Palmade, artiste riche, homosexuel, parisien et drogué : de hautes qualités en LFI-Macronie. Cela explique-t-il tant de mansuétude ?
Palmade, membre du clan Muriel Robin pendant un temps, comme Dame Macron et autres Line Renaud, macronistes devant l’éternel… est-il jugé comme le serait une personne moins célèbre, moins huppée que cette « jet-set » ringardissime ?
On a décrété en haut lieu de Cour de justice que l’enfant à naître n’aurait pas la personnalité juridique.
Pourtant, un adage romain bien connu des bons juristes (ceux qui ont une culture juridique, se soucient de civilisation et ne se servent pas du droit comme un moyen de mieux plumer et saigner leur prochain) dit que l’enfant à naître a la personnalité juridique tant qu’il y va de son intérêt :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Infans_conceptus_pro_nato_habetur_quoties_de_commodis_ejus_agitur
L’intérêt de l’enfant à naître (le foetus autrement dit) n’est-il pas de recevoir la vie, de ne pas se la voir retirer avant le terme du moins, lorsqu’il fait encore corps avec sa mère ?
Avec la promotion du droit à l’avortement, cet adage est devenu encombrant. Il est vrai qu’on n’est pas lié pour l’éternité par les adages romains, qui ne sont que l’expression de la jurisprudence de leur temps, fort ancien.
Il n’empêche que ces adages expriment une forme de sagesse, qu’ils étaient apparus pour répondre à un besoin de justice à l’heure où Rome était la ville la plus prospère du monde, la plus rayonnante qui fût, et la plus renommée pour la qualité de son Droit.
Les Grecs qui nous ont tant légué n’arrivaient pas à la cheville des Romains dans ce domaine, ils n’avaient pas la rigueur romaine, la droiture de ce peuple. Plus efféminé, le peuple grec brillait dans d’autres domaines.
Donc depuis que l’avortement est devenu un droit, de plus en plus largement accessible d’ailleurs (trop ? d’aucuns le pensent : https://resistancerepublicaine.com/?s=avortement), l’adage « Infans conceptus » est devenu indésirable…
L’enfant conçu pourrait ne pas avoir un intérêt supérieur à naître parce qu’il fait encore corps avec sa mère, dont la volonté devrait primer. Le droit des femmes à disposer de leur corps est devenu de plus en plus prégnant et la volonté de la femme finit par faire corps avec celle de l’enfant dont l’intérêt serait de ne pas naître si celle qui aurait dû être sa mère décide d’avorter. L’enfant avorté aurait un intérêt à ne pas naître car il ne serait pas désiré, donc pas susceptible d’être aimé... C’est le point de vue qui domine en Occident à notre époque.
Qu’on concilie le droit à la vie avec le droit des femmes à disposer de leur corps en faisant primer ce dernier, c’est un choix de société. Le droit des femmes à disposer de leur corps est tout à fait respectable. Reste à savoir jusqu’où la sensibilité du foetus peut être niée… La Macronie serait allée trop loin dans ce domaine, mais c’est une autre question.
Dans l’affaire Palmade, ce dont il est question, ce n’est plus du droit de la mère de décider d’avorter ou non, c’est du droit qu’aurait eu Palmade, par sa conduite d’une dangerosité extrême, d’avoir imposé à la mère de perdre son enfant à naître. Et là, désolé, mais ce pseudo droit est bien moins respectable que celui d’un être humain à décider de son propre corps !
Nier que l’enfant aurait eu intérêt à naître, dans cette famille qui s’apprêtait à le recevoir, qui voulait le recevoir, est insupportable. Là, l’intérêt de l’enfant à naître, lui conférant la personnalité juridique dans la jurisprudence plurimillénaire d’« Infans conceptus », est bien clair. Nier qu’il s’agisse donc d’un homicide est tout à fait contestable !
Par ailleurs, en droit français, de façon générale, la faute lourde, définie comme la faute inexcusable, impardonnable, le comportement que seul un dégénéré pervers ou un idiot profond peut avoir, a toujours été assimilée à une faute volontaire. Dans les contrats par exemple, la faute lourde exclut l’application de toutes les limitations de responsabilités stipulées au profit du fautif…
Tout simplement parce qu’une faute grossière, énorme, confine à la faute volontairement commise et comme il est impossible de sonder le coeur et les reins, on part du principe que celui qui l’a commise a voulu le résultat. Il a commis une telle imprudence qu’elle révèle qu’il n’avait cure du résultat de ses actes, que les risques pour les tiers de sa conduite ont été jugés par lui si peu dignes de considération qu’il doit pleinement les assumer…
Pour autant, Palmade se trouve mis en cause pour des blessures involontaires !
Palmade bénéficie de ce qui s’appelle une politique de correctionnalisation, qui consiste à retenir une qualification pénale minorée en délit pour faire éviter à l’accusé d’être jugé aux Assises en encourant des peines plus lourdes…
Les jurisconsultes romains avaient raison, de toute façon. Supposons que l’accident ait déclenché l’accouchement de la mère et que l’enfant meure quelques minutes, quelques heures après. L’enfant étant né, Palmade aurait été poursuivi pour crime, homicide.
Peut-on faire dépendre de ce seul hasard la poursuite de l’intéressé sur un fondement délictuel ou un fondement criminel ? La réponse est assurément négative !
Pour la famille endeuillée, il y a bien eu perte d’un enfant, même si celui-ci n’a pas vécu ne serait-ce qu’une minute. Le préjudice, la gravité sociale de l’infraction, comme disent les pénalistes, est du même niveau. Ce n’est pas parce que l’enfant aurait vécu 1 minute que son entourage s’y serait davantage attaché.
Alors, que le foetus puisse ne pas être considéré comme une personne pour permettre l’avortement selon la volonté de la mère se conçoit, l’enfant faisant corps avec sa mère dont il ne se distingue pas encore… jusqu’à un certain stade de la gestation.
Mais qu’on puisse imposer à une femme d’avorter accidentellement sans encourir de peine criminelle est indigne de notre civilisation.
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Mais on s’en fout que son repentir soit sincère ou non, on s’en contrefout.
Ce ne sont pas les sentiments qu’on juge mais les actes.
Entre ordures riches et surtout au pouvoir, on se protège !
Sans parler des juges qui, bien sûr, font parti de la même bande de collabos-destructeurs de nation, la nôtre !
Je n’aime pas Palmade et ne l’ai jamais apprécié par avant. Je pense que la justice a été clémente. Pour des raisons que j’ignore, comme tout le monde…
Ceci dit je suis persuadé que son repentir est sincère et que c’est bien une rare fois où cela arrive. Et cela a du sens !
Bonsoir Paco : oui il est sincère sur le moment…
Je suis sous, sous, sous
Sous ton balcon
Comme Roméo
Oh-oh
Marie-Christine
Je reviens
Comme un assassin sur les lieux de son crime
Mais notre amour n’est pas mort, hein?
Dis-moi que non
Depuis que l’on s’est quittés
Je te jure que j’ai bien changé
Tu ne me reconnaîtrais plus
Et d’abord, je ne bois plus (Nougaro)
Tout va lui être enlevé et pris. ce qui n’est que justice ! Mais je suis persuadé que son remord est profond et durable ! Ce qui n’a plus de rapport avec l’histoire telle qu’elle est jugée et assez mal, je trouve. Je redis que je pense la peine infligée bien légère par rapport à la souffrance infligée à des innocents, mais…
Bonjour Paco, à mon sens, on peut se repentir d’un écrit, d’une parole, d’une opinion, mais pas d’un accident que l’on a causé en s’étant préalablement drogué. Fut un temps où l’on portait un cilice en guise de pénitence. Lorsqu’il a été interrogé pour savoir s’il souhaitait être jugé pour homicide involontaire, il a répondu négativement. Sa contrition affichée est au service de sa défense.
Bonjour Maxime. Je ne vais pas prendre sa défense, bien évidemment. Et ce que tu avances est d’une logique totale. Toutefois, c’est par instinct que j’ai avancé ce que j’ai formulé. Après tout Paul est devenu un saint…
je te suis sur ce point, le type était déjà complètement ravagé, le voilà dévasté à jamais; c’est un fait, pas une excuse.
je n’ai pas osé le dire mais je le pensais viscéralement. Ce type est dévasté ! Comme tu le précises, cela n’excuse ni ne pardonne rien !
La photo de la vieille line Renaud et Macron, qui a tant sucé de Présidents VGE, MITTERRAND ect…
Je crois que c’était surtout avec Chirac que Line Renaud « était bien » comme disait ma grand-mère par euphémisme 😉
Dans mon ressenti, il y a une question que je posese : certes, la femme a le droit de disposer de son corps mais a-t-elle la prétention de disposer de la vie qui grandit en elle, destinée à être un humain en devenir à part entière ?
C est vrait qu avec 245000 avortements comment voulez vous parler d assassinat de meurtres pour cette justice de fou gauchiasse…..J ai eu 2 enfants avec ma femme,dè qu elle fut enceinte pour moi cette etre vivait ….nous etions 3 et 4….et ne me parler pas d avortements dans un foyer les choses sont claire je te veux parcque c est que toi et toi pareil et nous aurons des enfants fruit de tout cette amour partager…bref c est l ultime recompense d une vrais relation unitaire symbiotique…a la grace de DIEU!
👍👍👍👍👏👏👏👏👏
Bien qu’étant encore dans le corps de sa mère, cet enfant était bien vivant, viable, désiré et aimé : il s’agit bien d’un homicide.
Pour ce qui est de l’avortement : la contraception, ça existe. Mais le néo-féminisme a fait des femmes des irresponsables, incapables de se prendre en charge, toujours considérées comme des victimes à l’instar des enfants ou des handicapées mentales et ayant de ce fait tous les droits, même celui de tuer des enfants viables.
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On passe de 14 ans requis à 5 ans dont deux fermes. Donc il aura sans doute un bracelet électronique et on suppose qu’il pourra continuer de s’archi-droguer. Donc tout va bien comme toujours pour les copains. Combien aurait ramassé un inconnu pour les mêmes faits. Évidemment, il ne faut pas oublier qu’il y a un grave problème de places de prison en France, avec 80 000 places, il en manque au moins 30 à 40000 et depuis longtemps. Et les 80 000 places sont occupées à 80 % par des gens issus de la diversité.
Un avocat sur Cnews a dit qu’avec les remises de peine pour « bonne conduite », Palmade ne resterait que 1 an en prison.
s il n est pas mort avant! pensez aux « collegues en prison ! tous les ra…. qui le verront comme criminel de l un d eux et qui le violeront chaque fois qu ils le pourront puisqu il est homo. les kilos qu il a prit il va vite redevenir mince . oui il a merdé en se droguant à fond mais n est il pas condamné à mort en prison . l avenir nous dira ! on en reparlera
La diversité venue essentiellement de 3 pays adorables…
Quelques lettres en trop au milieu ?
Quand on avorte d’un fœtus , c’est une fœtus, et quand on « perd » accidentellement un fœtus, c’est encore un fœtus, pas un bébé. Du moins juridiquement ! DURA LEX SED LEX, c’est le progressisme, faut assumer !
Il n’est pas interdit de critiquer et déplorer une loi 😉
Cette loi avait pour raison de protéger les mères ne pouvant pas assumer leur enfant, des conditions d’avortement, alors terribles, dans la clandestinité. On en a fait un étendard de liberté et de progrès. Alors qu’il s’agissait d’un pis-aller. Un avortement pour une femme dotée de sentiment est toujours dramatique.
Une femme enceinte de 7 mois porte donc un foetus.
Mais si elle accouche prématurément à cette date, le foetus se transforme miraculeusement en bébé, comment expliquer cela aux gens bornés qui s’en tiennent à des mots et non à la réalité ?
Les arguties juridiques incompréhensibles pour le commun des mortels….
Extrardinaire et formidable article qui donne des éléments de réflexion. Les références juridiques et historiques l’enrichissent considérablement. Très intéressant @Maxime, merci !
Merci, content qu’il vous plaise… Je suis très choqué par la façon prévisible dont Palmade s’en sort. A supposer même qu’il fasse de la prison, je pense qu’il va apprécier les douches vu ses penchants extrêmes… Un moment de bonheur pour l’intéressé.
Rappelons que l’Arcom a condamné Cnews à 100 000 euros d’amende pour avoir dit que l’avortement était la première cause de mortalité . Impossible puisque , légalement , le fœtus n’est pas considéré comme vivant .
Le foetus est ainsi assimilé à un déchet humain… c’est horrible, et c’est une fiction juridique car la seule façon de l’accepter éventuellement est de prendre en considération la liberté supérieure de chaque femme à disposer de son corps. Cette fiction juridique n’a plus lieu d’être quand un homme a tué le foetus. Décider le contraire, c’est pratiquer une justice aveugle et absurde, qui n’est pas la Justice.
https://aideauxtd.com/fiction-juridique/
Que la femme dispose de son propre corps n’implique pas qu’elle dispose du corps d’un ou d’une autre. Le foetus est bien le corps d’un autre, son ADN le prouve, bien différent de celui de sa mère, car la femme est mère dès qu’elle est enceinte.
Ce n’est pas cher payé. Gageons que si ça avait été Bitru, manœuvre dans une entreprise de BTP, alcoolisé au jaja douze degrés, qui aurait commis cet acte, la sanction eût été différente. Reconnaître que le fœtus est une personne reviendrait à considèrer que l’IVG est un crime.