Ci-dessus, illustration choisie par Bouteldja pour illustrer la page facebook signalant son départ.
Le vent tourne…
Même si Macron court à perdre haleine pour aller plus vite que l’histoire et pour lui faire un croche-pied, le vent tourne… Lentement, infiniment lentement, trop lentement… mais il tourne.
Il est une multitude de signes que le processus de renversement du « progressisme » incarné par Macron commence, insidieusement. Je ne sais combien de temps les forces qui se lèvent mettront à renverser les mondialistes immigrationnistes islamophiles, mais le processus est en marche. J’espère juste que la Reconquista ne mettra pas 700 ans cette fois.
Quelques exemples…
-La chronique de Zemmour, établie, indiscutable…pour la deuxième année. Qui eût pensé cela possible en 2015, malgré les gravissimes attentats de cette année-là ?
-Sur CNews, toujours, un Pascal Praud depuis en plus révolté contre les excès des écolos, des islamistes, par la gestion du Covid, et qui le crie.
-Une Ferrari, notre ennemie déclarée, à nous les Résistants, adoucie, écoutant avec respect et bonheur un Raoult et un Toussaint et fustigeant un Blachier.
-Des dénonciations claires et nettes, sur les plateaux et même aux Grandes Gueules, si politiquement correctes, des manipulations macroniennes, de celles des gauchistes et autres BLM, des
-Des voix de plus en plus nombreuses se lèvent, osent se lever malgré les censures, les condamnations morales, les morts sociales, les condamnations pénales… La voix de Zineb, inlassable, celle du sénateur Jacqueline Eustache-Brinio, rapporteur de la commission d’enquête sur l’islam au Sénat, où elle s’était accrochée avec Darmanin et avait encouragé Zineb… sont ouïes sur le petit écran.
-La société qu’ils sont en train de nous concocter est si horrible qu’elle commence à faire plus peur que le risque de tout perdre. Du Danemark à la Hongrie en passant par l’Angleterre de Tommy Robinson, les Résistants se donnent la main pour dire, dénoncer, inlassablement.
https://resistancerepublicaine.com/2020/10/07/suede-le-journaliste-gunnar-sandelin-decrit-un-pays-foutu-qui-ressemble-a-la-france/
-Le message le plus clair nous vient d’ailleurs de Grande Bretagne où, pour la première fois dans nos pays tenus par des gauchistes, un premier ministre combat la censure, les manipulations, le harcèlement, bref, le délit d’opinion.
https://resistancerepublicaine.com/2020/10/06/boris-johnson-interdit-les-pratiques-gauchistes-de-harcelement-et-de-propagande-transgenre-a-lecole/
-Les députés LREM quittent peu à peu le navire, les uns comme Taché-Goebbels pour s’attacher à pire encore, si c’est possible, aux écolos-fachos mais d’autres pour prendre de la distance et oser démolir la politique du gouvernement, comme Martine Wonner
Les dégénérés sont tellement ivres de se croire au pouvoir et prêts à imposer leurs idées folles qu’ils se lâchent ce qui ouvre les yeux du Français moyen, on pense aux sapins de Noël interdits à Bordeaux, à Coffin qui veut blesser et exterminer tous les hommes…
-Les Américains disent clairement merde à tous les gauchos qui font le maximum pour faire de Trump un pestiféré et osent crier leur amour à « my President » devant l’hôpital où il était soigné.
https://resistancerepublicaine.com/2020/10/04/fabuleux-des-milliers-damericains-masses-devant-lhopital-crient-leur-amour-pour-trump-we-love-trump/
-Les Républicains sont majoritaires à la cour suprême… ce qui va compliquer la tâche des tricheurs si Trump n’était pas élu et faisait un recours…
https://resistancerepublicaine.com/2020/10/02/bonnes-nouvelles-du-vendredi-coup-dur-pour-les-puissants-pedophiles-lies-a-laffaire-epstein/
-Les Gaulois retrouvent la dérision, l’humour, l’esprit, le pouvoir du rire et le devoir de pousser des coups de gueule… Que ce soit la Bajon, Lapin taquin, Karim Duval, Gérard Boyadjian ou ces milliers d’anonymes qui, chaque jour, crient leur révolte sur le net… La colère est perceptible, la révolte couve. C’est sans doute pour cela que Macron-Véran nous inventent une épidémie inexistante pour nous confiner, terrorisées, hallucinés derrière notre muselière, interdits de réunion...
Liste non limitative à laquelle on ajoutera la déclaration ci-dessous de la furie musulmane indigéniste Houria Bouteldja qui quitte le PIR justement parce que cela commence à être trop dur, parce que même des gens proches du pouvoir dénoncent le rôle des Frères musulmans et des « Indigènes de la République » et que ces derniers commencent à sentir le pétrole, à être infréquentables, après avoir fait la loi dans les facs et autres organisations de formation des profs…C’est un signe indubitable que le vent tourne…
Quand les rats quittent le navire…
Démission du PIR
Il est temps pour moi de tirer ma révérence. Je quitte le PIR.
Je prends cette décision non sans une certaine tristesse mais avec beaucoup de lucidité. Nous sommes aujourd’hui à la fin d’un cycle. Le PIR que j’ai eu l’honneur de co-fonder il y a 15 ans avec Sadri Khiari, Youssef Boussoumah, Mehdi Meftah, Atman Zerkaoui et d’autres est sûrement l’organisation politique autonome de l’immigration qui laissera le plus de traces et le plus grand héritage théorique et politique en France depuis les années 80. Je ne verserai pas ici dans une hypocrite fausse humilité. Je pèse chaque mot que j’écris. L’émergence du mouvement décolonial est la plus grande réussite politique, en France, depuis la chute du mur de Berlin et l’apparition du mouvement écologique. Ce que le PIR a apporté dans l’action, la réflexion, la propagande, la théorie, en un mot, dans la stratégie, marque un tournant, pas seulement pour la possibilité d’un mouvement autonome indigène, mais pour l’essor de tout le mouvement révolutionnaire. Nous avons forgé des armes pour tenter de résoudre la question de l’unité des classes prolétaires (majorité décoloniale) sur la base de la notion de « races sociales », de l’antiracisme et de l’anti-impérialisme avec comme tout bagage une foi inébranlable et autant de moyens qu’une bande de clodos. C’est un apport majeur qui n’a pas fini de produire ses effets, par-delà les vicissitudes d’une période pour le moins chaotique, déconcertante et effrayante. Tout cela s’est fait dans un mélange d’audace, de panache, de provocation, de défiance, mais aussi dans l’amour des nôtres et des Blancs même si ces derniers sont rares à le savoir.
Bref, aujourd’hui le PIR rayonne dans toutes les universités et les milieux antiracistes occidentaux – notamment grâce au réseau décolonial international (DIN) – où il est cité en exemple et où je suis considérée comme une véritable théoricienne décoloniale. Il est aussi reconnu, bien que dans une moindre mesure, dans certains pays du sud. Sauf en France, cela va sans dire, où je suis considérée comme une sorcière, jusque chez les féministes qui dénoncent… la chasse aux sorcières. La boucle est bouclée.
Avec mes frères et mes sœurs de lutte, nous avons toujours tenu à privilégier un langage franc et sans détour qui refuse obstinément de fuir le réel au risque parfois de heurter ou de creuser l’incompréhension. Nous nous sommes cognés maintes fois sur le mur épais de la résistance blanche, comme nous nous sommes cognés à celui, à peine moins épais, de l’intégrationnisme indigène sous toutes ses formes. C’est dans ce paysage hostile qu’il a fallu chercher les chemins d’une dignité éprouvée, terrée, cachée, réprimée, mais toujours visible et prête à bondir pour tout œil tendre et empathique.
Les lâches ont été nombreux, les hypocrites et les calculateurs tout autant. Blancs ou indigènes. C’est à eux qu’on doit le développement de notre sens aigu de la ruse, de la manœuvre et du billard à dix bandes. Mais dans le tas, il y a eu des rencontres exceptionnelles, des fous sublimes et de belles âmes, militants ou anonymes. Entre les deux, il y a ceux qu’on a déçus pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Si la déception est justifiée, je le regrette.
Aujourd’hui, toutes les portes nous sont fermées. Devenus trop radioactifs, nous sommes même un fardeau pour nos amis, qui n’ont d’autres choix que de devenir radioactifs à leur tour ou devenir des « traîtres de raison ». C’est la fin d’un cycle qui a connu la naissance et l’épanouissement spectaculaire de l’antiracisme politique. Mais son apogée et ses succès ne pouvaient pas ne pas s’accompagner du sacrifice de l’organisation qui s’est trouvée être le cœur palpitant et la cheville ouvrière de ce phénomène politique, d’un sacrifice à la hauteur de l’affront, à la hauteur du crime de lèse-blanchité. Chacun, en toute responsabilité, a joué un rôle plus ou moins heureux dans cette histoire. Aussi, si j’avais un dernier vœu à formuler, il serait le suivant : je souhaite que celles et ceux qui n’ont pas jugé utile de nous honorer le temps de notre existence, s’abstiennent de le faire le jour où le Tout Puissant nous rappellera à lui. « Aimons-nous vivants » comme disait la chanson. Question d’éthique.
Maintenant, il faut savoir partir. Autant le faire dans l’honneur et éviter, autant que faire se peut, de finir dans la fange ou d’assister au triste spectacle de la dégradation d’un outil conçu pour la libération des indigènes. Aussi, je préfère me faire hara-kiri que de laisser aux traîtres ou à l’ennemi la jouissance d’avoir porté l’estocade. S’il plaît à ces derniers de croire qu’ils y sont pour quelque chose, je leur laisse volontiers à cette triste consolation. Je pars sans amertume et avec la fierté de n’avoir jamais été ferrée par les Blancs de gauche et leur bonne conscience qui leur fait office de dignité.
Je veux dire aussi – comme l’atmosphère est plus islamophobe que jamais – à quel point je suis attachée à l’islam et à notre Prophète (sws) même si je ne suis pas la Musulmane idéale dont rêve ma mère. C’est sûrement cette identité profonde qui m’interdira de capituler et me permettra de faire les choses autrement. Si Dieu veut, d’autres voies s’ouvriront.
Nous sommes un certain nombre à partir (et ils s’exprimeront s’ils le souhaitent), d’autres restent. C’est ce qui empêchera la dissolution du PIR qui est l’option que j’aurais défendue si elle avait été approuvée par tous. Ce n’est pas le cas. Je ne peux que souhaiter bon courage à ceux qui poursuivent l’aventure.
Je remercie les derniers piriens, celles et ceux qui partent, celles et ceux qui restent. Je remercie mes précieux frères et sœurs du DIN, et Ramon Grósfoguel en particulier. Je remercie Stellix et La Fabrique, ainsi que les frères et sœurs de Bruxelles. Je remercie les derniers Blancs/Juifs, ceux qui ont résisté jusqu’au bout et qui ont été à la hauteur des défis de leur temps. Vous êtes ma famille.
Avec tout mon amour révolutionnaire,
Attention, je ne vous dis pas que vous pouvez sortir faire la fête comme à la Libération… pas encore.
Je ne dis pas que tout va bien, Macron et les autres dégénérés sont encore là, et ils mettent les bouchées doubles, ils se dépêchent de changer nos lois, notre société, notre école, d’imposer la discrimination positive et la diversité partout, même au sommet de l’Etat, de transférer notre souveraineté à Bruxelles quand ce n’est pas à Soros ou à Biden, de faire disparaître la liberté d’expression…
Mais un contre-pouvoir, une contre-société commence à émerger et à épauler ceux qui, depuis des lustres, sont diabolisés et condamnés pour avoir dit la vérité, que ce soit Eric Zemmour, Renaud Camus, Pierre Cassen, moi-même et pas mal d’autres. On se sent encore très seuls mais peut-être un peu moins qu’avant… C’est un bon début, non ?
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Il n’y a quasiment plus d’armée. Merci monsieur Chirac.
Il y a quelques années mes commentaires sur Figaro pretium étaient souvent écartés par la charte; Maintenant j’ai le bonheur de lire des choses impensables écrites il y a peu . Les mentalités dans les médias changeraient elles?
Sous la pression du petit peuple ? L’histoire des deux flics flingués par leurs propres armes,
un scénario jamais entrevu dans les séries policières . Il est temps , grand temps de reprendre ces territoires perdus de la république. L’armée doit , sous les ordres de sa hiérarchie se donner les moyens d’investir et de redonner les droits et les devoirs citoyens .
De toutes façons, ils sont tellement cons qu’ils se bouffent entre eux, pas de problème, c’est génial .
Elle se tire du PIR, tant mieux. Moi je voudrais qu’on la vire de l’ I.M.A. ELLE EST SALARIÉE AVEC NOTRE ARGENT, l’argent des fonds publics qui renflouent l’IMA régulièrement, et à mon avis c’est parce qu’elle a peur pour sa petite niche qu’elle quitte le PIR… malgré le soutien de ce $$$$ de Jack Lang ,ce serait une bonne chose de le virer lui aussi.Virez-les à coups de pompes, (toutes virtuelles bien sur), virez-les; qu’ils gagnent leur pain à la sueur de leur front, ces gens.(évidemment , pour Lang, qui a bouffé à tous les râteliers, c’est un peu tard. mais mieux vaut tard que jamais, qu’il prenne sa retraite, à la fin).
Elle n’a jamais cessé de profiter de la France et des Français, et de les insulter – c’est tout ce qu’elle sait faire – , maintenant voilà qu’elle insulte Churchill , en faisant référence au départ de ce dernier via la photo d’illustration !
Il y a une semaine environ sur Fdesouche et Valeurs Actuelles : « féroces tentions entre indigénistes autour de l’affaire Traoré ».
elle est pas folle la guepe elle se dit ca sent le cramer
faut se barrer
À PROPOS de LFI :
– » Il faudra un jour faire l’histoire exhaustive de ce groupuscule vindicatif, né en République et devenu, à force de défaites, à l’image d’un gourou acariâtre, l’auberge des antisémites, des complotistes, des indigènes et des faux journalistes, qu’on appelle #FranceInsoumise. https://t.co/x1OVZQCIc6
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) October 7, 2020
LFI est devenue “l’auberge des antisémites, des complotistes, des indigènes et des faux journalistes” selon Raphaël Enthoven
:::: https://www.fdesouche.com/2020/10/08/lfi-est-devenue-lauberge-des-antisemites-des-complotistes-des-indigenes-et-des-faux-journalistes-selon-raphael-enthoven/
Ces gens sont à éliminer de notre société
Merci pour l’info, @ ALBERT MICHEL, mais où confirmer l’exactitude de ce propos ?
Il est important de noter aussi que Bouteldja est accusée, et menacée par le gang Traoré. Elle serait « négrophobe ». Il y aurait donc racisme en dehors du monde blanc ? Est-ce possible ?!
Sous le chapeau de la photo, elle veut nous faire penser à Churchill mais ne vous y trompez pas, il s’agit bel et bien de Soros. Le combat des patriotes contre le mondialisme est celui de la liberté contre le fric et l’esclavage, pour le meilleur comme pour le pire … Si le fric est le nerf de la guerre et de la paix des cimetières, la résistance est le nerf de la victoire, de la liberté et de la paix. Définition de la paix: C’est l’état de celui à qui il ne manque rien.
Bravo Yvank !
Cette organisation d’escrocs, de destructeurs de la France qu’est le PIR devrait être chassée à coup de pieds dans le cul. Cette merde parle d’inégalité raciale quand elle défend ceux qui l’importent en France, c’est à dire les islamistes noirs ou blancs et toute la racaille africaine venue trafiquer, voler, tuer, dont les Traoré sont les dignes représentants. Ces barbares venus imposer leurs moeurs de dégénérés, excision, ramadan, et mosquées, parlent de racisme quand le français trouve seulement qu’ils exagèrent. La noire Obono s’autorise à cracher sur la France, la république; il est bien entendu raciste de trouver qu’elle serait mieux dans son pays. La carte d’identité Française, et la nationalité qui va avec devrait lui être retirée. Le PIR est une association d’imposteurs.
Le PIR, pire?, rayonne. La connerie aussi rayonne et nous aveugle.
Ces jean- foutre sont une plaie pour la France, des furoncles.