Notre-Dame : Arnault et Pinault ne paieront que si le projet de restauration leur convient !

On sentait bien que la précipitation des généreux « grands donateurs » à promettre quelques centaines de millions n’était pas désintéressée, nous l’avions évoqué ici :

http://resistancerepublicaine.com/2019/04/24/ont-ils-brule-nd-pour-realiser-leur-pharaonique-projet-de-modernisation-de-lile-de-la-cite-pour-les-jo/

Les choses se précisent. Ni Arnault ni Pinault n’ont encore versé l’argent… Ils veulent d’abord savoir ce que l’on en fera. Cela s’entendrait si on était sûrs de leur désintéressement, si on était sûrs qu’ils veuillent juste la restauration à l’identique de Notre-Dame, sans retombées financières… Or, hélas, les vautours ne donnent de l’argent que… si ça leur en rapporte bien davantage.

On peut donc craindre que le chantage aux « dons » ne soit qu’une façon d’obliger l’Etat à faire le fameux projet d’une Ile de la Cité usine à touristes et à millions.

Or, Bernard Arnault, qui a promis 200 millions d’euros, faisait déjà partie des personnalités réfléchissant à l’organisation de l’ïle de la Cité et à l’avenir de Notre Dame :

http://resistancerepublicaine.com/2019/04/25/bernard-arnault-lvmh-faisait-deja-partie-en-2016-des-personnalites-se-penchant-sur-lavenir-de-notre-dame/

Or, Macron a pris tous les pouvoirs sur ce sujet. Il décidera, seul.

http://resistancerepublicaine.com/2019/04/26/notre-dame-le-projet-de-loi-scelerat-de-macron-lui-permettra-de-decider-seul-des-pires-extravagances/

On ne se fait pas d’illusions. Macron est très vraisemblablement de mèche avec Arnault, Pinault et quelques autres vampires, mais il ne veut sans doute pas que cela se voie trop, si peu de temps après la catastrophe. Mais ses doux amis n’ont sans doute pas confiance en sa parole, ayant compris qui était ce maléfique  personnage sans scrupules. Ils font donc l’âne pour avoir du son…

 

Merci à Armand Lanlignel qui nous a signalé l’article ci-dessous :

Restauration de Notre-Dame : il y a loin du calice aux lèvres

 

Deux mois après l’incendie de la cathédrale, seulement 9 % des promesses de dons sont arrivés, soit 80 M€. Cette somme correspond aux petits dons particuliers faits sur les quatre plateformes, et souscrits sous formes de chèques, de virements et même d’espèces. Ce chiffre de 9 % est confirmé aussi bien par le recteur du lieu, Mgr Patrick Chauvet, que par le ministre de la Culture Frank Riester. Rue de Valois, on explique que des conventions vont être signées notamment avec les gros donateurs, les trois fondations (Fondation du patrimoine, Fondation Notre-Dame, Fondation de France) et l’institution (le Centre des Monuments nationaux) qui sont les quatre interlocuteurs choisis pour faire partie de la collecte nationale. « Ce sont ces conventions qui vont permettre ensuite de voir le versement pour l’établissement public »chargé de la restauration, fait valoir Frank Riester. Les géants du CAC Bernard Arnault et François Pinault ont promis respectivement 200 et 100 M€. Aurait-il renié leur parole une fois le coq tombé de la flèche ? Non. Le fond de la question, c’est que ces grands mécènes veulent savoir ce qu’on fera de l’argent qu’ils s’engagent à verser : quels projets, quel échéancier, quel encadrement, etc. ? En clair, ils ne souhaitent pas que l’État s’approprie leurs oboles pour les placer à sa guise et ne communique pas sur l’usage qui en sera fait.

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Deux cultures entrent ici en conflit : étatiste et libérale. Comme Arnault et Pinault, le puissant courant philanthropique américain se rattache à la seconde. Les donateurs s’attendent ici à ce qu’on leur rende des comptes très scrupuleux, étape par étape. Dans ce système, plus les dons seront ciblés, plus ils seront nombreux. Dès lors, il n’est pas question de faire un pot commun sous paratonnerre public et de redistribuer l’argent de manière discrétionnaire et arbitraire. La culture étatiste n’a rien d’autre à proposer que le flou et l’opacité, alors que les mœurs américaines font de la transparence leur maître-mot. D’où le principe du goutte à goutte : les dons vont être donnés progressivement en fonction de l’avancée des travaux. Ce qui signifie, si on décrypte, que des tranches pourraient ne pas être versées si la rénovation n’était pas du goût des donateurs, ce qui pose une question politique : qui est apte à choisir ? Celui qui paie ou celui représente la puissance publique ? On ne va pas trancher ce débat maintenant. Reste que ce chiffre de 9 % peut être associé à deux mots/maux : l’inquiétude et l’incertitude.

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L’inquiétude : ce chiffre arrive après la passe d’armes entre la Fondation du patrimoine d’un côté, l’archevêché de Paris et le ministère de la Culture de l’autre. Le mois dernier, la FdP avait interrompu sa collecte, estimant que les gens avaient assez donné. Mgr Michel Aupetit et Frank Riester s’en étaient indignés. Quand on rapporte cette décision unilatérale au fait que peu d’argent soit aujourd’hui disponible, cela donne à penser que l’opération de restauration n’est pas si bien planifiée qu’aurait pu le laisser espérer l’élan de générosité initial. D’autant qu’au Parlement, l’adoption du projet de loi de restauration de l’édifice, que le gouvernement voulait rapide, achoppe : une commission mixte paritaire a échoué à rapprocher les deux chambres. Refusant toute précipitation, la majorité de droite du Sénat a voulu gommer le volet d’exception, en vain. Celui-ci préconise notamment, pour gagner du temps, de déroger à certaines règles (urbanisme, environnement, construction, patrimoine). La loi ne devrait pas être adoptée avant fin juillet. Tout cela laisse un goût assez amer d’un certain amateurisme et d’une absence de concertation.

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L’incertitude : la somme finale de ce qui entrera dans les caisses n’est pas connue et les premiers travaux ont déjà engendré une dépense de 23 M€, selon Mgr Chauvet. Le patrimoine a ceci de particulier, c’est que les sommes en jeu sont tout de suite colossales et que même avec des dizaines de millions, on ne fait pas grand-chose sur un édifice comme celui-ci. Notre-Dame est toujours dans sa phase de consolidation : deux « parapluies » (grandes bâches) temporaires ont été posés au-dessus de la nef et du chœur, les pignons nord et sud ont été consolidés, notamment en déposant toutes les statues qui risquaient de les faire pencher ; des filets ont été tendus au-dessus de la nef et du chœur, dont les vitraux hauts ont été déposés. On se rassure en sachant que les hauts des murs  dont les pierres ont chauffé à 800° ne devront pas être reconstruits, assure Mgr Chauvet. Á l’intérieur, les gravats des transepts nord et sud ont été évacués et triés par des archéologues. Ceux de la nef sont en cours de traitement, grâce à l’action quotidienne d’un robot. Il a également été procédé à l’évaporation de l’eau, y compris dans la crypte. Gros chantier dans les prochaines semaines : l’échafaudage, initialement installé pour la restauration de la flèche. Celui-ci doit être démonté ; des cintres vont être posés sous les arcs-boutants. Un plafond intérieur doit être mis en place afin de pouvoir faire des expertises sur la voûte. « Notre-Dame, a prévenu Frank Riester, est encore dans une situation fragile notamment au niveau de la voûte qui n’a pas encore été sécurisée et qui peut toujours s’écrouler ». Ces travaux de sécurisation pourraient prendre encore des semaines, ce qui retarde d’autant les expertises longues et complexes pour les travaux de rénovation.

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Le temps de l’Église, dit-on, n’est pas celui du monde mais, pour le coup, le compteur s’inverse : face au risque d’étalement dans la durée, le clergé s’attache à montrer que Notre-Dame, hic et nunc, est bien vivante : l’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, y célèbre une messe demain samedi 14 juin, avec une petite trentaine de personnes. Si le port du casque sera certainement demandé à l’entrée, les religieux entendent bien rester en vêtements liturgiques habituels. « Pour des raisons évidentes de sécurité », selon le diocèse, il n’y aura pas de fidèle mais la messe sera transmise en direct par la chaîne catholique KTO pour que les « chrétiens puissent y participer et communier ». L’office d’une heure aura lieu à 18 H 00 dans la chapelle située derrière le chœur, un endroit sécurisé. Outre Mgr Aupetit et Mgr Chauvet, des chanoines, des bénévoles et des personnes travaillant sur le chantier ou encore quelques laïcs du diocèse de Paris seront présents. La date choisie n’est pas neutre : la fête de la Dédicace – qui commémore la consécration de l’autel de la cathédrale – a lieu habituellement le 16 juin. Le parvis devrait rester fermé au public, le nettoyage y étant encore en cours. Des vêpres précédant la messe, un temps envisagées à cet endroit, ne pourront donc s’y tenir. De même, le projet d’ouverture d’un sanctuaire marial, abritant sous une tente une reproduction de la Vierge du pilier, lieu d’accueil pour pèlerins et prêtres, devra attendre. Depuis l’incendie, entre 60 et 150 ouvriers s’affairent sur le chantier, continuant d’évacuer les gravats et de stabiliser la structure. « Le Seigneur nous fait parfois passer par des chemins inattendus », ironise Mgr Chauvet dans son livre Notre-Dame d’espérance, bouclé juste après l’incendie. De fait, l’espérance est encore loin, au bout d’un chemin tortueux et périlleux.

Louis Daufresne

Radio Notre Dame

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19 Commentaires

  1. Eux ont le droit de demander des comptes, c’est normal mais rigolo.
    Parce que nous contributeurs de l’état et principale ressource, on refuse de nous dire ce qui est fait de « NOTRE » argent.

  2. Je trouve normal et sain de se demander ce qui va être fait de l’argent et d’ailleurs, les contribuables feraient bien de se poser les mêmes questions pour leurs versements aux imôts !

    • @berger : Oui très juste, il y faut vraiment surveiller de près l’utilisation qui va être faite de l’argent car avec Macron qui,en bon dictateur qu’il est, s’est arrogé le contrôle exclusif des travaux, on n’est pas à l’abri de voir cet argent (ou une partie) utilisé pour retaper des casernes désaffectées afin d’y foutre des migrants. Je parle ici des 80 M€. donnés sous forme de petits dons par les français bien sûr.
      Quant aux grands donateurs, qu’ils demandent aussi à voir ce qu’il est fait de leurs dons est aussi chose normale, mais ces gens demandent plus que ça, ils demandent en fait à avoir un contrôle sur la nature des travaux qui seront faits afin que ces travaux conduisent a une restauration et un aménagement qui rentabilisera ces « dons », dons qu’on qualifierait plus justement d’investissement. Ces travaux devraient être sous contrôle exclusif d’institutions comme les bâtiments de France par exemple et réalisés par les dépositaires de la tradition des bâtisseurs comme les compagnons

  3. ND n’est pas un symbole, c’est un édifice religieux.
    L’état actuel n’ aurait aucunement les moyens comme c’était le cas au moyen âge pour ce genre de projet.
    Il me semble que compte tenu des circonstances accidentelles, brutales des dégâts une seule solution est la reconstruction à l’identique autant que possible, avec si nécessaire, un allongement sensible de certains travaux pour former des apprentis, voire le choix de solutions provisoires si nécessaire, peu chères en attendant une réparation authentique.
    je ne vois pas bien comment on ne pourrait pas ne pas émettre des insinuations en présence de personnes intéressées qui souhaiteraient imposer un tout autre projet à leur profit. J’imagine que certains le feraient et je me joindraient à eux. Charge à ces profiteurs à prouver leur totale innocence dans l’incendie de notre dame.

    • Olivier tout à fait d’accord avec vous, juste que le fait que NDP soit un édifice religieux ne l’empêche pas d’être aussi un symbole fort de la France, NDP a été au milieu de tas d’événements qui ont jalonné l’histoire de France sans pour cela que ce soient tous des événements religieux.

      • @ Charles Martel 02
        Très juste. L’un n’empêche pas l’autre.

  4. Je me demande si ce n’est pas le contraire à savoir qu’ils voudraient que l’argent serve bien à la restauration de Notre-Dame car j’avais vu un article qui disait que l’Etat réfléchissait éventuellement à d’autres usages s’il restait de l’argent…. et franchement, je n’en serais vraiment pas étonnée.

    Dur de savoir donc, c’est à double tranchant.

    • Chère Amélie en effet il y a deux interprétations possibles, mais quand on sait que ces rapaces, qui ne donnent rien pour rien, étaient déjà partie prenante dans le projet d’aménagement de l’ile de la cité et ceci avant l’incendie de NDP (dont rien ne montre que ce n’est pas volontaire en l’état actuel des choses), on peut assez raisonnablement pencher pour l’hypothèse de l’investissement très intéressé dans un réaménagement débridé qui avant tout devra leur rapporter X fois l’argent investi. Je ne pense pas que ce genre de personnages aient une quelconque pensée humaine et gratuite pour le trésor culturel, architectural et symbolique que représentait NDP

      • Oui Charles j’y ai pensé bien sûr aussi…

        Je vous avoue que cela m’inquiète, Notre Dame de Paris est un symbole précieux et j’ai peur de ce qu’ils vont en faire et je suis parfaitement d’accord avec les commentaires ici, cette cathédrale appartient aux Français et non pas à certains qui n’ont pas à décider selon leurs lubbies fussent-ils dirigeants du pays.

        L’offre des Compagnons du Devoir, gratuitement en plus et avec leur savoir-faire, est celle qui convient le mieux effectivement. Je ne comprends d’ailleurs pas que Macron se permette de dire non, au nom de quoi…. ?

        • @ Amélie Poulain..

          « …L’offre des Compagnons du Devoir, gratuitement en plus et avec leur savoir-faire, est celle qui convient le mieux effectivement. Je ne comprends d’ailleurs pas que Macron se permette de dire non, au nom de quoi…. ? »

          Très simple Amélie, Macron est un petit dictateur, un freluquet minable porté à la présidence de la France par et pour la caste financière mondialiste. Ce merdeux « ne connait pas l’art français » (sic). La culture, l’histoire, les traditions, l’art français etc. il s’assoie dessus.
          Son seul crédo : le fric,
          Les seules personnes qu’il respecte : les milliardaires du CAC 40 et les banquiers.

          Donc il n’a strictement rien à foutre de restaurer NDP dans le respect des traditions et des techniques des bâtisseurs français (les Devoirants), son seul souci : faire de NDP et de l’île de la Cité un complexe pour ultra-riches qui rapportera plein de fric à ses copains Arnault, Pinault, Bouygues et autres friqués.D’ailleurs ces gens qui, comme Macron, ont un coffre fort à la place de cœur et de l’âme, ne vont pas faire des « dons » mais plutôt des investissements déguisés sous forme de dons, ce qui fiscalement doit être plus avantageux. Dites vous bien que ces vautours ne font aucun cadeau, aucun « don » et ne donnent rien pour rien..

          • Oui je suis d’accord avec votre commentaire. On verra bien… mais j’espère de tout coeur que raison sera gardée pour rendre à ce bel édifice sa splendeur.

  5. Bin tiens!! En d’autres termes Ces rapaces investiront du fric dans le projet à condition que celui-ci leur permette de faire de très gros retours sur investissement. Vous vous attendiez à un élan de solidarité,à une manifestation d’amour de la France, à une quelconque empathie pour les français peinés de voir s’effondrer leur patrimoine de la part de ces gens qui ne vivent que pour la mondialisation et faire du fric partout où on peut en faire? Que dalle!! Tout comme Macron ils n’ont rien a foutre de la richesse artistique et culturelle ou du symbole que peut représenter NDP. Ces gens n’ont aucun cœur, aucune sensibilité seul le fric compte..

  6. On en revient à l’offre des Compagnons du Devoir ; ce sera moins cher, ce sera à l’identique ; ce sera du goût de la majorité des Français ; ce sera dans la veine de l’Histoire ; ce sera logique et naturel ; ce sera Français et ça fera travailler que le Français ; ce sera plus paisible ; ce sera démocratique…

    Ce monument appartient à la France et aux Français éternels ; il n’appartient pas à un tyran installé à l’Élysée pour 5 ans (normalement) par des mafieux, qui plus est s’ent tape totalement de la France, de son patrimoine et des Français. La décision sur les choix de reconstruction et restauration de ce monument Français historique appartient donc aux Français de chair, d’esprit et de coeur ; c’est légitime d’autant plus que le doute plane sur les causes de l’incendie qui l’a ravagé.

    • Marcher sur des œufs , vous employez de gros mots , culture , travail , français et démocratie, voilà des mots vides de sens pour macron 1er , puisqu’il n’a jamais vu la culture française !
      Depuis le début je dis qu’il n’y a que les compagnons du devoir à pouvoir restaurer NDP !

      • Bonjour @Malou30 ;

        Oh ! Comme vous avez raison de souligner que la gargouille de l’Élysée qui veut obliger la France et les Français à se défaire de TOUTE leur identité parce que selon lui, il l’a dit le bandit : « il n’y a pas de culture française…! ».

        Mais tout de même qu’il le pense et veuille le faire, c’est une chose ; qu’il en ait le droit c’en est une autre et ce droit là la majorité de Français ne le lui donne pas.

        À propos @Malou30 ; il m’est venu à l’esprit que nous devrions faire un bruit énorme sur cette affaire mais surtout sur le fait que les seuls véritablement légitimes pour ce Grand-Oeuvre ce sont bien les héritiers du savoir faire et de la tradition que sont les Compagnons du Devoir.

        Nous devrions faire un taulé ; beaucoup de bruit incessant pour que cela devienne une réalité ; mais tout d’abord pour stimuler nos Compagnons à se manifester avec force, qu’ils sachent que le peuple Français est derrière eux avec eux et que c’est une attente du Peuple de France. Eux pourraient se manifester avec insistance mus par notre poussée.

        Et nous réclamons au gouvernement, sans relâche, que cette tâche leur soit confiée.

        Avons-nous notre petit mot à dire sur ce sujet ou çà aussi c’est la gargouille seule qui doit en décider ?

        • Je crois hélas qu’en dictature le seul droit que nous ayons c’est ferme ta g……e ! Car macron 1er a déjà décidé et pourtant Marcher sur des œufs vous avez raison en disant que nous avons notre mot à dire .et qu’il faudrait stimuler les compagnons du devoir.

    • Oui oui 100% pour les Compagnons du Devoir , Oui oui ce monument appartient a la France et aux français et que les Arnault et Pinault aillent voir ailleurs , de toutes façons le Compagnons seront le moins chers de tous et le mieux fait ! car fait avec passion , méthodes ,calme et efficacité , loin de la danse du fric de la macronnie .

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