L’indignation à deux vitesses

L’INDIGNATION À DEUX VITESSES

Nous avons tous en mémoire l’affaire de ce pauvre Théo. Et bien imaginez-vous, braves gens, qu’elle vient d’avoir une copie conforme.

Comme je l’avais relaté dans un récent article, et comme Christine Tasin et Pierre Cassen l’avaient également évoqué dans un autre, notre ami Richard Roudier -président de la Ligue du Midi- a été victime d’une violence policière aussi odieuse qu’intolérable, que l’on peut même qualifier d’acte de barbarie. Cette information a aussi été traitée par Lengadoc-Info, avec des illustrations que je lui emprunte.

Voir les liens ci-après, les photos sont donc copiées sur Lengadoc-Infos et fournies par la Ligue du Midi et la famille Roudier (âmes sensibles s’abstenir).

http://resistancerepublicaine.com/2017/07/26/richard-roudier-finit-une-garde-a-vue-a-lhopital/

Richard Roudier (70 ans) opéré en urgence après des violences policières (21 jours d’ITT)

Les médias tairont-ils la très grave agression policière subie par Richard Roudier ?

Étant presque son voisin, j’ai donc rendu visite à Richard cette après-midi puisqu’il a enfin pu revenir à son domicile cévenol.

J’ai trouvé Richard très en forme, vraiment, ne ressentant que peu de douleur -on pourrait crier au miracle- et toujours aussi en verve pour conter sa mésaventure et celle de son fils Olivier.

Il a quand même deux fractures ouvertes et trois broches à un doigt, confirmées par un nombre respectable de jours d’ITT.

Mais, braves gens, voici donc pourquoi notre ami Richard Roudier est si en forme :

Le Président de la République, Emmanuel Macron, lui a rendu visite à l’hôpital afin de le réconforter et de l’assurer que cette affaire n’en resterait pas là. Des photos ont été prises à cette mémorable occasion.

Une respectable cohorte d’artistes du spectacle a organisé une pétition afin que justice soit rendue à Richard Roudier. Guy Bedos s’est même déclaré prêt à accueillir notre ami à son domicile afin qu’il puisse se remettre de ses émotions.

Tous les médias nationaux, régionaux et locaux ont abondamment traité l’information, la diffusant en continu sur différents supports. Des chroniqueurs de renom ont débattu de l’affaire sur plusieurs chaînes de télévision et Laurent Ruquier s’est déclaré indigné.

Des manifestations de grande ampleur on eu lieu dans les principales villes du pays et même dans des villages peu familiers de ce type d’expression. Les forces de l’ordre on été violemment prises à partie aux cris de « flics barbares » et « le fascisme ne passera pas ».

La Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International et le Syndicat de la Magistrature ont fait des déclarations allant dans le sens d’une légitime inquiétude et de la mise en cause de l’organisation policière. Le ministre de l’Intérieur a dû demander une enquête de l’Inspection Générale des Services, laquelle a été aussitôt diligentée.

Enfin, une indignation nullement organisée et parfaitement spontanée a soulevé le cœur de nombre de nos concitoyens, lesquels se demandent comment de telles choses peuvent se produire dans un État démocratique où les politiciens veillent si bien sur la moralité publique et la déontologie policière.

Ah, non, excusez-moi, j’ai déliré… Richard m’a fait boire un truc bizarre et depuis j’ai des hallucinations extraordinaires… Bon, promis, la prochaine fois je ferai attention avant de vous écrire !

Daniel Pollett

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30 Commentaires

    • Bonjour,

      Je ne sais plus, mais nous devons rester impérativement dans les clous imposés :=)

    • Bonjour,

      Merci de respecter le modérateur et de ne pas l’insulter.

      En été le site tourne au ralenti et il y a beaucoup de travail.

      Souvent des commentaires restent bloqués pour des raisons diverses (recherche de confirmation de l’information donnée, transformation éventuelle en articles suivant le planning etc, etc).

      (Le modérateur).

  1. Très bien l’article, moi aussi, j’y ai cru au tout début, jusqu’à l’arrivée de micmac,
    là, c’était plus possible….
    Mais ça recrée mot à mot, ce qui s’est passé pour la prétendue affaire théo,
    INDIGNATION A DEUX VITESSES OUI !

    Les français sont totalement indifférents à ce qui peut arriver à leurs concitoyens, seules les concernent les affaires à « caractère raciste »

  2. histoire de faire comprendre a nos lecteurs pourquoi les Algériens adorent venir vivre dans cette France haïe

    «  »

    Sétif : L’eau «coupée» par les procédures…
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    le 27.07.17 | 12h00 Réagissez

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    Dotée pourtant d’innombrables sources et fontaines, une grande partie de la wilaya de Sétif est sans eau.

    Dans bon nombre d’endroits du chef-lieu de wilaya et d’autres localités, aussi bien du sud que du nord de la région, les robinets sont à sec. Le problème perdure depuis presque deux mois. La situation a non seulement gâché les vacances des enfants, transformés en chercheurs et porteurs d’eau, mais mis à mal les nerfs de centaines de ménages en quête de la denrée rare. Paradoxalement, le malheur des uns fait le bonheur des camions-citernes, très sollicités en ces moments.

    Pour s’offrir une citerne à plus de 1500 dinars, l’acheteur doit se lever à l’aube et attendre pas moins de 4 heures pour recevoir le précieux produit. Dire que le sol des Hauts-Plateaux est riche en eau ! Celle-ci est malheureusement coupée à cause des procédures administratives à l’origine de la pénurie.

    xxxxx

    c’est con ça!! avoir de l’ eau généreusement dispensée par le géographie naturelle et crever de soif……

    bof! quand on sait le niveau de branlette et je m’ en foutisme atteint par ces pays qui nous expédient leurs trop-pleins…aucune surprise

  3. pendant que j’ y suis…..la suite de Majda

    on commence a comprendre pourquoi ces gens encombrent nos urgences pour un rhume ou une gastro
    et se vengent de la qualité de nos services hospitaliers en tabassant médecins et infirmières
    c’est trop beau chez nous pour qu il n’ y ait pas un « loup »

    ::::::::::::

    Les chroniques de Majda
    18 juillet, 02:54 ·
    LE SERMENT D’HYPOCRITES
    Il y a quelques jours, je suis tombée soudainement malade : Des maux de tête horribles, l’estomac et la tête au carré, des nausées (…). J’étais très inquiète parce que les maux de tête étaient tellement violents que j’avais vraiment pensé que je faisais une rupture d’anévrisme lah y7fed !
    Mouhim, j’ai la « chance » d’habiter en face d’une clinique, j’ai donc rassemblé le très peu de force qui me restait en stock pour aller consulter d’urgence. Arrivée à destination, en chien, pliée en quatre, en sueur, on m’a refusé la consultation sous prétexte que je n’avais pas de cash (je pensais qu’on pouvait payer par carte). Essoufflée, j’ai expliqué à la dame que je voulais juste qu’on m’ausculte et que dès que tout ça sera fini, j’irai retirer l’argent tout en laissant ma pièce d’identité, mon sac, mon téléphone (la garantie quoi !). J’ai aussi indiqué mon lieu de résidence en pointant du doigt l’immeuble (…). Mais walou. Rien. La réceptionniste m’a vomi son script « Pas de chèque, pas de carte bancaire ! Nous n’acceptons que l’argent liquide et le payement se fait à l’avance. Le montant est de 350 dirhams » (on croirait des dealers de drogue dans un film de série B). Elle voyait bien que je souffrais le martyr puisque j’étais à la limite du malaise mais elle s’en foutait royalement derrière son rictus !
    Je suis sortie très difficilement chercher le « fric » et y suis retournée. J’ai payé ce que j’avais à payer, on m’a installée dans une petite salle et j’ai poireauté plus de vingt minutes en attendant le médecin (là encore, c’est « normal »)! Le Monsieur est enfin arrivé, gastro-entérite, ordonnance, recommandations puis je suis rentrée chez moi et me suis endormie très énervée.
    En me réveillant, tout en fulminant encore, je me suis souvenue d’une fillette de ma famille qui, il y a cinq ans, est tombée soudainement dans le coma. Ses parents, complètement affolés, leur fille inconsciente dans les bras, ont couru aux urgences d’une clinique réputée de la capitale. Effondrés, la petite (de deux ans à l’époque) était dans un état d’extrême urgence, et on leur a sorti le même topo « Vous devez laisser un chèque de garantie de 40000 dirhams ». Les parents ont essayé de négocier l’admission de leur fille le temps que le papa aille chercher son chéquier à la maison. Mais là encore, rien. Une enfant de deux ans dans le coma ? On s’en fout, allonge le fric ! Serment d’Hippocrate ? Conscience professionnelle ? Soigner les malades d’abord avant de penser au fric ? Faire son travail ? Sauver des vies ? Pouwahahahahahaha !!!! Mon c** ! Pas de fric, pas de soins. Point.
    Je vous épargne les erreurs médicales très fréquentes dans nos cliniques. Les hommes d’affaires en blouses blanches qui gèrent leurs hôtels avec option soins, n’en ont strictement rien à foutre. Vous pouvez même recevoir des soins pour des maladies que vous n’avez même pas ! Ou a contrario, on peut vous certifier que vous n’avez strictement rien jusqu’à ce qu’un beau jour vous tombiez comme des merdes. C’est déjà arrivé avec l’un de mes enfants ! Il avait un mois et demi à l’époque et vomissait la totalité du lait qu’il buvait. J’ai couru aux urgences d’une clinique de Rabat, on l’a ausculté (après une heure d’attente bien entendu), et on m’a certifié que ce n’était rien du tout, que les bébés ça vomit et que c’était juste à surveiller « au cas où ». Mais, instinct maternel pas tranquille oblige, j’ai préféré avoir un second avis et là, le couperet est tombé « Il doit se faire opérer MAINTENANT ! ». Il avait l’estomac fermé. J’ai eu l’occasion d’en parler au directeur de la clinique en faute qui m’a sorti, avec un culot incroyable, que « ce sont des erreurs qui arrivent ». Lah yn3el dine 7esskoum !
    Bref. Ces trois cas évoqués finissent bien après un parcours du combattant. Mais force est de constater que quand on tombe malade au pays des merveilles, on fait d’office l’impasse sur les hôpitaux publics (pas la peine de vous faire un dessin du pourquoi) et on se rabat sur nos cliniques dont les gérants sont dépourvus de toute empathie ou de conscience professionnelle. Ils profitent des lacunes (et je suis gentille) des hôpitaux publics pour la mettre bien profond aux patients souvent désespérés qui ne voudraient qu’une chose : Être considérés comme des êtres humains et non pas des chéquiers sur pattes et être soignés par des mains compétentes qui ne seraient pas en constante recherche de profit.
    Aujourd’hui, nous sommes les privilégiés qui avons notre lot d’histoires sur les cliniques de ce pays et je n’ose même pas imaginer les mésaventures des plus démunis qui parfois décèdent en attendant leur tour aux « urgences ».
    La toile pullule d’histoires hallucinantes d’ailleurs, mais aucune mesure n’est prise. Patients traités comme de la merde, erreurs médicales, erreurs de diagnostics, décès (…) mais c’est devenu tellement routinier que nos responsables s’en battent les reins!
    Oh ! J’imagine qu’il existe des cliniques sérieuses gérées par des mains compétentes, mais bon … Moi, pas connaitre.
    Bref. Tout ça est bien risible et c’est Hippocrate qui doit se retourner dans sa tombe. Pauvre de lui.

  4. voilà pourquoi ils sont si hargneux d etre heureux en FRANCE..cette jeune femme marocaine nous l’ explique si bien !!

    « les chroniques de Majda »

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    Les chroniques de Majda
    28 juin ·
    L’ONCF ! LAH YN3EL DINE TTRANE LLI WLEDKOUM !!!!
    Je me souviens il y a onze ans, je faisais la navette Rabat-Casa et c’était vraiment l’une des pires périodes de ma vie ! Entre les retards, les trains qui s’arrêtent mille fois tu ne sais pas pourquoi, le chauffage l’été, la clim’ l’hiver, les places introuvables (…). Je me souviens de cette voix de connasse, tous les matins … quand elle commençait ses annonces par un « Mesdames et messieurs, votre attention s’il vous plaît ». Quand cette Hmara nous demandait notre attention, c’était toujours pour nous annoncer un retard de train. Oh ! Elle s’excusait, la voix de l’ONCF ! Elle s’excusait ! Mais quand tu te réveilles à 5h30 du matin, la tête dans le derrière, pour choper le train de 6h30 et que celui-ci, lalla la3roussa, arrive avec une heure de retard, tu t’en carres les reins des excuses, surtout qu’aucune explication ne suit lesdites excuses !
    Bref, aujourd’hui, j’avais un rendez-vous important à Casablanca, j’ai donc pris le train tout en prenant toutes mes précautions (c’est à dire prendre le train une heure avant l’heure à laquelle je devais initialement le prendre). Il est arrivé à temps, je suis arrivée à temps, tout allait bien … Y avait même la clim’ ! J’ai même appelé un ami pour lui dire qu’on avait la clim’ ! Puis vint l’heure du retour ! J’ai couru pour être dans les temps, je suis même arrivée dix minutes à l’avance ! Mes calculs étaient bons ! Mes enfants m’attendaient à la maison. J’avais promis d’être là à leur réveil de la sieste et je déteste ne pas tenir mes promesses surtout quand il s’agit de mes enfants ! On devait aller faire une promenade à la forêt nous ! Ils attendaient que maman rentre pour aller courir dans la verdure de la capitale !
    Hé bien non ! Je suis montée dans ce foutu train à 16h00, j’ai attendu 5, 10 minutes, rien. Personne n’est venu nous dire quoi que ce soit ! Les passagers de 16h30 sont arrivés et sont montés dans ce même train. Il n’y avait plus de places libres. Ils étaient tous debout. Puis nous avons attendu ensemble, 5, 10 minutes, rien. Aucune annonce. Certains en riaient, d’autres tapaient contre les vitres et d’autres encore râlaient (moi en l’occurrence). C’était légitime. Puis sont arrivés les passagers du train de 17h00 qui sont – naturellement – montés avec nous. Il n’y avait plus de place depuis 45 minutes. Les uns étaient écrasés contre les autres. Et cette scène était apparemment « normale ». Ca ne semblait pas choquer grand monde. En fait, je pense que cette scène, très routinière, est devenue fatigante pour les usagers quotidiens de ces trains de merde ! Il en faudrait peut-être un peu plus pour les choquer !
    Mouhim. Quinze longues minutes plus tard (17h15 plus exactement), la même voix de connasse – pourtant muette pendant plus d’une heure – nous murmure que l’ONCF s’excuse de ce retard. C’est tout. Sans plus. Ni explication, ni walou. Bien sûr, on a du se taper toutes les gares entre Casa et Rabat, tout en nous arrêtant dix minutes entre Hay Riad et l’Agdal pour des raisons encore occultes (et même refrain, pas d’excuses ni d’explications, walou).
    Moi, ce qui me fascine dans toute cette histoire, c’est le culot de cet office qui – malgré l’indignation collective de ses clients depuis plusieurs années – n’en branle pas une pour arranger les choses. Il augmente les tarifs, on ne sait pas trop pourquoi, et le service est toujours aussi merdique si ce n’est pire qu’avant ! Les clients crient au scandale, la presse crie au scandale, j’imagine que même les plus hautes sphères du plus beau pays du monde ont déjà du remonter les bretelles de Rabie Khlie, mais il faut croire que ce triste sire n’en a cure de la peau de ses compatriotes transformée en viande séchée sous le soleil impitoyable de l’attente (je me permets ce « tenz » de mauvais goût mais de circonstance).
    L’ONCF, par la force de son monopole, se permet tout au détriment du confort de ses clients. En fait, ils n’en ont rien à foutre de leurs clients ! Tant qu’ils payent, ils se foutent royalement de ce qu’ils traversent tous les jours à cause de leur incompétence notoire.
    J’aurais aimé appeler au boycott de ces salauds jusqu’à ce qu’ils comprennent (si toutefois ils sont dotés d’un minimum d’intelligence ou d’un chouïa de professionnalisme) mais je sais que c’est impossible (le boycott ET qu’ils comprennent) ! J’aurais aimé qu’un jour, tous les « navettistes » se réveillent en se disant « aujourd’hui, je vais prendre le train et je ne vais pas payer ». Tous ! Qu’ils montent tous dans leurs trains, qu’ils ignorent les contrôleurs aux portes et qu’ils s’installent confortablement dans les fauteuils de l’incompétence de l’ONCF. Peut-être qu’en n’ayant pas d’argent ce jour-là, l’ONCF comprendra par la force de l’argent que, pour le gagner proprement, il faudra peut-être essayer d’abord de le mériter …
    Bref, aujourd’hui j’ai pris le train, mes enfants n’ont pas couru dans la forêt et j’ai en plus payé trente-sept dirhams pour un service qui n’en vaut pas deux. BRAVO L’ONCF !????
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  5. @MACHINCHOSE

    « paiement immédiat en espèce de 170 euros, je crois, c’est ce qui m’ a semblé

    mémère est allée retirer les sous au distributeur et s’ est acquittée de son amende

    Raaahhhh! ça fait du bien !! »

    Merci mille fois pour cette excellente anecdote vécue et incontestable puisqu’elle provient d’un patriote comme nous !!
    Il y a encore des bonnes nouvelles dans la vie…

  6. Mohammad Reza Omidi

    ???????????

    curieux prénom pour un Chrétien…..même iranien …..

  7. je me suis offert ce matin un plaisir de gourmet rare que je vous souhaite

    place du marché, la foule, les bagnoles, la cirul, l’ embouteillage

    tranquillos une bagnole conduite par une Esquimaude acompagnée de ses deux chiards se gare, non, plutot abandonne littéralement sa caisse sur le trottoir et , descend faire ses courses sans s’ emmerder a stationner a 800 mètres au moins plus loin

    passe la police municipale
    enlèvement demandé
    ausitot surgit une de ces remorqueuses , telle un vautour flairant le cadavre!!

    la voiture de l’ iglooteuse est accrochée et soulevée de quelques centimètres

    rapplique alors l’ iglooteuse qui se met a hurler, a pousser des cris stridents, les gosses pleurent, attroupement, la fliquette municipale commence a baliser mais ne cède pas
    l’ enleveur de bagnole, surement payé a la com sur les caisses enlevées veut se barrer, l’ esquimaude ordonne a ses loupiots de se coucher sous la dépanneuse a l’ avant…les lardons obeissent…on sent la « bavure »
    finalement, un Esquimau intervient…et obtient le non enlèvement moyennant un paiement immédiat en espèce de 170 euros, je crois, c’est ce qui m’ a semblé

    mémère est allée retirer les sous au distributeur et s’ est acquittée de son amende

    Raaahhhh! ça fait du bien !!

  8. Il me semble qu’à ce jour, rien ne prouve que Théo aurait été victime d’une matraque policière dans l’anus, l’hypothèse envisagée parfois étant qu’il aurait pu avoir un tube de drogue à cet endroit qui se serait brisé lorsqu’il se serait accroupi.
    http://resistancerepublicaine.com/2017/03/21/theo-reconnait-quil-a-menti-la-pauvre-chose-ne-se-souvient-pas-de-ce-quelle-a-dit/
    http://resistancerepublicaine.com/2017/03/07/theo-avait-il-cache-dans-son-anus-un-tube-de-verre-contenant-de-la-drogue/
    Certains avaient faire valoir qu’on ne peut pas mettre une matraque dans l’anus facilement.
    Des gens ont aussi fait valoir qu’une matraque téléscopique se replierait dans de telles circonstances.
    L’affaire est en cours d’instruction. J’imagine la pression subie par l’institution judiciaire étant donné les menaces des manifestants : soit vous condamnez, soit vous n’aurez pas la paix (voir défilé Adamé Traoré). Dans le contexte des émeutes qui ont déclenché l’état d’urgence en 2005, on peut tout craindre…
    En revanche, pour M. Roudier, la photo parle d’elle-même : on voit mal comment on peut se faire autant exploser le droit autrement que par écrabouillement.
    Et si c’était pendant la détention, on voit mal qui a pu lui écrabouiller ainsi le doigt si ce n’est une grosse porte dont autrui avait la maîtrise… et on sait qui est « autrui » alors !
    En toute occurrence, les soutiens de M. Roudier respectent trop les contribuables français et ceux qui ont contribué à construire leur pays pour aller tout casser, mobilier urbain, biens publics et privés, engageant la responsabilité de l’Etat du fait d’émeutes non contrôlées quand il s’agit de bien privés et donc augmentant les charges publiques.
    Ils respectent trop aussi pour le faire ceux qui respectent les lois françaises et dépendent de la solidarité nationale pour survivre ainsi que les services publics. La dégradation des finances publiques préjudicie à tous.
    Bref, eux ne feront pas d’émeutes !

    • Bonjour,

      Ce qu’on aimerait connaître, c’est ce que faisait Traoré AVANT d’être interpellé.

      C’est la grande méthode chérie des médias : on vous passe en boucle l’épisode 2 et ils ne disent jamais rien de l’épisode 1.

      A plus grande échelle, on nous fait pleurer sur les colonisés « algériens », mais ces « chers » médias (très chers: ils vivent de nos subventions) ne parlent jamais de la traite barbaresque antécédente …

  9. Les sportifs ne sont pas tous des idiots . Le champion français de boxe thaï Patrice Quarteron est fiers de notre pays . Ca fait tache dans le monde des lobotomisés .

    Le champion français de boxe thaï Patrice Quarteron a provoqué une avalanche de réactions sur Internet, en fustigeant l’amalgame entre «patriotisme» et «racisme». Saluée par le numéro 2 du FN, sa publication lui a valu de nombreuses critiques.

    «Je porte mon drapeau fièrement»

    https://francais.rt.com/france/41468-champion-francais-muay-thai-patrice-quarteron-publie-post-patriote-et-cree-polemique

  10. Il faut absolument diffuser le nom du salopard , ce trou du Q ne doit pas se sentir en securite ou qu il aille .

  11. Oui c’est vraiment flagrant cette discrimination ouverte qui ne se cache même pas ou plus. Ecoeurant et à peine croyable de voir cela. Jamais je n’aurais imaginé que mon Pays en serait arrivé là.

    Journalistes, politiques, associations… vous faite quoi là ?

  12. En France maintenant c’est simple, tu t’appelles Julien Dupont et tu tabasses quelqu’un, t’en prends pour cher. Tu t’appelles Marouane Kherroubi, t’as rien, limite on te considère « fou » et donc fin de l’histoire. Mais c’est normal on me dit, c’est moi JPC qui a un souci avec l’Islam. La colère monte mes chers compatriotes. Oh pas chez tout le monde. Je me suis fait agresser par des muz’s en 2001 qui ont kidnappé ma fiancée, Jacquot Chirac et son premier sinistre n’ont même pas été informés. Mais quelle misère.

  13. La honte totale à ces gouvernances parasitaires de la France en déclin, poussée par la traîtrise de personnage hors du temps, privilégiant l’arrivée d’un grand nombre de parasites incompatible avec nos coutumes. Vivement, qu’un grand nombre d’entre nous prenne conscience de la situation, nous devons nous révolter contre cet état remplie de collaborateur traître à la nation. Nous devrons malheureusement couper des têtes, avant que cela nous arrive.
    Et là, Micro 1er ne se déplacera pas pour prendre des nouvelles, il est de souche, donc ça passe à la trappe. Circuler y a rien à voir.

  14. SITE : capital.fr
    ARTICLE : 15 hauts gradés de l’armée écrivent à Macron : « Nous nous sentons humiliés »
    URL : http://www.capital.fr/economie-politique/15-hauts-grades-de-l-armee-ecrivent-a-macron-nous-nous-sentons-humilies-1238365
    DATE : 27/07/2017

    Les attaques d’Emmanuel Macron contre le général Pierre de Villiers ne passent décidément pas. Dans une lettre ouverte au président que Capital reproduit ci-dessous, 15 hauts gradés de l’armée ayant quitté le service – dont cinq généraux – clament leur soutien à l’ancien chef d’Etat-major et témoignent de leur « blessure profonde ».

    Monsieur le Président

    C’est au Chef des armées que les signataires de la présente lettre souhaitent s’adresser. C’est au Chef des armées qu’ils veulent dire combien ils ont été stupéfaits par son attitude à l’égard du Chef d’état-major des Armées de la France.

    Nous sommes des Officiers de tous grades et des différentes armées ayant quitté le service actif. Nous n’avons aucun mandat ; nous ne prétendons pas parler au nom de l’Armée, cette « grande muette ». Nous estimons en revanche, de notre devoir de vous faire part de notre indignation et de vous dire ce que beaucoup de nos jeunes camarades, nos frères d’armes en activité, ressentent sans pouvoir l’exprimer.

    L’Armée est peut-être muette, mais elle n’est ni sourde ni aveugle, ni amnésique. Elle n’a pas été sourde quand elle a entendu et cru en vos promesses de campagne. Elle n’a pas été aveugle lorsque votre tout premier geste a été de vous rendre au chevet de ses blessés. Elle a apprécié le symbole qu’a représenté votre choix d’un véhicule de commandement le jour de votre prise de fonction, elle a été sensible à l’image de l’autorité restaurée que vous avez voulu afficher. Tant vos paroles que les symboles que vous aviez choisis semblaient donc démontrer votre compréhension des forces armées et la priorité que vous leur accorderiez dans le contexte actuel.

    Mais alors tout cela n’était-il que promesses, paroles et maniement des symboles ? On est en droit désormais de se poser la question en entendant les propos que vous avez tenus publiquement à l’Hôtel de Brienne à l’encontre du Chef d’état-major des armées, à la veille des cérémonies du 14 juillet. Cela restera longtemps dans les mémoires.
    «Je considère pour ma part, qu’il n’est pas digne d’étaler certains débats sur la place publique… »

    Mais alors est-il vraiment digne de réprimander, non seulement en public, mais devant ses subordonnés, un grand chef militaire, au sujet de propos destinés aux membres d’une commission parlementaire, au cours d’une audition censée être confidentielle ? Le CEMA ne faisait-il pas son devoir en rendant compte loyalement à la représentation nationale de l’état des armées ? Cette humiliation publique est une faute, Monsieur le Président.
    «J’ai pris des engagements…»

    Mais alors, après avoir prolongé le CEMA d’une année, ce qu’il a accepté en toute loyauté, précisément pour mettre en œuvre vos engagements de campagne, pourquoi lui faire grief de refuser d’endosser vos reniements ? Comment pouvez-vous penser qu’il accepterait de se soumettre et de perdre ainsi la confiance de ses subordonnées ? Ce reniement est une faute, Monsieur le Président.
    «Je suis votre chef…»

    Tous les militaires le savent et ils sont vexés que vous le leur rappeliez. Mais alors, serait-ce que vous en douteriez vous-même ? Dans ce cas, ce doute vous honorerait car il montrerait que vous avez senti la différence entre être le chef légal, et être le chef véritable : celui qui, connaissant le métier des armes, respecte ses hommes et en retour se fait aimer d’eux ; celui qui, parce qu’il a d’abord commencé par obéir, a appris à commander. Si votre jeunesse est une excellente chose, elle ne vous a pas apporté l’expérience du Service sous les armes. Personne ne vous le reproche, mais ceci implique un minimum d’humilité : commander n’est pas « manager ». Ce défaut d’humilité est une erreur, Monsieur le Président.
    «Les engagements que je prends devant nos concitoyens et devant les armées, je sais les tenir…»

    Nous ne demandons qu’à le croire, mais pour l’instant vous ne les tenez pas, et nos ennemis eux, ne vont pas attendre une année supplémentaire pour frapper les nôtres. Quant à l’argument consistant à dire au pays que la coupe budgétaire annoncée n’aura aucune incidence sur la vie de nos soldats, il est fallacieux et vous le savez. Il a été utilisé par vos prédécesseurs depuis des décennies et il est la cause des nombreux retards, diminutions, voire annulation de programmes, responsables du délabrement actuel de nos matériels ; situation que nos hommes vivent durement au quotidien, en conditions de guerre. En réalité vous mettez nos armées dans une situation encore plus tendue, vous le savez et vous manipulez la vérité. Cette manipulation est une faute Monsieur le Président.
    «Je n’ai, à cet égard, besoin de nulle pression et de nul commentaire»

    Considéreriez-vous donc comme une «pression» ou un «commentaire» le compte-rendu que le Chef d’état-major a présenté en toute vérité et loyauté à la commission parlementaire ? Le CEMA ne doit-il adresser à la représentation nationale que des propos bien lissés et bien formatés en lieu et place de la réalité ? Quel caporalisme, quel manque de considération pour lui comme pour elle ! Quel mépris vis-à-vis des problèmes réels auxquels nos armées ont à faire face ! Ce mépris est une faute Monsieur le Président.
    «J’aime le sens du devoir, j’aime le sens de la réserve…»

    Précisément votre devoir était de faire preuve de réserve vis-à-vis de votre grand subordonné ; les termes vifs qu’il a utilisés ne vous étaient pas destinés, vous le saviez. Rien ne vous obligeait à rendre publique une fuite de confidentialité et à l’exploiter en violente diatribe à son égard. Où est la réserve quand quelques jours plus tard, comme si cela ne suffisait pas, vous déclarez dans la presse que « L’intérêt des armées doit primer sur les intérêts industriels », laissant ainsi entendre que le souci du CEMA concernant l’obsolescence des matériels lui seraient « susurrés » par le lobby militaro-industriel ? C’est bas, ce n’est pas digne, Monsieur le Président. Où est la réserve quand, dans le même journal, vous ajoutez en parlant du général De Villiers qu’il a toute votre confiance, «mais à condition de savoir quelle est la chaîne hiérarchique et comment elle fonctionne, dans la république comme dans l’armée» ? Où est la réserve dans de tels propos adressés à un homme qui sert les Armes de la France depuis quarante ans, quand vous ne les découvrez que depuis deux mois?

    En conclusion, vous aurez compris, Monsieur le Président, que vos paroles publiques visant le Général De Villiers n’ont pas seulement atteint ce grand serviteur de la France et de nos armées mais aussi un grand nombre de militaires qui, comme nous, se sentent humiliés. La blessure est profonde. C’est pourquoi, loin des innombrables commentaires politiques, techniques ou simplement polémiques, nous pensons qu’il est de notre devoir de vous parler avec le cœur. Vous aviez bien commencé avec les symboles, et nous avons cru en votre parole ; mais aujourd’hui elle s’est transformée en mots inutilement destructeurs et vos récentes déclarations d’amour à Istres ne sont encore perçues que comme des mots, pour ne pas dire comme de la communication.

    Alors, Monsieur le Président, réservez et retenez votre parole pour qu’elle redevienne La parole, la parole donnée, la parole qu’on tient : celle en laquelle nous pourrons croire à nouveau. Laissez les symboles et les discours et passez aux actes concrets pour vos militaires. Vous êtes leur chef constitutionnel, soyez-le dans leur vie réelle, écoutez-les, respectez-les.

    Général de brigade aérienne (2S) Diamantidis

    Ont également signé cette lettre :

    Général de division aérienne (2S) Tsédri

    Général de division aérienne (2S) Champagne

    Général de brigade Gendarmerie (2S) De Cet

    Général de brigade Terre (2S) Reydellet

    Colonel Terre (ER) Wood

    Colonel Terre (ER) Lerolle

    Colonel Terre (ER) Noirot

    Colonel Terre (ER) Aubignat

    Colonel Air (ER) Piettre

    Colonel Air (ER) Populaire

    Médecin en chef (H) Reynaud

    Lieutenant-Colonel Air (ER) Delalande

    Chef de bataillon Terre (ER) Gouwy

    Capitaine Terre (ER) Diamantidis

  15. Quand on regarde l’écho de l’affaire dans la presse, c’est clair, seule la presse de réinformation la traite…
    Ainsi niceprovence-info qui nous annonce les suites judiciaires…
    http://www.nice-provence.info/blog/2017/07/28/richard-roudier-brutalise-par-police-porte-plainte/#sthash.0KTttclx.YTXSFw6U.dpbs

    Les articles dégelasses et de France bleu et du Midi libre ne présentent que la position du RAIH ! La suite, il n’y en a pas, ils n’ont pas daigné faire écho à l’agression de Richard Roudier suite à l’info de la mise en garde-à-vue…

    • « Les articles dégelasses et de France bleu et du Midi libre ne présentent que la position du RAIH  »

      Merci pour l’article. Je note le salaire exhorbitant du soit-disant (ce ne sont que des gestionnaires d’associations mais ils se donnent des titres ronflants) « président » de cette association (7800 euros !).

      Cela rejoint ce que j’ai pu dire ici à un autre moment sur toutes ces associations « sociales » à peine contrôlées (parfois, souvent même, il faut voir le bas niveau de ceux qui la composent) qui se veulent fonctionner comme des entreprises avec l’argent des contribuables. Et croyez-moi, il y en a PLEIN, je sais de quoi je parle, c’est un scandale.

    • Pour moi c’est du détournement d’Argent Public, il serait temps que l’on y fasse quelque chose, mais elles servent trop les politiques en place, il ne faut pas rêver, ce n’est pas pour tout de suite.

  16. J’ai failli y croire, mais pas longtemps, surtout quand « le président de la république est venu me voir… » , mais la parodie a son intérêt, cher Daniel Pollett, et elle a le mérite de nous faire réfléchir, d’interpeler comme on dit aujourd’hui à tout bout de champ.
    le titre « l’indignation à deux vitesses » est génial, vraiment !

    Nous ne sommes pas près de voir ce genre d’article dans nos médias aux ordres !!!!!!
    Résistance, résistance, de plus en plus , mais soyons prudents , dommage de se faire fliquer dès le début , on ne servirait plus à rien ensuite.
    Mais quand on voit la barbarie de nos ennemis, jusque dans NOTRE police, pourquoi se gêner, n’ayons aucun scrupule à leur rendre la pareille le jour où nous aurons l’occasion ( pas tous les flics bien entendu mais quelques tarés un peu bronzés parmi eux .. ? ).

    • cela ne devrait pas empècher d’envoyer un article à nos députés peut être !

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