Têtes ouvertes en deux, bras trop grands… les nouveaux vitraux de Notre-Dame de Paris font scandale

On n’a pas fini de pleurer à cause des millions d’abrutis ou de simplets -au choix- qui ont voté Macron, et deux fois ! Comme si un malheur venait toujours tout seul ! Le don de nos bijoux de famille aux Américains et aux Allemands – sans parler du nazi de Kiev- ne suffisait pas pas. Il fallait qu’il détruise ce qui nous restait. Les. vitraux de Viollet-le-duc font partie du carnage.

Les vitraux de Viollet-le-duc sont sublimes, ils font de l’ombre à la vacuité et superficialité de Macron qui, de façon démoniaque veut pourrir tout ce qui montre la grandeur de la France. Et sa beauté. Les détruire. En usant d’un pouvoir absolu que les Français n’ont jamais voulu donner à un  simple Président de la République  que les valets du pouvoir protègent et aident dans son oeuvre funeste.

Et comme d’habitude Macron bisse. Avec lui, un malheur n’arrive jamais seul. Non seulement il nous prive de notre trésor, le chef d’oeuvre de Viollet-le-Duc, mais en plus il nous impose à la place une horreur. Que dis-je ? Il triple, même,   puisque ce caprice du prince coûte au peuple de France déjà réduit à quia  une fortune… 4 millions d’euros !!! Jugez-en. 

Question lointaine qu’on ne cesse pas de poser : qui a mis le feu au toit de Notre-Dame, et dans quel but ???  A qui profite le crime ? 

Commandés par l’État et conçus par Claire Tabouret, les nouveaux vitraux de Notre-Dame de Paris doivent remplacer, d’ici fin 2026, ceux imaginés par Viollet-le-Duc entre 1855 et 1865. Leur présentation au Grand Palais soulève de nouveau des incompréhensions. 

« Nul besoin d’être spécialiste pour voir que ces dessins posent de multiples  problèmes ».   Trahison des proportions, des représentations, du sens donné par Viollet-le -duc  à ses vitraux destinés exclusivement à Notre-Dame et au christianisme. Comment imaginer qu’une Tabouret pourrait « interpréter le thème de la Pentecôte ? De quel droit ? Dans une oeuvre qu’elle créerait pour elle, pour d’éventuels acheteurs, clients, certes, mais pas pour remplacer le sacré. Et le sacré ce sont les vitraux de Viollet-le-Duc, forcément. Moi je vous le dis tout de go, je m’en fous de l’histoire que veut raconter la Tabouret ! Je ne veux que l’histoire de Notre-Dame, l’histoire de Jésus, telle qu’elle est narrée dans les Evangiles; pas telle qu’une quelconque Tabouret veut la ré-inventer.

L’exposition intitulée « D’un seul souffle » présente les maquettes grandeur nature de l’artiste. Claire Tabouret y propose une interprétation du thème de la Pentecôte, « symbole d’unité et d’harmonie entre les hommes ». « J’ai été emportée par la beauté, la poésie du thème de la Pentecôte », a-t-elle expliqué dans un communiqué. L’artiste affirme avoir souhaité créer une série de six baies racontant une histoire, tout en respectant « la lumière blanche de Notre-Dame ». 
Cependant, cette vision séduit peu les spécialistes. Un expert en vitraux, cité par le JDD, a indiqué : « Les dessins ont été réalisés au mépris des règles fondamentales en la matière. Lorsqu’il réalise ses dessins, l’artiste doit tenir compte des contraintes architecturales, des meneaux, des barlotières. […] Nul besoin d’être spécialiste pour voir que ces dessins posent un problème. » 
Pour Didier Rykner, directeur de La Tribune de l’Art, la démarche témoigne effectivement d’une « méconnaissance complète de l’exercice ». Dans un article publié sur son site, il fustige une œuvre d’une « médiocrité insigne », dénonçant «des scènes d’une laideur frappante », des couleurs « criardes » et « une exécution incroyablement faible et d’une grande pauvreté d’inspiration ».  
« Surtout, l’artiste démontre qu’elle ne comprend rien à ce qu’est un vitrail, et à la manière dont il se conçoit », pointe encore Didier Rykner, avant d’expliquer plus en détail : « Les remplages, ce réseau de pierre qui le soutient, ont de tout temps été intégrés, en laissant le spectateur imaginer qu’ils se trouvent au-dessus du dessin. Or Claire Tabouret semble avoir fait ses cartons, puis les avoir découpés pour les installer de chaque côté des remplages. Le résultat est désolant : les figures apparaissent coupées, la continuité des personnages n’existe pas. Les têtes sont ouvertes en deux, les bras sont trop grands, rien ne tient. »  
« Comment ne pas voir, en outre, que tout esprit religieux est absent de cette prétendue représentation de la Pentecôte », fait remarquer Didier Rykner. Et de conclure : « Il n’y a décidément rien à sauver dans ce naufrage, qui va coûter quatre millions d’euros, et probablement d’ailleurs beaucoup plus comme on commence à l’entendre. » 

Une mobilisation patrimoniale sans précédent 

L’opposition ne se limite pas aux cercles d’experts. La pétition « Conservons à Notre-Dame de Paris les vitraux de Viollet-le-Duc », lancée par La Tribune de l’Art via Change.org et soutenue par l’association Sites & Monuments, a déjà recueilli plus de 327.000 signatures. « Jamais une pétition concernant un sujet patrimonial n’avait connu un tel succès », souligne d’ailleurs Didier Rykner.  
Pour rappel, la décision de remplacer les vitraux de Notre-Dame, soutenue par l’archevêque de Paris Mgr Laurent Ulrich, remonte à décembre 2023, lorsque Emmanuel Macron avait exprimé le souhait que la cathédrale « porte la marque du XXIᵉ siècle » à travers l’installation de six verrières contemporaines dans le bas-côté sud de la nef. 
Remplacer les vitraux d’origine trahit donc l’esprit même de la restauration entreprise après l’incendie. « Comment peut-on justifier de restaurer des vitraux qui ont survécu à la catastrophe pour aussitôt les enlever ? Qui a donné mandat au chef de l’État d’altérer une cathédrale qui ne lui appartient pas en propre, mais à tous ? » interroge la pétition. 
L’association Sites & Monuments a déposé un recours devant le tribunal administratif de Paris pour tenter d’annuler le marché public. Bien que ce premier recours ait été rejeté fin novembre, d’autres actions juridiques sont prévues. « Le combat est loin d’être terminé », a averti La Tribune de l’Art. De nouveaux référés contre l’autorisation de travaux sont envisagés. Et Didier Rykner de promettre : « Enfin, s’il le faut, si toutes ces actions étaient vaines, nous continuerions à nous battre pour que ce remplacement de vitraux puisse être, un jour, annulé et que le retour à l’état de Viollet-le-Duc soit décidé. » 

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14 Commentaires

  1. La conclusion rejoint ce que je pense depuis le début car Macron est un entêté. Donc s’il arrive à ses fins il ne restera qu’à démonter « ses » vitraux à la fin de son mandat. Reste que des millions auront été dépensés pour rien. Mais j’espère que les recours judiciaires empêcheront le pire. Une question : qui a rejeté le premier recours ? Est-ce le Conseil d’Etat ? Qui est complice de Macron ?

  2. Tabouret est une artiste de gauche proimmgrationiste, qui vit a los angeles.
    Observez ces vitraux que des personnages issus de la diversité.
    Si il sont installés .
    Ces vitraux devrait être déposés a la prochaine mandature . Et ces ceux d’origine remis en place

    • Très exactement la conclusion à laquelle je suis arrivé : Vitraux propagandistes reflets de l’époque. Proposer la remise en place des vitraux de Viollet Le Duc doit faire partie des propositions d’un prochain candidat à la présidence de la république pour que je vote pour lui.

  3. Et là aussi, il a tout sali n mettant sa patte de dictateur! Il ne nous a pas écoutés ; il a fait ce qu’il a voulu, fait tailler et installer ses vitraux style 49:3 sans nous envoyer la facture ; mais si, nous a fait les poches encore une fois pour « soigner uniquement »… son égo.

  4. On a des envies folles de lui refaire ses portrait physique, mental, psychologie, moral,… politique.

    On n’est vraiment pas des artistes ; nous restons frustrés avec nos envies pas si folles que çà !

    • Excellent.
      Le problème c’est qu’il est cintré et donc incohérent, ce qui se mesure tout les jours par ses en-même temps.
      La seule cohérence de ses ‘septennats’ sans fin c’est le merdier et les destructions qu’il sème.
      Ces vitraux sont une fois de plus un bras d’honneur satanique à la France.