…il n’est inculpé que de « tentative d’homicide involontaire » et envoyé chez les fous.

Les femmes et les filles mécréantes, cibles de l’islam.

Pourquoi cela continue-t-il à se produire encore et encore ? Oui, les agressions sexuelles se produisent partout. Mais il n’est pas rare de voir des migrants musulmans impliqués dans ce genre d’histoire. Pourquoi ? L’une des raisons est que ce type de traitement des femmes infidèles est encouragé par le Coran.

Le Coran enseigne que les femmes infidèles peuvent être légalement capturées à des fins sexuelles (cf. l’autorisation donnée à un homme de prendre des « captives de la main droite », 4:3, 4:24, 23:1-6, 33:50, 70:30).

Le Coran dit : « Ô Prophète, dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants de rabattre sur elles leurs vêtements de dessus. Cela leur permettra d’être reconnues et de ne pas être maltraitées. Et Allah est toujours Pardonneur et Miséricordieux. » (33:59) L’implication ici est que si les femmes ne se couvrent pas adéquatement de leurs vêtements extérieurs, elles peuvent être maltraitées, et que cette maltraitance serait justifiée.

Allemagne.

Trente enfants de l’école primaire étaient présents lorsque Berhan S., 38 ans, a escaladé la clôture d’une école à Berlin et a commencé à poignarder deux fillettes, âgées de sept et huit ans, à plusieurs reprises avec un couteau.

“Lorsque vous rencontrez les infidèles, frappez leurs cous…” (Coran 47:4)

Il a poignardé celle de 8 ans dans le cou et celle de 7 ans à plusieurs reprises dans la partie supérieure du corps.

Les deux élèves, qui fréquentent l’école protestante de Neukölln, ont failli être tuées. La police rapporte que le suspect fumait calmement une cigarette à l’extérieur de l’école avant d’escalader la clôture et de poignarder les deux fillettes qui jouaient au ping-pong dans la cour de l’école.
L’agresseur musulman est né à Berlin. Le nom de Berhan est un nom courant au Moyen-Orient, mais l’Allemagne ne tient pas de statistiques criminelles permettant de savoir si les suspects sont issus de l’immigration par l’intermédiaire de leurs parents.
L’école a été entièrement verrouillée et des agents armés de mitraillettes ont pénétré dans le bâtiment et l’ont fouillé. Les enfants n’ont été autorisés à sortir par la police que plusieurs heures plus tard. Selon les médias, de nombreux enfants étaient en larmes et les parents ont été appelés pour réconforter leurs enfants sur place.

Les procureurs ont demandé que l’homme soit placé dans un hôpital psychiatrique plutôt qu’en prison, ce que le juge a accepté. Selon une porte-parole du ministère public, l’homme semble souffrir de troubles mentaux. (Et c’est reparti pour la fameuse carte musulmane de sortie de prison  : il suffit de dire qu’il souffre de « troubles mentaux »).

La police affirme que l’homme a reconnu le crime. Il a été inculpé de tentative d’homicide involontaire et de lésions corporelles dangereuses. Il a un lourd passé criminel et a été condamné pour agression, infraction à la législation sur les stupéfiants, évasion fiscale et dommages matériels.

L’Allemagne a connu des attaques similaires ces dernières années. En décembre 2022, un migrant africain a poignardé deux jeunes filles de 13 et 14 ans sur le chemin de l’école dans la ville d’Illerkirchberg.
Au début de cette année, un migrant afghan est entré dans une école et, lors d’une attaque ciblée, a poignardé à cinq reprises une fillette de 7 ans à la tête avec un long couteau de boucher, alors qu’elle prenait son petit-déjeuner. Il a ensuite expliqué à la police qu’il avait ciblé un enfant parce qu’il pensait qu’il serait plus facile de poignarder un enfant qu’un adulte qui pourrait se défendre.
En 2021, un Turc a été arrêté pour avoir intentionnellement foncé avec sa voiture sur un groupe d’écoliers, tuant une fillette de 8 ans.

Remix

Cisjordanie 

JPost

Les deux accusés palestiniens, âgés de 17 ans au moment des faits, se sont filmés en train de violer une touriste polonaise et de forcer son compagnon à regarder.

Le tribunal militaire de Tsahal en Cisjordanie a condamné deux jeunes de 19 ans à 14 ans et six ans et demi de prison respectivement et leur a infligé une amende pour avoir violé une touriste polonaise près de Bethléem il y a trois ans.

L’implication d’un autre accusé est toujours en cours de jugement et un autre suspect n’a pas encore été arrêté.

La touriste et son compagnon se sont rendus en voiture à Beit Jala, près de Bethléem, en février 2020.

Les deux accusés, qui avaient tous deux environ 17 ans à l’époque, faisaient de l’auto-stop dans la même région avec deux autres personnes.

Ces derniers ont reconnu le couple et ont bloqué leur voiture pour les faire s’arrêter, tandis que l’un d’eux s’est présenté en prétendant être un policier palestinien.

Les quatre jeunes ont ensuite « arrêté » la touriste et son compagnon, ligotant ce dernier qui les a suppliés de les laisser partir avant d’attraper la victime et de la violer à tour de rôle.

Les accusés ont enregistré une partie de la scène et ont forcé la victime à regarder la caméra, tandis que l’un d’eux tenait un couteau et que l’autre s’assurait que son partenaire ne s’échappait pas. Ils ont ensuite volé l’argent et les bijoux de la victime avant de crever les pneus de leur voiture et de quitter les lieux.

Les deux accusés, alors mineurs, ont été arrêtés par la police de l’Autorité palestinienne, mais ont été relâchés six mois plus tard. Par la suite, l’IDF et la police israélienne les ont arrêtés et maintenus en détention.

« Les actes des accusés ont été commis avec beaucoup de cruauté et d’inhumanité. L’un d’entre eux était même armé d’un couteau », indique le jugement.

« Au cours de l’incident, trois des agresseurs ont commis plusieurs actes de viol, simultanément et l’un après l’autre. La victime était sans défense, elle pleurait et suppliait qu’on lui laisse la vie sauve. Pendant toute la durée de l’incident, aucun des quatre suspects n’a fait preuve d’une once d’humanité, de compassion ou de pitié à son égard ».

Les juges ont également noté ce que les agresseurs ont fait au compagnon de la victime. « Après l’avoir ligoté et laissé à proximité, ils ont même rapproché la victime pour qu’elle assiste de près au viol. Leur méchanceté a persisté même après qu’ils aient été satisfaits. Ils ont photographié la victime dans des positions humiliantes ».

Le verdict indique également que depuis l’incident, la victime a déclaré « souffrir de problèmes de tension artérielle, de difficultés respiratoires, d’un manque de sommeil et ne pas pouvoir dormir sans médicaments. Elle a peur de quitter son domicile seule le soir et souffre d’un stress constant. En raison de ses craintes, elle a déclaré avoir subi une intervention chirurgicale pour retirer son utérus ».

Ils débarquent en Europe et agressent sexuellement les femmes mécréantes.

Le cas s’est produit dans un train qui quittait la gare de Milano Porta Garibaldi pour se rendre à la gare de Monza. Un voyage de quelques dizaines de minutes au cours duquel une femme a été agressée sexuellement par l’habituel immigré.

La victime a eu le réflexe de prendre son téléphone en main et de filmer ce qui se passait, témoignant de ce qui se produit presque quotidiennement mais dont il n’existe aucune preuve visuelle.

« Pousse-toi ! Je t’ai dit de dégager, je vais te dénoncer maintenant », entend-on dire par la femme qui, pour se défendre et repousser l’homme, réussit à le frapper d’un coup de pied. « Tu n’as rien compris, pu…. », dit finalement la femme au migrant, alors que ce dernier, réalisant qu’il a été filmé, puis reconnu, quitte le wagon.

« Qu’est-ce qu’il faut encore qu’il se passe dans la ville pour qu’il y ait une vraie prise de conscience qu’il n’y a pas de sécurité ? Après les agressions, les vols à la tire, les violences et les viols… La castration chimique ! Est-ce que je me trompe ? », écrit l’eurodéputé de la Lega League Angelo Ciocca, qui partage à son tour la vidéo sur ses profils de réseaux sociaux et s’adresse directement au maire Beppe Sala, partisan de l’accueil inconditionnel dans la ville

« Des images qui dénotent la profonde sécurité de celui qui sait qu’en Italie, quoi que l’on fasse, on ne paiera pas la facture », écrit un internaute, soulignant la dérive de trop nombreux clandestins.

Et puis, assez de cette obsession de la castration chimique, qui est une idée de bisounours politiquement impuissants :  ne payons pas non plus les petites pilules des  clandestins. On y va avec des ciseaux, et c’est réglé : la castration physique !

Twitter

Crónica Balear
Un homme de 30 ans, d’origine pakistanaise, a été arrêté pour un crime d’agression sexuelle, après avoir saisi et immobilisé une jeune femme à plusieurs reprises, et s’être frotté à elle.

L’unité de protection de la famille et des femmes (UFAM) de la police nationale a eu connaissance des faits grâce à une plainte déposée par une jeune femme le 23 avril, alors qu’à 2 heures du matin, elle s’apprêtait à ouvrir la porte et qu’un homme, qu’elle n’avait jamais vu auparavant, s’approchait d’elle.

L’homme a engagé la conversation avec la femme et, à un certain moment, s’est placé derrière la victime, l’a saisie avec force par le bras, l’a mise sur le dos et l’a immobilisée.

Il a ensuite poussé la femme contre le mur, simulant la pratique de relations sexuelles, jusqu’à ce qu’il la relâche.

La victime a réussi à ouvrir la porte et a essayé de la refermer après elle, mais l’homme a réussi à l’atteindre et a répété l’action, la soumettant à des attouchements dans les parties intimes, jusqu’à ce qu’il quitte finalement l’endroit après la demande répétée de la femme d’arrêter.

Les agents ont déployé de nombreux efforts et le fruit des investigations a permis d’identifier l’auteur présumé, ce qui a conduit à son arrestation jeudi dernier.

Opindia

Bien que la police ait enregistré une plainte, aucune arrestation n’a été effectuée jusqu’à présent.

Les atrocités contre les hindous pakistanais se poursuivent : un hindou de 50 ans, Amlakh Bheel, appartenant à la tribu des Bheel, a été décapité par des musulmans le 9 mai pour avoir protesté contre l’enlèvement de sa fille, Reshma Bheel, à Shahdadpur, dans le district de Sanghar, dans la province du Sind.

Source image Pakistan Untold

Les proches de la victime décédée ont déclaré que le père de la fille enlevée avait averti les musulmans qu’il allait déposer une plainte contre eux auprès de la police en disant qu’il connaissait une organisation pakistanaise de défense des droits des hindous (Darawar Ittehad), qui proteste contre les enlèvements et les conversions forcées d’hindous dans le pays, en particulier dans les provinces du Sindh et du Pendjab.

Bien que la police ait enregistré une plainte, aucune arrestation n’a été effectuée jusqu’à présent.

S’adressant à The Rise News, Girdhaari Bheel, un parent du défunt Amlakh Bheel, a déclaré : « Au milieu de la nuit, des inconnus sont arrivés pour attaquer Amlakh Bheel. Lorsque les proches d’Amlakh se sont rendus dans les toilettes extérieures après avoir entendu du bruit, les auteurs islamistes se sont enfuis après avoir tué Amlakh Bheel en le décapitant ».

Il convient de rappeler qu’une femme hindoue de 42 ans, Daya Bheel, a été victime d’un viol collectif, décapitée et que ses seins ont été coupés dans le Sindh en décembre de l’année dernière.

Italie.

Un Africain nu bloque la route.

Soirée de travail que celle du dimanche 7 mai 2023 pour les carabiniers de la gare de Cuorgnè qui ont dû intervenir au centre de Borgiallo.

Ici, un Soudanais de 20 ans, suivi d’un groupe, a commencé à errer à moitié nu et à un moment il s’est assis sur l’asphalte de la route provinciale 45, obligeant certains automobilistes à s’arrêter.

La patrouille réussit, non sans mal, à le convaincre de bouger. Il a ensuite été transporté en ambulance à l’hôpital d’Ivrée.

Quelques jours plus tôt, l’Africain avait été impliqué dans l’agression de deux femmes à Banchette (Turin) :

Il quitte l’hôpital d’Ivrea sans aucune autorisation et attaque deux femmes.

C’est arrivé lundi dernier, le 1er mai 2023, dans le quartier Via Roma à Banchette. Le protagoniste est un jeune de 20 ans souffrant de problèmes psychiatriques, signalé plus tard par la police d’Ivrea pour blessures.

Après avoir quitté l’hôpital d’Eporedian – où il était soigné – le migrant a commencé à faire une tournée, arrivant dans la Banchette voisine.

Ici, sans aucune raison apparente, il a d’abord attaqué une fille, la poussant au sol et lui causant des écorchures et la rupture d’une dent.

Et, encore une fois, une dame qui était intervenue pour aider la jeune femme : pour elle un doigt cassé.

L’alarme a été donnée par d’autres passants, qui entre-temps avaient réussi à aider les deux femmes et à empêcher l’homme de les attaquer davantage.

Ridicule.

Les Carabiniers ont ouvert une « salle d’écoute pour les femmes victimes de violences » à  Banchette :

Ils les écoutent puis relâchent leurs violeurs africains à moitié nus. 

Vox

Aujourd’hui, en  rappel des milliers de voyous que nous hébergeons à nos frais dans les hôtels et centres d’accueil, voici une autre histoire d’intégration.

La petite fille s’appelait Ilaria Leone et avait été tuée dans l’accueil généralisé de la gauche immigrationniste en Toscane. 

Sous le coup de trois ordres d’expulsion, un Sénégalais a violé et tué la fillette. Pis, lors du procès, il a eu l’outrecuidance de narguer la mère de la défunte.

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