LA TOUQUETTOISE
Hymne « anational » issu de l’élection présidentielle du 24 avril 2022
Allons ! Enfants de l’Apatride… hideux
Le jour de foire est arrivé !
Contre nous de la petite Marine
Tous ces gars « sans dents » bien élevés ! (Bis)
Entendez-vous dans leurs campagnes
Gémir ces braves petites dames ?
Elles viennent jusque dans vos spas
Vous priver d’orgies et de montagne
Aux larmes, « a-citoyens » !
Portez vos « Chevignon » !
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
Que veut cette horde d’esclaves,
Dans leurs maisons mal isolées ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (Bis)
Français ! Pour vous, ah ! Quel outrage !
Quels transports pour vous déplacer ?
C’est nous qui avons refusé
L’éolienne devant notre belle plage !
Aux armes, assassins !
Sortez de la prison !
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
Quoi ! Des cohortes étrangères
Seraient chassées de leurs mosquées !
Quoi ! Des phalanges salutaires
Terrasseraient nos chers alliés ! (Bis)
Allah, nos mains seraient déchaînées !
Nos fronts de ce joug libérés
De gentils potes deviendraient
Les maîtres de leurs destinées !
Au drame, comédiens !
Perdez toute raison !
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
Tremblez, manants et vous, placides,
L’opprobre de tous les partis !
Tremblez ! Vos projets régicides
Vont enfin recevoir leur prix. (Bis)
Tout est malfrat pour vous combattre.
S’ils tombent, nos jeunes zéro,
La pègre en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre.
Homards, macroniens !
Foie gras aux champignons
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
Nous sommes d’un avis unanime
D’accord pour recevoir des coups !
Qu’importe le sort des victimes,
Tant qu’on arrive à placer nos sous ! (Bis)
Mais cette révolte de prolétaires !
Cette classe moyenne écrasée !
Tous ces cygnes implorent notre pitié,
Et meurent de perdre leur Patrie mère !
A table, mélenchoniens !
La France est une région
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
Amour sacré de la Brigitte
Conduis, soutiens nos âmes sans cœur !
Liberté ! Liberté périe,
A bas avec tes défenseurs ! (Bis)
Gilets jaunes nos suppositoires
Accourent à vos corps défendant !
Et l’inflation va augmentant
Manants, raclez vos fonds de tiroirs !
Ô front « républicain » !
Faites perdre les « Bidochon »
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
COUPLET DES ENFANTS
Nous entrerons dans la carrière,
Quand nos aînés s’y seront tu ;
Nous y trouverons leur poussière
Car de retraite il n’y aura plus. (Bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons de toutes petites feuilles
de paie pour essayer de survivre.
Nous les Européens !
Macron ou Mélenchon
Achetons, achetons
Cent grammes d’or pur…
Et un beau médaillon !
A chanter sur l’air de “La Marseillaise” :
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…Quelqu’un pour chanter ça bien comme il faut, en faire une vidéo (un peu de moqueries à l’image, de préférence?), et partager ça avec nous?
Parce que, Maxime… cette hymne résume tout!
C’est parfait; c’est génial : une oeuvre d’art à chanter en manifestations (pour se foutre des macronistes, tiens!)… si on aura encore le droit de manifester dans le futur?
Sinon, à imprimer et à partager avec nos voisins : ça ne coûte que de l’encre.
(Mais après, c’est vrai que l’encre coûte cher…!)
…BRAVO!!
Merci Emilie, je n’y ai pas passé beaucoup de temps, il y a moyen de faire mieux : plus caustique, plus percutant, pourquoi ne pas lancer un petit concours comme pour les photos illustrant la Macronie ?
et les poètes aguerris que sont Paco et Argo auront sans doute d’excellentes idées à ce sujet
Pour les électeurs moutons , Le Déserteur doit devenir leur hymne, et pour les patriotes obligés de subir Macron à cause de ces même connards de moutons, notre hymne pourrait être Le Galérien.
micron va se faire un pognon de dingue avec les “ventilateurs” maintenant qu’il a remis la rince pour cinq ans. On croyait être arrivés au terminus au 5e sous-sol, mais comme disait “le bon” dans le western : “prends la pelle, tais-toi et creuse !”