►Les foyers de l’horreur : enfants violés, brûlés, forcés d’abuser sexuellement d’autres enfants
Des garçons violés : les victimes étaient sodomisées par des tuteurs adultes et devaient ensuite sodomiser d’autres enfants dans les foyers.
L’enquête policière a révélé que le modus operandi mis en œuvre dans des foyers caritatifs du GISB « Global Ikhwan Service and Business Holding » (GISBH) était que la victime apprenait comment forniquer par un tuteur, puis qu’elle était violée par d’autres gardiens et forcée de maltraiter d’autres enfants résidents.
Des garçons mineurs ont été sodomisés et forcés de faire subir le même sort à d’autres dans les 18 foyers de Selangor et de Negri Sembilan qui ont fait l’objet d’une descente de police.
Selon l’inspecteur général de la police Tan Sri Razarudin Husain, il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg des horribles abus dont les enfants ont été victimes dans les foyers liés à la Global Ikhwan Services and Business Holdings (GISB).
« Ils étaient forcés d’abuser d’autres enfants, c’est ce que nous avons recueilli à partir de renseignements et de déclarations. Ceux qui étaient malades n’étaient pas autorisés à se faire soigner jusqu’à ce que leur état devienne critique ».
Dans les foyers, certains enfants, dès cinq ans, qui protestaient ou se comportaient mal, ont été brûlés avec une cuillère brûlante.
Les gardiens ont également touché le corps des enfants sous prétexte de suivre un traitement médical conformément aux enseignements islamiques.
Les appels à la charité pour les enfants et les sentiments islamiques étaient des moyens pour obtenir sympathie du public et recueillir des fonds de l’extérieur.
Les enquêtes préliminaires ont également révélé que ces enfants ne sont pas orphelins. Nombre d’entre eux ont été placés dans ces foyers alors qu’ils étaient bébés, à la connaissance de leurs parents, et soumis à un endoctrinement sous couvert d’éducation islamique, une pratique que M. Razarudin condamne.
Il n’exclut pas la possibilité que des décès soient liés aux activités du groupe et ajoute qu’une enquête détaillée serait menée à ce sujet.
La police a sauvé 402 enfants, 201 garçons et 201 filles, âgés de 1 à 17 ans, des 18 foyers d’accueil dans le cadre d’une opération de sauvetage appelée Ops Global.
171 suspects, âgés de 17 à 64 ans, ont été arrêtés, dont des « ustazs » ou enseignants religieux islamiques et des gardiens de dortoirs lors de raids coordonnés dans 20 locaux répartis dans deux États malaisiens, selon l’inspecteur général de la police Razarudin Husain.
« Toutes les victimes subiront des examens de santé avant d’être enregistrées à Pulapol Kuala Lumpur.
L’IGP révèle que l’opération a été lancée à la suite de rapports déposés le 2 septembre concernant un cas d’abandon d’enfant, d’agression sexuelle et d’attouchements sur des enfants dans un foyer de charité à Port Dickson.
« Sur cette base, la police a ouvert huit dossiers d’enquête, quatre à Selangor et quatre à Negri Sembilan », déclare-t-il.
L’affaire de Port Dickson, qui a donné lieu à une opération de grande envergure, a donné lieu à six arrestations de personnes âgées de 20 à 40 ans.
Il ajoute qu’entre 2011 et le 7 septembre de cette année, la police a reçu 41 rapports de police contre le groupe d’affaires.
Au nom d’Allah.
Selon le site Internet de GISB Holdings, la société a été fondée pour promouvoir un mode de vie islamique dans tous les domaines, y compris l’éducation, les arts, la culture et l’élevage.
Elle met l’accent sur le fait de placer Allah comme l’amour ultime, à la fois vénéré et craint.
Le GISB est une entreprise malaisienne impliquée dans des activités allant des supermarchés aux laveries automatiques qui opère dans plusieurs pays, dont l’Indonésie, Singapour, l’Égypte, l’Arabie saoudite, la France, l’Australie et la Thaïlande, selon son site Web.
Le GISB a été lié à la secte religieuse Al-Arqam, aujourd’hui disparue et basée en Malaisie, qui a été interdite par le gouvernement en 1994. Le GISB a reconnu ce lien mais se décrit désormais comme un conglomérat islamique basé sur les pratiques musulmanes.
GISBH : un conglomérat privé musulman avec 25 filiales
En août 2024, ce conglomérat détenait 415 succursales commerciales réparties dans 20 pays, dont le Royaume-Uni, les Émirats arabes unis et la France.
GISBH emploie 5 346 personnes dans ses 25 filiales, qui comprennent des actifs importants tels qu’une oasis dans le désert en Arabie saoudite, des restaurants à Londres, Paris, Istanbul, Dubaï et La Mecque, des hébergements en Turquie, un hôtel à Sarajevo et une ferme à Perth, en Australie.
L’entreprise avait déjà fait la une des journaux pour ses positions controversées sur le mariage, notamment en encourageant la polygamie chez les musulmans et en créant un groupe qui avait appelé les femmes à se soumettre à leur mari « comme des prostituées ».La Malaisie, à majorité musulmane, est dotée d’un système juridique à double voie, les lois islamiques étant appliquées aux côtés des lois laïques.
Les autorités religieuses de l’État sont habilitées à appliquer les lois contre les enseignements « déviants », la majorité des musulmans étant sunnites.
►Une photo montre les enfants du chef du Hamas célébrant les attentats du 11 septembre
Le ministre israélien de la défense, Yoav Gallant, a diffusé mercredi une vidéo dans laquelle il révèle certains des documents récupérés par les soldats à Gaza, notamment une photo des enfants du chef du Hamas célébrant les attaques terroristes du 11 septembre.
La photo montre trois enfants de Yahya Sinwar, devant le World Trade Center, que l’on voit en flammes.
« Ce sont les enfants de Muhammad Sinwar qui posent devant l’événement maléfique du 11 septembre », déclare M. Gallant dans la vidéo qu’il a publiée sur X (anciennement Twitter).
« Cette image montre ce que nous combattons depuis le 7 octobre. Daesh, Al-Qaïda et le Hamas – ce sont tous les mêmes. Yahya Sinwar est le nouvel Oussama ben Laden. Il est l’Oussama ben Laden de Gaza. Nous allons l’interpeller, le détecter et le traduire en justice – mort ou en prison ».
►Augmentation des attaques à l’acide : une autre femme visée à Rawalpindi (Pakistan)
Azra Bibi est la dernière victime d’une nouvelle attaque à l’acide contre des femmes au Pakistan, le 5 septembre à Rawalpindi.
Une affaire a été enregistrée en son nom au poste de police de Waris Khan, à Rawalpindi. Son ex-mari Shakeel et ses deux frères, Adeel et Khalil, ont été placés en détention.
Bibi rentrait chez elle en pousse-pousse depuis le marché lorsque son ex-mari et ses deux frères, circulant à moto, l’ont attaquée à l’acide – « Elle a été emmenée au service des urgences de l’hôpital Holy Family de Rawalpindi. L’acide a gravement brûlé ses mains, ses pieds, ses bras et son visage ».
Même après le divorce, son ex-mari continuait à la menacer par téléphone.
Cette semaine, de nombreuses attaques à l’acide contre des femmes ont eu lieu dans différents quartiers d’Islamabad et de Rawalpindi.
Le 4 septembre, une femme a été attaquée à l’acide dans la juridiction du poste de police de Shalimar à Islamabad.
►Philadelphie : des manifestants brandissent des drapeaux du Hamas : « Yahya Sinwar, tu nous rends fiers ».
Sinwar a dirigé les massacres du 7 octobre. Ces personnes veulent que d’autres civils soient assassinés.
Lors du rassemblement de Philadelphie contre le débat présidentiel, les manifestants brandissent des drapeaux du Hamas et du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et chantent : Yahya Sinwar, chef du Hamas, « Vous nous rendez fiers !
La banderole se lit comme suit : L’Amérique est la tête du serpent ».
►La citation de la semaine
Le cheikh Riad Fataar, président du Conseil judiciaire musulman d’Afrique du Sud (MJC), a exprimé son soutien indéfectible au Hamas. Dans un discours qu’il a prononcé la semaine dernière au Cap, on l’a entendu dire :
« Je suis le Hamas, le Cap est le Hamas. Vive le Hamas, vive le Hamas ! … Nous soutenons le Hamas parce que le Hamas suit le verset du Saint Coran : « Combattez ceux qui vous combattent. »
►L’image de la semaine
Voilà à quoi ressemble la destruction d’instruments de musique dans les pays de zombies :
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