« Homophobie »: les immigrationnistes dans le pétrin !

Est-ce le moment de la vérité des prix ? Le moment où l’incompatibilité de l’Occident et de l’islam va enfin leur sauter à la figure ? Le moment où une vraie guerre de civilisation  commence sur notre sol ? Guerre que nous risquons bien de perdre, eu égard à la dhimmitude de nos dirigeants et à leurs intérêts politiques…

Des  joueurs de foot qui ne participent pas aux matchs le « jour de l’homophobie », comme  Mostafa Mohamed ou qui couvrent le mot homophobie avec du scotch comme le joueur de l’AS Monaco, Mohamed Camara (illustration ci-dessus),  Mélenchon qui se prend un vent au Sénégal, applaudi comme Hitler quand il crache sur l’Occident et la France et hué quand il veut faire la leçon sur  le mariage homo aux musulmans du Sénégal…

Le monde bouge, amis lecteurs de Résistance républicaine !

Je ne sais comment, à ce stade, expliquer aux juges que je ne fais qu’essayer d’analyser les faits réels et chercher à quoi ils peuvent aboutir, eux qui m’ont condamnée il y a une douzaine d’années pour avoir écrit que j’avais fait le rêve d’un pays où tous les signes extérieurs de l’islam seraient interdits. Faut-il en arriver comme aux âges obscurs à écrire des fables, des Candide, Zadig et autres Ingénu pour essayer de détourner censure et condamnation ? On peut essayer de se consoler en se rappelant que Madame Bovary et Les Fleurs du Mal avaient été condamnés et interdits en France, il n’empêche que se rendre compte que la France des mondialistes est pire que la France du XIXème siècle qui tâtonnait pour savoir comment gérer la « liberté républicaine » ça fait mal !  

Le vrai et le seul problème est celui-là. « Ils » ont fait entrer des millions de personnes venues d’un monde rétrograde, ne connaissant que des valeurs préhistoriques,  porteurs pour un grand nombre d’une civilisation de machos et de misogynes, où l’on copule avec de jeunes esclaves mais où l’on jette du haut d’immeubles de 4 étages des hommes mûrs homos… C’est ça l’islam. Pas une seule démocratie dans les 57 pays musulmans du globe.

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Le problème n’est pas l’homophobie ou la libération des moeurs qui, fort heureusement, permet(tait ?) en 2024 aux homosexuels de choisir leur vie, leur compagnon, exactement comme les hétéros. Le problème que j’évoque ici n’est pas non plus la visibilité accordée dans l’espace public à la sexualité (drag-queen, gay pride, changement de genre…) quoi qu’on en pense, car leur donner raison en dénonçant les flocages aberrants ce serait donner raison aux Frères musulmans. Effectivement, vouloir faire disparaître l’homophobie en transformant des joueurs de foot en  militants de l’homosexualité à l’insu de leur plein gré, c’est une idée complètement idiote. Mais, encore une fois, ce n’est pas là mon propos, et je n’ai pas envie qu’on encule les mouches en se disputant entre vieux réacs considérant l’homosexualité comme un péché et vieux dégénérés se trouvant modernes d’en faire la promotion. Je fais partie d’une génération qui pense que l’on n’arbore pas sa sexualité, on la vit. Et pouvoir aller au spectacle, se tenir par la main dans la rue quand on est en couple, hétéro ou homo, ça devrait suffire. Je ne pense pas qu’on ait jamais vaincu l’homophobie à coups de pubs et d’excès ! Mais ce n’est pas notre sujet.

Non, le problème que j’évoque, ici et maintenant, c’est le choc des civilisations annoncé par Huntington mais qui nous arrive par un biais qu’il n’avait pas imaginé. La coexistance en un même pays (et c’est pareil dans tout l’Occident), d’immigrés ou issus de l’immigration sortant à peine du Moyen Âge islamique avec les très modernes Occidentaux, libérés.

L’acceptation de l’homosexualité qui ne posait pas de problème dans l’Antiquité gréco-romaine mais criminalisée par le christianisme est relativement récente, mais elle existe  à présent chez nous et l’immense majorité des gens se fichent bien de savoir que leurs voisins hommes sont en couple. C’est un acquis précieux  passé dans la loi mais qui risque bien de flancher à cause du poids de l’immigration et donc de l’islam, réactionnaire, homophobe, violent… et conquérant grâce aux efforts incessants de la gauche immigrationniste et islamophile.

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Or, cette gauche immigrationniste et islamophile est très engagée sur le sujet de la libération des moeurs, c’est même l’un de ses fers de lance, à égalité avec la lutte pour l’immigration et notre islamisation. Il y a là une contradiction intenable, ingérable. Et l’exemple du foot est significatif. Certes, c’est une aberration de transformer des joueurs de foot en mannequins de l’homosexualité et ils ont raison de refuser ces étiquettes qui n’ont rien à faire ni dans un match ni dans la rue. Mais…

Mais c’est là que les Athéniens s’atteignirent. Que puis-je dire, moi l’islamophobe qui trouve cette publicité, cet étiquetage aberrant, insultant, à un Mostafa Mohamed qui la refuse… par homophobie, par obéissance aux préceptes du Coran ? Devrais-je le féliciter du choix qu’il fait pour de mauvaises raisons que je hais ? Dois-je jeter le bébé avec l’eau du bain et dénoncer en même temps l’homophobe Mostafa Mohamed et le Coran qui le rend homophobe ?

Voilà la situation ingérable où nous nous trouvons. Et cela ne risque pas de s’arranger au rythme où progresse l’immigration venant de pays musulmans dans notre pays. Mais Macron et ses pareils s’en fichent. Ils trouveront toujours, avec leur fortune et leurs réseaux,  une villa de luxe en pays musulman pour les abriter et donner libre cours à tous leurs fantasmes. Comme les dirigeants de ces dits pays musulmans. Quant à la plèbe, qu’elle paye des amendes, qu’elle se nourrisse de cafards grillés et qu’elle leur fiche la paix.

Mon petit doigt me dit que ça ne se passera pas comme ça. Ça grogne, ça proteste et ils n’ont pas encore tué suffisamment des nôtres avec les productions Pfizer… On a de beaux restes, amis lecteurs. Il y a le feu au lac, certes, mais tout n’est pas perdu. Poutine est là. Bukélé et Milei sont là. Trump est en embuscade… On a des jeunes qui en ont, comme Philippot ou Bardella… On a nombre des nôtres, jeunes et vieux, qui sont décidés à ne pas se laisser faire. Haut les coeurs, on les aura !

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