sont eux aussi dans nos écoles et donc une certaine proportion de terroristes futurs que l’on pourrait former sans le savoir et sans le vouloir, comme s’ils avaient besoin de ça… Cela suppose des mesures particulières de tri en amont, mais c’est une autre histoire, ou pas. Après tout, il vaut mieux qu’il y ait plus d’assassins poten).

Actuellement nombre d’heures de cours importants « sautent », remplacés par des heures consacrées à écouter des envoyés de la LDH, de la Licra, voire du CCIF parler du racisme et manipuler politiquement nos enfants. Et je ne parle pas des heures consacrées au tri des poubelles et à la propagande écolo-facho… Il y a moyen d’apprendre à nos enfants à se défendre et à défendre autrui sans remettre en cause les enseignements intellectuels. Je dirai même que si on remplaçait les heures de sport passées à jouer au foot ou au hand par des heures d’entraînement au krav-maga tout le monde y gagnerait. 

 
 

NOTE

Ce qu’enseigne Israel sur la légitime défense

 James EmeryCC BY 2.0

Alors qu’une nouvelle attaque au couteau a fait deux morts et un blessé. La question de la légitime défense revient au cœur de l’actualité. Que peut nous enseigner l’exemple israélien ?
Par Sacha Benhamou.
Un article de l’institut Mirabeau

Il y a en France beaucoup de sujets tabous, généralement liés à ce qu’on considère comme étant des « acquis » dont on feint d’ignorer l’échec. Parmi ceux-là, le droit au port d’arme et son corollaire nécessaire en ce qu’il définit les règles d’engagement : le régime de la légitime défense. Beaucoup opposeront immédiatement les externalités médiatiques du modèle états-unien, tout en ignorant des exemples plus heureux comme ceux helvète ou israélien.

Il y aurait pourtant des leçons à tirer de l’expérience des Israéliens, visés, comme en France, par des attaques terroristes opérées par des individus seuls (type Thalys, Merah…) ou en petite équipe (type Bataclan).

En Israël, 665 attaques terroristes ont étés recensées entre septembre 2015 et septembre 20161. Les autorités israéliennes ont reconnu l’échec d’une sécurité qui ne repose que sur l’État et ont fait évoluer leur législation en conséquence. En effet, en Israël, malgré une militarisation de l’espace public, une majorité d’attentats visant des civils est empêchée, ou du moins le terroriste est neutralisé avant ou après l’acte, par un civil armé. En effet, le Docteur Shlomo Shapiro, spécialiste de la question et chercheur à l’Université de Bar-Ilan, estime que « dans 40 à 50 cas au cours des 10 dernières années, des citoyens israéliens armés sont intervenus lors d’attentats terroristes » et que « dans 70% de ces cas, leur intervention était cruciale ».

L’efficacité de la primo-intervention en Israël est due à un environnement juridique favorable : un régime de la légitime défense pragmatique, et un droit au port d’arme étendu.

LA SOUPLESSE DU RÉGIME JURIDIQUE DE LA LÉGITIME DÉFENSE

La section 34J de la Loi pénale2 dispose :
« Nul ne doit être pénalement responsable d’un acte qui était immédiatement nécessaire pour repousser une attaque illégale qui représente un réel danger pour sa propre vie, sa liberté, son corps ou sa propriété ; toutefois, une personne n’agit pas en légitime défense lorsque son propre comportement illicite a causé l’attaque, et que la possibilité d’un tel développement était prévisible. »
Les juristes israéliens identifient 6 conditions cumulatives de la légitime défense :

  • L’existence d’une attaque illégale, ce qui exclut bien entendu l’homicide d’un membre des forces de l’ordre dans le cadre d’une arrestation.
  • L’attaque doit constituer un risque d’une atteinte réelle à la vie, à la liberté, au corps, ou à un bien.
  • La réplique devait être immédiatement nécessaire. Contrairement au droit français qui considère l’instantanéité de la réplique, le droit israélien apprécie l’immédiateté de la nécessité, sans considération pour la temporalité de l’attaque. Ainsi, si celui qui craindrait le retour d’un assaillant le menaçant de revenir après avoir été mis en fuite, pourrait se réclamer de la légitime défense, sans que cela ne l’exempte de remplir la condition de proportionnalité citée plus bas.
  • L’attaque ne doit pas être la conséquence d’un comportement illicite. Les deux exemples classiques sont : A demande à B d’attaquer C puis attaque l’un ou l’autre en prétendant le défendre, et le cas d’une provocation en duel. Ce dernier exemple est souvent cité par la doctrine israélienne, il faut croire que cela arrive plus qu’on ne le pense.
  • La réplique devait être nécessaire : il n’y avait aucun autre moyen d’éviter l’attaque que de répliquer. Par exemple, la réplique n’est pas nécessaire si le défenseur a la possibilité de se replier dans un endroit sûr, à condition qu’il puisse être certain du bénéfice de ce repli.
  • La proportionnalité entre le préjudice occasionné et celui qu’on entendait éviter est en fait sous-entendue dans la nécessité.

Il est intéressant de noter, à propos de ces deux dernières conditions, la nécessité et la proportionnalité, que la Cour Suprême israélienne rappelle régulièrement que l’homme dans l’action n’a pas les capacités d’analyses d’une machine, que l’appréciation de ces conditions ne peut pas être arithmétique et qu’en conséquence elles doivent être interprétées avec souplesse3. Un bon sens qui, hélas, échappe trop souvent aux juges français. Enfin la loi prévoit que si l’une de ces deux dernières conditions venait à faire défaut, le juge, qui ne pourrait alors pas reconnaître la légitime défense, peut prononcer une peine minorée selon les circonstances.

Le droit israélien est à la confluence du droit ottoman, du droit anglais datant de la Palestine mandataire et de loi juive. Ce syncrétisme juridique aura eu une influence dans notre sujet. En matière de légitime défense, l’État israélien a d’abord connu une interprétation restrictive comme en droit britannique, puis la législation et son interprétation ont évolué en faveur d’un régime plus souple sous l’influence de la loi juive pour laquelle la défense de soi-même ou d’autrui d’une attaque illégitime n’est pas un droit, mais un devoir.

UN DROIT AU PORT D’ARME ÉTENDU

D’après le registre du Ministère de l’Intérieur, 163 274 licences étaient détenues en 2012 par des citoyens israéliens. Depuis des changements apportés par le ministère de la Sécurité intérieure israélien, il s’agirait de dizaines de milliers de licences supplémentaires qui auraient été octroyées, alors que leur nombre avait chuté de 300 000 au début des années 90 à environ 170 000. En 1992, devant cette chute du nombre de licenciés et convaincu de l’efficacité de la défense collective, le gouvernement israélien a commandé à une commission ad hoc, la commission Cohen, un rapport sur les évolutions possibles de la politique d’armement civil. Après l’assassinat du Premier ministre Yitshak Rabin en 1995, la question est devenue plus pressante, pourtant ce n’est qu’à partir de 2014 que des changements significatifs ont été apportés.

Aujourd’hui, qui sont ces citoyens autorisés à porter des armes ? À quelles conditions ?

Avant 2014, étaient éligibles : les anciens officiers de Tsahal du rang de Lieutenant au moins, les réservistes du rang de Capitaine, les pompiers, les ambulanciers, et également les habitants de localisations risquées, c’est-à-dire proches des frontières palestiniennes. Mais, en 2014, un attentat perpétré dans une synagogue a poussé le ministère de la Sécurité intérieure israélien à étendre les critères d’éligibilité à la licence à tous les anciens officiers de Tsahal et aux agents de sécurité gardant les écoles et jardins d’enfants. Cette loi a en outre permis aux municipalités de rendre sa population éligible en se définissant elle-même « zone à risque ». Enfin, elle a provisoirement autorisé, pour un an seulement, les agents de sécurité privée à porter leur arme en dehors de leur travail.

En 2015, la menace terroriste que constituent les « loups isolés » a mené la Knesset à intervenir de nouveau pour étendre ce droit aux sous-officiers militaires de réserves, et de police à porter leur arme en dehors du service. Il faut préciser qu’en Israël toute personne de moins de 40 ans ayant réalisé son service militaire obligatoire, sauf femmes mariées ou ayant des enfants, sont réservistes d’office. À 30 ans, la majorité des Israéliens ont atteint le rang de sous-officier. Par ailleurs, les citoyens habitant des zones à risque sont également éligibles, sur décision de la municipalité, alors qu’auparavant la dangerosité de la zone d’habitation devait être constatée pour chaque licence par le ministère. L’éligibilité a été étendue aux fermiers (isolés des zones urbaines), et aux guides touristiques.

Quel que soit le critère d’éligibilité retenu, tous les candidats doivent remplir plusieurs conditions :

  • avoir terminé le service militaire — donc avoir au moins 21 ans pour les hommes et 20 ans pour les femmes —

ou être résident permanent depuis 3 ans et avoir plus de 27 ans,

  • disposer d’un certificat médical adéquat. Ce formulaire se compose de 24 questions, allant de la santé physique du patient à son histoire de toxicomanie et de soins psychiatriques.
  • La police effectue une vérification des antécédents et transmet les renseignements au ministère des licences d’armes à feu du ministère
  • suivre une formation d’entrainement au tir, à la connaissance de l’arme et des règles de sécurité. Auparavant de 3 ans, la durée de validité de la licence a été ramenée en 2015 à 1 an en contrepartie de l’extension de l’éligibilité. La licence donne le droit à la possession d’une seule arme de poing, semi-automatique ou non.

Toute détention supplémentaire doit faire l’objet d’une autorisation spéciale.

La détention illégale d’une arme est punie de 10 ans d’emprisonnement maximum et 40 % des demandes de licences sont rejetées. Ainsi, le droit au port d’arme est étendu, mais sévèrement contrôlé.

Pour conclure, il convient d’amener une précision sur l’efficacité de la sécurité israélienne. Les soldats, professionnels et conscrits, ont l’obligation de porter leur arme — des fusils d’assaut la plupart du temps — en permanence, y compris durant leur permission. Israël est un pays où l’on voit déambuler sans cesse des centaines de jeunes hommes et de jeunes filles de 18 à 21 ans avec des fusils d’assaut M16 sans qu’il y ait des tueries de masse. Il est presque paradoxal que l’accès à la licence soit encore « si restreint » alors que des soldats de 18 ans ont l’obligation d’amener leur M16 avec eux à la plage. On peut indubitablement dire que les Israéliens ont de ce fait une certaine culture des armes, et qu’en matière de défense collective ils ne distinguent pas l’action de l’État de la leur. Même non armés les images de la vidéosurveillance montrent qu’ils sont prompts à intervenir quelle que soit l’agression.

Cependant, contrairement aux États-Unis, le port d’arme n’est pas un droit fondamental, mais un privilège, suffisamment étendu pour améliorer la sécurité de tous.

Pistes d’inspiration pour la France :

L’efficacité de la primo-intervenante en Israël est due à un environnement juridique favorable. L’institut Mirabeau constate que l’efficacité de la primo-intervenance en Israël est due à un environnement juridique favorable. À l’heure où le monde politique analyse une Israélisation de notre société en matière sécuritaire, nos propositions devraient susciter l’intérêt des pouvoirs publics français :

PISTE 1 : Revirement de l’interprétation prétorienne française en faveur d’une légitime défense plus réaliste sur le modèle de la jurisprudence de la Cour suprême israélienne.

PISTE 2 : Étendre le port d’arme pour les sous-officiers d’actives et de réserve.

  1. Ne sont recensées ici que les attaques aux couteaux, à l’arme à feu, à la voiture bélier et aux cocktails Molotov, excluant les poses de bombes contre lesquels le régime de légitime défense n’est pas en cause.
  2.  V. SANGERO (B.), “Self-Defence in Criminal Law”, Hart, 2006, p. 121.
  3.  Supreme Court, Nir Somekh c/État d’Israël, 10 septembre 2015, n° 4784/13.

https://www.contrepoints.org/2018/08/23/277392-quenseigne-israel-legitime-defense

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16 Commentaires

  1. Tout notre droit est à revoir car il est prévu pour des gens de notre culture qui sont formatés à la non violence, ce qui n’est absolument pas le cas pour les musulmans. Un exemple, beaucoup de musulmans se promènent avec un couteau sur eux même si c’est interdit, s’ils ont un différend avec un français, ils sortent leurs couteaux au dernier moment et frappent sans prévenir au risque de tuer, ils ont déjà en eux la culture de tuer car cette culture est dans le coran. Soit on les vire, soit on change notre législation.

  2. Le problème de l’islam en France, c’est avant tout un gros problème de culture ou plutôt de sous-culture, les parents conditionnent leurs enfants à la supériorité de l’islam et bien sûr ils n’apprennent rien d’autre, c’est du bourrage de crâne qui les détourne de tout ce qui est rationnel, de tout ce qui concerne la vie en société civilisée, ils surréagissent à la moindre critique de leur religion mais à côté de ça, ils sont capables du pire, voler, violer, mentir ou même tuer car ces préceptes ne sont pas incompatibles avec leur foi. Quand leurs charmants bambins arrivent en classe, ils sont déjà en opposition avec leurs enseignants et n’hésitent pas à le faire savoir. La réalité, c’est que les parents musulmans trahissent la France en inculquant à leurs enfants des valeurs qui sont contradictoires avec celles de la France, de cette manière ils préparent l’islamisation de notre pays alors qu’ils nous doivent tout.

  3. La légitime DÉFENSE sous entend que vous devez D’ABORD être attaqués, la menace ne suffit pas. Donc l’agresseur a toujours l’initiative donc l’avantage (qu’il conservera au tribunal avec un Garde des Sceaux gauchiasse et des magistrats favorables à l’agresseur, parquet en tête). La riposte doit être proportionnelle à l’attaque mais, au moment de l’agression, seul l’agresseur sait s’il a un couteau ou un pistolet et s’i il va s’en servir : donc la victime NE PEUT PAS riposter proportionnellement à l’attaque QUI VA SUIVRE . Si l’agresseur utilise son arme, pour la victime c’est foutu puisque 1°) il est nécessaire d’être encore vivant pour se défendre 2°) la victime n’a PAS DROIT AU PORT D’ARME.
    La légitime défense telle qu’elle existe est donc faite pour que la victime ait le choix entre le cimetière ou de très longues années de prison et la mort sociale.

  4. Il faut que nos enfants pratiquent des sports de combat mais ne pas se tromper d’école ? Par exemple , je pratiquais en Uruguay le karaté Kushin Ryu qi combine le karaté et le jiujitsu avec des kumite libres où les coups sont permis . Par ailleurs , je crois en tant que simple pratiquant et non pas enseignant que nous avons intérêt à avoir peu de prises et coups préférés et à les travailler sans cesse pour avoir une technique parfaite et automatique . Soyons simples et efficaces.

  5. Merci Christine
    On ne recule pas … hors de question.
    Mais nous sommes bien seuls
    Les gens sont très frileux … ou endormis … résignés ?? Je ne sais pas
    Certaines personnes me disent que c est foutu car nous sommes minoritaires. … et surtout il faut être prudent car on a vite fait de se retrouver dénoncé pour pensée non conforme à la pensée officielle
    ( on a même été contrôlé pendant le premier confinement suite au dénonciation de voisins qui contrôlaient les sorties)
    C est de pire en pire
    Mais vous lire chaque jour … écouter Eric Zemour… regarder la reinformation nous permet de garder espoir 🙏🙏
    Heureusement que vous êtes là
    Bravo à vous pour votre combat

  6. Bonjour à tous
    En effet il faut apprendre à nos enfants à se défendre .
    Les miens ont , pour des raisons indépendantes de notre volonté, été scolarisés en septembre en école publique d une banlieue populaire proche de Paris.
    Bilan : 28 élèves en primaire : trous enfants aux prénoms français (pareil pour mon autre enfant en maternelle : je vous épargne les extraits au niveau du langage … c est assez fleuri 😱)
    Il y a quelques jours un garçon a tiré sur la chaîne de mon fils ( tour de cou avec une croix) et lui a crié dessus en lui disant qu il insulte son prophète
    Quant aux femmes habillées en sac poubelle devant le portail … c est dramatique
    La semaine de la rentrée, mes deux enfants ont assisté à une scène surréaliste : une femme était en train de poursuivre un homme avec un gros couteau devant l école ( cette dernière se trouve au milieu d une cité)
    La police est intervenue devant les élèves aux fenêtres.
    Mon fils aîné fait du krac maga et le second ( en maternelle) va commencer dans quelques mois ( il faut attendre qu il soit un peu plus grand)
    Ils sont à bonne école avec leur papa , lui même instructeur de
    Hélas tout est à l arrêt en ce moment…meme Les cours enfants.
    Mais il faut être prudent car les élèves peuvent être très virulents… et une situation à vite fait de tourner au harcèlement dans l école.
    Par ailleurs je travaille beaucoup avec des publics issus de l immigration… et depuis plusieurs mois je sens l animosité monter contre ceux qu ils qualifient eux mêmes de « cathos » où « français de souche ».
    Enfin, dans un autre registre, il y a 3 semaines environ nous avons eu droit à des tirs de mortiers devant les fenêtre du salon ( ça a duré 10 minutes) : pas un flic … mais des centaines de racailles au pied de l immeuble … et une grosse frayeur pour ma voiture garée dans la rue.
    Donc, je rejoins Christine TASIN : il faut former nos enfants ( les adultes également) à la self défense
    Il est important d être vigilant… de ne pas se laisser surprendre par une situation qui pourrait rapidement nous échapper.
    C est ce que j explique à mes enfants.

  7. Il y a plusieurs années je vous ai raconté qu’en Flandres « de plus en plus de personnes emmènent leurs enfants au polygone de tir au lieu du stade de foot » je ne sais pas ce qu’il en est aujourd’hui, mais, même s’il est tard, il n’est pas trop tard.

  8. Devise : Penser comme un stratège, agir comme un primitif, voilà ce qu’il nous faut.
    Nous sommes devenus des mollusques et nos ennemis le savent et en profitent, l’intelligence et la culture c’est bien mais il faut aussi penser à se fortifier dans son esprit et avec son corps pour être capable de se défendre.

  9. Le temps de lire votre texte, 5 personnes ont reçu des coups de couteau et se vident de leur sang…
    Seules les femmes se défendent en france?
    Vous étiez a genou, vous êtes maintenant a plat ventre.
    Ridicule!

  10. Dans notre Foutoir, nos dirigeants ont voulu désarmer totalement l’originaire. Je me souviens d’une gigantesque attaque faite par un certain piteux errant, nous laissant uniquement pour défense, les couteaux en plastique.
    Par contre, ce qu’ils ont oublié, c’est que l’ennemi, que nous choyons sur notre sol, lui, se tamponne de nos législations et détient illégalement – ce dont il se fout, toutes les armes destinées à faire disparaître l’indigène.

  11. Nos collabos-gochos ont trouvé la solution:
    Leur apprendre à s’exprimer et écrire en vermicelles, et nous découvrirons ce qu’est une vraie colonie. Comme l’a dit un certain personnage de l’Est, particulièrement haï: la france sera la colonie de ses anciennes colonies.

  12. Eh ben, pas moi, non ! J’ai toujours encouragé chacun de mes enfants de rendre coup sur coup lorsqu’ils se plaignaient d’être tourmentés par l’un/une de leurs camarades d’école et que je les soutiendrais face à l’instit le cas échéant ! Il est vrai que j’ai été à dure école très jeune et cela a forgé mon caractère !

  13. les sortir aussi si ce n’est pas déjà le cas des poncifs: FOPATAPER, faut être gentils avec les noirs et les arabes qui sont plus français que toi etc etc…Ils ont le droit de se défendre, et surtout ne pas être sidéré en cherchant à comprendre le pourquoi de l’attaque non. FRAPPER D’ABORD!

  14. L’assaillant de l’attentat de Nice était en situation irrégulière et entré sur notre territoire il y a quinze jours par Lampédousia. Mais la plupart des politiques ne veulent pas entendre parler des conséquences de l’immigration massive, de l’arrêt de l’immigration pendant quelques années et de l’expulsion des situations irrégulières. Nous sommes en danger et nos enfants sont en danger !

  15. A la maison oui , mais surtout pas à l’école car d’une part l’école n’est pas faite pour ça et d’autre part nos ennemis en profiterais car ils en font partie .

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