Grèce : referendum pour préserver le peuple grec, vers la sortie de l’Europe ?

https://fr.news.yahoo.com/alexis-tsipras-soumet-le-plan-daide-%C3%A0-la-064126299–business.html

Tsipras est un allumé, dangereux sur un certain nombre de sujets, notamment l’immigration et l’extrême « gentillesse » à l’égard de ceux qui ne veulent pas travailler, comme son homologue français Mélenchon, mais il faut saluer ses réponses aux exigences de ses créanciers, qui demandent, afin que la Grèce ne soit pas en cessation de paiement, rien moins que la diminution des pensions et de nouvelles baisses de salaires dans la fonction publique, entre autres.

Selon un responsable grec, le Premier ministre leur a répondu ne pas comprendre l’insistance des créanciers sur la nécessité de mesures douloureuses.

« Ces propositions prouvent l’obsession, principalement de la part du Fonds monétaire international, pour une austérité dure et punitive« , a insisté Tsipras lors de son allocution télévisée, ajoutant que « l’objectif poursuivi par certains de nos partenaires et certaines ‘institutions’ n’était pas un accord viable pour toutes les parties, mais l’humiliation d’un peuple tout entier« .

La réponse de Tsipras est claire, il appartient au peuple de décider, face à un choix difficile. Referendum !

Une des conséquences de ce dernier, si le peuple l’approuve sera, forcément, la sortie de l’euro et de l’Europe, et le retour à la souveraineté monétaire de la Grèce, avec la possibilité de dévaluer, la seule solution sans doute…

Solution qui porterait un coup supplémentaire à Bruxelles et à nos dirigeants, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Quand est-ce que l’on décide par referendum des questions cruciales pour le peuple français ? Quand est-ce que l’on sort de l’euro et de l’Europe ?

Christine Tasin  

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6 Commentaires

    • evidemment sauf qu’il est, parce que d’extrême gauche favorable à l’immigration….

  1. Je me souviens de mes lectures que les grecs de l’antiquité, qu’ils soient lacédémoniens ou athéniens, disaient qu’ils avaient depuis toujours appris à lutter contre des multitudes très supérieures en nombre. Leur guerres médiques ont été un peu notre lutte contre les islamistes qui croient dans leur insolence avoir gagné d’avance la partie.
    Mais l’ennemi qui nous amoindrit le plus est sans l’ombre d’un doute une Europe, qui au fil des ans défends de moins en moins nos intérêts.

    • Tout à fait, le nombre ne suffit pas pour gagner une guerre, mais l’Europe est leur alliée

  2. C’est bien connu, les cochons de payeurs ne doivent rester qu’à une seule place, celle que leur a défini la doxa. Le tandem France Allemagne debout imperturbable sur le bateau qui coule. Rendrons-nous à la Grèce actuelle ce que nous a donné la Grèce antique ? A défaut de la démocratie de la monnaie d’échanges…!!!??? La Grèce se meurt, la Grèce est morte.

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