Soutien pour l’ami Zak Ostmane, membre fondateur de @ShamsFranceLgbt sauvagement agressé. Ns condamnons fermement cet acte homophobe barbare pic.twitter.com/Gtwyw2AhxQ
— Shams_France (@ShamsFranceLgbt) 9 mars 2017
« Zak Ostmane, réfugié de 35 ans qui a milité dans son pays pour la dépénalisation de l’homosexualité, a été passé à tabac du 3 au 5 mars par deux hommes à Marseille. Violé et frappé, il a pu s’échapper grâce à l’aide de policiers.
Ses deux jours de calvaire ont débuté après un simple verre dans un bar du centre de Marseille. Zak Ostmane, réfugié algérien de 35 ans engagé dans l’aide aux jeunes LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuels, trans, intersexes) a été agressé et séquestré vendredi 3 mars par deux hommes, pendant près de 48 heures, comme le raconte samedi Libération. Il en est persuadé: une substance a été versée dans son verre, resté posé sur une table. Après quelques gorgées, il ne s’est pas senti bien et a décidé de suivre un homme qui l’a justement approché à ce moment-là, raconte-t-il à Yagg. Ce qu’il ne fait pourtant jamais et qui le fait croire qu’il a bien été drogué.
Membre fondateur de l’association Shams France, qui aide les jeunes LGBTI, Zak Ostmane milite pour les droits de ces personnes. Cet engagement lui a valu d’être déclaré persona non grata et de recevoir des menaces de mort en Algérie, où il a milité pour la dépénalisation de l’homosexualité. Il a trouvé refuge en France en 2014, où il poursuit depuis son engagement, comme le montre son compte Twitter. Il a notamment coécrit un livre pour dénoncer les tortures à l’encontre des homosexuels pendant la guerre civile en Algérie, entre 1992 et 2007, souligne Libération.
Vendredi 3 mars, après son passage au bar, l’homme qu’il a croisé l’emmène donc dans une chambre d’hôtel, ce dont il ne prend pas conscience tout de suite. Un autre homme les rejoint. Ils lui proposent de la bière et de la drogue, qu’il refuse. «J’ai suivi parce que j’ai été drogué, mais je me rappelle que dans mon esprit, il n’a jamais été question de sexe», explique-t-il. Il reçoit alors «des coups sur le visage» et perd connaissance. À son réveil, il est en train de se faire violer. «Les coups s’enchaînent, je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Les deux hommes, qui ne parlaient pas bien français, me demandent d’aller me laver, et à mon retour, ils recommencent», raconte Zak Ostmane. Dépouillé de ses affaires puis attaché à une chaise, il est passé à tabac jusqu’à 5 heures du matin, notamment parce qu’il refuse de donner son code de carte. Lorsqu’il crie, il est menacé avec un couteau: «Si tu ne te tais pas, je te tue.»
Une information judiciaire ouverte
Le militant reste sous l’emprise de ses ravisseurs toute la journée du samedi et la matinée suivante. Il ne subit plus de violences mais reste sans manger. Jusqu’à ce que dimanche, vers midi, il aperçoive une voiture de police par la fenêtre. À ce moment, l’un de ses agresseurs dort et le second est dans une autre chambre. «Je me suis dit, soit j’ouvre la fenêtre et je crie et les policiers vont venir me sauver, soit je vais mourir ici», confie-t-il à Yagg. Il ouvre alors la fenêtre et appelle au secours. Ses agresseurs lui sautent dessus mais les policiers parviennent à venir le récupérer et à arrêter les deux hommes.
Le jeune homme a passé le reste de la journée de dimanche à l’hôpital, où les policiers ont pris sa déposition. L’association Shams France a diffusé sur sa page deux photos du jeune homme montrant son visage tuméfié ».
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Aux dernières nouvelles, après qu’il fut dit que ce gay fut la victime de ses compatriotes, il a été dit à la radio que ses agresseurs seraient des « légionnaires, l’un d’origine anglaise, l’autre américain »… Que croire ?
On peut aussi imaginer que les « compatriotes » ont acquis la nationalité anglaise et l’autre la nationalité américaine…. Au point où en sont les médias pour nous berner, tout est possible…
des dizaines d agressions ont lieu tous les jours dans cette poubelle qu est devenue marseille et pas une ligne dans les journaux. mais un lgbt agressé et la presse collabos se dechaine. .les personnes dépouillées tabassés tuées, elles, n intéresse pas nos collabos de medias.alors oui,c est bien triste pour ce jeune homme mais ce n est qu une victime parmi des centaines volontairement occultés par des medias aux ordres de ces gouvernements successifs islamo collabos engraissés par les bedouins du qatar qui ont complètement pourris le pays.
Je ne vois pas dans l’article d’indices sur l’appartenance à l’islam des agresseurs, On lit ailleurs qu’ils seraient plutôt occidentaux (mais peut-être convertis à l’islam, certes ?):
http://www.huffingtonpost.fr/2017/03/12/deux-hommes-mis-en-examen-pour-sequestration-et-viol-dun-milita/
« Pendant sa séquestration, l’Algérien, âgé de 35 ans, a pu observer ses agresseurs. Il a relevé chez l’un d’entre eux un accent anglais, chez l’autre un accent américain. Il a identifié l’un deux comme un légionnaire, l’autre comme un déserteur de la légion étrangère ».
http://e-metropolitain.fr/2017/03/11/nimes-un-legionnaire-arrete-pour-le-viol-dun-homosexuel/
Il y a aussi du « casseur de pédé » chez les Européens, malheureusement. Le facteur religieux ne dicte pas la totalité de la conduite d’un être humain, du moins dans la mesure où il ne suffit pas d’être chrétien ou athée pour ne pas être violent (sinon les législations des pays de culture chrétienne n’auraient jamais eu à se soucier des infractions violentes, alors qu’elles l’ont constamment fait au contraire). Il me semble donc précipité de conclure à la « barbarie islamique ».
D’ailleurs, à ce sujet, aujourd’hui beaucoup de migrants africains cherchent à rester en Europe, grâce à un statut de réfugié, en se faisant passer pour des homosexuels persécutés dans leurs pays d’origine.
Cela fonctionne parfois, car, qu’il s’agisse de pays chrétiens ou musulmans, l’homophobie est parfois institutionnalisées ou très répandue en Afrique ou dans les pays musulmans asiatiques aussi.
Voici des exemple d’affaires, certaines ayant abouti réellement à l’octroi de l’asile, d’autres non.
Cela aboutit paradoxalement, à cause de l’arriération de ces législations ou états d’esprit ignorant la tolérance, la laïcité et l’égalité, à favoriser les étrangers homosexuels vis-à-vis des hétérosexuels. Ce n’est pas la faute des premiers, mais du contenu de ces législations, des moeurs en Afrique ou en pays musulmans, et du système qui fait de la France la responsable indirecte de tous les maux du monde, tenue d’accueillir les étrangers malheureux en tous genres, même quand la France n’y est pour rien !
Si l’homosexualité du requérant n’est pas établie, il est débouté.
Exemples avec des arrêts du Conseil d’Etat du 8 février 2017 :
– Guinée :
« 5. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond que pour solliciter son admission au bénéfice de l’asile, M. A…B…, de nationalité guinéenne, soutient qu’il craint d’être persécuté en cas de retour dans son pays d’origine en raison de son orientation sexuelle. Il ressort des énonciations de la décision attaquée que, pour refuser d’octroyer à M. B… le statut de réfugié, la Cour nationale du droit d’asile s’est fondée sur la circonstance que ni les pièces du dossier ni les déclarations de l’intéressé ne permettaient de tenir pour établis les faits allégués et les craintes évoquées. En se fondant sur le caractère faiblement circonstancié du récit personnel de M. B… et aux contradictions dont il était empreint, la Cour, qui n’a pas exigé qu’il établisse la réalité de son orientation sexuelle, a pu considérer, sans commettre d’erreur de droit, que la réalité des persécutions dont l’intéressé alléguait qu’il serait exposé à raison de son orientation sexuelle n’était pas telle qu’elle justifiait l’octroi de la qualité de réfugié. Dès lors qu’elle a rejeté son recours pour ce motif, la Cour, qui n’était pas irrégulièrement composée du seul fait qu’y siégeait un fonctionnaire issu des ministères en charge de l’asile, n’a pas commis d’erreur de droit en s’abstenant de rechercher si, au regard des critères énoncés au point 2 ci-dessus, les personnes homosexuelles constituent ou non un groupe social en Guinée ».
– Bangladesh : « 3. Il résulte de ce qui précède que l’octroi du statut de réfugié du fait de persécutions liées à l’appartenance à un groupe social fondé sur des orientations sexuelles communes ne saurait être subordonné à la manifestation publique de cette orientation sexuelle par la personne qui sollicite le bénéfice du statut de réfugié. D’une part, le groupe social n’est pas institué par ceux qui le composent, ni même du fait de l’existence objective de caractéristiques qu’on leur prête mais par le regard que portent sur ces personnes la société environnante ou les institutions. D’autre part, il est exclu que le demandeur d’asile doive, pour éviter le risque de persécution dans son pays d’origine, dissimuler son homosexualité ou faire preuve de réserve dans l’expression de son orientation sexuelle. La circonstance que l’appartenance au groupe social ne fasse l’objet d’aucune disposition pénale répressive spécifique est sans incidence sur l’appréciation de la réalité des persécutions à raison de cette appartenance qui peut, en l’absence de toute disposition pénale spécifique, reposer soit sur des dispositions de droit commun abusivement appliquées au groupe social considéré, soit sur des comportements émanant des autorités, encouragés ou favorisés par ces autorités ou même simplement tolérés par elles.
4. Il appartient à la Cour nationale du droit d’asile de former sa conviction sur les points en litige au vu des éléments versés au dossier par les parties et, tout spécialement, du récit personnel du demandeur d’asile. Elle ne peut exiger de ce dernier qu’il apporte la preuve des faits qu’il avance et, en particulier, de son orientation sexuelle, mais elle peut écarter des allégations qu’elle jugerait insuffisamment étayées et rejeter, pour ce motif, le recours dont elle est saisie.
5. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond que pour solliciter son admission au bénéfice de l’asile, M. A…B…, de nationalité bangladaise, né en 1992, soutient qu’il craint d’être persécuté en cas de retour dans son pays d’origine en raison de son orientation sexuelle. Il ressort des énonciations de la décision attaquée que, pour refuser d’octroyer à M. B…le statut de réfugié, la Cour nationale du droit d’asile s’est fondée sur la circonstance que ni les pièces du dossier ni les déclarations de l’intéressé ne permettaient de tenir pour établis les faits allégués et les craintes évoquées. En se fondant sur le caractère faiblement circonstancié du récit personnel de M. B… et aux contradictions dont il est empreint, la Cour, qui n’a pas exigé qu’il établisse la réalité de son orientation sexuelle, a pu, par une décision suffisamment motivée et sans commettre d’erreur de droit, considérer que les persécutions dont l’intéressé alléguait qu’il y serait exposé à raison de son orientation sexuelle ne justifiait pas l’octroi de la qualité de réfugié. Dès lors qu’elle a rejeté son recours pour ce motif, elle n’a pas commis d’erreur de droit en s’abstenant de rechercher si, au regard des critères énoncés au point 2, les personnes homosexuelles constituent un groupe social au Bangladesh ».
– Cisjordanie :
« 5. Il ressort des énonciations de la décision attaquée que, pour rejeter la demande de reconnaissance du statut de réfugié présentée par M.C…, la Cour nationale du droit d’asile, après avoir tenu pour établies son orientation sexuelle ainsi que les menaces dont il a fait l’objet de ce fait de la part de sa famille, s’est fondée sur la circonstance que l’intéressé n’aurait pas présenté d’élément suffisant afin d’établir la révélation de son orientation sexuelle au-delà du cercle familial. En en déduisant, alors même qu’elle avait relevé que les personnes homosexuelles sont exposées en Cisjordanie à des discriminations et à des violences sans pouvoir se prévaloir utilement de la protection des autorités, que les agissements dont le requérant avait été victime n’étaient pas liés à son appartenance à un groupe social et en refusant de lui octroyer, pour ce motif, le statut de réfugié, la Cour nationale du droit d’asile a entaché sa décision d’une erreur de droit. Il résulte de ce qui précède que M. C… est fondé à demander l’annulation de la décision du 28 octobre 2013 en tant qu’elle lui refuse le bénéfice de l’asile ».
– Côte d’Ivoire :
« 5. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond que pour solliciter son admission au bénéfice de l’asile, M. A…B…, de nationalité ivoirienne, soutient qu’il craint d’être persécuté en cas de retour dans son pays d’origine en raison de son orientation sexuelle. Il ressort des énonciations de la décision attaquée que, pour refuser d’octroyer à M. B… le statut de réfugié, la Cour nationale du droit d’asile, après avoir relevé que l’orientation sexuelle de l’intéressé était établie, s’est fondée sur la circonstance que ni les pièces du dossier ni les déclarations du demandeur ne permettaient de tenir pour établis les faits allégués et les craintes évoquées. En statuant de la sorte, après avoir relevé que les déclarations de l’intéressé permettaient de tenir pour établies son orientation sexuelle, sans apprécier la réalité des persécutions auxquelles il soutenait être exposé au regard de la situation des personnes homosexuelles en Côte d’Ivoire et sans rechercher si, au regard des critères énoncés au point 2 ci-dessus, elles y constituent un groupe social, la Cour nationale du droit d’asile a entaché sa décision d’erreur de droit ».
Et pourtant dans certaines mosquées, la prière n’est pas sans risques https://www.youtube.com/watch?v=0hbEcYgkVaY.
Dans le même sujet du vivre ensemble hein les bobos gauchiottes lisez ceci si vous en avez le courage bande d’inconscient ou de débile .
Et les trois tordus qui se présentent à la présidentielle qui veulent nous imposés plus d’immigration bande d’enfoirés!
Suède: une femme égorgée, son mari poignardé à mort par des migrants. Devant la police, les migrants n’ont montré aucun remord.
Article publié le 12.03.2017
Des migrants ont égorgé une femme en Suède, la décapitant presque, puis ont poignardé son mari à mort avant de rire des meurtres qu’ils venaient de commettre rapporte le journal Nyheter Idag (source).
La police a été appelée pour intervenir à Hallonbergen, au nord de Stockholm, une zone où 67% des résidents sont nés à l’étranger, la plupart provenant du Liban, de Syrie ou d’Érythrée.
Quand la police est arrivée sur les lieux du drame, ils ont trouvé un homme en train de poignarder à mort un homme, forçant les agents à ouvrir le feu sur le « suspect ». Dans la maison, les policiers ont découvert qu’une femme avait été sauvagement assassinée.
Les victimes étaient les parents de jeunes enfants et ont peut-être été ciblés pour avoir été les témoins d’un autre crime au sujet duquel ils allaient faire une déposition.
Quatre personnes ont été arrêtées pour le double meurtre, y compris deux jeunes hommes de 20 et 21 ans. Les quatre suspects sont originaires du Moyen-Orient ou d’Afrique du Nord.
Les quatre hommes n’ont montré aucun remord et riaient durant toute leur garde-à-vue.
http://lesobservateurs.ch/2017/03/12/suede-une-femme-egorgee-son-mari-poignarde-a-mort-par-des-migrants-devant-la-police-les-migrants-nont-montre-aucun-remord/