Certains vont croire que la De Cock, professeur, hélas, est ma tête de Turc… c’est un peu vrai. Elle a commis un crime impardonnable, s’en prendre à nos enfants qui ne lui ont rien fait, pour les manipuler, en bonne stalinienne qu’elle est. Voir en fin d’article la liste ( IV ) assez longue – et édifiante- de tout ce que j’ai à lui reprocher…
On m’objectera encore, à raison, que personne ne connaît la De Cock, à part quelques gauchistes dégénérés qui l’instrumentalisent. C’est juste.
Mais…
Mais, en-dehors du fait du plaisir de fesser une donzelle qui le mérite, ce sont les milliers de De Cock qui devraient être chassés de nos universités, de nos écoles, qui sont visés. Il faut savoir ce qui se passe dans nos écoles pour pouvoir lutter pied à pied.
I Bref, sa dernière ( ou avant-dernière, voir IIIème partie ci-dessous ), c’est qu’elle va se trouver, main dans la main avec Plenel à l’Université d’été du NPA, du 26 au 29 août à Port-Leucate.
Où l’on apprend que le but de cette université est fait sur mesure pour la De Cock et Plénel :
Pleurnicheries sur le péril nucléaire, sur le pauvre peuple palestinien, dénonciation du colonialisme français aux Antilles ( mais oui, ils osent… les cons ça ose tout, on le sait, mais ils réussissent encore à nous étonner ), intersectionnalité, violences policières, racisme d’Etat… bref au NPA rien de nouveau.
https://npa2009.org/agir/politique/universite-dete-2018-presque-tout
II Mais le pire est à venir… 2 de leurs invitées vont avoir la joie et l’honneur d’expliquer aux présents comment vulgariser l’histoire.
L’histoire n’est plus une science, l’histoire doit passer par l’homme de la rue et surtout s’adapter à l’homme de la rue, à son langage… En effet la De Cock et la Larrère vont animer un atelier intitulé « Histoire : la vulgarisation est un sport de combat, atelier présenté par NPA dans une interview lumineuse qui nous apprend des choses fort intéressantes :
Les donzelles qui se targuent de vulgariser les connaissances… attaquent bille en tête la vulgarisation opérée par les « promoteurs d’un roman national (voir note 1) nauséabond contre lequel il convient de lutter, tout à la fois en déconstruisant le roman national, en relevant ses erreurs, et en en démontant la prétendue neutralité pour en révéler les positions politiques (nationalistes, souvent monarchistes, dans tous les cas conservatrices ) ».
Ça a le mérite d’être clair. Le roman national, à mort ! Il pue, il faut le déconstruire ( traduisez « le détruire ») parce qu’il n’est pas politiquement correct. Tout simplement. Charles Martel à Poitiers ? C’est du roman national, ça pue car ça évoque une période de l’histoire qui plaît aux nationalistes, voire aux monarchistes…
Vu comme ça on comprend que les cours de la De Cock ça doit être pire que la Pravda. Rien avant 1789. Et peut-être bien même rien avant 1968 fors la colonisation, bien entendu… et le prétendu racisme des Français.
Marre de l’objectivité, qu’elles beuglent, les attardées…
« Nous défendons toutes les deux une histoire politiquement située, à rebours d’une neutralité qui tient du leurre. Il faut réhabiliter l’histoire engagée. »
On s’en doutait un peu, mais ça va mieux en le disant.
Il n’est d’histoire qu’engagée pour la De Cock. Il n’y a donc plus de science historique. Il n’y a donc que de la politique et de l’instrumentalisation de l’objet étudié.
Et vous savez quoi, les gourdasses vulgarisent si bien qu’elles utilisent les tweet pour enseigner ! Véridique… Pasteur et Einstein doivent se retourner dans les tombes, une De Cock enseigne à l’Université, elle a donc, peu ou prou, le statut de chercheur. Ça fait peur… Démonstration lapidaire en 120 signes, et hop, la science à la De Cock a parlé… Rire ou pleurer ?
nous utilisons Twitter de deux façons : comme des médias au sens propre, à savoir des lieux de médiation des savoirs et de mise en visibilité de questions parfois minorées dans les médias dominants, mais aussi comme un espace d’éducation populaire.
Voir l’ensemble de l’interview, tout aussi aberrant, ici :
III En complément, on ne sera pas étonnés de savoir que la De Cock doit prendre la parole au Colloque de » féministes » qui a chassé de la programmation Fatiha Boudjahlat :
Le but de son intervention ? Comme à l’Université d’Etat du NPA, Apprendre aux autres enseignants à chasser le « roman national » de notre école. Faire disparaître nos héros, notre histoire, nos mythes fondateurs, nos racines... rien que ça. Ne laisser de notre histoire à nos enfants que l’histoire de Mahomet et des Empires africains, de l’Inquisition et des Croisades ( vues du côté des musulmans ) et le reste, une bouillie informe : comment s’habillaient les bourgeois sous Philippe Le Bel ? Louis XIV portait-ils des talons ?
IV Pour tout savoir sur la De Cock qui devrait depuis longtemps être fichue dehors de l’EN
Qu’est-ce que c’est que ce prétendu enseignant qui, non seulement écrit des mensonges pour manipuler les élèves dans les livres qu’elle écrit, qui, en sus, est lâche et en appelle à tout le ban et l’arrière-ban des gauchistes de l’Education nationale quand on lui met le nez dans le caca et qui, en sus, tweete à tour de bras pour demander l’arrestation immédiate de tous les Français dès qu’un immigré ou descendant d’immigré se fait agresser ?
Manipulations, absence de déontologie ?
Lâcheté ?
Irrespect de nos morts :
La De Cock expulsée du tribunal… Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, ça la fait ricaner
Obsédée par un prétendu « racisme français »… et alimentant la haine des patriotes et autres résistants :
Note 1
«L’expression « roman national », popularisée par Pierre Nora, est passée dans le langage courant : elle désigne le récit patriotique, centralisateur, édifié par les historiens du XIXe siècle tout à la louange de la construction de la nation. Le récit national met en avant la grandeur du pays, ses hauts faits et édulcore souvent les pages plus délicates. Il naturalise le « patriotisme », depuis les temps anciens. Dans sa version mystique, la France existerait de toute éternité et les souverains qui se sont succédé n’auraient fait qu’accomplir une destinée quasi naturelle, transcendante….
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J’ai eu le réflexe (petit !) de googliser « De Cock Harvard », bizarrement ça ne donne rien ; quel mauvais esprit j’ai, donc elle serait « indépendante » ?
Bonne question, d’autant plus que le RN a été obligé d’annuler son université d’été, suite au vol des 2 millions qu’il devait recevoir sur sa campagne électorale
J’aimerais beaucoup avoir la réponse à cette question : qui finance cette belle université d’été dans un village de vacances les pieds dans l’eau à Port-Leucate ? Car le NPA est un petit parti, avec peu d’adhérents et pas d’élus. Soros peut-être ?
Si la place occupée par les « faux-historiens » est aussi importante, la faute peut-être aux « vrais » qui se tapissent et se taisent à l’ombre de leurs chaires qu’ils ont abandonnées depuis longtemps.
Bravo, ma chère Christine et merci pour votre article pertinent comme toujours ! Une anecdote . Lorsque mon fils était dans un lycée privé à Paris, il avait un prof d’histoire génial ! Ce prof disait aux élèves : » bon, étudiez bien vos leçons d’Histoire, ça vous servira pour les examens ! Mais sachez que tout ça est faux ! La vérité, c’est ce que je vous dis, moi ! » Et il démontait l’histoire officielle pour reconstruire le « roman national » ! Vous imaginez les cours ! Rock and roll ! les enfants étaient ravis ! Et comme moi, à la maison, j’adhérais complètement aux cours de ce prof, et que je complétais, ça a donné que mon fils est un patriote « indécrottable », qui aime la France, son Histoire, ses ancêtres « païens » celtes et même les gens de gauche qui aiment la France et la défendent bec et ongles ! Bravo encore, Christine !
je ne la connaissais pas et la trouve plutôt jolie sur la photo de l’article, mais le simple fait de savoir qu’elle roule avec Plenel pour le NPA suffit à me la rendre odieuse.
Sur le fond, c’est toujours le même système avec les socialo-communiste:
déconstruire les nations pour introduire leur chimére internationaliste.
C’est du lavage de cerveau à l’echelle d’un pays.
je peux admettre qu’on ait des opinions divergentes et qu’on essaye de convaincre.
Mais eux, sont des tricheurs, ils ne débattent pas, ils manipulent.
C’est d’autant plus intellectuellement malhonnête, que c’est à la jeunesse qu’ils s’attaquent.
En fait, entre le socialo-communisme et le nazisme il n’y a presque pas de différences.
Leurs méthodes sont les mêmes, à une variante près:
les nazis voulaient une race pure,
ils rêvent d’un métissage planétaire.
Hitler utilisait les lebensborn,
ils utilisent les migrants.
Le colibacille De Cock n’est malheureusement pas la seule dans l’éducation nationale.
La De Cock dit : » …… en déconstruisant le roman national, en relevant ses erreurs, et en en démontant la prétendue neutralité pour en révéler les positions politiques (nationalistes, souvent monarchistes, dans tous les cas conservatrices ) » …..
Et aussi : .« Nous défendons toutes les deux une histoire politiquement située, à rebours d’une neutralité qui tient du leurre. Il faut réhabiliter l’histoire engagée. »
Cela fait furieusement penser au » livre » :
» Les luttes et les rêves. Une histoire populaire de la France de 1685 à nos jours » publié en 2016, qui est l’ oeuvre d’une autre » enseignante « , celle – là étant » professeure émérite d’histoire contemporaine à l’université Claude Bernard-Lyon-I « .
Elle s’appelle Michelle Zancarini-Fournel.
( https://fr.wikipedia.org/wiki/Michelle_Zancarini-Fournel )
Quant à son livre , voilà comment il est présenté par l’éditeur :
» Une histoire populaire de la France de 1685 à nos jours
1685, année terrible, est marquée par l’adoption du Code Noir, qui établit les fondements juridiques de l’esclavage « à la française » …..
…… Prendre cette date pour point de départ d’une histoire de la France moderne et contemporaine, c’est vouloir décentrer le regard, choisir de s’intéresser aux vies de femmes et d’hommes « sans nom », aux minorités et aux subalternes, et pas seulement aux puissants et aux vainqueurs…..
….. Pas plus que l’histoire de France ne remonte à « nos ancêtres les Gaulois », elle ne saurait se réduire à l’« Hexagone ». Les colonisés – des Antilles, de la Guyane et de La Réunion en passant par l’Afrique, la Nouvelle-Calédonie ou l’Indochine – prennent ici toute leur place dans le récit, de même que les migrant.e.s qui, accueilli.e.s « à bras fermés », ont façonné ce pays. »
( http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Les_luttes_et_les_r_ves-9782355220883.html )
Il n’y a pas que la De Cock .
L’ Education Nationale regorge de ce genre de nuisibles.
bravo mesdames POUR LE COLONIALISME AUX ANTILLES les descendants d africains DOIVENT PARTIR COMME LES BLANCS ET RENDRE LA TERRE AUX INDIENS et pour les TWEETS BRAVO DE SUIVRE LA METHODE TRUMP
H.S. : attaque djihadiste mortelle au couteau, encore.
A Trappes cette fois, quelle surprise, on ne se doutait absolument pas que cela puisse arriver un jour dans cette ville là…
Ca tourne en boucle sur BFM-TV en ce moment même.
https://actu17.fr/trappes-un-homme-arme-dun-couteau-a-attaque-des-passants-dans-la-rue-au-moins-2-morts/
Ah ben la fête du mouton est pas finie alors !
Des connes de ultra-gauchiasse , traîtres anti-France ,dhimmis et immigrationnistes , tout ça au détriment du peuple de France des « sans-dents » qui se lèvent tôt pour aller bosser qui part leurs travail maintienne difficilement à flot le navire France . Tous ces ultra-gauchiasses et autres partis moribond sur la bascule à charlot , on ne garde pas de traîtres vivant derrière soi !