Immigration sauvage : les Anglais et les Danois ont trouvé des solutions

Fermer les frontières ? N’y pensez même pas ! L’Eurocrature veille avec l’ONU où les Turcs, qui ont mis le grappin sur la commission des droits de l’homme, pratiquent sans vergogne l’ingérence dans les affaires intérieures des États souverains. Que diraient-ils si des kouffars prétendaient donner des ordres à leur dictateur Erdogan ?

Histoires d’os

Accusés par les onusiens de cruauté envers les enfants, les British ont annoncé le 12 septembre 2023 qu’il allaient désormais recourir aux tests osseux pour déterminer l’âge réel des migrants prétendant être des mineurs non accompagnés. En autorisant des radiographies pour déterminer scientifiquement si l’âge d’une personne correspond à ce qu’elle affirme. Les radios des dents, des os des mains et des poignets et des IRM des genoux et des clavicules permettront de lever le doute.

Les immigrationnistes affirment que ces tests ne sont pas fiables. Comme ils contestaient, il y a trente ans, la légitimité des analyses ADN sur les criminels originaires d’ethnies non européennes.

Brexit ou pas, on peut faire ce qu’on veut, si on en décide ainsi

Les Anglais n’en ont plus rien à cirer des diktats de Bruxelles depuis le Brexit. Mais les Danois, s’ils font toujours partie de l’UE, ont su prendre leurs distances. Encore plus que la Hongrie et la Pologne. Car ils ont par des référendums, aux résultats respectés par les zotorités, refusé l’euro, la citoyenneté européenne et l’accueil forcé des immigrés.

Après le départ des Britanniques, ce petit pays est le seul État de l’UE à avoir imposé une clause de retrait en matière de monnaie unique, qui lui permet de rester définitivement en dehors de la zone euro. Comme quoi, quand on veut on peut, n’en déplaise aux sarkozinades et aux macronneries.

Quant aux pleurnicheries culpabilisantes des merdias gorgés de pétrodollars, ils n’en ont cure. On a beau leur montrer des pauvrettes Madjouba Ben Harissa en abaya informe, sinon en burqa grillagée, qui se prennent pour d’authentiques Danoises, cette ruse n’impressionne plus personne. Seule une belle Orientale à la Selma Hayek serait crédible. Mais il semble qu’on peine à en trouver.

Au Danemark, gouverné par des socio-démocrates, l’objectif officiel est zéro immigré supplémentaire

Un quartier dont plus de la moitié des habitants sont d’origines non-occidentales est soumis à des règles plus strictes qu’ailleurs. Limitation des logements sociaux. Plus de passe-droits scolaires ou sanitaires. Pour les délinquants, les peines sont doublées. Avant expulsion manu militari. Et si l’étranger est condamné pour un crime, on lui retire ses enfants de plus d’un an. Comme quoi, quand on veut, on peut.

Quant aux demandeurs d’asile qui ont débarqué sans visa, on ne les laisse pas s’incruster. Avant l’examen de leur demande, on les expulse vers leur pays d’origine, ou dans tout pays de l’Union européenne qui les accepte, comme le Francistan. Si ensuite ils obtiennent le droit d’asile en Europe, ils ne pourront pas retourner au Danemark car forcer les frontières est un délit. Quant aux Danois qui aideraient les clandestins à se cacher, ils risquent de lourdes peines de prison.

Les règles de naturalisation ont été durcies. Et la gestion des demandeurs d’asile a été transférée dans d’autres pays comme le Rwanda ou la Syrie… Pour les immigrés qui travaillent et se conduisent correctement, l’objectif est de favoriser leur intégration. En les incitant à donner des prénoms nordiques à leurs enfants. Et en les obligeant à limiter la religion à la sphère privée. Sans ostentation, ni exhibition, ni prosélytisme, encore moins des menaces contre les tièdes et les apostats. Sinon il ne manque pas de charters pour les renvoyer chez eux.

Les Anglais eux aussi ont fini par réagir

Il semblerait que Rishi Sunak, Anglais de fraîche date, et sa ministre de l’Intérieur Suella Braverman également d’origine indienne soient plus british que les Brittons de souche. Rien d’étonnant à cela. Les Hindous n’ont pas la mémoire courte. Et ils ont de bonnes raisons de ne pas apprécier les mahométans. Leurs ancêtres, leur culture, leur religion, leurs biens et leurs libertés ont trop souffert des exactions de ces envahisseurs.

Comme au Danemark, la nouvelle loi britannique sur l’immigration, votée par le Parlement le 18 juillet 2023, vilipendée par les mondialistes et leurs loufiats pleurnichards, prévoit d’empêcher les migrants débarqués de manière illégale de demander l’asile au Royaume Uni. Il s’agit en priorité de stopper les traversées de la Manche à bord de petites embarcations que les Francarabiens refusent de contrôler. Alors que les plaisanciers sur leurs voiliers sont soumis à une surveillance constante et humiliante exercée par une véritable gestapo maritime.

En 2022, plus de 45 000 migrants ont atteint les côtes anglaises à bord des bateaux des passeurs. Le gouvernement britannique veut que les migrants, après avoir été placés en centres de rétention, soient rapidement expulsés, soit dans leur pays d’origine, soit dans un pays qui les accepte, d’où qu’ils viennent. Moyennant compensations pécuniaires pour le pays d’accueil. Cela reviendra moins cher que de garder des parasites gorgés d’aides sociales, parmi lesquels ont trouve des délinquants et des terroristes.

Londres a passé un accord l’an dernier avec le Rwanda pour y envoyer des migrants en situation illégale, mais ce contrat été annulé par la Cour Européenne des Droits de l’Homme (dont on peut toujours sortir !) où des pays extra-européens et mahométans tressent une jurisprudence scélérate… Ces « juges » montrent le bout de leur oreille en couinant qu’ils craignent que d’autres pays en Europe soient tentés de suivre l’exemple britannique. Alors ils refont le coup des persécutés victimes du racisme, qui doivent être protégés et entretenus indéfiniment au nom des drouadloms. Puisque la combine a si bien fonctionné jusqu’à présent.

Macronescu se déclare impuissant, Brichel confirme

Sur les sujets qui fâchent, la ripouxblique francarabique n’a pas attendu d’être dirigée par ce paltoquet immature pour adopter des dérobades puériles. Afin de neutraliser le courroux populaire, celui des vrais Français exaspérés, elle a tour à tour désigné comme responsables de la gabegie l’Eurocrature, les énarques, les juges et la démographie. Comme si toutes ces arguties recouvraient une fatalité inéluctable… Comme si on ne pouvait renégocier des traités, se soustraire à leurs clauses préjudiciables, voire les dénoncer quand on est un État souverain. Mais l’est-on encore ?

Comme si un gouvernement légitime ne pouvait donner des ordres à ses fonctionnaires et à ses juges, et les virer en cas de mutinerie. Mais a-t-on encore un gouvernement ? Ou seulement un gang de profiteurs qui abusent d’une rente de situation en attendant le naufrage définitif ?

Comme si les flux migratoires ne pouvaient être contrôlés quand l’intérêt supérieur de la Nation l’exige. De nombreux pays le font. Pas à cent pour cent. Mais assez pour limiter les dégâts et entraver les passeurs. En plus des Danois et des Anglais, en Europe, les Hongrois et les Polonais s’activent à fermer leurs frontières. Sous les glapissements ulcérés de Ursula La Hyène. Peut-être amoureuse d’un Zoulou ? Ailleurs, au Maghreb, en Asie du Sud-Est, en Australie, en Amérique du Sud, des mesures drastiques sont prises. Mais ces pays, ne pratiquent pas la préférence étrangère. Une spécialité typiquement francistanaise.

Le sale boulot fait par d’autres, une tradition de l’État français

Le paltoquet, toujours aussi veule, vicieux, tordu et hypocrite, fait mine de découvrir le cancer social de la submersion migratoire et prétend y apporter des remèdes. Comment et avec qui ? Déjà que, dans sa propre majorité, des voix s’élèvent pour continuer à favoriser l’invasion. Alléguant des impératifs économiques éculés. Comme s’il n’y avait pas des millions de chômeurs en France. À se demander si ces traîtres ne sont pas téléguidés par le conducator ? Qui aime bien mélanger tout et son contraire, afin de décontenancer les critiques et justifier son inertie.

De toute façon, si ce verrou ne suffisait pas, il y a les associations anti-France. Financées par l’État français et ses satellites plus ou moins occultes. Faut-il que certains de nos chers compatriotes soient d’une rare débilité mentale pour ne pas voir que ces groupuscules et autres collectifs ultra-minoritaires sont grassement subventionnés avec leurs impôts pour empêcher l’application des lois, pourtant bien laxistes, régissant l’immigration. Au nom de l’anti-racisme. Bien évidemment.

Car il n’y aurait rien de plus raciste que de condamner un délinquant clandestin multi-récidiviste. Et rien de plus inhumain que de prétendre le renvoyer dans son pays d’origine. Même s’il a commis des crimes terroristes. Parce que, soit, il a perdu la raison et il faut le relâcher dans la nature. Après quelques soins psychiatriques. En douceur parce qu’on n’est pas des sauvages.

Soit il revendique ses crimes. Et dans ce cas, il mérite toute l’indulgence des juges, car ce malheureux n’a agi qu’en réaction au racisme et aux discriminations dont il a été forcément victime. Ce n’est pas un hasard si le paltoquet et son yéti de compétition ont supprimé les jurés des cours d’assises. Pour remplacer la vox populi par des juges professionnels. De préférence membres du syndicat de la magistrature qui contrôle les mutations et promotions de ses militants.

Christian Navis

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