Manoeuvrier et ambitieux, Erdogan pensait qu’il allait pouvoir jouer sur les 2 tableaux en utilisant et son appartenance à l’occidental OTAN soumis aux USA et sa future appartenance à l’eursien OCS dirigé par la Russie…
Poutine a sifflé la fin de la récré. Il faut choisir, pépère !
Chacun ici a compris que nous vivons la fin du règne de l’Occident et surtout celui des USA sur le monde entier. Les Brics menaçaient déjà ô combien leur hégémonie et se voient soutenus par l‘OCS qui rallie chaque mois de nouveaux pays.
https://resistancerepublicaine.com/2023/09/07/les-brics-auront-ils-la-peau-du-roi-dollar/
L’Occident surendetté, en voie de wokisation est plus que jamais belliciste (ceci expliquant sans doute cela, rien de mieux qu’une bonne guerre pour relancer l’économie de pays endettés et en voie de faillite, nos ancêtres ont payé le prix du sang pour cela), mais voit se développer face à lui un mur de pays émergents et pas des moindres, BRICS et OCS.
-2024 : le Belarus est donc entré dans la ronde la semaine dernière lors du sommet qui s’est tenu au Kazakhstan, réunissant la plupart des chefs d’Etat de l’OCS plus ceux de la Turquie, de l’’Azerbaïdjan, du Qatar et des Émirats arabes unis.
Lors de cette réunion, Poutine a appelé à la création d’une nouvelle architecture de coopération, de sécurité et au développement de l’Eurasie pour remplacer les modèles actuels commandés par les USA. Il y a quelques semaines il avait appelé tous les pays eurasiens à les rejoindre.
“Le principal est de démontrer au monde qu’il existe des plateformes internationales alternatives, d’autres centres de pouvoir, où les intérêts de tous les États sans exception sont respectés”, a déclaré mercredi le président biélorusse Alexandre Loukachenko dans un interview à l’agence de presse kazakhe Kazinform.
L’OCS se targue de regrouper 40 % de la population de la planète et environ 30 % du PIB mondial, mais en dehors de ces symboles forts, de nombreuses dissensions existent entre ses membres.
Erdogan vient de se porter candidat pour la Turquie, mais le porte-parole du Kremlin l’aurait un peu calmé avec une douche froide : il existe un conflit d’intérêts entre les engagements pris par la Turquie en tant que membre de l’OTAN et l’idéologie exprimée dans les documents fondateurs de l’Organisation de coopération de Shanghai .
Bref, à mon avis, Erdogan va devoir choisir... Ce qui se comprend. Eu égard aux va-t’en guerre américains et européens Poutine ne peut pas se permettre le risque de double jeu…
A suivre !
Il est de plus en plus évident que les USA en perte de vitesse et donc d’importance sur tous les plans ont besoin d’une guerre d’Ukraine pour essayer de redorer leur blason et de reprendre le leadership international.
Mais cette fois ils ont tombés sur un os, un sacré os, qui s’appelle Poutine. Intelligent, patriote, cultivé, avec un Q.I au-dessus de la moyenne, diplomate, qui a compris depuis au moins 2014 que les Occidentaux préparaient le pire pour la Russie -pas que la Russie- avec les fameux “accords de Minsk” jamais ratifiés, n’a eu de cesse de créer un contre-poids, un contre-feu aux va-t-en guerre occidentaux qui ont rejeté ses demandes de rejoindre l’OTAN dès les années 2000 et on comprend pourquoi.
Stratège de génie. Là où nous en sommes, si l’Etat profond américain dirigé par la marionnette d’Obama et soutenu à mort par l’UE de der Leyen persiste à vouloir déclencher la guerre, ils prendront le risque d’une déflagration absolument mondiale et de voir entrer dans la danse macabre des pays avec des ambitions régionales et/ou mondiales comme l’Iran, l’Ouzbékistan et compagnie…
En théorie ce spectre devrait être dissuasif. Sauf que nous avons en face des tarés, des fous furieux comme Obama, Der Leyen et Macron qui se fichent de leurs pays et des morts comme de leur première chemise.
Une mienne amie, en plaisantant, me dit : si j’étais Poutine, j’essaierais d’utiliser quelques nouveaux Oswald pour éviter des centaines de millions de morts sur toute la planète. Elle n’est pas Poutine, et Poutine ne se permettrait pas, lui, de se mêler des pays étrangers, c’est aux peuples de régler leur compte à ses dictateurs, les urnes le leur permettent sur le papier.
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Pour l’instant c’est impossible de régler leur compte par les urnes, il n’y a qu’un seul moyen c’est de leur régler leur compte en leur prenant les burnes…Quoi que le notre n’en a pas.
“les urnes le leur permettent sur le papier.”
Hélas, quand tous les moyens d’information sont aux mains de nos ennemis, c’est devenu presque impossible.
Avec les fraudes évidentes abondamment décrites et le mode des élections (on vient de le voir), C’EST IMPOSSIBLE.
Je déteste écrire ce que j’ai écrit.
Je crains que la seule sortie possible doive tenir compte de ce que vous avez conclu hier :
“Nous sommes en guerre”.
Il n’y a plus que l’Histoire et ses processus violents et tragiques qui puissent nous sortir de là.
Moi ce que je pense c’est que je fais partie de cette civilisation occidentale et que je n’ai pas envie de finir sous le joug russe, ni chinois, ni musulman, ni de tribus africaines. Donc nous aussi nous sommes sommés de choisir. La première défense serait déjà de se débarrasser de nos ennemis intérieurs, les immigrationnistes forcenés qui comme à Troie ont livré l’Europe à ses ennemis. Le seul salut, une victoire totale du Peuple Premier d’Europe et une remigration générale.
C’est vrai qu’un Oswald Père Noël même avant Noël, serait peut-être le bien venu pour éviter la mort de beaucoup de Français non seulement sur le terrain mais aussi dans le Pays …
Les Turcs? Il n’y a pas plus fourbes. De toute façon, OTAN ou pas, l’Occident a signé signé son arrêt de mort avec la migration islamique sur ses territoires. Le danger est pluriel :Iran, Afrique, nous sommes environnés d’ennemis. Un peu plus, un peu moins…
Bonjour,
Fourbes, je ne sais pas.
Mais avec un sens diplomatique diabolique, certainement.
19 en force !
Ils font partie de nos ennemis. Des renards qui se déguisent en agneaux selon l’humeur du moment. Ou en loups quand ça les arrange. 19 en force.