Ils sont très forts pour avoir des idées connes d’économies de bouts de chandelles, de mesures démagogiques faussement ingénieuses…
Quand on ne veut pas livrer les vrais combats, on en invente d’autres.
Des idées simples et consensuelles pour conserver cette clientèle électorale qui a besoin d’être rassurée, divertie, éloignée des vrais enjeux politiques.
Qu’est-ce qui échappe à leur volonté de nous réduire à des petits soldats aux idées simplistes ?
Car c’est finalement le but. Développer les réflexes pavloviens, faire de nous des niais qui n’ont besoin que de deux cases dans leur cerveau.
Il faudra dès l’année prochaine trier ses déchets comme un petit éboueur, compostant l’ensemble des déchets alimentaires, sous peine de sanction que les sacs poubelles transparents permettront d’administrer.
Vous n’avez pas fini d’entendre certains membres de votre entourage crier au crime écologique quand vous vous tromperez de poubelle, tant le grand lavage de cerveau national laisse rarement les familles françaises indemnes. Partout il y a quelqu’un qu’on aime bien certes mais qui nous casse les pieds avec les réchauffement climatique et le tri sélectif…
Parmi les petits réflexes débiles il y a encore celui de covoiturer pour obtenir une prime du gouvernement…
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16213
Le niveau de vie global s’effondre, le pouvoir en place nous fait les poches et pousse la cruauté jusqu’à orienter nos comportements et nos façons de penser en agitant des billets verts comme on attirerait un âne avec une carotte.
Deux cases dans la cervelle politique du citoyen suffisent en Macronie. Ainsi, parce que les jeunes sont l’avenir de la Nation [dictionnaire des idées reçues en Macronie, lettre J], des capotes seront offertes aux jeunes à volonté… aux frais du con-tribuable.
Et parce que la femme est l’avenir de l’Homme [dictionnaire des idées reçues en Macronie, lettre F], on offre aussi les serviettes hygiéniques…
La principale source de diffusion de la crétinerie en Macronie reste quand même la protection prétendue de l’environnement…
Après les consignes données pour économiser l’énergie en suite des erreurs de politique internationale et de gestion de l’énergie de celui qui nous fait office de président, selon lesquelles on devient un mauvais citoyen si l’on chauffe au-dessus de 19 degrés ou met la climatisation en-dessous de 26, voici venu le temps de faire réparer ses vieux vêtements plutôt que les jeter.
Pourquoi pas, même si un vêtement abîmé est souvent en même temps un vieux vêtement et qu’on a le droit de ne pas avoir envie en 2023 d’être habillé comme en 1960. Et même si un vêtement abîmé est aussi un vêtement qui a du vécu, qui a été lavé, relavé, délavé et qu’il est légitime de vouloir de temps en temps se donner un petit coup de jeune et achetant un vêtement neuf.
Mais l’Etat a-t-il vraiment à mettre son nez là-dedans ?
Car cela sent l’entourloupe au moins à petite échelle. En effet, le mécanisme est le suivant : pour chaque vêtement réparé, l’Etat verse une prime au réparateur selon un barème officiel.
Et l’on s’est creusé la tête – ou occupé futilement – dans les ministères à recenser les types de réparations possibles :
Le zip n’est pas facturé pareil selon qu’il y a plus ou moins de 20 centimètres à réparer… délices technocratiques qui commencent à devenir la signature de la Macronie.
Je crains que certains ne trouvent là le bon filon pour se faire de l’argent facile avec des factures de complaisance. Et les petits cours d’eau faisant des fleuves, on risque d’avoir là de belles arnaques en perspective.
On imagine bien qu’aucune autorité instituée n’ira vérifier que vos fonds de culotte étaient effectivement troués et que vous avez effectivement versé les sommes modiques concernées.
Le montant du bonus pourra atteindre 60% de la réparation, ce qui est énorme et facilite les fraudes. Le taux de TVA ne dépassera jamais, en effet, les 20% et la petite arnaque pourra être réalisée en « autoentrepreneur » avec des plafonds de charges qui font que l’opération pourra être très rentable pour un peu que le fraudeur trouve des clients de complaisance qui déclareront avoir payé des factures fictives.
Ce genre de pratique existe depuis des siècles sous le nom « d’effets de cavalerie ».
Les factures fictives sont un excellent moyen de frauder les budgets publics, surtout dans un contexte de désengagement de l’Etat qui se traduit aussi par la baisse des contrôles fiscaux et sociaux ainsi que de qualité dans le domaine de la consommation…
Ils ont tenté de limiter cet effet en instituant un label mais on voit mal comment les règles de la concurrence permettront d’écarter de son bénéfice des réparateurs quelconques qui, bien sûr, auront sans doute une part d’activité réelle mais pourront la « grossir » de factures de complaisance convenues avec des proches qui profiteront un peu du butin…
Un trou dans la raquette sera vite advenu !
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Dans ce contexte, beaucoup de magasins de vêtements seront appelés à fermer en mettant sur le carreau – pardon : en envoyant à Pôle emploi – beaucoup d’employés tant dans la confection que dans la vente. Pour la confection ce n’est pas un problème dans la mesure ou les fringues arrivent d’ailleurs mais pour les autres ….. et moi, pendant ce temps et positivement je me marre de toute cette Macronnerie !!
Pourquoi les faire réparer ? Certains dépensent des fortunes pour des jeans troués. Y a qu’à assortir le tout. Bon, c’est pas l’idéal pour les rhumes.
je doute que les banlieues, les muzzz, fassent le tri écologique.
Bon, yen a marre de ces conneries !
Qu’ils aillent tous en Enfer !
la démence constante est le programme de ce gouvernement mené par le bout du nez par les écolos rouges déguisés en vert : le summum de l’absurdité : composter les déchets alimentaires (qui ont vocation à être brûlés) soit une poubelle à ciel ouvert où rats, souris, déjà en surnombre vont se multiplier et s’en donner à coeur joie sans compter la prolifération d’insectes nuisibles divers et variés porteurs de germes et autres maladies contagieuses – voilà qui achève ce pays poubelle !
Dans un parc public près de chez moi, les composteurs installés sont bien fermés et sans invasion par quoi que ce soit.
Brûler des déchets alimentaires n’est pas une bonne idée car ils sont trop humides, la chaleur produite sert surtout à évaporer l’eau. Il faut ajouter un carburant qui serait mieux utilisé dans un chauffage direct. De plus, il n’est pas possible de régler correctement la combustion, le combustible ayant une composition trop variable d’un instant à un autre. Des imbrûlés nocifs sont produits de temps en temps.
Eh bien dans une belle ville près de chez moi, en plein centre, le bas du composteur commence à se fissurer et vu les déchets à côté les rats qui savent grignoter voire arriveront à trouver l’ouverture des couvercles (c’est très intelligent un rat, ils sont utilisés en laboratoire dans le domaine comportemental), on peut craindre la suite…
Là on est en hiver, mais j’imagine l’été… Déjà l’odeur quand on soulève le couvercle, à vomir.
De la folie et de la bêtise pure.
Quand on voit ce que ces délires coûtent en plus à la Collectivité…
« … écolos rouges déguisés en vert »
Un proche, très réaliste et plein d’humour, les appelait les « Pastèques », verts à l’extérieur et rouges dedans.
« Mais l’Etat a-t-il vraiment à mettre son nez là-dedans ? »
Justement, c’est là le signe de la perversité de ce Système de pouvoir hyper-intrusif à bien des égards, dans l’espace privé où l’Etat n’a rien à y faire.
Je suis 100 % d’accord avec cet article.
Encore faut-il trouver des couturières capables de faire de bonnes retouches, j’en parle en connaissance de cause.
Tout comme les Vrais Cordonniers, ils et elles se font rares.
entre les années 50 et 60 nous apprenions à coudre a l ecole le samedi après midi
Le professeur Choron était un précurseur. Dans un numéro d’Hara Kiri était joint un patron pour transformer son vieux slip en t shirt.
Amusant quand on sait que les jeunes achètent des Jeans troués a des prix exorbitants! Il suffit donc que nos « idoles » se baladent avec un « look clodo » et tous les « fashion victims » suivront.
Je me souviens que ma mère reprisait les jeans troués de mes nièces. Ces dernières gueulaient comme des putois car obligées de défaire les coutures de nouveau.
bin ma mère reprisait mes chaussettes et celles de mon père, et elle changeait les élastiques de ses culottes.
y a env 14 ans qd je voulais réparer simplement un bas de pantalon mon petit fils me disait »si tu le repare je le jette
Tout comme cette mode de pantalon trop serrés en bas de la jambe ; je trouve cela d’une laideur et pas du tout masculin, bref ça fait con.
Malheureusement, toutes les boutiques ne vous proposent que ça, ou alors faut bien chercher sur internet.
Parallèlement, les femmes portent les pantalons larges en bas style 70 donc on ne voit plus leurs pompes. Remarque, si les pompes sont moches…
Je vois des jeunes emmitouflés, avec des bonnets, et sans chaussettes dans leurs tennis. La mode qui consiste à se geler les orteils. Il fut une époque où ils ne laçaient pas leurs chaussures. Du coup les chutes étaient plus fréquentes. Combien se sont cassés un bras. Quand on est con, on est con…