Qu’un ado, dangereux ou pas pour d’autres usagers de la route, ait été tué par un policier, craignant ou pas qu’il ne reprenne sa fuite dangereuse pour autrui en pleine ville, c’est tout logiquement le dernier épisode non d’une année, non de six ans, non de vingt ans mais de 60 années de gouvernance « laissons-les-faire-sans-les-punir » de la France !
Nous n’en serions très certainement pas là si… eh bien oui SI (1) depuis les années 60, la direction politique de la France n’avait été aussi peu ferme, aussi laxiste, c’est-à-dire conciliante, tolérante, sans aucun interdit, comme le souhaitaient les étudiants de mai 68 voire une gouvernance aussi latitudinaire c’est-à-dire à la morale extrêmement relâchée.
Et l’annonce ce jeudi du procureur de Nanterre concernant le policier auteur du coup de feu va dans ce sens « pas de vague » puisqu’il a cité, sans en accorder le bénéfice au policier, l’article 435-1 du Code de Sécurité Intérieur qui autorise un policier à tirer si le suspect « est susceptible de perpétrer (…) des atteintes à leur vie ou leur intégrité physique et celle d’autrui. » Donc « à la vie d’autrui » ! C’était ce que le policier pouvait craindre puisque ce chauffard déjà en fuite avait, quelques minutes auparavant, devant les policiers, failli tuer un cycliste et un piéton !
Le mot « laxiste », comme le rappelle son étymologie, vient de «laxus», signifiant « lâcher ». Curieusement, ce même mot est à l’origine d’un autre plus… évocateur, le mot… « laxatif » ! C’est dire si nombre de nos Présidents de la Ve République nous ont mis un peu trop souvent, heureusement pas toujours, dans la m…, oui, dans la mélasse ! Quoique je préférerais être dans la mélasse du moins si on entend ce mot selon son premier sens, à savoir le nom d’un… sirop, celui du caroubier ! Sirop très sucré et riche en ces antioxydants si chers à nos amis végétariens mais dont le nom est devenu synonyme de « situation inextricable » en raison de sa couleur de m… disons de boue ! La boue dans laquelle sinon tous les Français du moins tous ceux qui, de plus en plus nombreux, pensent que les dirigeants politiques ont plus souvent été sur une ligne idéologique à gauche prônant l’indulgence envers les responsables du « sentiment » d’insécurité au détriment de la véritable vie en insécurité de nombreux Français.
Alors que, pour nombre de « Français d’en haut », bien au contraire, il fallait et il faut toujours être plus coulant envers les délinquants… Ces « Moi-Je-Sais-Ce-Qui-Est-Bien-Pour-Vous » sont nombre de politiques dont des parlementaires, des représentants de la fonction publique, de hauts fonctionnaires dont des magistrats tels celui de Nanterre, et une grande majorité des intellectuels (inutile de préciser « de gauche » puisque, en France, si on est « intellectuel », on est automatiquement de gauche sinon on ne peut être qualifié d’intellectuel !) à savoir ceux « populaires » du monde des arts, du cinéma (dernier « cotillon d’or » : Marion Cotillard !), de la chanson, de la littérature, entre autres, sans oublier nombre de mes confrères journalistes ! (2)
Ne rien interdire, voilà ce que prônaient les étudiants contestataires en mai 68 (3) avec leur célèbre appel à la désobéissance à leurs pères et donc à l’État : « Il est interdit d’interdire ! » Nous voyons ce que cela donne près de six décennies plus tard puisque ce sont ces mêmes étudiants de 1968 qui ont été la classe dirigeante de notre France et surtout qui ont composé cette nomenklatura ayant détruit notre France en l’ouvrant à tous les vents, surtout ceux venant de l’est et du sud. D’ailleurs ce mot « nomenklatura » leur va comme un gant -de velours pour les idées de gauche, de fer pour les idées de droite- puisqu’il venait de Russie : comme aurait pu le chanter Michel Sardou, « c’était au temps béni des colonnes idylliques » d’heureux Russes ou d’autres pays de l’est ayant gagné un voyage de « va camper » au… goulag ! Mais sans retour ! Et ce sont ces Français, l’esprit dopé par les merveilles des pays totalitaires -certains sont encore fiers de porter des tee-shirts à l’effigie de Che Guevara !!! Voire ayant la nostalgie de Mao, le Grand-T…yrannosaure !- ces Français qui ont donc fait la France ayant abouti aux réactions tant du gamin que du policier :
-l’un persuadé, par tous ceux qui ont accompagné son adolescence, d’être une victime de cette société qui ne le comprend pas ;
-et l’autre, persuadé, par sa conviction et sa formation d’être là pour protéger les citoyens en danger face au comportement de certains, surtout jeunes, en étant le bouclier ultime face à un chauffard ayant donc, sous ses yeux, failli écraser un piéton et un cycliste quelques minutes auparavant !
Sans soixante ans de laxisme, la mentalité de ces deux êtres se retrouvant face à face aurait été tout autre :
-le premier n’aurait peut-être pas été au volant à 17 ans s’il avait craint un contrôle mais, en notre « an 2023 » en France, quel jeune en infraction craint-il la police ? Au contraire, on lui a tellement répété que la police était « méchante ». D’ailleurs, cela me rappelle un reportage TV sur le travail de policiers dans le sud de la France : un jeune sortant d’un commissariat déclare, avec un accent du nord (ni de la France, ni de l’Europe) : « Oui, les policiers sont méchants… » ajoutant avec un petit sourire : « … mais le juge, y l’est gentil ! » On se doute que ce « suspect » ne craint nullement la justice française et, donc, relâché immédiatement, il pourra très rapidement commettre à nouveau un méfait. Laxisme, laxisme, quand tu ne tiens plus rien ! Tout s’en va à vau-l’eau : il y a 60 ans, cela s’en allait au fil d’une eau relativement calme… Mais le ru constitué du mélange des méfaits enrobés de simples avertissements de la justice est devenu, les années passant, un ruisseau… Et faute de réponses dissuasives de la part de la justice, le ruisseau s’est gonflé en une rivière, la rivière en a rejoint d’autres encore plus grosses, et toutes ces rivières, au fil des décennies, ont constitué des fleuves ! Et, c’est près de l’un de ces fleuves débordant d’insécurité, du côté de Nanterre, que se sont rencontrés un ado et un policier…
L’ado qui, faute de permis de conduire, a pensé, peut-être en raison de l’opinion que certains lui avaient inculquée sur la police, pouvoir échapper à une banale interpellation !
-Et le policier, par ailleurs très bien noté par sa hiérarchie, qui a cru avoir face à lui le genre de délinquant qu’il côtoie tous les jours, c’est-à-dire pouvant être dangereux pour lui mais aussi pour les autres passants. A-t-il tiré volontairement ? Son bras étant appuyé sur la voiture, le coup de feu est-il parti involontairement ? Le chauffeur ou l’un des passagers a-t-il eu un geste suspect pouvant faire croire qu’il allait sortir une arme ? Seul ce policier doit savoir s’il l’a fait intentionnellement ou non ? Et si c’est « oui », l’avouera-t-il ?
Ce n’est que mon point de vue, mais au fil de cette soixantaine d’années…
-avec l’aide de la nomenklatura qu’a enfantée, pour les soixante-huitards, « la merveilleuse femme » que fut mai 68 ou qu’a vêlée, pour les anti-mai 68, « la monstrueuse créature soixant’huit’attardée »-
je crains que la justice ne soit devenue l’ajustice, avec un « a » privatif. Une seule lettre qui, en aiguillant le cours de notre belle Histoire de France, a pu changer le cours de la dramatique histoire ayant abouti à la rencontre entre cet ado et ce policier…
Et le visage de Marianne en aurait été changé, plus apaisé, plus souriant, une Marianne toujours décolletée… même à Dieppe où, pourtant, Laetitia Legrand maire-adjointe PCF, veille à la pudeur des si machistes islamistes radicaux ! Encore le « laxisme » dans toute sa criminelle candeur !
JACQUES MARTINEZ, journaliste, ancien de RTL, l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
(1) Je sais, je sais ! Avec des « si », effectivement, on met Paris en bouteille… Quoique ! Sans aucun « si », Paris est em…bouteillée grâce à soeur Anne qui n’a rien vu venir ! Plus sérieusement, même sans « si », tout le territoire français aurais dû et aurait pu être mis en sécurité !-
(2) Un rappel qui, curieusement -et agréablement dois-je vous l’avouer- me remet en mémoire un mot de ma maman -je la revois encore- qui me disait, sans aucune pointe d’ironie bien au contraire :
« Jacques, toi, tu es un « ouvrier-porte-plume ! »
Donc, pour elle, fière -et moi aussi- de son C.A.P. de sténodactylo, je n’étais pas un « intellectuel » !
(3) Dois-je vous le préciser, en mai 68, je ne faisais pas partie de ces étudiants contestataires : mon diplôme de journaliste en poche, je poursuivais aux Langues’O des études de… chinois non parce que maoïste -loin de là- mais parce que, notant que la Chine prenait de plus en plus de place dans le monde, il fallait en connaître la langue et la civilisation. Ce qui fut amusant, c’est que, aux Langes’O et encore moins en cours de… chinois, il n’y eut de grève lors de ces émeutes étudiantes parisiennes ! Et nos professeurs, les maoïstes et leurs costumes avec portrait de Mao et col du même nom, et leurs opposants vivant en France, eux en civil, ont continué à… s’ignorer dignement, se croisant dans les couloirs sans même se saluer ! Je ne sais comment se passaient les conseils de classe ! Mais toujours est-il que personne ne bougeait ni côté enseignants, ni et encore moins côté élèves français dont des… maoïstes ! Ceux-ci participaient aux barricades le soir et moi, en rentrant chez moi après une nuit passée à RTL, j’allais photographier les dégâts perpétrés peut-être par d’autres étudiants de la même année des Langues’O que moi !
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… soixante ans de laxisme, de lâcheté, de trahison et de collaboration
avec l’ennemi de l’intérieur qu’est ce ver parasite islamique qui bouffe
la France de l’intérieur !
Et cela jusqu’à la disparition de notre pays !
effectivement : des décennies de politique criminelle pour tuer la france, avec des lois aussi aberrantes qu’iniques de regroupement familial et droit du sol qui sont les cerises sur le gâteau – pour nous ces énergumènes français de papier ne sont pas des « français » malgré ce que la bienpensance rabâche sans cesse, mais ils sont la providence des partis gauchistes islamo collabo qui en font leur manne électorale jusqu’à ce que leurs chers protégés se retournent un jour contre eux ce qui ne sauraient tarder
J’aurais plutôt dit 50 ans puisque c’est le début des premières vaguent africaine conséquentes.
Ils nous ont viré en 1962, le massacre d’Oran aurait dû être gravé dans les mémoires. Ces musulmans était nos ennemis et ils ne voulaient pas de notre vivre ensemble, alors pourquoi on les a laissé venir, pourquoi on les a laissé s’installer en France, alors que eux ils nous ont foutu dehors. L’Algérie à été faite par les français, ports, aéroports, hôpitaux, assainissement, et… et eux n’ont pas voulu de nous, OK, alors ils font quoi chez nous. Déjà dans les années 70, on avait des problèmes avec eux, mais nos lois les faisaient se tenir tranquille, et les jeunes français n’avaient pas peur de se battre avec eux. Maintenant ils sont trop nombreux et nos juges les soutiennent. Merci l’ue, merci les présidents anti français, c’est votre faute si on en est là.
Oui Jacques ce que vous écrivez est tout a fait juste, il n’y a plus de cadre, plus d’ordre…
Les casseurs, les émutiers, les black-blocks, aujourd’hui ont même des partis politiques qui les soutiennent cad LFI, les écolos, et des électeurs, et surtout une religion qui est l’Islam…..
Pour tetourner tout cela ce sera très difficile…
C’est le résultat de la politique de Hollande, de Macron…., Der Leyen….
Mais aussi d’avoir laissé s’installer et prospérer sans compter des communautés qui, même à la 10ème génération, n’appliqueront jamais les lois françaises. C’est écrit noir sur blanc dans leur coran.
60 ans de laxisme judiciaire grâce à des juges et des avocats d’extrême gauche qui ont pourri l’autorité de la police qui fait son travail de protection de la population française mais les Rouges des tribunaux ont tout fait pour protéger la Racaille étrangère et populariser le laxisme judiciaire.
Depuis les accords d’Évian exactement. Je n’en dis pas plus…