Des pluies de fientes d’étourneaux permanentes à l’Université de Poitiers : la Nature vengerait-elle les patriotes ?
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Merci à Dame Nature pour ce spectacle réjouissant qui « accable » l’Université de Poitiers depuis quelques mois.
« Propice à l’hivernage, le campus est envahi par 50.000 étourneaux. Nuisances sonores et pluies de fientes font vivre un calvaire malgré le spectacle des vols ».
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Une scène qui n’est pas sans rappeler le célébrissime film d’Hitchcock…
L’on se sent « envahi », nous dit-on, dans l’ancienne cité d’Aliénor d’Aquitaine et Charles Martel désormais acquise à la « gôche » avec Alain Claeys à la mairie et Sacha Houlié à l’Assemblée nationale…
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On nous parle d’une « plaie » liée aux migrations de ces étourneaux !
Tiens donc, il semblait pourtant que l’Université et les bobos poitevins étaient plutôt très accueillants en matière migratoire…
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Les fientes puent ? Comme les idées de Marine le Pen, doit-on dire dans certaines bureaux de l’Université dont le président Yves Jean avait pris parti, rappelons-le, malgré l’obligation de neutralité politique des fonctionnaires, contre la candidate RN lors des dernières présidentielles.
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Voici une scène qui rappelle les récits bibliques.
Aux plaies d’Egypte, il faudra désormais ajouter la plaie de l’Université de Poitiers : les fientes d’étourneaux, certains étant français de souche et d’autres immigrés… Il semble d’ailleurs que ce soient ces derniers, qui ont trouvé refuge sur le campus, qui soient les principaux responsables de cette pluie de fientes !
« Nous sommes vraiment exaspérés par cette plaie »
La Ligue de protection des oiseaux (LPO) a entendu parler du problème : 50.000 étourneaux en hivernage depuis la fin de l’automne. « Il y a bien sûr des spécimens de la Vienne, explique Thierry Dubois, chargé de mission biodiversité. Mais d’autres viennent d’Europe de l’Est. Ce sont plusieurs groupes qui ont trouvé refuge sur le campus. »
Ils chassent le jour et se reposent la nuit. Contrairement aux idées reçues, les villes, qui enregistrent quelques degrés supplémentaires (pollution, chaleur émise et abris du vent par les bâtiments), offrent les meilleurs nids pour ces animaux frileux de nature.
Alors, que va-t-il se passer ? Va-t-on assister à un appel au génocide des étourneaux, une idée fasciste par excellence ?
Comment les hautes consciences écologistes de la gauche poitevine vont-elles composer, confrontées à cette lutte d’occupation du territoire entre le genre volatile et le genre humain ?
Faudra-t-il discriminer, expulser, voire tuer de façon préventive ? Mon Dieu, horreur. Les antispécistes ne voudront pas en entendre parler.
Et ils auront raison : ce serait du racisme, m’insurgé-je !
Va-t-on assister à un horrible « appel à la haine, la violence ou la discrimination » contre les étourneaux de la part des bobos anti-Marine ?
Ce qui serait interdit là serait permis ici… et pourquoi donc les oiseaux – que l’ornithologue amateur que je suis a fini par préférer aux Hommes – devraient-ils s’incliner devant le genre humain boboïsé ?
Voici en tous cas un spectacle hilarant si l’on imagine les pontifes de la bien-pensance entrer dans quelque bibliothèque ou amphithéâtre « tachés » comme Aurélien…
Même si, forcément, parmi les victimes de cette vengeance de la Nature, il peut y avoir des gens irréprochables.
Peut-être la conspiration des étourneaux ne vise-t-elle en effet qu’à sanctionner par la fiente la présidence d’Yves Jean, qui cèdera bientôt sa place après avoir été réélu.
Réélu, plébiscité… autant dire que cet homme a eu beaucoup de soutiens dans l’institution universitaire, qui avait même pendant sa présidence déroulé le tapis rouge à Christiane Taubira dans une salle pleine à craquer.
Certains parleront de vengeance divine, d’autres de punition naturelle. Ces 50.000 étourneaux ne se sont pas perchés par hasard aux abords de l’Université qui fut autrefois celle de Rabelais…
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La nature qui nous montre objectivement que la fac de Poitiers c’est de la merde , comme tant de fac gauchiottes de France et de Navarre !