Illustration : le campus de Bobigny , son « beffroi-minaret » et un amphi très… multiculturel
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Mais qui harcèle donc les étudiants juifs de la faculté de médecine de Bobigny ?
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C’est vrai ça. Qui peut établir un « classement des juifs de l’amphi », organiser des week-ends d’intégration sur le thème « Les nazis contre les juifs » ou des « lancers de kippa » (le « freespa »…) ?
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L’extrême droite franchouillarde a-t-elle mis la main sur Bobigny (93) et sa faculté de médecine ?
Difficile de le dire tant l’article est muet sur l’identité ou l’origine des joyeux bizuteurs qui plaident avant tout la kolossale rigolade. En tous cas, Rose, la sioniste sans humour, a cassé l’ambiance de la promo. Sachant que la Seine-Saint-Denis, Bobigny et sa faculté restent à l’avant-garde de l’islamisation, de l’antisionisme ou de l’antiracisme, Rose ne serait-elle pas un tantinet islamophobe, raciste et repliée sur elle-même ?
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Pour en savoir plus sur l’affaire, le tribunal de Bobigny ordonne l’expertise psychologique… de la plaignante.
Dégoûtée par un parquet tout mou, une « Justice » sans volonté (alors qu’elle pète le feu quand il s’agit de Fillon ou des Identitaires…) et le classement sans suite de sa plainte, Rose finit par lâcher l’affaire.
Alors, comme tant d’autres juifs de Seine-Saint-Denis, Rose fait son alya intérieure pour finalement s’installer dans un quartier un peu plus philosémite, non loin de la Sorbonne.
Mais les Français peuvent être rassurés : avec la fin du numerus clausus en médecine, nous verrons bientôt arriver une nouvelle et belle génération de carabins racisés multiculturels !
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Harcèlement antisémite : l’étudiante de Bobigny « lâche l’affaire »
Sa plainte a été classée sans suite et le juge qu’elle a saisi a ordonné une expertise psychologique. « Épuisée », elle renonce à son combat judiciaire.
Par Nicolas Bastuck
… C’était le 20 octobre 2018. Inscrite en 2e année à la faculté de médecine de Bobigny (Seine-Saint-Denis), Rose*, 20 ans, étudiante de confession juive, avait osé briser l’omerta. « Traumatisée » par les blagues de plus en plus douteuses et stigmatisantes d’un certain nombre de camarades de sa promotion, elle avait porté plainte pour « harcèlement moral à caractère antisémite ».
« On ne va pas se laisser traiter comme du bétail »
Il y eut d’abord cette photo floutée d’un étudiant juif, postée sur Facebook et ainsi légendée : « Ça gaze ; Torah pas ton année ; il est moins concentré qu’en camp de concentration ; il chauffe son bain à 39-45 degrés. »
Puis il y eut les saluts nazis d’une des organisatrices du week-end d’intégration des P2 (deuxième année). Et ces discussions permanentes sur Messenger, où il était question des « reptiliens juifs », de « feujs qui craignent le feu », des « juifs » pour lesquels « rien n’est gratuit ».
« C’est allé en crescendo, se souvient Rose. Ça revenait tout le temps, on était mis à toutes les sauces ! » Un jour, elle explique sur un forum où une cagnotte est lancée pour un anniversaire qu’elle ne pourra y participer, étant « un peu juste financièrement ». La réponse fuse : « La juiverie n’est jamais finie. » « Il brûle wesh ce sale juif », lit-elle un autre jour.
« Et puis, ils se sont mis à faire un classement des juifs de l’amphi. Moi, j’avais atteint le niveau 75, on me présentait comme prête à tout pour défendre ma communauté. Un camarade, “impliqué, mais prêt à traîner avec des goys (non juifs) », s’était vu attribuer le niveau 31. En bas du tableau, un étudiant était décrit comme « juif de niveau 2, prêt à trahir son camp ». Je me suis dit : cette fois, ça suffit ! On ne va tout de même pas se laisser classer comme du bétail, comme en 1940 ! »
« Le cancer de la promo »
Rose saisit la présidence de l’université, médiatise son action et porte plainte…
Rose passe pour celle qui « plombe l’ambiance ». On la dissuade de participer au week-end d’intégration, au risque de se faire « trasher ». Par une camarade, elle apprend qu’on l’a surnommée « le cancer de la promo » […] J‘étais la traîtresse, on m’avait complètement ostracisée. À 21 ans, j’étais devenue un cadavre social. » Un copain accepte de témoigner en sa faveur. Les autres préfèrent se taire, craignant les représailles. Elle dit : « C’était devenu difficile d’être mon ami. » […] Une amie juive l’alerte : « Ton nom circule sur les forums. » « Ils ne se sont pas excusés, ils ont continué au contraire à me pourrir la vie », relate-t-elle…
« Ce n’était pas à moi de partir… »
Un mois après son dépôt de plainte, la doyenne la convainc de changer d’établissement. « Elle m’a expliqué que la vie d’étudiante, ce n’était pas ça. J’en pouvais plus, ce n’était plus vivable, alors j’ai accepté de partir. Le cœur gros, car cette fac, je l’avais choisie. Dans les hôpitaux qui lui sont rattachés, on soigne des étrangers, des gens de toutes conditions, ce qui correspondait à mon idéal de la médecine… Ce n’était pas à moi de partir. »
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Aujourd’hui, Rose poursuit son cursus à Paris-Descartes, dans le quartier huppé de l’Odéon. « J’y suis heureuse, je m’y sens bien, j’y ai des amis et je n’ai pas le sentiment d’être montrée du doigt même si tout le monde, ici, connaît mon histoire. »
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Et pourtant… Le « combat » qu’elle a mené « contre la bêtise », « la méchanceté » et « la haine de l’autre » lui laisse « un goût amer ». Elle qui croyait que la justice allait « prendre le relais » se dit « déçue », « découragée » et « pour tout dire extrêmement peinée » par la tournure des événements. Alors voilà : après un an de procédure, Rose a décidé de « lâcher l’affaire ».
De guerre lasse, « fatiguée de voir [sa] parole sans cesse mise en doute » alors qu’elle a « fourni toutes les preuves », « des dizaines de captures d’écrans » saturées de propos injurieux. « Je ne me sens plus de répondre encore à des questions, j’en ai ras le bol, je suis épuisée », soupire-t-elle.
« J’ai tout de suite senti qu’ils n’avaient pas envie”
Elle se souvient : « C’était la première fois que je déposais plainte et j’ai tout de suite eu un mauvais pressentiment. Dès la première minute, j’ai senti qu’on n’allait pas me prendre au sérieux, que les choses allaient être longues et fastidieuses, que j’allais être déçue. Qu’on n’avait pas envie, en fait… »
Il y eut d’abord cette première audition, un mois après son dépôt de plainte, au commissariat de Bobigny. « À peine arrivées avec ma mère, la policière qui nous a accueillies m’a dit d’emblée que j’avais de la chance d’être convoquée si vite, que j’aurais attendu beaucoup plus longtemps si mon affaire n’avait pas été médiatisée. »
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Au seul témoin qui a accepté de parler, l’un des enquêteurs aurait dit : « Tu es sûr qu’il n’y a pas une histoire de cul (sic) derrière tout ça ? »
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« On s’est vite rendu compte que la police n’avait pas envie d’enquêter là-dessus, qu’elle le faisait parce que le parquet s’y sentait lui-même contraint », intervient Me Antonin Péchard, l’avocat de Rose. « Et ce que nous redoutions est arrivé : en janvier 2019, le parquet de Bobigny nous a informés de sa décision de classer l’affaire sans suite, faute de preuves suffisantes. »
Un étudiant exclu
Entre-temps, la procédure disciplinaire lancée par l’université contre huit étudiants avait été reportée ; l’audience s’est finalement tenue en mars. « Et là, ce fut l’horreur, rapporte Rose. On avait envoyé toutes les pièces à la commission, mais, dans le dossier, il n’y avait que trois copies de mails qui se battaient en duel. J’ai dû enchaîner huit interrogatoires successifs, mon avocat ne pouvait pas intervenir alors que ceux des mis en cause me bombardaient de questions. »
Me Péchard : « C’était elle, la coupable, la fauteuse de troubles, l’empêcheuse de tourner en rond. Mes confrères, et c’est de bonne guerre, ont plaidé l’absence de poursuites judiciaires. » Sur les huit étudiants poursuivis pour « troubles au bon fonctionnement de l’université », un seul sera sanctionné : la peine d’un an d’exclusion, dont dix avec sursis, est prononcée. « J’étais venue avec un gros gâteau empoisonné et on s’en est pris à la cerise qui était au-dessus. J’ai trouvé ça dérisoire et ahurissant », commente Rose.
Son avocat l’encourage à poursuivre. Face à l’inertie du parquet, il dépose plainte et se constitue partie civile devant le doyen des juges d’instruction du tribunal de Bobigny…
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Le 3 septembre, un mail tombe enfin sur la boîte du cabinet : en guise de premier acte, le magistrat ordonne une expertise psychologique. « Pas pour les auteurs, non, pour moi ! » s’étrangle Rose, qui avait déjà vu un psychiatre de l’unité médico-légale après son audition au commissariat – elle n’a eu aucun retour de cet examen.
D’un rire nerveux, elle lit à voix haute l’ordonnance du juge : « Ordonnons de procéder à l’examen psychologique de la victime. Il conviendra notamment de déterminer si elle souffre d’anomalie mentale et psychiatrique ; si elle a un degré d’intelligence normale ; si elle est particulièrement influençable ou impressionnable ; d’apprécier le ressentiment que les faits ont pu avoir sur son psychisme, sa personnalité et sa vie sexuelle et de présenter toutes les observations utiles. » Elle relève la tête et relit la dernière phrase en détachant chaque syllabe : « Vous avez bien entendu : un-im-pact-sur-ma-vie-se-xu-elle ! Rien à voir ! »
« J’ai compris qu’on n’en sortirait pas »
Elle dit : « En lisant ça, j’ai failli tomber de ma chaise. Avant même d’entendre ce que j’avais à dire et de considérer les preuves que j’avais à apporter, on voulait s’assurer que je n’étais pas une folle, ou une menteuse. J’ai trouvé ça pas correct et de mauvais augure pour la suite de la procédure. »
Elle ajoute : « J’ai compris que mon affaire ne serait jamais traitée, qu’on n’en sortirait pas. C’est à ce moment que j’ai demandé à mon avocat de tout arrêter. » Elle pousse un long soupir : « Tout ça pour ça… »
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Ainsi donc, Rose a décidé de jeter l’éponge. « Dans ma tête, j’ai déjà gagné, car je suis heureuse dans ma vie. Si j’ai fait tout ça, c’est aussi pour les autres, ceux qui subissent l’antisémitisme ordinaire et ne peuvent pas se permettre de faire comme moi, de le dénoncer. Je souhaitais vraiment aller au bout, car ce qui s’est passé, c’est grave, surtout de la part de futurs médecins. Mais j’ai des examens à passer et une vie à mener, je veux tourner la page. En fait, je suis fatiguée. » Pour un peu, elle s’en excuserait…
« Une défaite du droit et de la morale »
« L’incrimination de harcèlement antisémite a fait son entrée dans le Code pénal en 2017 ; à travers cette histoire, nous avons tenté une première judiciaire pour libérer la parole de ceux qui sont ostracisés en raison de leur origine ou de leur confession, notamment les lycéens et les étudiants », témoigne Me Péchard…
La justice est censée protéger les plus faibles, mais dans cette histoire, c’est le contraire qui s’est passé. J’y vois une défaite du droit, de la justice et de la morale. »
*Le prénom a été modifié.
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Les muz ne seront jamais de bon médecin ils sont trop cons et dégénérés
Pas d’accord, les médecins mulsumans en France que j’ai côtoyé sont au niveau… Dans 10 ans, je ne sais pas….
L’islamogauchisme fera grossir les universités israéliennes et américaines de nouveaux étudiants et chercheurs qui rapporteront de nouveaux prix Nobel et de nouvelles innovations dans les sciences biologiques et médicales.
Et nous français nous perdront les futurs François Jacob, les Robert Debré, les Boris Cyrulnik pour récolter quelques nouveaux doctorants ou docteurs haineux et fanatisés façon Al Zahwahiri.
C’est incroyable mais vrai….
Franchement, je ne trouve même pas de mots quand on voit cette contradiction entre le discours général qui nous est servi avec force de lois et la réalité qui elle, sert bien d’autres intérêts, c’est clair.
Maintenant, juste pour l’expertise, avec réserves car je n’en connais pas le fond, je pense que c’était vraisemblablement une manière d’évaluer le fond de la plainte (sa fiabilité, le ressenti de la plaignante en regard du traumatisme qu’elle dit avoir subi, etc…).
Quand on connait un peu le milieu judiciaire, on en comprend l’intérêt mais je comprends que cela puisse choquer. Les juges procèdent ainsi et les questions sont souvent juste systématiques et non individualisées, cela faisant partie de la « procédure » judiciaire relatives aux « victimes ».
Ceci dit, on voit bien que sur le terrain (je le dis souvent) il y en a qui peuvent faire ce qu’ils veulent pour peu que cela serve la mouvance et l’idéologie politique et cela est inquiétant.
Je le sais pour l’avoir vécu (mais vu aussi de nombreuses situations similaires, je ne suis pas la seule), pour d’autres motifs que l’objet de la plainte renvoyée par l’article, mais dans tout à fait le même « esprit ».
Licenciée (plusieurs fois) alors que ma probité et mes compétences professionnelles ne pouvaient être mises en cause, mais juste pour mon refus de rentrer « dans l’air du temps » voire de trahir ma profession et mon éthique, je n’avais même pas eu le courage (et l’argent) d’entamer quant à moi de procédure judiciaire sachant ce qui m’attendait… et malgré les graves conséquences que j’ai subies.
une seule solution@ Amélie : se battre, s’appuyer sur des ami(e)s, des proches, de la famille quand c’est possible. S »il le faut, en toute dernière extrêmité, se barrer, le plus vite possible pour échapper au marasme(et au massacre), mais TENIR, TENIR LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE, c’est-à-dire RESISTER. Plus facile à dire qu’à faire quand on a vingt ans et que l’on n’a pas pris conscience des sirènes de la mouvance politique. Nous ne devons plus être » innocents » après quarante ans, à moins d’être complétement brêles. Rappelez-vous que Marine Le Pen a été convoquée devant un psychiâtre elle aussi, il y a quelques mois parce qu’elle était dans la « mouvance nauséabonde », donc dans le collimateur de la justice française-et européenne- Alors on pointe tout ce qui se passe, avec appuis, non?
Oui @Fomalo, vous avez raison, je suis d’accord avec votre commentaire.
Cela comme vous m’est aussi venu à l’esprit la demande d’expertise pour Marine Le Pen, même si là c’était dans une autre volonté.
Je vois tous les jours les effets de ce que j’ai vu de très près (avec leurs auteurs qui sévissent encore) et ce qui me rassure, c’est que cela commence à venir au grand jour. C’est pour moi de très bon augure car il y a vraiment des forces profondes et malsaines en France qui agissent et cela doit cesser.
Les crises sont souvent salutaires, et la France s’est toujours relevée, même du pire (j’ai vu ce matin un documentaire dans les Antilles sous Pétain et c’était émouvant de voir tous ces hommes qui ont suivi – chacun pour leurs propres raisons – l’appel du Général de Gaulle).
Les Français (les vrais) aiment leur Patrie.
@ fomalo et @ amélie poulain ,
se battre ? au coté de qui ? des gens qui un jours sont avec vous et demain vous crachent dessus ? des gens qui ne cessent de tourner leurs vestes ?
savez vous qui envois des photos et les coordonnées d’identitaires au sites antifa et gauchos ? d’autres identitaires ! car comment des sites anti patriotes peuvent t’ils avoir axés a des photos prisent pendant des soirées et des fêtes privés ?
nous sommes un pays de lâches , je n’ai confiance en personnes (sauf au noyau dur des mes amis)
Je crois que c’était la Villardière qui avait filmé un peu le CHU de Bobigny, ses étudiants barbus …. mais je retrouve rien sur youtube
Juste des scories (récentes !) :
https://www.nouvelobs.com/societe/20171205.OBS8737/laicite-a-l-hopital-est-il-admissible-que-du-personnel-ne-respecte-pas-la-loi.html
Tout cela est incroyable, effrayant, révoltant…
Mais cela s’est-il vraiment passé en France, car ce sont des pratiques dignes de l’ère soviétique… à moins que cela ne résulte du processus d’islamisation en cours dans ce pays?
Qu’elle dénonce clairement ses agresseurs !
son procès a échoué, elle devrait au moins porter tout à la connaissance du public, ou est-elle aussi idiote pour les protéger ???
elle n’a pas compris que son expertise psychiatrique n’était nullement le moyen de prouver qu’elle n’était ni folle ni menteuse,
ces expertises sont de plus en plus utilisées, pour impressionner le plaignant, lui faire douter de ses capacités, c’est le premier signal du juge contre la victime, et effectivement, c’est de mauvais augure pour la suite du procès,
le juge veut que vous compreniez bien que vous n’êtes RIEN entre ses mains et que ses décisions seront péremptoires et omnipotentes
COLERE
COLERE
93 = secteur musulman + villes communistes + juges rouges A FUIR
Un de mes oncles habitait Villemonble 93 « avant ».
Il a fini sa vie en Charente, très âgé, dans un petite maison simple sans beaucoup de confort mais au calme.
Il avait senti le changement arriver.
La ville qui était sympa, campagnarde même avec les bords de Marne avant l’urbanisation, est devenue un nid de culs levés et de racailles.
La question est plutôt de considérer l’entrisme en facultés de médecine dans tous les départements sursaturés de bacheliers muz lambdas dont les familles se cotisent pour payer des contributions (études-immobilier- frais quotidiens, etc..) aux « cousins, cousines et apparentés » tous dans le même appart:collocation. Pas seulement à Bobigny mais à Toulouse, Nantes,Montpellier, Marseille. Toujours là, des jeunes types qui veillent à la salubrité morale des cousines et des soeurs.et aussi les allocs des nombreuses soeurs et cousines, qui engagent un retour sur investissement (gardes d’enfants, urgences en aides familiales des vieux, monitorats et tutorats divers pendant l’année universitaire et les vacances) dès que possible, c’est à dire pour les vaches à traire dès la troisième année pour peu qu’elles aient franchi la « barrière » des 21 ans et ne donnent plus l’occasion de percevoir les allocations familiales! Un article précédent sur les médecins de Bondouffle en est un exemple, mais nous pouvons aussi parler des « urgentistes » maghrébins de Béziers de Perpignan ou Montpellier pour le sud de la France, mais aussi pour Berlin, Cologne, les ineffables turcos..
Je plains les rares Juifs qui sont restés en Seine-Saint-Denis.
Heureux de vous retrouver Lou ! Je ne donne pas 10 ans pour que le 93 soit « judenrein » (à part quelques poches autour de synagogues entourées de murs et de barbelés)
Quand je passe devant l’école Merkaz Hatorah de Gagny, je pense à Fort Alamo…
Mais défendez vous bon sang cassez du muz regardez israel qui résiste aux arabes victorieusement depuis 70 ans et les mate battez vous ou subissez et c’est votre fin.
Ben non, justement, puisque nous ne sommes pas Israël ! Faut inventer autre chose mais quoi ?
Bonjour,
Les mots manquent devant ce qui arrive à la France.
Mon grand-père a donné sa vie en juin 40 et voilà que ça revient AVEC LA COMPLICITE DE LA GAUCHE, des soi-disants antifascistes.
Oui, tandis que le mien a atterri à Rawa Ruska…
Mais vous verrez que certains, par pavlovisme, nous accuseront de « surfer sur la polémique » et de « faire le jeu du RN ».
Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi Rose ne donne pas plus de précisions sur ses harceleurs : autocensure ou censure des médias ?