Un “savant” islamique américain : “les hindous du Bangladesh doivent se convertir à l’islam ou être tués”

C’est un “savant” islamique américain qui dit ce qu’est vraiment l’islam: les hindous du Bangladesh doivent se convertir à l’islam ou être tués, ils ne doivent pas être traités comme des égaux.

Au moins, cet Abu Najm Fernando bin al-Iskandar est honnête. Se convertir ou mourir sont en effet les deux options que la loi islamique offre à ceux qui ne sont pas des “gens du livre”, c’est-à-dire principalement les juifs, les chrétiens et les zoroastriens. Les apologistes de l’islam en Occident déploient d’innombrables efforts pour cacher ce fait. 

“Ils ne devraient avoir que deux options : l’épée ou l’acceptation de l’islam : L’érudit islamique Abu Najm célèbre le massacre des hindous au Bangladesh, exhorte les musulmans à détruire les temples”, article paru dans OpIndia, 8 août 2024 :

Les attaques  ciblées systématiques des hindous au Bangladesh par des musulmans radicaux ont suscité les fantasmes meurtriers de plusieurs islamistes du monde entier, qui attendent avec impatience que les meurtres dégénèrent en pogrom et en massacre du dernier hindou vivant dans le pays.

Abu Najm Fernando bin al-Iskandar, qui vit aux États-Unis, prétend être un doctorant spécialisé dans les “études islamiques” et se définit comme un “musulman autochtone”. Il a passé plus de 20 ans à faire des recherches et à enseigner les “sciences islamiques”, mais sa principale occupation est de répandre la haine contre les Kufar ou Kafir (infidèles) et d’imaginer leur soumission ou leur exécution par les musulmans.

Après la démission de l’ancien premier ministre Sheikh Hasina Wazed et les atrocités anti-hindoues, il a fait part sur Twitter de son excitation face à ces événements dévastateurs, prônant l’anéantissement total des hindous du pays. Selon lui, le fait que trois des quatre écoles de jurisprudence de “Ahl as-Sunnah” (traditions et pratiques du prophète Mahomet qui constituent un modèle à suivre pour les musulmans) soutiennent que les hindous n’ont que deux options, embrasser l’islam ou mourir, lui apporte un “grand réconfort”.

Des hommes hindous pendus par des émeutiers musulmans au Bangladesh Source

Il a ajouté : “Les hindous devraient être reconnaissants d’avoir affaire à des hanafis et non à des malikis, des shafi’ees ou des hanbalis”, reprenant les noms des écoles de pensée islamiques sunnites, insinuant qu’elles sont beaucoup plus violentes et hostiles à l’égard des non-musulmans et qu’elles auraient traité les hindous vulnérables du Bangladesh avec une plus grande brutalité.

Il a cité la loi islamique de l’école de jurisprudence Hanbali, l’école sunnite prédominante en Arabie Saoudite et au Qatar, qui déclare : “C’est pourquoi il leur est demandé de se distinguer des musulmans par leurs cheveux (c’est-à-dire des non-musulmans soumis à un pacte de protection) en se rasant le devant de la tête et en se tondant les cheveux sans les séparer, car le prophète Mahomet s’est séparé les cheveux, les non-musulmans soumis à un pacte de protection) en se rasant le devant de la tête et en se tondant les cheveux sans les séparer en raison du fait que le prophète Mahomet s’est séparé les cheveux”, afin de démontrer que les infidèles doivent être soumis à un traitement humiliant car ils sont inférieurs aux musulmans.

Il a également fait preuve de générosité en assurant qu’il n’avait aucun problème avec les hindous qui, lorsqu’ils résident dans des nations musulmanes, acceptent leur position de soumission et abandonnent leur foi qu’il a qualifiée de “shirk” (idolâtrie, polythéisme et association avec Allah) et vivent selon les lois et les règlements islamiques. Il a également souhaité que “le Bangladesh soit débarrassé de l’influence et de l’ingérence des hindous”, tout en qualifiant les attaques contre les minorités bangladaises de “propagande hindoue”….

Il a également affirmé que les musulmans et les non-musulmans devraient être soumis à des règles différentes, puisque ces derniers devraient être traités comme des êtres inférieurs et être contraints de vivre comme des sous-hommes tout en étant forcés de payer la jizya (impôt historiquement prélevé sur les dhimmis, c’est-à-dire les sujets protégés non musulmans d’un État régi par la loi islamique), avec de nombreuses citations de la littérature islamique à l’appui de ses affirmations.

Coran, sourate 9 verset 29 :

{Combattez ceux qui ne croient ni en Allah, ni au Jour dernier, et …

Adaptation libre pour RR d’un article paru dans OpIndia, 8 août 2024

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