Effets secondaires de l’accueil d’Afghans : viol collectif d’une handicapée, d’une mineure de 15 ans…..

Pourquoi cela continue-t-il à se produire ?

Le viol justifié dans l’islam.

Une survivante d’un gang de violeurs au Royaume-Uni a déclaré que ses violeurs lui citaient le Coran et qu’ils croyaient que leurs actions étaient justifiées par l’islam. Il n’est donc pas surprenant que des migrants en France aient violé une jeune fille et aient filmé le viol en louant Allah et en invoquant le Coran. En Inde, un musulman a offert un Coran et un tapis de prière à la femme qu’il retenait captive et violait à plusieurs reprises. Et la victime d’un violeur jihadiste de l’État islamique s’est souvenue : « Il m’a dit que, selon l’islam, il était autorisé à violer une non-croyante. Il a dit qu’en me violant, il se rapprochait de Dieu… Il a dit que me violer était sa prière à Dieu. » En Inde, un musulman a kidnappé et violé une jeune fille hindoue de 14 ans, et l’a forcée à lire le Coran et des prières islamiques. Au Pakistan, une autre chrétienne a raconté que son violeur était également religieux : « Il m’a jetée sur le lit et a commencé à me violer. Il a exigé que je l’épouse et que je me convertisse à l’islam. J’ai refusé. Je ne suis pas prête à renier Jésus et il a dit que si je n’acceptais pas, il me tuerait. » Les violeurs ont exigé que la famille d’une autre fille la leur remette, prétendant qu’elle avait récité la profession de foi islamique pendant le viol et qu’elle ne pouvait donc pas vivre parmi les infidèles.

Le Coran enseigne que les femmes infidèles peuvent être légalement prises à des fins sexuelles,

Cependant, toute personne qui fait remarquer tout cela sera taxée de « raciste » et d’ « islamophobe », et donc ignorée.

Commentaires de Robert Spencer sur les viols justifiés par l’islam, s’appuyant sur des faits réels récents.

Photo : les trois  auteurs afghans

Une femme handicapée mentale est tombée amoureuse d’un Afghan – puis celui-ci a invité ses amis en profiter.

Trois Afghans sont condamnés pour avoir soumis une femme handicapée mentale à un viol collectif aggravé dans une résidence spéciale à Upplands Väsby.
« Je t’aime tellement », avait écrit la femme à l’un des violeurs, qui lui avait fait croire qu’il était son petit ami.

Lisa est âgée de 24 ans et vit à Upplands Väsby dans un logement spécial pour les personnes handicapées qui ne peuvent pas prendre soin d’elles-mêmes.

Lisa est atteinte d’autisme et d’une déficience cognitive, ce qui signifie qu’elle est intellectuellement au niveau d’un petit enfant. Elle a du mal à suivre les conversations, a une perception limitée du temps et a du mal à maintenir son hygiène. Selon le personnel qui l’aide, elle est très naïve, ne sait pas dire non et croit facilement tout le monde.

« Elle a également du mal à comprendre si les intentions de quelqu’un à son égard peuvent être potentiellement nuisibles », est-il indiqué dans un plan de mesures de soutien que la municipalité a élaboré.

En semaine, Lisa se rend dans une garderie municipale où elle fait de la peinture et des activités manuelles. Un jour de mai, lorsque Lisa s’y est rendue, le personnel a remarqué qu’elle était très triste.

– Ils m’ont fait une bêtise, j’ai mal aux fesses. Ils ont utilisé une bouteille de cidre, dit Lisa.

– J’ai crié « ça fait mal », mais ensuite ils ont fait encore plus fort.

Le personnel a rapidement compris que Lisa avait été maltraitée et a appelé la police.

Lors d’un interrogatoire de police, Lisa a raconté qu’un Afghan nommé Abul Fazl Yaqubi, qu’elle appelait son « petit ami », était venu chez elle ce week-end avec un autre Afghan, Esmaili Jawid. Ils ont acheté du vin, du cidre et des boissons gazeuses qu’ils ont offerts à Lisa.

Après avoir bu un peu, Abul Fazl a suggéré qu’ils jouent à « action ou vérité », un jeu dans lequel, lorsqu’une bouteille qui tourne pointe, elle doit soit dire une vérité sur elle-même, soit faire quelque chose que les autres participants au jeu décident.

Lorsque la bouteille a désigné Lisa, les Afghans lui ont dit d’enlever ses vêtements, ce qu’elle a fait. Lorsque la bouteille a ensuite pointé vers Esmaili, Abul Fazl lui a dit de mettre une bouteille de cidre dans le sexe de Lisa.

Esmaili a tiré Lisa vers le bas sur le sol. Pendant qu’Abul Fazl lui tenait les bras, Esmaili a poussé la bouteille de cidre entre ses jambes.

– Et puis j’ai senti une bouteille de cidre qu’ils ont enfoncée, loin à l’intérieur et puis j’ai senti que ça faisait très mal dans le ventre, dit Lisa en interrogatoire.

La bouteille est retirée et remise en place. La deuxième fois, c’est encore pire. Pourtant, Lisa n’ose pas dire non.

– Je n’ai pas osé le dire à un Afghan, je ne peux pas le dire à un Afghan, je sais comment ils se comportent si tu dis non, explique-t-elle.

– Tu peux être battue si tu dis non.

Après avoir violé Lisa avec la bouteille, les Afghans ont enlevé leurs vêtements et lui ont dit d’aller dans la chambre.

A l’intérieur, les abus continuent. Esmaili a des rapports sexuels avec Lisa et introduit à plusieurs reprises ses doigts dans son sexe Lisa se met alors à crier qu’elle ne veut pas. Mais son « petit ami » Abul Fazl fait taire ses cris en enfonçant ses doigts dans la gorge de Lisa.

– Je voulais crier, oui je voulais crier parce que je voulais que les voisins entendent, mais non je n’ai pas pu, dit Lisa à la police.

Au cours de l’enquête, il s’avère que ce n’est pas la première fois que Lisa est maltraitée. Un incident similaire s’est produit un mois plus tôt, en avril. Un troisième Afghan, Shokrallah Shahzad, y a également participé. À cette époque déjà, de l’alcool a été consommé et les Afghans ont joué à action ou vérité avec Lisa. Elle a ensuite été pénétrée non seulement par voie vaginale mais aussi par voie anale avec une bouteille.

– Ils m’ont tirée par terre et ensuite « mon petit ami » [sic !] a tenu mes mains et ensuite ils ont mis la bouteille de cidre dans le derrière et ils m’ont dit qu’ils ne la mettraient pas aussi loin mais que ça faisait mal, que ça faisait mal. J’ai dit non, je ne veux pas, j’ai dit stop, j’ai même crié stop, raconte Lisa,

Lisa est entrée en contact avec Abul Fazl via Facebook en mars de cette année. Les messages extraits de son téléphone par la police montrent qu’elle tombe rapidement amoureuse d’Abu Fazl, qui l’appelle sa « petite amie ». Elle le submerge de notes de tendresse.

« Je t’aime tellement », écrit-elle, suivie d’une longue ligne de cœurs rouges.

« Tu me manques beaucoup chéri, tu es mon merveilleux petit ami depuis toujours. »

« Mon merveilleux petit ami, je t’aime tellement que j’en pleurerais presque de joie. »

Lisa a eu des rapports sexuels qu’elle décrit comme « volontaires » avec Abul Fazl à plusieurs reprises. Cependant, le personnel qui s’occupe d’elle dit qu’elle a « des idées vagues sur ce qu’est le sexe », qu’elle est facilement manipulable et qu’elle veut que quelqu’un s’occupe d’elle.

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Quelques semaines seulement après le viol et le meurtre sauvages de Léonie (13 ans) à Vienne, par trois migrants afghans, une autre agression sexuelle grave sur une jeune fille par plusieurs Afghans suscite la consternation nationale.

Cette fois, le lieu du crime est la jolie ville de  Linz, et certains détails du déroulement des événements rappellent de manière choquante le crime commis à Vienne sur Léonie.

La jeune fille (15 ans) est entrée avec eux dans un appartement partagé par des Afghans. Sous l’emprise de la drogue, les trois migrants ont commencé leur agression sexuelle.

Selon le procureur, il n’y a pas eu d’arrestation et l’enquête se poursuit.

Linz a été à plusieurs reprises le théâtre d’agressions sexuelles et violentes de la part de migrants afghans.

Les Afghans sont manifestement surreprésentés dans les statistiques de la criminalité intérieure.

Selon les médias, une jeune fille de 15 ans a accompagné un « jeune Afghan » dans son logement communal à Linz. Là, la jeune fille a apparemment reçu des drogues – il s’est avéré que c’était pour la rendre docile. Car selon le témoignage des jeunes, le demandeur d’asile et deux colocataires l’ont agressée. Contre sa volonté, les hommes afghans ont ensuite commis de graves agressions sexuelles sur l’adolescente.

Les suspects sont toujours en liberté.

Les suspects sont toujours en liberté. En raison notamment de l’influence de la drogue, la jeune fille ne peut se souvenir que vaguement des incidents. Et, comme dans l’affaire Léonie, les trois Afghans suspects rejettent toute allégation. Aucun d’entre eux n’admet avoir abusé sexuellement de la jeune fille. Le ministère public de Linz se réfère à des enquêtes de police qui sont toujours en cours. En raison de prétendues contradictions, il n’y a pas eu d’arrestation jusqu’à présent. C’est la présomption d’innocence.

Encore et toujours des problèmes avec des Afghans délinquants

Encore et encore, des agressions sexuelles brutales sont commises par des Afghans, notamment dans la capitale de l’Autriche. Une agression en 2018 avait particulièrement choqué, lorsqu’une jeune fille de 18 ans avait été brutalement violée par un Afghan à la gare centrale de Linz en plein jour – rapporte le journal Wochenblick.

Un autre cas, à l’automne dernier, s’est révélé extrêmement perfide, lorsqu’un Afghan (20 ans) a attaqué sa petite amie (17 ans) avec un couteau, puis a forcé la fille gravement blessée à prétendre qu’elle était responsable de ses blessures.

Les demandeurs d’asile jeunes et de sexe masculin originaires d’Afghanistan, en particulier, sont considérés comme peu enclins à s’intégrer dans ce pays. Nombre d’entre eux commettent des délits, et les Afghans sont massivement surreprésentés dans les statistiques de la criminalité intérieure.

https://www.wochenblick.at/sex-tortur-in-linz-drei-afghanen-missbrauchen-maedchen-15-in-wohnung/