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Foin des polémiques. Nous nous réjouissons de la ré-ouverture du fabuleux Puy-du-Fou mais cela ne nous empêche pas d’être scandalisés par la fermeture des parcs et jardins parisiens, des cafés et restaurants, et par les interdictions de rester sur une serviette à la plage.
C’est incohérent, certes, mais de là à se mobiliser pour que le Puy-du-Fou demeure fermé comme tous les gauchos l’espéraient, c’est hors de question. Ce qui est pris n’est plus à prendre. Philippe de Villiers a utilisé ses connaissances, a pesé en personne sur Macron pour sauver son parc et les milliers d’emplois qu’il génère dans son département ? Il a eu mille fois raison. Dans un monde où tout fonctionne par réseau, par copinage, on ne voit pas pourquoi De Villiers se serait abstenu d’appeler Macron. Tous pourris ? Alors pas d’état d’âme, surtout quand l’enjeu n’est pas une sinécure, un poste de ministre ou d’ambassadeur des pôles mais l’existence même d’une entreprise, nécessaire à son département et à sa région… qui fait, cerise sur le gâteau, oeuvre de salubrité publique, en rappelant notre histoire, nos mythes et légendes… et en faisant passer des moments inoubliables à nos enfants. C’est autre chose que Disney et les séries débiles sur netflix…
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Tout le monde devrait donc être content, hors les pisse-froid et les jaloux, non ?
Bernique ! De Villiers a le tort, aux yeux de nombre des dégénérés de la politique et des journaleux, d’aimer la France, d’être souverainiste et patriote, et un peu conservateur sociétalement sur les bords. Mais à ma connaissance il n’a tué personne et n’a incité à tuer personne… Bref, il pue le Gaulois réactionnaire, le lépreux, le facho, voire l’extrême-droite. Et, chez les culs-serrés de la liberté d’expression, on aurait volontiers prolongé le confinement tout l’été pour le simple plaisir de faire boire le bouillon à un franchouillard osant parler de France, de rois, de chrétienté, de courage, de fierté, d’histoire…
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Les réactions sont navrantes au point d’en être parfois désopilantes. On a envie, face à ces sales gosses, de dire bisque-bisque rage… Rien à argumenter devant tant de bassesse, tant d’inculture, tant de haine… Mais il faut reconnaître que le Huffington post n’est allé interroger que des gauchos…
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L’ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti ne s’est pas non plus montrée très tendre à l’égard de l’exécutif et de sa décision, qu’elle qualifie de “trahison la plus totale des idéaux républicains.”
“On ferme le festival d’Avignon mais cet individu d’extrême droite pourra continuer à faire l’apologie de son révisionnisme historique. Copinage relevant de la trahison la plus totale des idéaux républicains. La devise de la République c’est ‘liberté égalité fraternité’”, a-t-elle fulminé sur les réseaux sociaux, dans la lignée de très nombreux messages du monde de la culture ou des loisirs.
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La douce, la suave Filipetti, celle qui parlait à la télé de la France rance et moisie n’a pas changé de braquet ni de discours, apparemment. Celle qui fut sous Hollande ministre de la culture ose parler de « Révisionnisme historique »à propos du Puy-du-Fou parce qu’il ne met pas en application les réécritures de l’histoire effectuées par les militants du NPA comme la De Cock… Inversion des valeurs, inversion de l’histoire… Hystérie… Et cette dégénérée de parler d’idéaux républicains qu’elle ignore délibérément et notamment le premier d’entre eux, la liberté d’expression.
Ne pas oublier que la dite Filipetti fut un temps la compagne de Montebourg qui est en train de piaffer pour entrer dans un gouvernement d’union nationale en qualité de « souverainiste » (je m’en étouffe de rire) et qu’il avait prévu en 2017, alors qu’il était candidat à la candidature, de confier à la Filipetti le Ministère de l’Education nationale… Après un coup pareil, il peut bien surfer sur la vague et se promener avec un pull made in France, ce type est un Macron bis.
Depuis, chassée des ors de la République, la Filipetti a trouvé une sinécure, des cours à donner à sciences po, qui, d’école d’excellence qu’il était est devenu le lieu où l’on case ou recase les étudiants incapables de passer l’écrit du concours, comme Avia, dispensée de l’écrit au nom de la discrimination positive, et les anciens politiques dont personne ne veut. Bref, juste une fabrique à militants politiques… une fabrique à dégénérés.
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Glucksmann, c’est ce type qui joue la mouche du coche auprès de tous les gouvernants et de tous les partis, en Ukraine, auprès de Sarkozy, il soutient Hamon au premier tour en 2017 mais appelle à voter Macron contre Marine au second tour, pour revenir à Hamon et l’aider à créer son parti génération.S. ensuite, il fonde un nouveau parti, Place publique, avec l’hystéro-dingue écolo Claire Nouvian :
Et… il se retrouve tête de liste du PS aux européennes…
J’en ai le tournis ! Alors ce type qui pleure pour les bobos du festival d’Avignon… c’est plutôt comique !
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Quant à Lachaud qui déplore le manque d’égalité c’est un député insoumis, soumis à celui qui, un jour de perquisition prétendait interdire aux policiers de faire leur travail parce qu’il était député, parce qu' »il était la République »….. Mon dieu, que dire devant tant de vide sidéral ?
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Pour le reste, gageons que De Villliers a un jour rendu service à Macron et que Macron a compris qu’il valait mieux s’en souvenir, ça pouvait servir. Et avoir dans sa manche un De Villiers, fût-il, sur le papier, un homme politique, ça pouvait servir en ces périodes troublées. De Villiers aurait eu tort de s’en priver.
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Le Puy-du-Fou? Hou la la, mais c’est un « spectacle de haine », ça ,non ? Et susceptible de tomber sous le couperet de la loi Avia ?
Et un spectacle « populiste », en plus .Et « franchouillard ». Quoi d’autre, parmi le florilège des expressions pavloviennes qui nous sont servies quotidiennement.
Chère Christine,
Je ne pense pas que Philippe De Villiers soit en « affaire » avec Macron. Il y a des interviews et des discours dans lesquels De Villiers étrille Macron le traitant d’individu « pas fini » et de pervers narcissique. Mais le Macron est sans cesse en recherche de reconnaissance, il passe devant une boulangerie et hop le voilà boulanger, devant un sous-marin sous-marinier, une boucherie boucher, un bordel souteneur , quoique pour le bordel je me demande si ce n’est pas son milieu naturel.
En vieux renard De Villiers séduit les volailles avant de les plumer. Avec Macron c’est l’arroseur arrosé.
A ceux qui ne connaissent pas, qui n’ont pas eu l’occasion d’y aller, je dis : allez au Pu du Fou, vous en rapporterez le plus grand souvenir d’émerveillement qui puisse être. C’est une merveille à l’état pur, c’est juste grandiose !
Le puy du fou reouvre et c’est tant mieux ,mais on aimerait quand même que Macron fasse reouvrir les parcs et jardins car si il faut être copain avec lui pour ca se fasse ce n’est tout de même pas juste .
« Ne pas oublier que la dite Filipetti fut un temps la compagne de Montebourg »
comme la Audrey Chéplukoi, la mulatre aux lunettes plusieurs milliers d’ enros, et tant d’ autres qui ont eu le droit d’ être Montées et Bourrées par le queutard
quand au Glucksman, encore un de ces patrnymés juifs qui tient , comme son père a jeter l’ opprobre sur mes coreligionnaires normaux, qui ne demandent rien a personne et se contentent d’ etre heureux chez eux en France
ce vibrion, ayant hérité du nom et de la celebrité de son père, a épousé une Georgienne de la haute société géorgienne, ce qui lui a rapporté le poste rémunérateur et bien en vue de conseiller spécial du président géorgien
il a depuis divorcé et il est a présent le « compagnon » de la Libano-française Léa Salamaleykom
quand au Puy du Fou, j’ en garde un souvenir éblouissant et qui flatte nos sentiments patriotiques au plus haut point
au diable les « cités » les « multicul » et toutes ces saloperies « bi-nationales » les « integrations » de populations qui ne revent que de nous désintegrer, sans se douter que si notre pays n’ a rien a voir avec leurs shitholes d’ origine, le secret réside dans le mot TRAVAIL !! ce qu ils n ont jamais compris, ni eux nileurs etats d’ opérette qui singent les états d’ occident
le Puy du Fou, c’est nous! notre France, la vraie, celle de Gaston Roupnel, celle d’ Arnold Van Gennep,
c’est autre chose que ce « Festival d’ Avignon » ou se donnent rendez vous tous les amateurs d’ abstraction, de nullité lumineuse et d’ombre solide
ou, si tu n’ es pas « degôche », tu ne pourras jamais prétendre a la jubilation des n importe quoi, pourvu que ça mousse