On n’en peut plus de ces éternels quémandeurs : ils ne sont jamais contents, n’en n’ont jamais assez. Tout leur est dû et ils se plaignent sur tous les tons.
Voyez les larrons de la photo ci-dessus, brochure sur papier glacé à la main, en cheville avec les associations idoines, sillonnant les rues en petits militants de leur petite personne, faisant le siège des administrations, parvenant à passer dans le journal, pour se plaindre et obtenir… un nouveau logement, plus à leur goût et encore mieux placé !
Et bien voyons ! Ils attendent que l’on vienne leur « déboucher leurs toilettes », comme à l’hôtel, pendant que d’autres doivent se loger dans le privé, voire rester ou revenir chez leurs parents à cinquante ans.
Ces Messieurs-dames du 93 ont un logement social avec tout sous la main : transports, commerces, aux portes de Paris.
Mais comme tout leur est dû, ils trouvent à redire sur la pureté de l’air et les souris :
« Moi, ce que je veux, c’est qu’on soit relogés ! »
Dans l’Est parisien, les habitants de la cité HLM Python-Duvernois, un ensemble de 628 logements situés porte de Bagnolet, à l’est de Paris, construit dans les années 1950 et désormais promis à un vaste programme de rénovation urbaine, doivent composer avec la pollution, l’humidité, et la présence de rongeurs et de nuisibles.
Depuis septembre, ils s’organisent pour obtenir l’amélioration de leurs conditions de vie.
C’est en quelque sorte l’appartement témoin. Celui où se cumulent presque tous les maux de la cité HLM Python-Duvernois, au 8e étage d’une des trois tours massives qui s’élèvent au-dessus des deux barres beiges qui cernent le quartier, Hadja qui vit dans un petit F3 avec son mari et ses deux enfants de 6 ans et un an et demi, est en colère. « Ils disent qu’il faut aérer, mais nous, si on aère, on n’a pas d’air, que de la pollution », s’exclame-t-elle en ouvrant la fenêtre qui donne sur l’échangeur de Bagnolet, qui connecte le périphérique à l’A3, et où se croisent plus de 250.000 voitures par jour. « Depuis qu’on est arrivés ici, on est malades, surtout les enfants », reprend-elle en montrant la batterie de médicaments anti-asthme qu’elle garde à disposition.
Mais ce n’est pas le seul problème de Hadja et sa famille. Dans la chambre, l’humidité noircit de moisissures tout un angle du mur et court du plafond jusqu’à la fenêtre. La pièce est vide, hormis un grand lit. Car la famille a dû mettre toutes ses affaires dans des sacs-poubelles le temps d’un traitement contre les punaises de lit. « On a tout ici : les punaises, les cafards et même les rongeurs, reprend Hadja. Une nuit, ma fille s’est levée pour aller aux toilettes et elle est tombée sur une souris. Alors maintenant, elle a peur. »
Retour au rez-de-chaussée. Au pied de l’immeuble, une vingtaine d’habitants veulent eux aussi raconter leurs conditions de vie. Fatma n’en peut plus de l’humidité. En tout, elle a dû refaire quatre fois sa salle de bains, dont le plafond a fini par tomber en morceau. Le même problème menace désormais sa cuisine. Fatma se plaint aussi des souris, qu’elle piège avec des papiers enduits de colle. « Une semaine, j’en ai retrouvé 13 ! » Elle craint enfin l’ascenseur, dans lequel elle est restée bloquée plusieurs fois plus d’une heure. […]
Betty, une énergique voisine, mène campagne contre les rats, qui prolifèrent depuis des années dans les espaces extérieurs et les locaux poubelles. […] « Je me suis rendu compte que les problèmes dépassaient de loin les questions de rongeurs, il y a un vrai ras-le-bol », raconte Betty. Depuis, régulièrement, les voisins se réunissent pour discuter de leurs problèmes. […]
Mais les voisins, qui craignent d’attendre encore des années avant d’être relogés, n’en voient guère les résultats. Enfin si, « ça va un peu mieux depuis qu’on parle de nous », estime Abdel, dont les toilettes ont été débouchées.
Hadja, qui réclamait depuis juillet un traitement contre les punaises de lit, l’a obtenu en décembre.
On lui a aussi proposé des travaux. Mais elle hésite : « S’ils ne font que repeindre, l’humidité va revenir. Et puis, j’aurais toujours la pollution. Moi, ce que je veux, c’est qu’on soit relogés. »
Cette mère de deux enfants de 11 et 14 ans a averti le propriétaire, Trois Moulins Habitat [HLM], par lettre recommandée le 12 septembre et a averti la mairie.
« Le bailleur social m’a informé par mail qu’une société de désinfection allait venir le 18 septembre pour installer des pièges. Mais depuis, il y en a toujours », assure la Pénivauxoise, qui souffre actuellement d’une longue maladie.
Dans son courrier, elle évoque aussi de diverses malfaçons et de la non-mise aux normes des installations sanitaires : fuite du lavabo, siphon de la baignoire bouché, évacuation de la machine à laver déficiente. « La poignée d’entrée était cassée, il n’y avait pas de clés de boîte aux lettres et la sonnette ne marchait pas », ajoute la locataire, qui souhaite être relogée dans un logement plus sain.
Travaux effectués
« Les précédents occupants avaient des problèmes d’hygiène et il a fallu faire une remise en état de l’appartement avant l’arrivée de la nouvelle locataire, », certifie de son côté le responsable de l’agence sud de Trois Moulins Habitat, qui a investi 6 750 € pour les travaux. Une opération de désinsectisation a eu lieu en mars 2020 pour un montant de 3 300 €. Et comme la loi l’oblige, le diagnostic électrique a été effectué.
« Nous ne l’avons pas laissée tomber »
Ainsi, les interrupteurs, les plinthes, les prises de courant, les éviers et les grilles de ventilation ont été changés. Le sol a même été complètement refait. Des compléments de travaux ont été par ailleurs été entrepris le 21 août dernier.
« Nous ne nions pas les petits désagréments de cette dame mais le logement n’est pas insalubre. Il n’y a pas eu de négligence de notre part et nous ne l’avons pas laissée tombée, contrairement à ce qu’elle affirme, car nous sommes tout de suite intervenus pour le traitement des nuisibles », termine le bailleur social.
Mais cela ne va jamais. A croire qu’ils sont originaires de contrées paradisiaques où l’habitat est parfait.
Je veux, j’exige, j’attends tout du pays d’accueil et je me plains !
Tout y passe : les insectes, les souris dans la cave, et même la vue et la pollution maintenant, écologie oblige.
Quand on pense aux conditions de vie –très dures parfois- de nos parents et grands-parents, qui ont trimé et construit ce pays pour qu’ensuite ces assistés viennent cracher dans la soupe !
Tous ces parasites ne pensent qu’à prendre les raccourcis et profiter du fruit du travail de nos ancêtres en se donnant juste la peine de passer à la caisse.
Mais allez donc au diable voir si l’herbe est plus verte, l’air plus pur !
On ne vous retient pas : retournez dans vos magnifiques pays sans nuisances, où les insectes et les rongeurs n’existent pas, où les logements ont des murs plus droits qu’en France, où les fenêtres ferment mieux, où l’eau courante et les allocs coulent à volonté !
Ces pleurnicheurs ont toujours eu l’habitude d’être entretenus par l’état providence. Ce qui au passage donne un aperçu de la mentalité des gens qui percevront le revenu universel voulu par Macron et les mondialistes du grand Reset : au lieu de compter sur eux-mêmes et de rechercher autonomie et liberté, ils seront définitivement dépendants, asservis et soumis au système. Des citoyens parfaits pour le pouvoir, en somme (voir article RR).
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Faut dire qu’ils ont des complices qui leur expliquent bien les choses dès le début :
Grenoble : un bâtiment du quartier de l’Abbaye occupé par des migrants, avec l’appui du DAL 38, « On est là jusqu’à ce que la mairie va nous loger, nous donner un logement »
https://www.fdesouche.com/2020/12/31/grenoble-un-batiment-du-quartier-de-labbaye-occupe-par-des-migrants-avec-lappui-du-dal-38-on-est-la-jusqua-ce-que-la-mairie-va-nous-loger-nous-donner-un-logement/
Une solution unique s’impose pour résoudre les problèmes d’hébergement de Hadja,Fatma,Abdel,etc…
Quitter le plus vite possible la France (pays de blancs),pour rejoindre (à leurs frais), les pays africains dont ils sont issus !
c’estait tellement mieux au Bled ou dans les bidonville de Dakar !! ou dans les cases en merde de gnou du siné saloum…
« » » » » »Une nuit, ma fille s’est levée pour aller aux toilettes et elle est tombée sur une souris. Alors maintenant, elle a peur. » » » » » » » » » »
dans la maison ou je suis né a Carthage, le jour et surtout la nuit c’était un petit zoo permanent
me souviens d’ une nuit ou allant uriner, j’ ai ecrasé sous mon pied une grosse blatte qui s’ est transformée en bouillie blanchatre collée a ma plante de pied……
Et de ces lézards, je crois des gecko, capables de circuler au plafond ! avec un vendredi soir, ma mère servant le couscous , et un de ces geckos tombant dans le grand bol de bouillon !! personne ne s’ est plaint ( a qui ?), ni même offusqué!
les souris, c’était le problème de Minon, notre greffier, et les rats celui de mon père qui les capturait a la nasse et les noyait…
et nous habitions une grande et belle maison dont les Moulouds ont hérité..avec un puits et une citerne, souvenirs du temps ou il n ‘ y avait pas d’ eau courante
et le « chauffage » se limitait a deux braseros au charbon de bois, plus une brique mise a chaffer sur le feu, puis enveloppée dans des chiffons et qui servait de bassinoire pour aller dormir en hiver…
alors tous ces couineurs emmerdeurs a qui personne n’ a demandé de venir, sauf Giscard, (qui doit pas avoir froid en ce moment en enfer , l’ immonde crapule…QU EST CE QU ILS ATTENDENT POUR DEGAGER ET RETOURNER DANS LEURS PAYS A LA DESIGNATION COMMUNE:
SHITHOLES !!
C’est sûr qu’au bled ils seraient bien mieux traités, mais qu’est ce qu’il attendent pour déménager sous de meilleurs cieux.
Oui mais la bas la réponse aux doléances c’est les coups de trique dans la tronche ça marche pas pareil qu’ici !
Ce mardi j’ai eu de la peine, je sortais du magasin de bricolage et sur le parking j’ai été accosté timidement par un gars me demandant une pièce pour manger. J’ai pris un peu de temps pour lui demander comment en était il arrivé là, histoire classique, divorce, perte d’emploi, chômage et rue. Je ne saurais dire sans hurler de rage, a quel point j’en veux a ceux qui depuis 50 ans se sont succéder à la tête de l’état Français, cinq décennies de collaboration avec l’islam envahisseur principal responsable de la fraude sociale qui pousse inexorablement les plus faibles d’entre nous vers la misère.
Le problème, c’est qu’ils sont eux-mêmes souvent les saboteurs de leur cadre de vie qu’ils ne respectent pas. Une famille arrive dans un immeuble et en quelques mois tout se dégrade, le bâtiment, le sanitaire, la propreté, la sécurité, l’ambiance et je les soupçonne de le faire exprès quand ils veulent déménager pour refaire exactement la même chose ailleurs, c’est tellement plus facile.
Ils seraient tous tellement mieux logés dans leurs merveilleux pays d’origine ? Que n’y sont-ils restés ?Pourquoi restent-ils en France, ce pays raciste ,égoïste, où sévit un monstrueux privilège blanc ?J’avoue ne pas comprendre .Ils pourraient également diriger leurs pas et leurs ambitions dans la péninsule arabique, pays immense et cousu de pétrodollars :ils y seraient tellement heureux !
Pourquoi, mais pourquoi s’incrustent-ils chez nous ?
Il existe pourtant un endroit ou il n’y a pas de pollution , pas de souris ni de blattes , pas de prise électrique ou de sonnette défectueuse ni de chiottes bouchés puisque tout ça n’y existe pas ……ben c’est d’où ils viennent dans le désert ! Les souris et les blattes je suis pas sûr ……..
A lire leurs noms, ces chers contemporains ont un autre passeport dans leur arrière-cuisine. Donc; si la France ne leur plaît pas – retour au blee !
Putain non!!! il n’y a pas à leur demander leur avis!!! Faudrait foutre tout ça hors de France… Français de papiers et les autres….
y a qu’à les renvoyer dans leur bled pourri. ils verront s’ils ont les gogues à la maison
Des rats , en région parisienne il n’y a plus que cela Mais rien ne retiens les mal logés Peuvent toujours foutre le camp et rejoindre des paysages plus agréables Salut
S’ils sont pas contents ils n’ont qu’à retourner au bled car là bas c’est pas des souris qu’il y a mais des rats gros comme des lapins !
qu’ils retournent « vivre » dans leurs beaux et sains pays » ET QU’ILS NE NOUS FASSENT PLUS CHIER «
» Quand on pense aux conditions de vie- très dures parfois – de nos parents et grands parents, qui ont trimé et construit ce pays pour qu’ensuite ces assistés viennent cracher dans la soupe ! «
Merci, et bravo à Jules Ferry pour cette phrase ô combien synthétique et juste !
Combien de logement à Paris intra-muros après la Libération se chauffaient avec un poêle à charbon individuel ?! Dans les quartiers populaires c’était le chauffage de chaque famille. Le « bougnat » livrait tous les dix jours deux sacs de charbons qu’il vidait dans un coffrage métallique en tentant de faire voler le moins de poussière de charbon dans le petit logement. Et les hivers ne s’étaient pas encore adoucis, les thermomètres sur Paris descendaient fréquemment à – 10° la nuit.
L’eau chaude était encore pour beaucoup produite par le feu d’une cuisinière au gaz de ville, sur laquelle on déposait un récipient, tel une petite bassine à lessive, rempli d’eau, ce qui imposait grande vigilance pour ne pas s’ébouillanter lors du transvasement dans la cuvette posée dans l’évier. Il fallait se laver en passant le gant savonneux, puis le gant de rinçage et enfin la serviette de séchage, parties corporelles l’une après l’autre pour ne pas inonder le sol de la cuisine.
Les w.c se trouvaient à chaque moitié d’étage, soit un w.c pour quatre logements dans lequel la plus part des habitants se rendaient pour vider un seau hygiénique fleurant plus
que souhaitable! Vous n’aviez donc pas intérêt d’avoir une ou un voisin éthylique qui pouvait se casser parfois la margoulette dans les escaliers lors de ses transvasements sanitaires. ,Alors, son état ne lui permettant pas de nettoyer l’escalier et la concierge parfois déjà occupée, il fallait se résoudre à slalomer entre les matières fécales en empruntant l’escalier pour rentrer ou sortir de chez soi !
Les gens qui ont des origines d’outre Méditerranée ont bien souvent aucune idée des efforts et contraintes quotidiennes que les Français ont vécus en les assimilant à d’anciens colonialistes profiteurs. Ils ignorent la plus part du temps qu’avant la création des compagnies de Gardes Mobiles et CRS c’était l’Armée qui dispersait certaines manifestations et qu’il n’était pas rare qu’elle chargea à cheval, voire qu’elle utilisa les armes létales ( comme on dit aujourd’hui).
Mais, il est vrai et suicidaire que l’Enseignement n’apprend plus depuis longtemps aux petites têtes blondes et crépues le Vrai Récit National, la Vrai France aimée des Patriotes, !
@Bien le bonjour, d’Alfred : merci pour cette évocation des sacrifices de ceux qui nous ont précédés et à qui nous devons notre confort.
bien le bonjour: j’ ai connu ce que tu decris , quartier Bastille, au tout debut des années 60….je fus hébergé par un oncle maternel qui habitait rue de Lappe
alors c’est lié au Balajo, au Bal des Familles, Chez Eddie, tout autant de caboulots ou le -vrais- Français venaient se detendre le samedi soir et c’ etait la première fois de ma vie ou je voyais des femmes danser, dans la rue avec d’autres femmes !
Et la plupart ont t’oublier qu’ils arrivent de pays où il dormait a même la terre dans des cahutes en paille
Tout à fait mon cher Jules, je vis dans un HLM qui a moins de dix ans donc neuf, la première famille maghrébine à s’y être installé avait ramené des cafards et avait donc infesté tout l’immeuble, la mairie le savait mais n’avait rien fait à l’époque, c’est ce que m’avait dit le concierge breton qui a démissionné depuis et donc remplacer par une société de nettoyage arabo-musulmane.
Je suis dans une résidence où des HLM sont mélangés avec des immeubles de propriétaires privés, dans le bâtiment que j’occupe nous sommes que deux locataires européens le reste est afro maghrébin musulman, dans les parties privées les proprios revendent en masse et certains apparts sont rachetés par l’État pour y loger du migrant fraîchement débarquer.
Bref le quartier est perdu, entre des étudiants gauchistes et le tiers-monde cela devient invivable pour le patriote nationaliste que je suis, donc la fuite reste la seule solution possible !!
Désolant de lire ce que vous vivez Christophe.Ce qui me révolte c’est que les Français d e souche ne trouvent pas à se loger, que nos SDF sont toujours dans la rue. Ces maghrébins qui se plaignent n’ont qu’à repartir au bled, endroit qu’ils n’auraient jamais dû quitter. Comment voulez-vous que tout cela se termine : dans la guerre civile qui nous pend au bout du nez.
Pardon : pas « guerre civile », mais « guerre interne ». Car je ne considère pas ces envahisseurs et occupants hostiles comme des « citoyens » français.
c’est vraiment la déchéance programmée !! la décadence voulue par nos zélites qui se gardent bien de vivre ce qu’ils imposent aux autres,
avant leur jugement, il faudra leur imposer six mois en hlm,
oh ! comme j’aimerais y voir le vilain Mélanchon !!! et l’arrogant mi-con avec sa mémé !!
@Christophe L
Bon courage…(suis très sensible aux pbs d’habitat qui conditionnent tellement de choses).
j,ai achete un appart de 74m en 90 dans une copro de 24 appart construit en 70……depuis
les premiers qui ont achetes sont decedes ou vendu……qui sont les nouveaux copro…..des cpf qui ont tous les droits…….c,est le bordel depuis 3..4 ans………
Mon menu pour le réveillon de l’an 21 sera on ne peut plus privilégié,
une poignée de lentilles,
une tartine mesurée de beurre
et une toute petite pomme.
en vrai ?
et bien entendu , il s’agit de « citoyens » importés,
dites-moi un peu comment on peut se débrouiller à boucher des chiottes, c’est la première fois que j’entends un truc pareil, ils y ont jeté une peau de mouton ?
et les punaises, ça arrive direct d’Algérie , par valises pleines,
S’ils nettoyaient et désinfectaient leurs logements, au lieu de pisser dans l’ascenseur et de jeter leurs merdes dans les escaliers ??
Des centaines de Français attendent des logements sociaux, et quand ils arrivent à en avoir un, ils le reçoivent en l’état, rien n’est fait pour eux,
par contre quand ils en partent, leur logement a été refait par leurs soins et à leurs frais
Bonjour frejusien .
Tout à fait d’accord , je leur en foutrait d’avoir mieux à ces clandestins
Et pendant ce temps là les français n’ont pas de logements pour leurs enfants. Les enfants restent chez les parents jusqu’à 30 ans parfois avec femmes et enfants. Et certaines familles françaises attendent un logement social pendant 10 ans. Tout ça parce que les personnes issues de l’immigration avec familles nombreuses, même polygames, seront toujours prioritaires dans ce pays. La France est le seul pays où les privilèges ne vont jamais aux ressortissants, qui paient des impôts toute leur vie pour l’immigration non choisie, non contrôlée, qui nous pourrit la vie et n’est jamais satisfaite.
merci qui ? VGE
Et les suivants également .Depuis Pompidou, qui a vendu notre souveraineté monétaire, pas un seul de nos « gestionnaires » successifs n’a aimé la France. Chacun à sa manière a oeuvré pour la trahir, la ruiner, la défigurer. Et ça continue de plus belle.