Des videos en langues étrangères pour des millions de Franciliens, c’est normal ?

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Abdelaali El Badaoui, infirmier libéral et créateur de l’association banlieue santé a eu une sacrée idée : enregistrer des videos en une douzaine de langues pour expliquer ce qu’est le corona virus et les précautions à prendre aux millions de gens qui vivent en Ile de France et ne parlent pas français, ne comprennent pas le français, ou bien sont même carrément illettrés ou analphabètes. 

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Vous avez bien entendu… des millions de gens qui vivent en Ile de France. Qui vivent. Ce ne sont pas des touristes, des gens de passage, non, ce sont des gens installés là depuis des mois, des années, des dizaines d’années ? Les deux, camarade ! Il y a forcément le clandestin arrivé il y a peu et qui n’a pas assez l’amour et la curiosité du pays où il a choisi de venir, malgré les lois françaises pour faire l’effort d’en parler la langue. Il y a aussi, forcément, la femme enfermée toute la journée à s’occuper de la marmaille, du ménage et de la cuisine, qui dans les boutiques halal du quartier… et qui n’a nul besoin de parler français, d’autant plus que tout cela se fait sur fond de télé en arabe…  et puis il y a toujours une fille ou un fils aîné pour traduire et remplir les papiers, pour aller voir les profs si on est convoqués… Un pays dans le pays, une enclave dans le pays…  La partition sans le dire.

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On me dira qu’en cas d’épidémie, forcément, il vaut mieux que tout le monde prenne des précautions, pour limiter la pandémie et qu’il vaut mieux que chacun sache ce qu’il ne doit pas faire, dans une langue qu’il comprend. Certes. Sauf que ces mêmes mal comprenants comprennent très vite ce qui se passe quand ils se retrouvent par centaines à manifester, hurler, caillasser… quand quelque chose leur déplaît… 

Bref, c’est toujours la même histoire. Aucune naturalisation, aucun visa, aucune carte de séjour ne devrait être délivrée si le titulaire ne maîtrise pas le français. C’est le minimum exigible de ceux qui prétendent avoir le droit de vivre chez nous, non ? D’autant que les langues dans lesquelles vont être enregistrées les videos sont… pratiquement toutes des langues pratiquées par des musulmans…  Alors que l’on sait que l’islam est incompatible  avec la République, que les politiques ne savent plus où donner de la tête dans les territoires perdus de la République et notamment dans les 150 quartiers tenus par des islamistes. Et qui dit tenus par des islamistes dit… où l’on ne parle pas français, forcément, tant l’islamisation va avec le rejet et la haine de la France et de la langue française. D’autant que ces videos prennent en compte les coutumes, habitudes de vies sociales et culturelle de ces habitants.

Bref, Banlieue santé piétine la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen et vit, elle aussi à l’heure du communautarisme et trouve ça très bien…

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Une douce musique interpelle. Sous le logo Banlieue Santé (BS), association qui milite pour «la santé pour tous », apparaît un drapeau de la Roumanie, au-dessus de la mention « Prévention Coronavirus, Langue Roumanie ». Anca P., pharmacienne à Paris, se présente, assise sur un canapé. Pendant cinq minutes, elle va expliquer en roumain, ce qu’est le virus du Covid-19, quels sont les gestes barrières à respecter, et l’importance de rester chez soi.

Cette vidéo est la première d’une série, initiée par le fondateur de BS, Abdelaali El Badaoui, infirmier libéral depuis dix ans, et son équipe. « Au total, nous avons prévu d’en faire dans une dizaine de langues : arabe dialectal, littéraire, chaoui (Maghreb et Soudan), farsi (Iran), soninké et bambara (Mali), comorien, wolof (Sénégal), berbère (Afrique du nord), pachtoune (Afghanistan), ourdou (Pakistan)… », détaille l’homme de 36 ans. L’objectif est simple : « sauver un maximum de personnes », souligne Abdelaali El Badaoui, originaire du quartier de Surville à Montereau en Seine-et-Marne.

Le ton est grave tant l’enjeu est fort. « On s’est rendu compte qu’une frange de la population, des personnes âgées avec une santé fragile vivant dans les quartiers populaires d’Ile-de-France et d’ailleurs, n’ont pas accès aux informations du fait d’être illettrés ou analphabètes », constate-t-il.

C’est dans la région que vit le plus grand nombre d’immigrés en France. « En 2013, ils étaient, 2 millions 206 000 Franciliens immigrés, soit 18,5 % de la population régionale », peut-on lire dans une étude de l’Insee.

De Sarcelles dans le Val-d’Oise, à Mantes-La-Jolie dans les Yvelines, en passant par Aubervilliers ou Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, des centaines de nationalités sont représentées. C’est autant de langues parlées. « À Saint-Denis, il y en a jusqu’à 140 », insiste Abdelaali. D’où la nécessité d’agir.

Le déclic s’est fait la semaine dernière, lorsque les membres de cette association sillonnent les départements franciliens à la rencontre de ses bénéficiaires. « Malgré leur fragilité —, certains souffrent d’hypertension, de diabètes, de pneumopathie, de cancers…— ils étaient nombreux à penser que le virus n’était pas un sujet très grave. Ça nous a frappés ! Ils avaient du mal à comprendre qu’ils seraient les premiers à être touchés, à en garder des séquelles vu leur état de santé, voire à en décéder. »

Comment leur faire prendre conscience de cette crise sanitaire inédite ? D’autant que les multiples interventions des institutions n’arrivent pas à convaincre. « Beaucoup de nos patients pensaient, à cause des fakes news qui circulent et dont ils sont destinataires que le Covid-19 n’existait pas et que c’était un mensonge pour détourner l’attention des gens », détaille l’infirmier libéral.

L’association décide d’utiliser la vidéo, un outil accessible au plus grand nombre. Elles sont visibles sur la chaîne YouTube de l’association, mais aussi sur les réseaux sociaux : Instagram, Snapchat et seront propagées via WhatsApp grâce à un réseau fort de 7000 adhérents.

« Toutes sont réalisées par des professionnels de santé, des pharmaciens, médecins, infirmiers…. On est dans une démarche scientifique dans laquelle on se confronte aux fake news et on informe que ce virus est très contagieux, répète Abdelaali El BAdaoui. On explique, comme le fait l’Organisation mondiale de la Santé et le ministère de la Santé comment agir dans une approche pédagogique en prenant en compte les coutumes, habitudes de vies sociales et culturelle de ces habitants. C’est quelque part la démarche d’un médecin de ville qui connaît bien ses patients.

http://www.leparisien.fr/paris-75/coronavirus-des-videos-en-differentes-langues-pour-sensibiliser-ceux-qui-ne-parlent-pas-bien-le-francais-20-03-2020-8284380.php

 

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13 Commentaires

  1. C’est de pire en pire dans ce pays !… Ils investissent tout, tout leur est bon et est prétexte à se rendre visible et se faire entendre. On ne voit plus ni n’entendons plus qu’eux, c’est un véritable cauchemar éveillé !
    Et d’abord, pourquoi ont-ils besoin de messages particuliers ? Ne doivent-ils pas tout accepter comme venant d’allah ou de leur prophète ? Qu’ils se content de réciter 3 fois par jour les petites phrases « magiques » comme l’a préconisé un illuminé ( un imam ? ) sur internet et qu’ils arrêtent de nous emm–der, on entend et ne voyons plus qu’eux, c’est de plus en plus insupportable.

    RENTREEEZ CHEZ VOUUUUUUS !!!!!

  2. Le prochain Président, par mensuétude devra donner 1 an à tout ce petit monde pour atteindre un niveau de Français correct. Au bout de cette année : Les évaluer. Ceux qui échoueront devront être déchus de la nationalité et pour que le message soit bien clair, leurs descendants aussi.

  3. Et on en profite pour montrer une foularoïde, question de faire passer que c’est un vêtement normal.
    Hier avant de zapper énervé j’ai vu dans un film français une « procureur » d’origine iranienne bien mise avec son foulard islamique expliquer à un Arabe qu’elle n’est pas sa soeur etc lors d’une mise en examen….On y vient doucement et quand on fait micro trottoir il se trouve des enfoulardées à qui le journaliste ne propose certainement pas dire « on va vous poser quelques questions, enlevez votre foulard, c’est pour le public, vous comprenez….

  4. Vu à quel rythme progresse l’immigration-invasion-submersion-islamisation du pays, un jour, l’arabe sera la langue la plus parlée dans ce pays et dans le meilleur des cas, les vidéos seront sous-titrées en français.

  5. Pourquoi leur expliquer ce que sait notre médecine moderne ?

    De toutes façons ils écouteront l’islam débile de Brest qui leur a révélé la phrase à dire 3 fois le matin et trois fois le soir

  6. Ce ne sont que des vidéos pour expliquer le CORANovirus. Ils le disent tous, la France est à nous, elle n’est plus aux kouffars, elle nous appartient, (Par contre ça, c’est encore voir). Vivement que ça pète, pour remettre les pendules à l’heure.

    • Vu le courage, il n’y aura que lorsque le sang coulera dans les caniveaux que l’indigène se réveillera.

    • Ce nest pas parce qu’un coucou s’installe dans un nid que ce nid est à lui ,la France n’est pas à eux ,on ne leur a pas demande de venir ,et même si ils sont nés ici ,on n’a pas demandé à leur parents de venir non plus ,ils faut bien qu’ils se mettent ça dans la tête, et si ca ne leur plaît pas et bien qu’ils partent .

  7. Toute la population du Maghreb ayant double-nationalité peut retourner dans leur pays respectif. Que les marocains retourne vivre au Maroc, etc.
    Que les entreprises et usines françaises reviennent en France.

    Le gouvernement marocain décide de traiter les malades avec de la chloroquine produite dans une usine du groupe Sanofi basé à Casablanca.

    Le Maroc reste encore relativement épargné par le virus, mais le nombre de cas déclarés est passé de 8 à 61 en une semaine, avec deux décès. Avant que les choses ne s’aggravent, les autorités ont préféré anticiper les recommandations scientifiques. Le gouvernement marocain a décidé de traiter les patients positifs au Covid-19 avec de la chloroquine, médicament actuellement produit dans le pays. Il vient pour cela d’acheter tous les stocks de l’usine Sanofi de Casablanca. La nivaquine ou chloroquine, vieil anti-paludéen connu depuis des décennies, est-elle la nouvelle arme décisive contre le Covid-19 ? A ce jour, l’OMS émet pourtant des réserves et les scientifiques restent prudents.
    (…)
    Le gouvernement marocain n’a donc pas attendu le feu vert de l’OMS et des scientifiques pour agir, alors que les essais cliniques sont toujours en phase de test dans plusieurs pays. D’après le site en ligne Yabiladi, les Marocains se sont déjà rués sur les stocks de Plaquenil (à base de chloroquine) en pharmacie.
    (…)
    https://mobile.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/covid-19-le-maroc-achete-les-stocks-de-nivaquine-produits-par-sanofi-dans-une-usine-de-casablanca_3876461.amp

  8. C’est moi ou les milliers d’étrangers proviennent en majorité d’un seul continent ?

  9. ce ne sont pas des morpions mais des blurps… les blurps sont des petites bêtes accrochées aux couilles de morpions car pour moi les morpions ce sont les français islamo gauchistes qui nous ont mis dans cette situation ou le point de non retour est dépassé depuis longtemps…

    • Qu’on les laissent dans leurs ignorance et leurs conneries de religion
      S’ils pouvais tous le chopper ils nous foutrons la paix

  10. Pire que la cour des miracles ! Et en plus ça nous coute des milliards d’avoir ça accrochés comme des morpions !

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