Présidentielle USA : la triche démocrate bat son plein !

Personne n’aime perdre. Mais à gauche, on considère la triche comme légitime. Puisqu’on représente la vérité, la justice, la morale. On est le camp du bien. Alors, pour contrer un fascisme fantasmé dont on accuse ses adversaires, on se croit investi d’une mission quasi-divine. Pour sauver son pays et la planète. Et la galaxie tant qu’on y est. Surtout aux États-Unis où les bondieuseries polluent les élections.
Avant le pillage des urnes, le tripatouillage des listes électorales a commencé
En France, on n’est pas assez professionnels. Les Corses qui sortent du tombeau pour aller voter en faveur du maire de Pinocculi, des rigolos. Les gauchistes qui écument les maisons de retraite et les refuges de clochards pour récupérer des papiers d’électeurs, avec une friandise pour les vieux, un petit billet aux SDF, des amateurs. Même les macronards qui ont subtilisé deux millions de voix à Marine, au vu et au su de tout le monde, des petits joueurs.
Aux USA, c’est tout le système qui triche et s’auto-amnistie. Puisque selon Wikimerdia, détenteur de la vérité absolue, la fraude n’existe pas. La quasi-totalité des juges de gauche et l’ensemble des élus démocrates qui ont organisé le scrutin de 2020 ont affirmé que les allégations des trumpistes étaient totalement infondées. Sans daigner examiner les preuves présentées.
Pourtant, les éléments ne manquaient pas. En plus des bulletins de vote décomptés pour Biden, encore en liasses de plusieurs milliers dans de grandes enveloppes fermées, on trouvait sur les listes de votants des enfants mort-nés, des décédés de crimes ou d’accidents, des soldats disparus au Viet Nam ou en Afghanistan, ressuscités pour accomplir leur devoir civique.
La fraude a pris une ampleur considérable, surtout dans les versatiles swing states qui détiennent les clés de l’élection. Mais par une inversion accusatoire dont la gauche raffole pour nier ses malversations, ce sont les Républicains qui ont été accusés d’avoir essayé de truquer le scrutin.
Pourtant, dans le Michigan, swing state, 128.000 bulletins de vote supplémentaires, parvenus in fine à 100% pour Biden, cela n’a pas semblé zarbi au juge. Et en Pennsylvanie, où une fonctionnaire zélée se serait trompée d’un chiffre, ajoutant un zéro aux résultats en attribuant 153.000 votes à Biden au lieu des 15.300 décomptés dans un bureau. No comment. Évitez d’en parler et n’insistez pas, sinon les juges vont vous condamner pour tentative de fraude électorale.
Sur des dizaines de plaintes, un seul nouveau décompte a été accordé à Trump en Géorgie, État qui a voté républicain sans interruption depuis 2003 mais où par une incroyable inconstance des électeurs, non seulement Biden aurait gagné, mais il a récolté 6.000 voix de plus au recompte ! Histoire de bien pisser sur les godasses de Donald.
À présent, les médias progressistes annoncent déjà la victoire d’une doublure insignifiante il y a encore un mois. Pas de doute, elle va gagner. Elle doit gagner. On fait tout pour ça. Et pour le rentrer dans la tête des gens. Que toute contestation puisse être attribuée à la hargne d’un mauvais perdant, victime d’une persécution judiciaire qui ne faiblit pas.
Bien entendu les Républicains ont demandé un contrôle et une révision des listes. Et le doublement du nombre des scrutateurs. La moitié pour eux. Mais les réticences s’accumulent. Une ribambelle de procès sont en cours pour contraindre les organisateurs du vote à plus de transparence.
Le toilettage sera difficile car il n’existe pas aux USA de liste électorale nationale. Chaque État met en place et gère sa liste comme il l’entend. Et les « erreurs » sont fréquentes. À côté des morts qui ressuscitent, des gens bien vivants, qui étaient restés dix ans sans voter, ont eu la surprise d’apprendre qu’ils avaient participé aux derniers scrutins. D’autres ont été radiés des listes sans qu’on les en informe. Certains qui s’étaient fait inscrire aux primaires comme républicains ont été escamotés.
Avec les électeurs fantôme, l’info est enfumée sur le Net en qui les gens ont plus confiance que dans les médias traditionnels.
Donald Trump a accusé Kamala, ses conseillers et Google de manipuler les informations, après que le site américain Axios a révélé que les organisateurs de la campagne de cette dernière avaient modifié des titres d’articles sur le moteur de recherche et donné une visibilité prioritaire à ceux qui lui étaient favorables. Occultant les éditos critiques.
Ainsi des titres et descriptions d’articles de presse relativement neutres ont été détournés, modifiés ou expurgés pour en faire des publicités en faveur de la candidate. Tout en renvoyant vers d’autres articles, donnant l’impression que des médias importants comme le Guardian, Reuters ou encore CBS News soutiennent la nunuche.
Cette pratique, courante dans la publicité commerciale, n’est pas illégale aux USA. La tromperie est subtile puisque les annonces devenues des publicités toxiques imitent les résultats des recherche d’actualités de telle façon que les internautes puissent croire qu’il s’agit réellement d’articles de presse non modifiés.
La réaction ne peut venir que des médias utilisés à leur insu, mais avant qu’un éventuel tribunal statue, la propagande déguisée aura probablement induit en erreur de nombreux électeurs. Un dirigeant du Guardian a indiqué à Axios qu’il avait contacté Google pour obtenir des explications sur cette pratique. Il est probable qu’il n’y aura pas de plainte pour captation des droits réservés, mais un arrangement financier entre les parties. Dans la plus grande discrétion.
En tout cas, pas question de citer avant la dixième page de recherche, si on ne peut pas les blacklister, les papiers ou émissions traitant par l’ironie les ricanements stupides et les rires hystériques de cette folasse. Ou ceux évoquant ses promotions canapé. Ou ceux exposant ses insuffisances pour le job auquel elle postule. Comme son incapacité à répondre à des questions simples : « Que feriez-vous pour ralentir l’inflation ? » Ou plus perfide : « Allez-vous continuer à aider l’Ukraine ? » Et plus sournois : « Quel est votre plan pour arrêter la guerre à Gaza ? »
Quant à la question taboue de la négritude usurpée de Kamala, pour ratisser des votes identitaires, la cenSSure veille à ce que le sujet ne soit jamais abordé. Sauf sur les blogs et les RS où ceux qui exposent qu’elle n’est pas afro-américaine, mais métisse d’Indienne et d’Irlandais, déclenchent des salves d’accusations en misogynie et racisme. Les millions de la campagne servent aussi à payer des trolls. Pour compenser son refus de répondre aux interviews et ses réticences à débattre.
Il est utile de rappeler que Google, émanation de l’État profond, est la propriété d’un consortium de milliardaires progressistes qui utilisent leur position dominante pour « hiérarchiser » les références et orienter les recherches dans un sens susceptible d’influencer les gens peu informés ou manquant de sens critique.
La triche, occasionnelle jusqu’en 2020, fait désormais partie des institutions. De vilipendée, elle est devenue légitime.
Personne n’aime perdre. Mais à gauche on trouve normal de tout truander d’un bout à l’autre du processus électoral. Jusqu’à la falsification des votes. Tout est légitime quand on est le camp du bien. Les représentants du juste et du vrai. L’incarnation d’un avenir radieux.
Les propos de Kamala Harissa sont repris ad nauseam dans les tracts et sur les affiches, et rabâchés en boucle par des journaux complaisants et des télés complices. Là-bas, il n’y a pas une monstruosité comme l’ARCOM pour trier ce qui relève de l’information, de ce qui ressort de la propagande.
La gauche doit absolument gagner pour sauver le pays, la civilisation et l’espèce humaine. La tâche est immense. Démesurée. Tellement titanesque que tous les coups sont permis. Puisque elle représente la morale, la justice, la vérité et le bien commun. Contre le « fascisme », tous les arrangements avec les juges et les lois sont justifiés.
C’est ceinture et bretelles quand on a de son côté la plupart des médias, des artistes, des intellos et des procureurs progressistes. Gangrenés par une idéologie pernicieuse qui les valorise au nom de « valeurs » nébuleuses qu’ils sont les seuls à connaître. Ces pourris partagent des signes de reconnaissance entre privilégiés, fréquentent les mêmes clubs où fleurissent la perversité et la pédophilie, et disposent du commode levier de l’antiracisme pour perpétuer et renforcer leurs privilèges.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

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