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Un professeur suspendu pour avoir refusé de surnoter ses étudiants noirs. Des élèves lui ont demandé un traitement de faveur, invoquant « les récents événements ». L’enseignant à refusé, ce qui a mené à la création d’une pétition contre lui puis à sa suspension…#BourdinDirect pic.twitter.com/n0EMoDztN3
— RMC (@RMCinfo) June 12, 2020
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Désormais c’est la mobilisation sur les réseaux sociaux qui fait la loi. Quand bien même cela serait contraire à la loi. Le professeur répond pourtant avec intelligence et des arguments solides à la demande… Peu importe. Face aux fous, la raison ne tient pas, pas plus que la loi et les réglements. Quant au simple bon sens…
Mais le plus grave dans l’histoire ce n’est pas que des étudiants fassent cette demande ni que des millliers d’autres s’y associent. Non, le plus grave c’est que les autorités de l’Université se couchent, obéissent…
Cette dhimmitude du gaucho, de l’intello, de l’homme blanc dégénéré ça sent la fin de règne, ça sent la fin de l’intelligence et du droit, ça sent la force brutale, le retour à l’état de nature avec toutes ses horreurs.
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Nous vous avions déjà raconté l’histoire de ce professeur mis au ban de l’université pour avoir choqué un musulman en reliant le terrorisme au Coran. Il n’avait été sauvé, lui, que parce qu’il avait eu l’aide d’une association de profs.
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On pourrait se dire « ils sont fous ces Américains » mais leur folie est arrivée dans tout le monde occidental
Au Canada le profs se couchent, s’auto-censurent...
Extraits :
-de plus en plus de professeurs développent des réflexes d’autocensure pour éviter de heurter les croyances religieuses ou culturelles des étudiants.
-Ils s’interdisent ainsi d’enseigner certaines œuvres. Il faut dire que sur les 7000 étudiants fréquentant ce cégep, la moitié sont issus de l’immigration récente et plusieurs ne sont pas nécessairement familiers avec la civilisation occidentale.
-Dans ce rapport, les termes étaient pesés, les mots nuancés: l’époque craint les amalgames. Si on aborde la question de l’islam, on cherche à la neutraliser, en critiquant plus largement ce qu’on appellerait en France les communautarismes.
-La première réflexion qui vient à l’esprit, lorsqu’on pense à ces professeurs, c’est que notre époque réinvente le blasphème.
-Alors qu’on s’imagine la parole publique absolument libre, les interdits idéologiques se multiplient.
-Telle communauté, et pas seulement ses représentants les plus radicaux, n’acceptera pas qu’on caricature son Dieu, tel lobby idéologique n’acceptera pas qu’on remette en question le grand récit victimaire par lequel il s’inscrit dans l’espace public.
-L’esprit de libre examen des dogmes, qui fonde la modernité, butte ici sur le fanatisme de ceux qui ne tolèrent tout simplement pas qu’on ne voit pas le monde comme eux et qu’on ne croit pas à ce qu’ils croient.
-C’est un nouveau commandement: les minorités, tu ne vexeras pas.
-Cette situation qui frappe la société québécoise peut sembler banale dans certains lycées européens.
-Sur le Vieux Continent, certains enseignants, dans certains territoires, affirment avoir du mal à aborder l’histoire de la Shoah face à des élèves arborant un discours complotiste ou victimaire.
-Le fait est néanmoins révélateur d’une chose simple: partout où elle s’installe, la société diversitaire s’accompagne d’une régression des libertés.
-C’est la littérature qui finira par en payer le prix: on ne lira plus les œuvres pour s’y éduquer sur le cœur humain mais pour dépister les préjugés qu’on croira y trouver.
-Pour reprendre la formule convenue, c’est l’ère du soupçon.
-Le temps viendra où on jugera une œuvre en fonction de sa concordance avec la nouvelle morale diversitaire.
-Des censeurs se demanderont si les personnages font la promotion de bonnes valeurs.
-Et ils trieront dans les livres à partir de ce critère.
-Dans sa classe, en Amérique du Nord, le professeur sait qu’il est surveillé.
On le guette.
C’est un aspect de la nouvelle culture universitaire nord-américaine où des groupuscules, s’autoproclamant représentants de minorités souvent improbables, réclament le droit d’interdire certains professeurs ou encore de proscrire telle conférence sur leur campus.
-Dans les universités, de jeunes militants d’extrême gauche se croient tout permis.
On le voit avec le sort réservé au professeur Jordan Peterson à l’université de Toronto, célèbre dans le monde anglo-saxon, et à qui des activistes reprochent ses réserves devant le mouvement trans et le féminisme radical.
Il est aujourd’hui la cible d’une campagne de diffamation à grande échelle.
Le phénomène, qui frappe au premier chef les universités américaines, franchit ainsi la frontière nord des États-Unis et touche à la fois le Canada et le Québec.
On ne voit pas pourquoi, d’ici quelque temps, il ne traverserait pas l’Atlantique.
Le même état d’esprit domine désormais la vie publique en Amérique comme en Europe.
Quiconque s’y aventure sait qu’il peut «déraper» à tout moment.
En ne reprenant pas les bons mots sur les bons sujets, chacun peut rapidement rejoindre le camp des parias et des infréquentables.
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En Angleterre, on peut se faire recaler à un examen pour avoir écrit : le halal c’est dégoûtant
Et on peut se faire insulter et harceler pour avoir refusé que sa fille imagine une lettre à sa famille sur sa conversion à l’islam.
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Et en France les affaires du même genre se multiplient :
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Limoges : un prof suspendu pour s’être opposé à la venue de Houria Bouteldja
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Strasbourg : le prof était parfait… mais il pensait mal, dehors !
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L’ambassade du Koveit finit par avoir la peau du prof de maths de l’école militaire
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Interdiction d’une pièce d’Eschyle parce que les acteurs sont grimés en Noirs
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Comment le racialisme indigéniste gangrène l’Université
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On ne parlera pas de la gamine qui boycotte les épreuves de bac parce qu’elles portaient sur Hernani « un roman du raciste Hugo »
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Noyautage des universités par l’islamo-gauchisme
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La prochaine étape, ce n’est même pas des épreuves différentes pour les non Français d’origine, c’est des épreuves où il ne sera question que d’écrivains ou rappeurs noirs ou musulmans.
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Quant aux profs collabos…
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D’ailleurs, pour éviter le désordre de grands penseurs, sociologues, journaleux et autres enseignants à sciences po, la fabrique de dégénérés, propose la solution : sortir de la culture majoritaire, avoir des jurys de concours mixtes, faire plancher les futurs agrégés sur le rap et le « street art »…
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L’africanisation de la France, c’est maintenant, avec l’aide active de nos dirigeants.
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« Tout ce qu’on t’as appris à l’école, c’est des conneries »
Orson Welles.
https://twitter.com/MrAndyNgo/status/1271579314148892673
toujours en Californie.
Tous gras
Tous pillards
tous noirs….Drôlement répétitifs. Ils rigoleront moins quand ils auront bouffé la feuille!
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Le syndicat Sud-Rail nomme ceux qu’il croit être les vrais responsables de la catastrophe de Brétigny-sur-Orge
:::: https://sptnkne.ws/CEHa
13.06.2020
Après que la SNCF et un cheminot ont été renvoyés en correctionnelle dans l’affaire de l’accident de Brétigny-sur-Orge, le secrétaire du syndicat Sud-Rail a pour sa part estimé que c’est en réalité «les présidents de la SNCF Réseau et de la SNCF de l’époque qui auraient dû être renvoyés» devant le tribunal, indique Franceinfo.
Le renvoi de la SNCF et d’un cheminot devant le tribunal correctionnel pour homicides et blessures involontaires liés à la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge en 2013 a été critiqué par Éric Meyer, secrétaire fédéral du syndicat Sud-Rail, interrogé le 12 juin par Franceinfo.
Selon lui, «on est allés chercher le bouc émissaire», alors que l’accident «ne résulte pas de la responsabilité du cheminot lambda».
«Ce sont les deux présidents de l’époque, SNCF Réseau et SNCF, dont Guillaume Pépy, qui auraient dû être renvoyés» en correctionnelle, en raison «d’une politique de maintenance défaillante» qui existait «depuis des années», martèle le syndicaliste.
Il évoque également la possibilité de démontrer que «ces défauts de maintenance, qui étaient courant à l’époque, étaient la résultante d’une politique qui allait vers le traçage des investissements vers le tout TGV».
De plus, «une des premières mesures prises par Guillaume Pépy, c’est de modifier la chaîne de responsabilité, rendant impossible la possibilité pour lui et le président de SNCF Réseau d’être inquiétés si d’autres accidents similaires venaient à se reproduire», a expliqué Éric Meyer.
§.- Procès envisagé en 2021
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« Le phénomène, qui frappe au premier chef les universités américaines, franchit ainsi la frontière nord des États-Unis et touche à la fois le Canada et le Québec.
On ne voit pas pourquoi, d’ici quelque temps, il ne traverserait pas l’Atlantique. ».. C’était quasiment prophétique il y a deux ans, quoique l’excellent B.Lugan se fut fait déjà virer de l’école de guerre et de l’IHEDN) ! Et en France nous, nous avons maintenant la loi avia comme nous avons eu la loi taubira 2001, (et la flopée des autres lois taubira jusqu’à sa disparition de France). A penser que le déboulonnage ne concerne pas que les « statues », mais a bel et bien comme objectif celui des Statuts de la république, de la fonction publique, de la constitution, bref ceux de la France.
Ce n’est pas le seul cas dans les Universités Américaines-dites_vous!
On voie la paille dans les yeux des autres mais on ne voie pas la poutre dans nos yeux.
En France c’est un sport général mais tout le monde regarde ailleur, laissant l’impression que c’est une procédure officialisé.
Je profite de cette occasion pour « déterrer » mon article-traduction d’il y a 3 ans (publié sur résistance républicaine) sur la faiblesse morale des intellectuels:
https://resistancerepublicaine.com/2017/01/11/apres-une-deception-amoureuse-je-me-suis-achete-un-chien-il-ma-bien-dresse/
C’est un petit conte intemporel (a l’époque, il visait l’attitude des intellectuels polonais face au diktat communiste) qui est toujours d’actualité: déni de la réalité, recherche d’un compromis sans fin, raisonnements spécieux pour justifier sa couardise tout en gardant le sentiment de supériorité intellectuelle, d’autres ressemblances avec l’époque actuelle que vous pouvez découvrir par vous-même , c’est vraiment un texte qui illustre ce qu’on appelle aujourd’hui le processus de dimithude (le chien incarne une force vitale brute et jeune qui terrifie et qui fascine l’intellectuel en question)
Je relis ce texte et je constate que le « fourrage vert » dont il est question me fait penser à quelque chose d’actuel: quel prophète, cet écrivain (Sławomir Mrożek)!