Enrichissement en Autriche…
🔴 Autriche : trois affaires distinctes au tribunal cette semaine, les trois impliquant des violeurs issus de l’immigration de pays musulmans…
➤Ces migrants n’ont pas agi de manière « extrémiste ».
La capture de jeunes filles infidèles (non musulmanes) et leur utilisation comme esclaves sexuelles sont autorisées par le Coran. Selon la loi islamique, les hommes musulmans peuvent capturer des « captives de la main droite » (Coran 4:3, 4:24, 33:50).
Le Coran dit : « Ô Prophète ! Nous t’avons rendu licites tes épouses à qui tu as donné leur dot, et celles que ta main droite possède parmi celles qu’Allah t’a données en butin de guerre » (33:50).
L’esclavage sexuel, le viol des femmes captives sont validés par le Coran et la tradition islamique.
►Deux Algériens jugés pour avoir enlevé, drogué et violé des adolescentes sous la menace d’une arme à Vienne
Procès à Vienne
Deux jeunes filles ont vécu une nuit d’horreur dans un hébergement illégal.
Deux Algériens sont jugés à Vienne pour avoir prétendument attiré, drogué et brutalement violé deux adolescentes, les preuves ADN contredisant leurs dénégations, alors qu’ils risquent jusqu’à 10 ans d’emprisonnement.
L’affaire est jugée par le tribunal pénal régional de Vienne.
Deux Algériens sont jugés par le tribunal régional de Vienne pour l’agression brutale de deux adolescentes de 14 et 15 ans, qu’ils ont attirées dans un bâtiment abandonné, droguées et violées sous la menace d’une arme.
L’acte d’accusation, qui s’étend sur sept pages, décrit en détail le calvaire enduré par les victimes, et les accusés risquent jusqu’à dix ans de prison s’ils sont reconnus coupables.
Les événements se sont déroulés pendant la fête nationale autrichienne, le 26 octobre de l’année dernière, lorsque les suspects ont abordé les adolescentes pour les inviter à une fête. Peu après minuit, les jeunes filles sont montées dans un taxi avec eux, avant d’être emmenées dans un complexe de bureaux abandonné dans le 20e arrondissement de Vienne – une zone qui a servi de refuge pour les demandeurs d’asile illégaux et de repaire pour les trafiquants de drogue.
Selon l’acte d’accusation du parquet de Vienne, une fois les filles arrivées, l’aînée a été entraînée de force à l’intérieur. Sa plus jeune amie l’a suivie, avant d’être menacée et forcée à consommer de la drogue. L’accusation déclare ce qui suit : « Les accusés ont administré diverses substances débilitantes aux deux mineures », ce qui a été confirmé ultérieurement par des analyses de sang. Les victimes ont déclaré avoir été forcées d’avaler des comprimés d’ecstasy sous la menace de mort.
Le premier accusé, âgé de 31 ans, a violé la jeune fille de 15 ans en lui disant que personne n’entendrait ses cris et en la menaçant de la tuer si elle résistait. Des examens médicaux ont par la suite confirmé des marques de strangulation, des ecchymoses et des égratignures correspondant à son témoignage.
« Comme il était évident pour la jeune fille de 14 ans que le premier accusé avait agressé sexuellement son amie, elle a contacté le numéro d’urgence de la police et a déclaré qu’elle ou son amie venait d’être violée lors d’une fête », a déclaré l’accusation, citée par Kronen Zeitung.
Cependant, elle n’a pas été en mesure d’indiquer sa position exacte, et les tentatives pour localiser son appel ont été infructueuses.
Peu après, le suspect se serait tourné vers la plus jeune fille, l’attaquant sous la menace d’une arme à feu avec une telle violence qu’elle a eu une côte contusionnée. Le second prévenu, âgé de 24 ans, est accusé d’avoir aidé au viol et à la contrainte.
Ce n’est que le lendemain après-midi que les adolescents, gravement handicapés, ont réussi à s’échapper et à contacter à nouveau les autorités.
Les deux suspects ont nié toutes les allégations. Le jeune homme de 31 ans affirme qu’il n’a pas eu d’activité sexuelle, tandis que le jeune homme de 24 ans insiste sur le fait qu’il dormait pendant toute la durée de l’épreuve. Cependant, des preuves ADN contredisent leurs déclarations et les relient aux crimes.
Le procès s’ouvre mercredi à Vienne.
►Autriche : une bande de migrants torture et viole une enseignante (29 ans) – un an d’enfer
Cela ne peut pas continuer ainsi. Ce crime le montre une fois de plus : les bandes de jeunes issus de l’immigration maltraitent sans scrupule les femmes locales, la justice semble impuissante face à cela. Les auteurs – dont des Afghans et un Irakien – ont violé leur victime pendant un an, l’ont humiliée, lui ont fait du chantage et ont mis le feu à son appartement.
La femme a dû subir un martyre inconcevable – mais les suspects ne montrent aucun remords et se moquent même de la victime.
Comment cela a-t-il pu se produire ? Un autre crime incompréhensible secoue Vienne. Une fois de plus, les suspects sont des jeunes issus de l’immigration. Une fois de plus, la victime est une femme autrichienne qui a été violée, soumise au chantage et humiliée pendant plus d’un an.
Les auteurs de l’agression ? Une bande de jeunes composée de sept personnes, dont des Afghans, un Irakien, un Roumain et un Autrichien. Leur victime ? Une enseignante de 29 ans. Pendant des mois, elle a été abusée et forcée de se procurer de la drogue. Finalement, les agresseurs ont même mis le feu à son appartement – pour la faire taire.
Fait explosif : les suspects sont apparemment des multirécidivistes connus des autorités depuis des années. Cela soulève d’autres questions.
Sexe, chantage, violence – le martyre de la femme
L’horreur a commencé il y a environ un an : l’enseignante a eu des rapports sexuels consentis avec l’un de ses élèves. Mais celui-ci a filmé en cachette – et la vidéo s’est transformée en arme. Sous la menace, la victime a été soumise au chantage, intimidée et finalement contrainte de fournir de la drogue à ses bourreaux.
Mais cela ne s’est pas arrêté là. Selon le dossier d’enquête, la femme a finalement été brutalement violée par trois des jeunes. Comme si cela ne suffisait pas, les agresseurs ont également mis le feu à son appartement – pour la faire taire.
Les agresseurs se taisent – ou se moquent de leur victime
Cinq des sept auteurs présumés ont été placés en détention provisoire. Aucune trace de remords. Les jeunes refusent presque systématiquement de témoigner – quand ils parlent, c’est pour se moquer de leur victime. Selon le dossier d’enquête, l’un d’entre eux a affirmé que la femme était « devenue folle après avoir consommé de la drogue », un autre s’est défendu en disant que le rapport sexuel était « volontaire ».
Connus depuis des années – mais personne ne les a arrêtés.
Une source déclare à oe24 : « Nous les connaissons depuis qu’ils ont onze ans ». Il est donc clair que les auteurs sont connus de la police depuis des années. La question de savoir pourquoi ils ont pu se promener librement reste une question explosive pour la justice.
►Autriche : procès de 3 hommes originaires de Syrie pour viols aggravés et agressions sexuelles
Mercredi, les trois accusés ont été condamnés pour viol aggravé
En novembre 2023, les lycéennes tchèques, alors âgées de 17 et 18 ans, ont rencontré les hommes syriens âgés de 23 à 30 ans lors de l’événement de danse « Gera tanzt » [La ville de Gera danse]. Plus tard, les accusés ont suivi les filles et les ont entraînées dans un appartement.
Le tribunal régional de Gera a condamné trois hommes originaires de Syrie à des peines de prison et à des peines avec sursis pour viols aggravés et agressions sexuelles. Il s’agit du cas de deux étudiantes d’échange tchèques qui étaient en visite à Gera en novembre 2023.
Un procès pour abus sexuels a débuté mardi devant le tribunal régional de Gera. Le parquet accuse trois hommes originaires de Syrie d’avoir commis des abus sexuels sur deux jeunes femmes en novembre dernier à Gera.
Condamnation pour viol aggravé
Deux des hommes ont été condamnés pour viol aggravé – l’un à quatre ans et neuf mois, l’autre à trois ans et trois mois. Il a été tenu compte de ses aveux partiels.
Une gynécologue avait confirmé au cours du procès qu’il s’agissait bien d’un viol sur l’une des filles. L’autre fille est intervenue en tant que témoin. Elle avait été harcelée par le troisième accusé pendant le viol.
Ce dernier a également fait des aveux partiels et a été condamné à deux ans avec sursis. S’il se rend coupable de quelque chose durant cette période, il risque une peine de six mois de prison.
►RDC : des musulmans attaquent à la machette des agriculteurs dans leurs champ, 9 morts
« Préparez pour eux tout ce que vous pouvez en forces et en chevaux de guerre, afin que par eux vous frappiez de terreur l’ennemi d’Allah et le vôtre… » (Coran 8:60)
Des musulmans « frappent de terreur les ennemis d’Allah » (Coran 8:60), et une fois de plus, les forces gouvernementales ne peuvent pas ou ne veulent pas les arrêter.
Des rebelles liés à l’Etat islamique ont attaqué un village dans l’est du Congo en proie au conflit, tuant au moins neuf villageois.
L’attaque de samedi dans le village de Ngohi Vuyinga, dans le territoire de Lubero de la province du Nord-Kivu, a également déplacé des dizaines de personnes et plusieurs maisons ont été incendiées, selon Samuel Kagheni, un responsable de la société civile locale.
Les rebelles des Forces démocratiques alliées, affiliées à l’Etat islamique dans la région, ont attaqué les villageois avec des armes à feu et des machettes alors qu’ils étaient dans leurs fermes.
« La population pacifique continue d’être tuée, mais il n’y a aucune intervention de la part du gouvernement », déclare César Kambale, un leader de la jeunesse du village voisin de Vuyinga.
« Notre armée, les FARDC (forces armées congolaises), mène-t-elle vraiment des offensives contre cet ennemi ? … Chaque jour, des gens sont attaqués, des civils sont tués sous le regard impuissant de nos FARDC », a-t-il ajouté.
►Somalie : des loyalistes d’al-Shabaab font exploser une voiture piégée devant un hôtel,6 civils tués
« Préparez pour eux tout ce que vous pouvez en forces et en chevaux de guerre, afin que par eux vous frappiez de terreur l’ennemi d’Allah et le vôtre… » (Coran 8:60)
Au moins 6 personnes tuées dans un attentat contre un hôtel en Somalie
Une voiture piégée a explosé mardi dans un hôtel de la ville de Beledweyne, dans le centre de la Somalie, lors d’une attaque militante qui a tué au moins six personnes, dont deux aînés traditionnels importants, selon des témoins.
L’explosion a visé l’hôtel Cairo, qui abrite des anciens traditionnels et des officiers militaires actuellement impliqués dans la coordination de l’offensive du gouvernement contre le groupe militant al-Shabab.
L’explosion a déclenché une intense fusillade lorsque les assaillants ont pris d’assaut l’hôtel, engageant les forces de sécurité.
Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent d’épais panaches de fumée noire s’élevant au-dessus de l’hôtel, le bâtiment ayant subi d’importantes destructions.
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Imaginez la France et l’Europe dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans….. « Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ? » d’après récit « les corps indécents ». Bien évidemment, les femmes seront les premières victimes des agissements criminels de cette armada de sauvages. On a encore rien vu. Le pire est à venir.
L’enrichissement culturel d’après nos intellectuels.
J’espère pour toi Jules que tu arrêtes ton travail de recherche bien avant la nuit. Car il n’y a dans ce que tu nous présentes que des occasion de cauchemarder. Grand merci à toi.
Alors il y a qu’à voir ce qu’ils feront quand ils seront plus nombreux avec leur seule loi !