.Ci-dessus l’avis de leur propre condamnation à mort. Les gourdasses se condamnent à mort toutes seules, exactement comme les cocos qui avaient soutenu les mollahs iraniens se sont condamnés à mort. Dès que ces derniers ont pu prendre le pouvoir avec la gauche et grâce à la gauche… les mollahs les ont emprisonnés, condamnés, exécutés… Et on ne parle même pas des homos jetés du haut des immeubles de 4 étages.
Il a fallu quelques jours de réflexion à Mo pour qu’il accepte de nous recevoir, le temps d’un thé. Par méfiance d’abord, alors que le régime iranien traque la parole politique non conformiste, et surtout par réticence à relater la grande histoire, à laquelle il a participé malgré lui, et dont il a été, comme tant d’autres, trompé.[…]
Les clients n’imaginent pas que ce retraité de 63 ans, à la mine débonnaire et aux yeux plissés derrière d’épaisses lunettes, fut naguère un étudiant révolutionnaire, un anonyme noyé dans une foule qui fit tomber le régime impérial perse. « Début février 1979, j’étais avec un groupe de copains », se souvient-il, nostalgique. « On a capturé sans armes une garnison militaire dans le centre de Téhéran, avant d’envahir le siège de la Savak (la police politique du chah, NDLR). » Mo ne parle que rarement de ses faits d’armes révolutionnaires. Car comme beaucoup d’étudiants de l’université de Téhéran à l’époque, il était membre du Tudeh, le parti communiste iranien. Un parti dont le nom est aujourd’hui tabou en Iran, et dont aucune mention n’est faite lors des cérémonies de commémoration de la révolution islamique.
Créé en 1941, le Tudeh fut l’un des plus importants partis communistes du Moyen-Orient. Doté d’une grande influence dans les milieux intellectuels et ouvriers, allié de circonstance avec les islamistes au moment de la révolution, il fut à l’origine des premières manifestations qui firent tomber le chah, avant d’être progressivement évincé par la nouvelle théocratie et complètement anéanti en 1983. Quarante ans après, Mo ne comprend toujours pas comment la révolution a pu lui échapper. « On ne prenait pas au sérieux ces groupes d’islamistes. Ils avaient un très faible niveau de compréhension socio-économique. Pour nous, le soulèvement de 1979 devait être une transition vers le socialisme. Manifestement, on s’est complètement planté… » ironise-t-il aujourd’hui.
En 1979, la force de frappe du Tudeh et son influence le rendent indispensable aux islamistes pour faire tomber le chah. […] Lorsque l’ayatollah atterrit à Téhéran le 1er février 1979, acclamé par la foule, le Tudeh le reconnaît officiellement comme guide de la révolution. Dans la fièvre insurrectionnelle qui agite les avenues de Téhéran, les révolutionnaires aux brassards rouges se mêlent aux clercs chiites enturbannés.
« On aurait pu faire la même chose que Lénine »
Saeed Paivandi […] est aujourd’hui professeur de sociologie à l’université de Nancy. Sur son téléphone, dans un bistrot parisien, il fait défiler une conversation sur l’application Telegram, sur laquelle d’anciens camarades du parti, qui vivent clandestinement en Iran ou en exil en Europe, s’échangent des poèmes nostalgiques. « C’est un énorme gâchis… On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste, reconnaît-il aujourd’hui. On vivait dans l’illusion, on pensait qu’au final les islamistes n’auraient jamais la possibilité de s’approprier la révolution. » . […] Pour nous, la cible n’était pas la civilisation occidentale, mais les États capitalistes. Alors que le régime islamiste considérait l’Occident comme un ennemi civilisationnel. »
[…]Saeed Paivandi se souvient des fameuses « Dix Nuits » d’octobre 1977, qui marquèrent le début des protestations ; une succession de soirées littéraires et poétiques transformées en tribunes politiques, organisées à l’institut culturel allemand à Téhéran. « Il y avait 15 000 personnes chaque soir, et seulement 500 islamistes. Quand les écrivains islamistes prenaient la parole, personne ne les écoutait. C’était ça le rapport de force à l’époque ! En 1978, il était tout à fait possible que la révolution soit socialiste. On aurait pu faire la même chose que Lénine en 1917 : les bolcheviks n’étaient pas très nombreux, mais comme ils étaient bien organisés et qu’ils étaient très influents dans les syndicats, ils ont pris le pouvoir. »
« Le mollah-tariat »
Alors que s’est-il passé ? Dès 1980, Khomeyni se débarrasse de ses alliés les plus proches, les islamistes libéraux, jugés contre-révolutionnaires, avant de s’attaquer aux partis. Des milliers de hauts fonctionnaires et de hauts gradés sont exécutés. « Toute la gauche a applaudi ces exécutions massives. On considérait que la révolution avait besoin d’éliminer les ennemis du peuple », se souvient encore Paivandi. […] Une campagne de répression et d’exécution massive s’abat contre les communistes. En février 1983, le Tudeh est interdit et les diplomates soviétiques expulsés.[…]
Ceux qui sont restés en Iran sont réduits au silence. À Téhéran, le siège du parti a disparu, et les avenues autour de l’université, qui ont vu des foules défiler il y a 40 ans, sont aujourd’hui ornées de visages de martyrs, morts au nom de la République islamique, assortis d’extraits du Coran. […]
Quand on est con, on est con. Quand on ne tire pas de leçons de l’histoire, on mérite d’être balayé par la dite histoire.
Alors, malgré mon humanisme et mon humanité ou plus exactement, grâce à mon humanisme et mon humanité je n’ai pas une larme pour ce qui va tomber sur la tronche des signataires du communiqué de la House of Drama nantaise.
Ils veulent crever ? Qu’ils crèvent ! Quel rapport avec mon humanisme ? Quel rapport avec mon humanité ?
Avec cette dernière c’est simple et évident, je crois en l’humanité, l’islam est le contraire de l’humanité. L’islam est la fin de l’homme libre. Aucune pitié pour ceux qui, comme les milices de 1944, sont complices des nazis. L’humanisme ? Un courant né à la Renaissance où découvertes, voyages, apprentissages, art, remises en cause des dogmes, des carcans et des croyances, connaissances, glorification de l’hommes et de sa liberté… foisonnent, explosent. L’humanisme est la glorification de l’homme et de sa liberté, l’islam est la soumission de l’homme. Islam الْإِسْلَامُ( ; Alʾislām) signifie d’ailleurs, il n’y a pas de hasard, soumission en arabe…. Voilà pourquoi je hais l’islam. Voilà pourquoi je hais ceux qui veulent nous l’imposer.
Islam = la mort. Parce qu’il n’est pas de vie sans liberté, sans choix. Les drag queens de la House of drama sont de pauvres collabos, de sales collabos.
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Nantes a toujours été un repaire de socialistes.
Que les drag Queen soient de grosses bêtasses qui ne voient pas plus loin que leurs costumes flamboyants, est une évidence.
Ces gens passent leur temps à se vêtir, se maquiller, se costumer, se pomponner, s’admirer…
Miroir, mon beau miroir…
Leur côté superficiel et leur légèreté irresponsable, feront qu’ils seront les premiers à y passer, couic, couic, aie !
On ne peut pas leur demander de penser.
Pour répondre à @ Christine Tasin, les deux mon capitaines.
Réponse au titre : les 2 !
Des hommes qui se croient des femmes alors que biologiquement il est IMPOSSIBLE de changer de sexe (chromosomes XX ou XY, c’est tout), ce ne serait pas bien grave. Juste du ressort de l’asile psychiatrique ou de la compassion sincère.
Mais ils veulent forcer les gens normaux à dire et faire semblant de reconnaître l’inverse de ce qui est, sous la menace juridique punitive.
ET il sont utilisés par les véritables pouvoirs afin de déstabiliser les sociétés occidentales encore un peu plus.
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■ Viol antisémite à Courbevoie : un tournant dans la campagne ? | 22/06/2024
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► DURÉE : 56mn15s
C’est ce que je pensais depuis le début de leur proximité politique.
Politique folle, il faut l’avouer ; et on en a la preuve chaque jour ; dont le présente article traité par @Madame Tasin sur cette page.
Et ce ne sont pas les seuls, croyant y échapper, qui fricottent avec leurs futurs bourreaux. Idiots utiles en danger. Ce sera le prix que leur aveuglement politique leur fera payer… et vers qui se tourneront-ils pour un S.O.S, petites entreprises, ovriers, paysans, wokistes, homos, trans, juifs… en danger ?!
Les traiter de collaborateurs n’est pas le plus approprié… Ils sont juste atrophiés du bulbe !
Elles se trouveront fort dépourvues quand elles auront les islamistes au cul.
Les cons font l’apologie de leurs futurs assassins, la photo suffit :
https://www.estrepublicain.fr/societe/2024/06/22/on-a-besoin-de-voir-qu-il-y-a-une-communaute-sur-qui-compter-pres-de-300-personnes-pour-la-premiere-marche-des-fiertes-de-la-cite-du-lion
« on a besoin de voir des personnes comme nous » qu’il dit.
Ben non, faut pas inverser les valeurs, c’est vous qui voulez vous montrer, c’est différent. Après, faut en assumer les conséquences.
Fiertés ? Jamais un mot n’a été plus inapproprié. Fierté de quoi ?
c’est dans l’air du temps en voila d’autres « en marche » ou -quoi ? « renaissance » un phoenix, « reconquéte » pas de bol l’ue verouille , « la franc insoumise » cela fait penser a Vercingétorix bah non c’est honneur a l’envahisseur alors des mots inappropriés c’est a la mode