Retour vers le futur ? Je me sens très churchillien…

Retour vers le futur ?

Ce qui suit est un extrait du discours que prononça Churchill le 4 juin 1940

http://classiques.uqac.ca/contemporains/churchill_winston/we_shall_fight_on_the_beaches/we_shall_fight_on_the_beaches_texte.html



L’extrait :



Nous pensons qu’il est nécessaire de prendre des mesures de plus en plus strictes, pas seulement contre les ennemis étrangers et les membres trompeurs d’autres nations, mais aussi contre les sujets britanniques qui peuvent devenir un danger ou une nuisance. 

Je sais qu’il y a beaucoup de gens qui sont des ennemis passionnés de l’Allemagne nazie et qui sont affectés par les ordres que nous avons donnés. 

Je suis profondément désolé pour eux, mais nous ne pouvons pas, à ce moment et sous cette pression, établir toutes les distinctions que nous aimerions faire. 

Si des combats féroces suivaient, ces pauvres gens seraient beaucoup mieux hors du chemin, pour leur propre bien ainsi que pour le nôtre. 

Il y a une autre sorte de gens pour laquelle je ne ressens aucune sympathie. Le parlement nous a donné les pouvoirs pour faire cesser d’une main ferme les activités de la cinquième colonne, et nous allons utiliser ce pouvoir sans la moindre hésitation jusqu’à ce que nous soyons satisfaits, et plus que satisfaits, que cette malice en notre sein soit bel et bien éradiquée.  

Nous irons jusqu’au bout, peu importe ce qu’il en coûtera, nous nous battrons sur les plages, nous nous battrons dans les champs et dans les rues, nous nous battrons dans les collines ; nous ne nous rendrons jamais. 




Je dois dire qu’aujourd’hui, je me sens profondément churchillien ! 

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7 Commentaires

  1. Complément pour Anne, je sais que tu as un souci courriel, mais n’hésite pas à nous proposer un article pour la rubrique cinéma du dimanche en le laissant comme commentaire et en signalant au début : pour la rubrique cinéma.

  2. Oui, nous sommes devenus un pays de lâches, d’individualistes, d’égoïses, nous avons perdu toute dignité humaine et nos ennemis se foutent de nous car ils savent bien qu’ils n’ont rien à craindre d’un peuple de mollusques qui tremble devant un virus de pacotille. Ah, il est loin le temps ou la France se faisait respecter car elle en imposait, elle n’avait pas besoin de dire grand chose, c’était une référence et elle brillait comme un soleil.

  3. Dans tous les pays il y a des lavettes et des cloportes, cela ne nous autorise pas à etre comme eux, ils ne sont pas une excuse .

  4. Coïncidence. Etant donné que la télé est devenue imbuvable et que j’adore écouter des histoires, le soir (vers 18h, il est vrai que je me lève avant 05h00) après ma journée de travail (jardin, écrire, peindre, musique) je m’installe dans mon fauteuil préféré devant le feu ouvert, avec mon chien et je regarde un DVD de notre collection, de bons films.
    L’autre soir je me suis régalée avec « Ascenseur pour l^échafaud » ça c’était du cinéma !
    Hier j’ai regardé le film « Darkest Hour » les heures sombres de Joe Wright de 2018 qui raconte comment le vieux Churchill (65 ans) a été nommé premier ministre en catastrophe. Ses discours à la nation vont même à l’encontre de la réalité, il ira jusqu’à mentir pour vraiment imposer à ses concitoyens le courage et la volonté de lutter et résister alors que tout semble perdu. Je me suis dit que voilà un film que tout le monde devrait écouter au lieu du défaitisme que je lis dans de trop nombreux commentaires.
    Il serait intéressant que RR publie une rubrique cinéma comme elle publie une rubrique musique, pour nous rappeler l’exemple de ces personnalités qui n’ont pas cédé, même quand tout semblait perdu .

  5. être né dans un pays de lavettes et de cloportes qui ont élu des branques et des traitres depuis 50 ans.

  6. Churchill, Poutine, Trump, Orban, Bolsonaro, tous des noms qui font rêver. Tous des noms qui aiment leur pays.
    Nous, nous avons les vomissures des Macrons, Veran, Le Driant qui veulent voir crever notre pays et le remplacer par le premier pays européen entièrement musulman et retourner 1.000 ans en arrière.
    Mais, bon sang de bonsoir, qu’ais-je fais au Bon Dieu de m’avoir fait naître dans un pays de pourris, de traîtres, de merde, d’imbéciles au dernier degré, d’égoïsme, de jaloux, d’assistés, d’islamophiles.
    Que Lui ai-je donc fait ?

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