Femmage à Schiappa et aux guenons féministes…
Note de Jean Laffitte
L’immense sottise de « femmage » tient à une ignorance crasse de l’histoire de l’hommage.
L’hommage, c’était la déclaration plus ou moins ritualisée d’un vassal à son suzerain (suzerain vient de superanus, variante de supérieur en latin médiéval).
C’était déclarer « Je suis votre homme », vous pourrez me demander tout ce que le droit féodal permet au suzerain à l’égard du vassal.
Rendre hommage à une femme fut une extension ultérieure, dans les rites de l’amour courtois.
S’il y a femmage, c’est quand la femme se déclare la subordonnée de l’homme à qui elle le rend !
Benoît Rayski s’occupe de leur cas :
» La faculté de médecine recommande vivement d’aller tous les jours sur le site « osez le féminisme ». Ce qu’on y lit est salutaire pour l’équilibre mental et hormonal. Or j’ai –par paresse bien plus que par misogynie- manqué à ce devoir m’affranchissant ainsi d’une obligation aussi vitale pour moi que l’oxygène.
En plus, et ce n’est pas à négliger, on y trouve de quoi se fendre la pêche dans les soirées entre copains.
C’est donc avec retard que j’ai découvert la colère des féministes de ce site quand elles ont appris que le monde des arts et des lettres avait rendu « hommage » à la cinéaste Agnès Varda morte il y a peu.
C’est « femmage » qu’il aurait fallu dire ont-elles éructé.
Dans « hommage » en effet il y a « homme », une racine masculine. L’utiliser, estiment-elles c’est maintenir la femme dans une situation d’infériorité proche de l’esclavage.
Ces lubies sont permises aux féministes.
En effet elles ont un grand avantage sur nous autres, pauvres mâles, qui descendons du singe.
Oui du singe car nous ne sommes certainement pas dignes de descendre de la guenon, divine et superbe créature.
Elles, les féministes, ont avancé bien plus vite que nous dans l’évolution de notre espèce. Elles ont sauté le stade de l' »Homo Erectus » : dans « erectus » il y avait une insupportable proximité avec « érection ».
Les féministes ont ainsi accédé rapidement à l' »Homo sapiens ». Oh pardon je voulais dire « Femina sapiens ».
Elles pensent donc plus vite que nous qui sommes, en réalité restés très proches du gorille.
Elles se préparent pour les combats qu’il leur reste ayant déjà eu la peau de l’hommage et de l’homicide devenu féminicide quand il s’agit du meurtre d’une femme. Elles voudront certainement en finir avec la Déclaration des Droits de l’Homme. Déclaration des Droits de l’Etre Humain ? Un énoncé scandaleux et discriminatoire.
Et elles se battront avec succès pour que la guerre, chose affreuse et du genre féminin, devienne « le guerre »…
Pour finir et puisqu’il a été question du gorille je ne résiste pas à l’envie de raconter une histoire qui vaut son pesant de machisme et de misogynie. Je vais aggraver mon cas ? Au point où j’en suis…
Ça se passe au Kenya.
Sur la véranda d’une demeure coloniale trois vieilles Anglaises prennent le thé.
Pas loin, en face d’elles, la jungle.
De la jungle sort un énorme gorille en rut.
Il s’approche des trois vieilles Anglaises tétanisées. En prend une sous son bras puissant et poussant des cris de triomphe l’emmène vers la jungle avec une intention manifeste de lui faire subir les derniers outrages.
Les deux autres Anglaises se regardent et disent en même temps : « Qu’est-ce qu’elle avait de plus que nous« .
Avec mes respectueux femmages. »
_______________
La destruction de notre langue est à mettre sur le même plan que la destruction de notre histoire, de notre culture, de nos monuments ……
P.S.
» Benjamin Morel (Docteur en science politique, enseignant à la Sorbonne et à Science-Po Paris), qui est universitaire, nous explique que ceux qui, aujourd’hui, ne pratiquent pas l’écriture inclusive à la fac n’ont pas droit de cité. »
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Je pense qu’elles iront jusqu’à exiger la reconnaissance d’une nouvelle espèce :
l’espèce fémina, très différente de l’espèce humaine
Pourquoi insulter ces primates! La comparaison avec la grognasse élyséenne est méchante!
Elles auraient pu emprunter du ségo : mes féminitudes, mesdames.
On assiste à la dégénérescence d’une partie du genre humain. Mais quelle connerie.
Bonjour,
Merci Claude pour ce bon moment avec cet article !
Je viens de lire un article de presse où on parle d’un taux de femicides assez élevé en France..Je n’ai pas compris d’emblée de quoi il s’agissait.
Bonjour,
J’ai eu, moi aussi, du mal à comprendre, au début, que c’était « construit » suivant le même principe que « homicide ».
HOMIcide et FEMINIcide …
Nom d’une pipe moi non plus je n’aurais pas compris si je n’avais pas lu l’article de Claude
L’immense sottise de « femmage » tient à une ignorance crasse de l’histoire de l’hommage.
L’hommage, c’était la déclaration plus ou moins ritualisée d’un vassal à son suzerain (suzerain vient de superanus, variante de supérieur en latin médiéval).
C’était déclarer « Je suis votre homme », vous pourrez me demander tout ce que le droit féodal permet au suzerain à l’égard du vassal.
Rendre hommage à une femme fut une extension ultérieure, dans les rites de l’amour courtois.
S’il y a femmage, c’est quand la femme se déclare la subordonnée de l’homme à qui elle le rend !
L’immense sottise de « femmage » tient à une ignorance crasse de l’histoire de l’hommage.
L’hommage, c’était la déclaration plus ou moins ritualisée d’un vassal à son suzerain (suzerain vient de superanus, variante de supérieur en latin médiéval).
C’était déclarer « Je suis votre homme », vous pourrez me demander tout ce que le droit féodal permet au suzerain à l’égard du vassal.
Rendre hommage à une femme fut une extension ultérieure, dans les rites de l’amour courtois.
S’il a femmage, c’est quand la femme se déclare la subordonnée de l’homme à qui elle le rend !
Bonjour,
Merci pour cette très juste remarque !
Merci cher Jean on va ajouter votre remarque à l’article
Oui,alors,qu’elles nous montrent,comment elles feront,face à ces hordes de migrants musulmans. Laissons les se débrouiller seules,puisqu’elles les adorent,et eux,ils sauront s’en occuper à leur façon..!
Que dire de la vertu, issue de Vir, et qui caractérise l’Homme ? Les gonzesses n’auront en définitive hérité que du vertugadin, bourrelet qui donna de l’ampleur à leurs fesses et dénoterait maintenant une chute (ou un gadin) de la vertu…