François Bayrou ou l’art pervers d’anesthésier un peuple avant sa mise à mort

François Bayrou est un homme dangereux. Non parce qu’il serait fort, mais précisément parce qu’il incarne cette mollesse apparente et constante, cet humanisme mou, cette fausse modération qui prépare, à bas bruit, l’anéantissement des peuples européens. Ses dernières annonces du 15 juillet 2025 révèlent le visage véritable de l’oligarchie française : sous prétexte d’effort national, elle inflige à son propre peuple une humiliation supplémentaire. Le projet est limpide : faire payer aux citoyens enracinés le prix de la dette accumulée par une caste irresponsable, tout en continuant d’alimenter, à grands frais, le chaos migratoire organisé.
Votre santé sacrifiée sur l’autel du remplacement
Le doublement de la franchise médicale, portée à 100 euros, n’est pas une simple mesure d’économie. C’est un symbole fort : vous, Européens, autochtones, classes moyennes, devez payer toujours plus, tout en recevant toujours moins. Votre argent, fruit de votre labeur, de vos charges écrasantes et de vos impôts confiscatoires, servira à financer un système où obtenir un rendez-vous médical relève de l’exploit, où les maternités ferment et où les urgences implosent.
Pendant ce temps, ceux qui arrivent en nombre exponentiel, sans aucun droit ni aucune légitimité, bénéficient immédiatement de la CMU, d’un logement gratuit, d’un accompagnement associatif généreusement financé par votre argent. Aucune pression n’est mise sur leurs pays d’origine, aucune sanction, aucune expulsion réelle. À terme, la régularisation les attend. On vous parle d’effort national, mais ce n’est qu’une spoliation méthodique organisée contre vous, au profit exclusif des nouveaux arrivants.
Le gouvernement vous adresse ainsi ce message clair, sordide et pervers : nous continuerons à vous dépouiller sans limite, car vous avez cessé d’être une priorité. Vos dirigeants vous urinent littéralement dessus en affirmant : « tout est normal, c’est l’effort national, soyez solidaires ! » Mais solidaire avec qui ? Avec ceux qui viennent remplacer un peuple déjà à l’agonie ?
Bayrou et son plan : une fausse austérité pour mieux dissimuler la ruine
La méthode Bayrou est toujours la même : présenter une cure d’austérité qui frappe exclusivement les classes moyennes et les travailleurs, tout en refusant obstinément d’agir sur les véritables gouffres financiers : Les grands groupes qui font de l’optimisation fiscale que ne peuvent pas faire les TPE ou les PME,  l’immigration massive, les dépenses publiques absurdes, les subventions idéologiques, la bureaucratie parasitaire. Gel des retraites, suppression de jours fériés emblématiques, gel des barèmes fiscaux et sociaux, durcissement des contrôles médicaux : tout cela pour sauver un système à bout de souffle.
Sous prétexte de sauver les finances publiques, Bayrou accélère la tiers-mondisation de la France et donc de l’Europe. Car la France, par son incapacité à contrôler ses frontières et à maîtriser sa dette publique, entraîne avec elle tout le continent européen dans une chute inexorable vers le chaos social, démographique et civilisationnel.
Opposition : oser la censure ou mourir définitivement
Face à cette offensive ouverte contre notre peuple, les oppositions parlementaires n’ont plus le droit à la tiédeur. Plus question d’indignation surjouée, de fausse colère ou de compromis honteux. Le Rassemblement National, les Républicains et tous ceux qui se prétendent défenseurs de nos souverainetés doivent prendre leurs responsabilités historiques : censurer immédiatement ce gouvernement qui ne mérite que la chute. Y compris en votant avec l’extrême gauche, LFI, les socialistes. Ce gouvernement doit tomber.
Si aucune motion de censure n’est déposée dès la rentrée parlementaire, cela signifiera clairement que tous, complices par lâcheté ou par conviction, participent consciemment à ce crime civilisationnel organisé. Le peuple, lui, saura reconnaître ses ennemis véritables.
Nous entrons dans une époque de vérité : le temps du « vivre-ensemble », du « dialogue républicain », du consensus tiède et paralysant est terminé. Face à la violence économique, sociale et migratoire exercée par les élites, les peuples d’Europe doivent opposer une réponse radicale, légitime, ferme : celle de la rupture politique nette et courageuse.
Car derrière le sourire figé et hypocrite d’un François Bayrou se cache la grimace terrifiante d’un système qui, en feignant la douceur, prépare notre destruction. Désormais, nous n’avons plus que deux choix : réagir ou disparaître.
Julien Dir
Photo d’illustration : DR
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