L’incendie de Notre-Dame déclenché par une étincelle d’engin de chantier ? Questions d’un naïf

Des informations que j’ai lues, il ressort que l’on suppose que l’incendie a été déclenché par une étincelle d’engin de chantier tombée sur la matière pulvérulente et très inflammable déposée sur les vieux bois de la charpente, du fait de leur altération par le temps. Il y avait en effet des ouvriers d’une entreprise qui travaillaient sur les échafaudages d’un chantier de réhabilitation de la cathédrale.

Entreprise chargée de travaux, donc titulaire d’un marché de travaux conclu avec une administration de l’État chargée du domaine.

Que l’ouvrier ait simplement commis une maladresse, ou ait été manipulé par une organisation musulmane à raison de son appartenance personnelle à l’islam, c’est l’entreprise qui est responsable des dégâts, quitte à se retourner contre son ouvrier pour faute professionnelle, voire acte délibéré de malveillance.

Et l’assurance de ce chantier que l’entreprise a dû souscrire, sous contrôle de l’administration, est appelée à réparer le préjudice causé, dans les conditions précisées par le contrat d’assurance.

Pourquoi n’en a-t-on rien dit ? Bien avant l’ouvrier éventuellement responsable, ce sont l’entreprise, son assureur… et l’administration qui devraient être mis sur la sellette.

Et la générosité des citoyens, de France et du monde entier, ne devrait pas être instantanément mobilisée.

 

Ou alors, tout a changé depuis que je suis à la retraite !

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44 Commentaires

  1. Le responsable de l’entreprise a parler, il n’y avait aucun outils électrique les ouvriers finissaient de monter l’echafaudage, les seul outils qu’ils utilisaient était des marteaux et des clés de 16, les travaux n’avait pas commencer à cette endroit, lui aussi le dit pour enflammer des poutres de chêne vieilles de 800 ans il faut une très grosses sources de chaleur, des étincelles ne peuvent pas le faire

  2. Parmi toutes ces incertitudes sur la cause du déclenchement de l’incendie, il y a une certitude absolue : ce n’est pas du à une étincelle d’intelligence d’un adepte de LREM…..

  3. Conclusion, nous sommes tous d’accord pour attester que la thèse de l’ accident a été déclarée avant la fin de l’incendie,

    et surtout l’  » accident  » a été bien préparé et minutieusement pensé,

    reste à savoir qui a fait le coup ?? quels sont les complices ??
    faut-il aller voir assez haut dans la hiérarchie ??

    pour quelles raisons maqueron et son sbire faisaient-ils montre de tant de joie ??

  4. gentil, mais ignare colonel !

    Qui crie « haro » sur l’ouvrier anonyme, le pauvre « 2ème pompe » (soldat du rang et faisant souvent office du bouc émissaire – pour ceux qui n’ont pas fait l’armée -) sans chercher à creuser davantage !

    Tombé dans le panneau !! AZF ça vous dit quelque chose mon colonel ?.

    Tout a été dit dans les commentaires qui précèdent, pleins de bon sens, avec des avis de « spécialistes ».

    Mais les crédules et les illuminés sont légion : dans ma commune, une prof de physique ( vrai de vrai) affirmait dans les couloirs de son collège, que l’origine de l’incendie se trouvait dans l’inflammation spontanée de la poussière du bois des chênes en suspension dans l’air. !!

    .

    • Des explosions de poussières peuvent se produire de temps en temps dans certaines industries et sont connues (des précautions sont prises car c’est semblable aux coups de grisou jadis dans les mines de charbon). Mais ce ne devait pas être le cas ici, un lieu probablement bien aéré et des matériaux non combustibles pour la plupart et il faudrait beaucoup de bois en fine poussière en suspension dans l’air pour exploser au contact d’une flamme. Toutefois, c’est possible. J’ai connu jadis un professeur faisant un cours à ce sujet dans une école d’ingénieurs. Même en sciant du bois, on obtient de fins copeaux et peu de poussières.

      • Oui mais je crois avoir entendu ou lu que les travaux n’étaient pas commencés qu’il n’y avait que les échafaudages de montés et outils spécifiques sélectionnés.

        Et déjà, d’où serait venue une flamme… et la vitesse du feu ne s’explique pas, s’il y avait des surveillants, ils avaient le temps de voir un départ de feu d’autant qu’il y avait des détecteurs de fumée. A moins qu’ils n’aient pas fonctionné, là suis étonnée, les miens se sont mis en route pour rien plusieurs fois même de nuit et j’imagine que ceux de Notre-Dame devaient être plus sophistiqués.

        Je note qu’il y avait aussi un office en cours, donc des personnes qui n’étaient peut-être pas forcément contrôlées.

  5. En Corse ….quel beau pays tranquille où la diversité se tient bien tranquille …lol …les églises ne brûlent pas ….vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre ..mdr…
    Dio vi salvi Regina ….et voilà c’est tout simple ….mais bon ici c’est le continent avec les pinsoutes immigrationnistes et les pleureuses sans honneur …tout un programme dont on voit le résultat ….aie aie aie ça fait mal au fondement des gauchiasses tout ça et de tous ceux qui aiment tant cette belle divercités heureuse créatrice de tant de richesse pour le pays ….alors là carrément explosé de rire …..ah l’humour du désespoir d’une telle décadence !!!!

  6. @ Jean Laffitte
    J’ai mis un peu de temps mais viens de saisir vos doutes – comme beaucoup d’entre nous – sur la réalité de la thèse officielle.

  7. Les entreprises qui interviennent sur les monuments nationaux sont des PME expertes en la matière depuis des générations qui emploient, souvent, des Compagnons du Devoir. Ces artisans sont de grands professionnels qui mettent un point d’honneur à rendre un ouvrage parfait.

    Je n’imagine pas une seule seconde un de ces ouvriers ou cadres commettre une erreur aussi énorme que cet incendie de Notre-Dame. De plus, les normes et mesures de sécurité imposées à ces entreprises sont telles qu’une erreur majeure relève du domaine de l’impossible.

    D’ailleurs, depuis 50 ans, combien d’édifices historiques français ont-ils brûlé au cours d’une restauration ? Aucun, à ma connaissance. Alors, comme l’a dit Martine Aubry:  » Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup « .

  8. Non seulement la taille des poutres pose problème (en plus de la nature du bois, du très vieux chêne très sec et durci), mais aussi – on oublie de le dire – la longueur de cette charpente, de l’ordre d’une centaine de mètres si je ne m’abuse.
    Donc, un tel embrasement, d’une telle ampleur et d’une telle vitesse, ce n’est pas possible si ce n’est pas intentionnel avec les moyens appropriés.
    J’ai été sapeur dans le Génie et je peux vous dire que même des jets de lance-flamme n’auraient peut-être pas enflammé ce chêne aussi vite et aussi radicalement.

  9. Il paraît évident que l’ouvrier fautif, à supposer qu’il existe et soit identifié, sera insolvable, de même sans doute que l’entreprise qui l’emploie au vu de l’ampleur des dégâts.
    Si, pour des chantiers de ce genre, il existe des assurances obligatoires à la charge des entreprises, la responsabilité de l’entreprise qui ne fournit pas de matière suppose la preuve d’une faute (article 1789 du Code civil : https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid=543BCC124B35265C8EC8413C2983424B.tplgfr26s_1?idArticle=LEGIARTI000006443474&cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=20190417&categorieLien=id&oldAction=&nbResultRech= ).
    Quand tout est parti en fumée, il est illusoire d’espérer pouvoir prouver une faute de la part de l’entreprise intervenue sur le chantier (impossible de réaliser des expertises).

  10. ETANT UN ANCIEN CHEF D’ENTREPRISE DE CONSTRUCTION METALLIQUE JE NE CROIS PAS DU TOUT A L’ACCIDENT

    UNE ETINCELLE NE PEUX PAS METTRE LE FEU A UNE POUTRE SI CELA N’EST PAS PRÉPARÉ AVANT

    ET MEME AVEC UN JET D’ETINCELLES CELA EST QUASIMENT IMPOSSIBLE

  11. Témoignage d’un architecte concernant la mise en sécurité de Notre-Dame :

    « Un important dispositif de détection et protection des incendies

    « En 40 ans d’expérience, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte », affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.

    « Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles », affirme-t-il auprès de Batiactu.

    « Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

    Le mystère sur les causes de l’incendie reste donc entier. Un expert du secteur de la construction, confie également son incompréhension auprès de Batiactu : « L’incendie n’a pas pu partir d’un court circuit, d’un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

    https://www.batiactu.com/edito/notre-dame-apres-incendie-rien-n-est-fini-selon-ex-56147.php

    • Merci pour ce partage, c’est très éclairant. On peut aussi songer parfois aux difficultés fréquentes pour allumer un feu de cheminée dans un logis…
      On voudrait nous faire croire en gros que c’est la même chose qu’un mégot de cigarette dans un champ de paille en plein été… à d’autres !
      On se demande bien quand même pourquoi, depuis la nuit des temps, les gens utilisent des soufflets pour allumer leurs cheminées !
      ah….. mais c’est qu’ils n’avaient pas du « bois de Notre Dame » les bougres !

      • Oui, bonnes réflexions et en plus, les cheminées ne sont pas sécurisées elles,elles sont là pour faire du feu…

    • Confirmé par l’ancien ingénieur chef de Notre-Dame lui-même :
      « Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler …
      Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers … »
      http://www.fdesouche.com/1192783-philippe-murer

      • Oui, cela confirme, et ce sont des experts et je ne crois pas une seconde que le lieu n’était pas surveillé vu toutes les connaissances au sujet des risques d’incendie

        « Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte »

        D’ailleurs, qui était de surveillance ?

  12. S’il y avait des travaux à chaud de prévu et des équipements / outils électriques un permis de travail devait être en place et renouvelé/ revalide tous les jours.
    Un ou deux vigiles ( pas des fichés S) auraient du assurer la surveillance avec des extincteurs et des talky walky reliés aux casernes de pompiers les plus proche.
    Qu’en est il de la protection des autres cathédrales ??? Symboles Chrétiens vulnérables ?

  13. Entendu ce matin à la radio (europe 1) un responsable de la sécurité qui n’est arrivé à Notre Dame que vers 18h 50 le 15 avril, et avait quitté son bureau vers 18 h 30. Il racontait que l’office de 18h15 venait de commencer lorsque son collègue a vu à 18h20 sur le tableau de capture d’alerte très précis de contrôle de sécurité un voyant rouge s’allumer indiquant un point incendie très particulier . Immédiatement il est monté pour vérifier, et il a été demandé simultanément aux fidèles d’évacuer la nef.Mais le préposé n’a rien vu,et ce n’est qu’en revenant du circuit de ronde, mais à un tout autre endroit, qu’il a découvert un incendie au niveau de la toiture. Il était à ce moment-là 18h43, et ça flambait déjà à fond. Il a été précisé que les ouvriers étaient partis à 17h30. La question qui s’est posée c’est combien de temps un feu et de quelle nature peut-il couver (plusieurs heures, un jour, davantage?) sur du bois qui n’est pas précisément de la feuille de cageot…

  14. Nous savons déjà dans quelle estime mac cron et ses sbires tiennent le peuple français ! Pour la majorité, nous ne sommes que des riens, des insignifiants, des inexistants… Normal que cette engeance nous considère comme n’étant que des cons à qui l’on peut tout faire croire….

  15. Les engins de chantier ne crachent pas d’étincelles, au contraire ils sont de plus en plus sur et de toute façon ils ne se promènent pas dans les combles, ils restent sur terre. De plus un engins de chantier qui est arrêté ne redémarre pas tout seul, il y a des coupe-circuits et de plus les engins comme les ouvriers avaient fini leur journée. Donc difficile à imaginé qu’un engin se réveille tout seul et se promène dans les combles pour y mettre le feu à deux endroits.
    Faut pas nous prendre pour des cons, nous aussi on a bossé et conduit des engins de chantiers.
    La piste criminelle un peu trop vite écartée

  16. Ce gouvernement a trouvé le bouc émissaire : la faute de l’entreprise via son ouvrier. Comme c’est commode !

    Quant à la thèse de l’accident, je dirais qu’il a été provoqué délibérément, je ne crois pas un mot de celle énoncée par le parquet qui a un peu trop vite, à mon gré, conclu à une « maladresse ».

    Depuis quand un feu peut partir de deux endroits différents si j’en crois certaines rumeurs et quand bien même qu’il ne serait parti que d’un seul point – raison de plus ! des poutres en chêne de 40 x 40 ne peuvent s’enflammer à une telle vitesse.

    Assez qu’ils insultent notre intelligence à tout propos : gouvernement, le corps judiciaire, la « justice » !

  17. Que vous parliez d’outillage électro-portatif, d’accord. Mais engin de chantier, là on parle généralement de gros matériel, grues, tracto-pelle, etc. Je doute que l’on ait monté ce genre d’outils sous le toit de la cathédrale.
    En l’occurrence, d’après les images que j’ai vu, les seuls matériels nécessaires à ce stade (préparation du chantier et des travaux) sont des clés de montage des tubes d’échafaudage et des perceuses pour fixer celui-ci sur les poutres.
    Sans oublier le matériel électrique pour l’éclairage.

  18. Question d’un autre naif
    Ayant déjà brûlé du très vieux coeur de chêne, j’ai été surpris par la hauteur des flammes, comme si on avait affaire à du sapin.
    J’ai alors pensé à l’utilisation d’un accélérateur d’incendie, mais je peux me tromper.

    • Oui le Gaulois. On pourrait même supputer amplement sur la couleur des flammes et sur l’extrême rapidité de l’extension de l’incendie et son parcours. Il semblerait de plus que l’action des pompiers n’ait pas été immédiate. Etc.. au risque bien sur de me tromper ! Mais nul doute que l’enquête brillante qui s’annonce fera la lumière froide sur cet accident… d’ici 15 ans peut être..

    • Ca, c’est déjà éteint…. et les « experts » ne vont faire que confirmer la certitude apparue avant même que les flammes ne soient éteintes.
      Vous ne voudriez quand même pas que les gouvernementeurs reconnaissent quoi que ce soit.

    • Je me suis fait la même réflexion sur la rapidité de la propagation : ça a flambé comme de l’étoupe, d’un bout à l’autre de la toiture en quelques minutes. Sans accélérant (en clair: déversement d’un produit incendiaire, genre essence ou alcool à brûler), c’est vraiment très étonnant.

  19. Ils vont nous trouver une bonne explication à cette catastrophe je n’en doute pas, et comme toujours ce sera le clampin au bas de l’échelle qui va tout prendre. Mais le coup de l’étincelle je veux bien que ça foute le feu dans un dépôt de carburants ou il y a des vapeurs inflammables, mais pour enflammer des poutres en bois de cette dimension il en faut tout de même un peu plus. Bref le doute subsiste et je ne suis pas du tout prêt a admettre la thèse de l’accident dû à une simple étincelle sur la base de ce que vont nous dire tous les menteurs professionnels de l’état.

    • Et le résultat de l’enquête sur l’explosion du dépôt d’engrais (nitrate d’ammonium) chez AZF….tout le monde l’a gobé, même s’ils n’ont pas réussi à reproduire l’explosion avec un sac d’engrais et un câble électrique.
      Préparez vous, car il y en aura d’autres; des qu’ils se sentiront assez nombreux et forts,nous n’en sommes plus très loin.

      • Et souvenons-nous que l’attentat d’AZF avait déjà donné lieu à la même mascarade de la part de l’état.
        Je revois encore ce salopard de procureur aux ordres déclarer à la télé, en direct, que ce n’était pas un attentat, alors que l’explosion venait d’avoir lieu et qu’une investigation n’avait encore commencé ! Une honte !

        • Et bien sûr, le muzz retrouvé mort sur les lieux avec 10 couches de t-shirts sur lui n’avait rien à voir avec l’attentat l’accident, ni d’ailleurs avec le véritable islam, c’était un SDF qui passait par là pour faire les poubelles d’AZF pour y trouver à manger.

          Vous avez raison de rappeler AZF: un bel exemple de très probable attentat islamiste sur lequel les autorités ont pratiqué un incroyable -et malheureusement efficace – blackout.

          16 ans après on ne sait toujours pas la vraie vérité, cela augure mal de ce qui va advenir pour ND.

  20. Exact! à part que les travaux à cet endroit là n’avaient pas encore commencé ….et qu’aucun matériel pouvant mettre le feu n’est autorisé sur ces chantiers hyper surveillés et spéciaux!

    • Oui c’est exact, j’ai entendu ces informations, de plus il tait dit que c’était un lieu extrêmement sécurisé.

      Ce matin, un avocat (courageux sans doute de donner son opinion…) a mis en doute la thèse d’un accident auquel il a dit ne pas croire.

    • Oui c’est ce que j’ai entendu dire aussi , de plus la Cathédrale n’est pas assurée, aucun édifice publique appartenant au gouvernement ne l’est ( Arc de triomphe, tour Eiffel, Élysée……)

  21. bonjour, travaillant dans les TP, cela a été mon premier reflexe ! l’entreprise est assurée, le « bâtiment » est assuré alors pourquoi ce raffut ! si j’étais suspicieux, je dirai juste pour que les grandes familles puissent faire de la défiscalisation !! et de la pub. ceux la même qui auraient pu donner des primes à leurs nombreux employés !!
    quand on fait du feu pour soi en intérieur ou en extérieur, on voit bien que des poutres de cette taille ne s’embrasent pas avec une étincelle !! vraiment tout cela ressemble à une mascarade abjecte. et de voir les deux pantins sur FB rigoler en venant….ça laisse songeur et de voir le projet de Perraud aussi.
    on se fiche du monde. cette dictature ne recule devant rien !! à vomir !

    • oui mais l’assurance suppose quand même que soit démontrée l’imputabilité d’une faute à l’assuré. Si plusieurs entreprises interviennent, faute de responsabilité objective et solidaire entre elles, les assurances ne peuvent entrer en jeu… Tout dépend de la rédaction du marché public. S’il y a une clause de solidarité entre les entrepreneurs, effectivement les assurances doivent jouer. Mais cette clause n’a rien d’obligatoire. Je ne sais pas si elle est usuelle pour des chantiers aussi délicats et lourds. En général, plus le chantier est lourd plus il est difficile de s’assurer au vu du risque de dégâts extrêmement coûteux. Donc il y a peu de chance que cette clause ait été stipulée.

  22. Et cette salope d’Hidalgo qui profère quelques platitudes sinistres et stupides en essayant de prendre l’air touché… Il y en a qui peuvent supporter de voir et d’écouter ça ?

  23. Bonjour Jean,
    D’accord, mais il faut d’abord établir la preuve. Nous ne sommes pas en responsabilité présumée.
    D’autre part, les plafonds de garantie couverts par les assureurs de Responsabilité Civile vont généralement de 20 à 50 millions d’euros.
    Nous sommes loin du compte…
    S’agissant d’un bien de l’Etat, je serais étonné qu’une garantie « Dommage à l’existant » –c’est à dire sans recherche de responsabilité– au moyen d’une « Tous Risques Chantier » ait été souscrite. (trop coûteux ..)
    Quant à la valeur de l’existant, elle dépasse certainement la capacité du marché de l’assurance et de la réassurance mondiale…

    • + 1
      Comme ce genre de dégât ne relève pas de l’assurance obligatoire, aucun assureur ne peut être contraint de l’assurer.
      Hidalgo révèlera-t-elle aux Français ce qui avait été prévu dans le marché public ? Rendra-t-elle des comptes à propos des stipulations qui avaient été convenues en cas d’incendie, des clauses relatives à la preuve, etc. ?

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