Oui, on recule… jusqu’au « stalag » :
Opinion politique, activité sur les réseaux sociaux, comportement religieux ou données de santé : autant d’éléments qui pourront désormais être collectés dans les fichiers du renseignement selon trois décrets passés sous les radars de la presse.
c’est ce que permettent désormais trois décrets du ministère de l’Intérieur publiés dans la matinée du 4 décembre et consultables dans le Journal Officiel.
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042607323
Les trois textes prévoient également tout un arsenal de mesures de surveillance comme la possibilité de ficher des individus selon «des opinions politiques, des convictions philosophiques, religieuses ou une appartenance syndicale». La nuance est donc importante puisque la précédente version permettait le fichage des individus selon leurs activités, et non pas de leurs «opinions».
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Opinion politique, activité sur les réseaux sociaux, comportement religieux ou données de santé : autant d’éléments qui pourront désormais être collectés dans les fichiers du renseignement selon trois décrets passés sous les radars de la presse.
Recueillir une somme importante d’informations sur l’opinion politique de personnes «pouvant porter atteinte à la sécurité publique ou à la sûreté de l’Etat», des pseudos Twitter, des données de santé, des éléments de comportement religieux : c’est ce que permettent désormais trois décrets du ministère de l’Intérieur publiés dans la matinée du 4 décembre et consultables dans le Journal Officiel. S’ils sont passés relativement inaperçus dans la presse (à quelques rares exceptions près), ces textes renforcent pourtant significativement les méthodes allouées au renseignement territorial… et suscitent des questionnements quant aux objectifs poursuivis. Portant sur le «Fichier de prévention des atteintes à la sécurité publique» (PASP), la «Gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique» (GIPASP) et les «Enquêtes administratives liées à la sécurité publique» (EASP), ces décrets élargissent considérablement les possibilités de surveillance de toute personne présentant un risque pour l’ordre public, à savoir non seulement les individus radicalisés mais aussi des manifestants violents, ou encore des hooligans, comme l’explique le site spécialisé NextInpact. Cependant l’expression utilisée dans le décret PASP pour désigner ces personnes reste très générale et pourrait concerner, en théorie, de nombreux cas.
Les trois décrets font ainsi référence au fichage des individus dont les activités seraient «susceptibles de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou de constituer une menace terroriste portant atteinte à ces mêmes intérêts». Ficher des individus selon leurs «opinions politiques [et] religieuses» Afin de préserver la «sûreté de l’Etat», les trois textes prévoient également tout un arsenal de mesures de surveillance comme la possibilité de ficher des individus selon «des opinions politiques, des convictions philosophiques, religieuses ou une appartenance syndicale». La nuance est donc importante puisque la précédente version permettait le fichage des individus selon leurs activités, et non pas de leurs «opinions».
Les décrets PASP et GIPASP ajoutent en outre la possibilité de ficher «des données de santé révélant une dangerosité particulière». Il s’agira, pour les services de renseignement, de prêter attention aux «données relatives aux troubles psychologiques ou psychiatriques obtenues conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur». Quant aux destinataires de ces données, les agents des services de renseignement, les policiers et gendarmes, mais aussi (nouveauté) les procureurs, pourront tous accéder à ces fichiers de surveillance. Surveillance accrue sur les réseaux sociaux Un autre point qui soulève bien des inquiétudes est la surveillance des «activités sur les réseaux sociaux». Une grande nouveauté qui ne figurait pas dans le précédent décret. Elle permet aux forces de l’ordre de recueillir les identifiants et pseudonymes utilisés sur les réseaux sociaux, par des individus surveillés, à l’exclusion des mots de passe
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La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) précise que, «seules les informations mises volontairement en ligne par leurs propriétaires en source ouverte, sans qu’elles soient conditionnées à un accès particulier, pourront être consultées et collectées». Parmi les autres points énumérés dans le décret de 2020, citons, outre le fichage des liens avec «des groupes extrémistes», les éléments ou signes de radicalisation, ou encore la détention d’armes, la possibilité pour les fonctionnaires du renseignement territorial de répertorier des éléments concernant les «pratiques sportives», la détention «d’animaux dangereux» et même, élément nouveau, des données relatives à des «facteurs de fragilité», comme les «facteurs familiaux, sociaux et économiques» ou les «addictions». Vers une «société de surveillance généralisée»?
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Peu médiatisée, la publication de ce décret relatif à la sécurité intérieure n’a pas manqué de faire réagir, notamment à gauche. Pierre Jacquemain, le rédacteur en chef de la revue Regards, accuse le gouvernement de vouloir «surveiller plus encore ses opposants», et cela «sous couvert de lutte antiterroriste». Dans son édito du 6 décembre, le journaliste dénonce «une atteinte de plus à la liberté» et s’interroge sur l’identité des personnes qui pourraient être surveillées par les services de renseignement. «Parce que de Mediapart à la LDH [La Ligue des droits de l’Homme] en passant par la France insoumise ou l’UNEF [Union nationale des étudiants de France], ils sont nombreux à être dans le viseur du gouvernement», s’inquiète Pierre Jacquemain. «Que feront-ils de ces fichés-là ?», questionne le journaliste à l’adresse des services de renseignement.
Souriez, vos opinions sont fichées. Passé inaperçu, un décret du gouvernement publié la semaine dernière, permet désormais de ficher les Français selon leurs opinions. Mon édito ⤵️https://t.co/Nlqt76YAkm
— Pierre Jacquemain (@pjacquemain) December 7, 2020
Même inquiétude grandissante du côté d’Amnesty France où Anne-Sophie Simpere, chargée de plaidoyer Libertés pour l’ONG, s’interroge aussi sur le nombre d’individus pouvant être fichés. «Qui d’autre sera fiché ? Les personnes « morales ainsi que des groupements ». Comprendre : les associations, vous êtes aussi concernées», s’insurge, sur Twitter, la membre d’Amnesty France.
[ ATTENTION ] Par décret la semaine dernière, @gouvernementFR vient de s’autoriser à ficher les personnes en fonction de leurs opinions politiques, leurs convictions philosophiques, religieuses ou leur appartenance syndicale. #surveillance
Thread ⤵️ pic.twitter.com/hzzWQBfZbl— Anne-Sophie Simpere (@asimpere) December 5, 2020
La chargée de plaidoyer invite même ses abonnés à se poser cette question en guise de «jeu pour le weekend» : «Combien d’entre nous pourraient être fichés selon ces critères ?»
Manon Aubry, eurodéputée La France insoumise, voit pour sa part dans le décret gouvernemental du 4 novembre, un «nouveau cap franchi dans la société de surveillance généralisée et la dérive liberticide et autoritaire».
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/81522-fichage-individus-selon-leurs-opinions-politiques-autorise-par-decret
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Contrôler les citoyens normaux et qui n’ont pas de sang sur les mains, voilà dans quelle direction va leurs décrets.
Anti France anti chrétien pour l’essentiel.
A Romain
Il ne s’agit pas de contrôler des islamistes, amis du gouvernement, mais de contrôler les patriotes, populistes et autres dangereux malfaiteurs, dont vous et moi, peut-être.
oui durandurand nous sommes en dictature bolchevique depuis quelques années déjà !!
Ceux qui nous dirigent en sous mains sont les mêmes qui ont établi la dictature en Russie en 1917! ce sont les milliardaires cosmopolites kabbalistes.
vous avez raison mais il faut souhaiter que les identitaires soient un peu plus malins comme il se doit dans une dictature Orwellienne
Je comprends que ça inquiète Amnesty International : ils vont être gênés dans leurs actions d’aide aux terroristes menacés par POUTINE tel Ahmed Tchataev.
Quoi inventer pour déceler les futurs islamistes et les empècher de nuire?donc l’on élargit les critères afin de faire plus important car jusqu’ici il est impossible se savoir quel individu dont la religion est l’islam va passer a l’acte !c’est tout simple mais l’on va me traiter d’islamophobe
1_tous ceux qui envoient leurs enfants dés l’age de 3ans chez L’imam!
2_supprimer l’invasion de notre pays de toutes les personnes dont le pays est dirigé par les imams et qui tuent les chrètiens!
3_étudier la famille de tous les Muzz condamnés par notre loi et dont les prisons débordent !déchéance de nationalité du clan!
4_renvoi immédiat de tous ces individus dans leur pays d’origine et si refus de les accueillir dans une ils inhabitée avec un bateau de marine nationale qui patrouille autour !
5_déchéance de la nationalité française de tous les bigames et plus et tous ceux qui fraudent et pillent notre sécu l’équivalent du budget de notre défense nationale!voila que d’économies plus d’émigrés Muzz!Avant d’étre muzz tout le maghreb était copte ,qu’ils redeviennent ce qu’ils étaient avant!
@ Juste , d’accord avec vous !
Bof ce n’est que la légalisation de ce qui se fait depuis déjà longtemps : si vous n’êtes pas soumis à la pensée unique vous êtes considéré comme terroriste et donc traité comme tel. alors que les terroristes, les vrais, eux sont protégés et gavés de nos impôts !!! immonde !
J’en ai strictement rien à foutre de leur fichage. Ils ne sont même pas capable d’arrêter des terroristes avant qu’ils passent à l’acte. Alors leurs fichages ça ne me fera pas un troisième trou à mon cul ! Si ils croient que ça va faire peur aux gens leur système de fichage, ils se mettent le doigt dans l’oeil !
le Big-Brother en Démoncrassie
qu’est cette Ripoublique
c’est Mauvais-0eil Maçonnique
Alain Bauer en sait quelque chose
ce Grd Me Franc-Maçon l’a lui
le mauvais oeil Baphométique
Désolé de vous contredire, un tout petit peu,
Ben non, le stalag, ce n’est pas pour maintenant, ça fait plus d’un demi-siècle que je m’y sens enfermé, et ce n’est pas ma récente «audition préliminaire» et mon rappel à la Loi, comme si j’avais démoli une vitrine, qui me feront changer d’avis.
Quand à Duranddurand, je lui dirai que la guerre civile n’est pas proche, elle est en action!
Nous avons intérêt à préserver nos abatis et à surveiller notre environnement et à nous entourer de gens sûrs (?), quoique, par ces temps de délations, c’est un exercice pour le moins périlleux.
Enfin, il faut vivre dangereusement, ….
Salutations patriotiques à toutes et à tous,
Gérard
Et dire qu’il y a encore nombre important de con citoyens qui pensent que nous sommes encore un pays démocrate , les cons ils ne savent pas que la France est devenue une Dictature , et que la guerre civile est toute proche très proche .