Macron, idiot utile de l’islamisme, fait à juste titre un parallèle entre notre époque et les années 30

Macron et ses godillots ne cessent de faire un parallèle entre les temps présents et les années 30. L’idée est évidemment de faire l’amalgame : populisme=extrême droite=nazis, ces équations ne pouvant mener qu’à la guerre.

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Cette belle démonstration part d’un axiome, l’axiome de Macron que l’on peut ainsi énoncer : « Le seul rempart contre la guerre c’est moi et l’Europe ».
Macron n’a raison que sur un point : la similitude avec les années 30 est flagrante. En revanche ses œillères l’empêchent de voir l’évidence.
Aidons-le un peu.

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1939 : Le Nazisme menace l’Europe et le monde.

Voyons comment nos politiques ont réagi.

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Voulant préserver la paix à tout prix, ils se sont soumis totalement à Hitler L’aboutissement fut le 29 septembre 1938 la signature des accords de Munich par Adolf Hitler, Édouard Daladier, Neville Chamberlain et Benito Mussolini.
Tout le monde se souvient des propos tenus par Daladier à la descente de son avion au Bourget en réaction aux acclamations de la foule de naïfs trop heureux d’avoir vu préserver la paix :
– Ah, les cons s’ils savaient !
Daladier qui s’attendait au contraire à être hué par la foule pour avoir renié la parole de la France en lâchant la Tchécoslovaquie à Hitler a manifesté ainsi son soulagement.
Presque au même moment, Churchill avait prononcé sa fameuse phrase s’adressant à Chamberlain qui avait fait preuve de la même couardise que Daladier :
– Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur et vous aurez quand même la guerre !

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Le 23 août 1939, Staline et Hitler signent un pacte de non-agression.
Le PCF mène alors une action antimilitariste pour éviter que la France n’entre en guerre contre l’Allemagne, action de propagande d’abord, puis de sabotage ensuite. Par exemple, les avions fabriqués par Farman avaient été sabotés afin que leur moteur explose en vol. Les faits sont avérés : 4 condamnations à mort d’ouvriers communistes pour sabotage par le Tribunal Militaire le 27 mai 1940.
C’est un fait : la CGT, bras armé du PCF, s’est employée à saboter la production de l’industrie d’armement en France. Elle a d’ailleurs récidivé pendant la guerre d’Indochine.

Les médias, faisant partie des « idiots utiles » de Staline continuaient leur discours pacifiste, même après l’invasion :
« Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants ! La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante. (L’Humanité, 4 juillet 1940) »

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On constate donc sans la moindre ambiguïté qu’un véritable entrisme a permis aux communistes de paralyser les efforts du pays et de neutraliser l’action des hommes politiques à l’époque. Une véritable cinquième colonne s’est mise en place en France.
Par lâcheté et par clientélisme, les dirigeants de l’époque ont refusé d’affronter la réalité. On a pu par la suite en mesurer les conséquences.

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2018 : L’islamisme menace l’Europe et le monde.

Les hommes politiques pratiquent la politique de l’autruche et la désinformation.
– Non, le Coran n’est pas Mein Kampf !
– Non, les musulmans ne sont pas complices des islamistes !
– Oui, il existe un islam modéré ! (Prônant la Charia modérée ?)
– Oui, nous pouvons et nous devons vivre en paix. Ceux qui critiquent le vivre ensemble ne sont que des boutefeux irresponsables qui font le jeu de l’extrême droite !
Bref, on a droit à un remake très réussi de « La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante ».

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Et que fait-on pour lutter contre la 5ème colonne ?
Alexandre Benalla, si proche du chef de l’État, n’était-il pas aussi « très proche de la cause musulmane » ? comme l’affirme le fameux avocat Karim Achoui, désormais radié du barreau de Paris. Le site Algérie Patriotique ne dit-il pas que Benalla est « un agent de la DGED (services secrets marocains), dont il a gravi les échelons doucement mais sûrement, depuis qu’il fut introduit dans les rouages du Parti socialiste par l’ancienne ministre de l’Education, Najet Vallaud Belkacem, elle-même inféodée à Rabat ».

Enfin, j’avais été quand même rassuré quand j’ai su qu’apparemment il n’avait jamais eu les codes nucléaires !

Combien de soldats de l’armée française sont-ils de confession musulmane ?
Ai-je même droit de poser cette question aujourd’hui ?

A-t-on des musulmans dans les effectifs de nos services secrets ?
A qui irait leur loyauté si, à Dieu ne plaise, il fallait un jour prendre les armes ?

Le Haut Conseil à l’Intégration ne compte-t-il pas parmi ses membres M. Amin Boutaghane, qui dirige aussi l’Unité de Coordination Contre la Lutte Antiterroriste ?

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Alors, ouvrons un peu les yeux pendant qu’il en est encore temps. Macron a pour une fois totalement raison en faisant un parallèle entre les années 30 et notre époque.
Qu’on se rende bien compte que peu de chose ont changé : l’islamisme a remplacé le nazisme, quant à lui il joue à la perfection le rôle de Daladier.

Après les « idiots utiles » du communisme, n’assisterait-on pas à l’émergence des « crétins indispensables » de l’islamisme ?

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