Bien sûr, c’est dit de façon plus enveloppée, plus perverse. L’enseignement catholique doit prendre sa part pour lutter contre la ségrégation scolaire.
Je vous annonçais la chose, qui n’était pas encore officielle, pourtant , il y a quelques jours :
Voilà donc un tribunal qui ordonne que soient rendus publics les éléments de classement des établissements scolaires en fonction de « l’indice de position sociale des élèves »
Sauf que si un tribunal aux ordres de Dupond-Moretti et des gauchistes […] ordonne que tout ce que nous savons soit écrit noir sur blanc, ça pue.
[…]
Sauf que Macron et ses séides vont s’appuyer sur ces données devenues publiques pour obliger nos gosses à traverser la ville, voire le département pour aller côtoyer les pauvres défavorisés, censer relever le niveau, pendant que les gentils Mohamed qui menacent les profs de faire un Paty seront implantés dans nos établissements de centre ville, pourtant déjà pas mal atteints par la variole islamique.
[…]
Je sens que les cartes scolaires vont voler en éclat…
Ce n’est écrit nulle part, mais c’est le sens de l’histoire. On prend le pari ?
Bingo ! (bis ! )
Ndiaye n’a que « mixité sociale » à la bouche… Quoi de plus normal à l’heure du « grand remplacement », appelé par euphémisme « Transition démographique » ? Et le voilà qui utilise la décision du tribunal évoquée plus haut pour justifier de changer les règles du jeu et obliger le privé à accueillir une partie des élèves de Seine-Saint-Denis ou des quartiers Nord de Marseille. Et comme Macron a pris la précaution d’interdire aux nôtres l’enseignement à domicile… ça pue, ça pue, ça pue. Ça risque de saigner (dans quel sens je dis cela ? Je vous laisse deviner)
L’enseignement catholique dans le viseur? Alors que le ministre de l’Éducation, Pap Ndiaye, ne cesse d’afficher la mixité sociale comme sa «priorité», de récentes statistiques, issues de la publication des indices de positionnement social (IPS) de tous les collèges de France, pointent implicitement les établissements catholiques (1). À 39 %, les collèges privés sous contrat sont fréquentés par des élèves de catégories sociales «très favorisées». Les élèves de milieux «défavorisés», eux, ne représentent que 13 % de leurs effectifs. C’est à la suite d’une décision du tribunal administratif de Paris, en juillet 2022, que le ministère a fait la transparence sur ces fameux indices, publiés en «open data» en octobre.Pap Ndiaye, qui dévoilera en janvier une série de propositions pour favoriser la mixité, a estimé à cette occasion que l’enseignement privé doit «prendre sa part» dans les initiatives à venir.
Et donc, la suite logique de l’histoire, c’est que la Macronie s’attaque à l’enseignement privé, catholique essentiellement. C’est un pré carré qui leur échappe, ils ne supportent pas. C’est une épine dans leur pied ou plutôt dans leur projet d’annihilation de l’ascenseur social pour les familles de Français moyens.
Et comme les syndicats gauchos de l’Education Nationale conchient la loi Debré et hurlent comme des loups dès qu’ils entendent « enseignement privé », Macron surfe sur la vague… Il n’y aura pas de syndicats enseignants non plus que la FCPE dans la rue.
Politiques et professionnels ont déterrent la hache de guerre :
Argument avancé? Les établissements sous contrat, financés à 75 % par l’État – qui prend en charge les salaires des profs, en échange de quoi le programme de l’Éducation nationale est appliqué -, doivent rendre des comptes en matière de mixité sociale. Les syndicats de l’enseignement public, eux, revendiquent régulièrement leur intégration à la «carte scolaire» – cette logique d’affectation des élèves en fonction de leur résidence -, de rigueur dans le public. Impensable, pourtant, au regard du cadre juridique. La loi Debré de 1959 a consacré le principe de libre choix des familles. Tout en respectant les termes du contrat avec l’État, les établissements privés sont autonomes dans le recrutement de leurs élèves. La scolarité y est payante, de 20 à 160 euros par mois selon les collèges, hors cantine.
(1) L’enseignement catholique sous contrat scolarise 20 % des élèves français. Il représente l’écrasante majorité des inscrits (97 %) dans les établissements sous contrat.
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Qui les défendra ? les kalach ?
Papou Ndiaye n’est pas une erreur mais une FAUTE impardonnable!!!
Ok Christine, mais je doute que les parents des cpf ( désolé je stigmatise mais c’est plus court) acceptent de débourser pour envoyer leur progéniture dans des établissements cathos qui plus est.
A moins que not cher gvrnt fasse un système de bourse ( à l’américaine) ou une subvention quelconque, encore à nos frais bien sûr.
Et des établissements privés, il n’y en a pas partout. Vous imaginez le boxon le matin et le soir niveau trajet si explosion de carte scolaire?
J’essaye de me rassurer là…
De plus en plus des gens qui déblatèrent sur la France et les Français sont nommés à des postes clés. Ceci est la plus grande preuve de travail de sape de ce pseudo-président. Ils mangent en France, dorment en France, travaillent en France, sont promus par le système Français, gagnent leur vie grassement en France…………….mais ils crachent sur les Français. Nous avons un ramassis de schizophrènes à des postes clés. Des gens dangereux et détraqués.
Il sait ce que ça veut dire « Privé » ce dictateur inculte ? De quel droit décide-t-il dans ce domaine qui n’appartient pas à l’Etat ? Ils mettent leur nez partout, c’est pervers tout simplement, donc sans « limites ».
La mixité dite sociale a, depuis des lustres, été le dada de la Gauche même si cela ne marche pas et ne peut pas marcher (comme je le disais, leur idéologie repose sur le fait que ce serait l’environnement social qui serait prédominant dans la construction de la personnalité).
lls l’imposent sans états d’âme, et n’ont de cesse que de pourrir la vie de ceux, non responsables de l’incurie et du laisser-aller de certains, qui mènent leur vie avec effort et du mieux qu’ils le peuvent malgré les difficultés et épreuves inhérentes à la vie de chaque être humain.
Comme si le social réglait les problèmes de personnalités, ça se saurait !
C’est aussi un manque de respect envers l’humain qui est libre de gérer sa vie comme il l’entend, de choisir la direction de sa vie et de ses relations, c’est même un des premiers droits humains.
D’accord sur votre commentaire dans son ensemble. L’état doit en effet se mêler de ce qui le regarde et n’a pas à interférer dans le domaine privé. Mais il y a un hic dans votre réflexion : que faites-vous du paiement des salaires des professeurs du privé par l’Etat ? Finalement les boîtes privées n’ont à leur charge que des frais d’entretien de leurs locaux… C’est normal ? Si je comprends bien vous êtes du genre à privatiser les bénéfices et socialiser les pertes… Bravo, vous irez loin !
Donc, le dit privé SOUS CONTRAT n’est pas totalement subventionné !
Par contre, de l’enseignement qui y est donné, bien que soumis aux programmes nationaux, y est supérieur au public… Donc un certain intérêt si ce n’est un intérêt certain !
Quand je regarde les résultat au BAC, dans mon académie, dans les 10 premiers établissements, il y a 7 privés alors que le privé est autrement moins nombreux que le public !
Enfin, il existe du privé HORS CONTRAT aux frais des parents… Certains se saignent aux 4 veines pour y envoyer leurs enfants, tous ne sont pas aussi aisés que Pap Ndiaye !
Papaye Ndiaye le suceur des Black Muslim il envoie dans une école privée de l’intelligentsia Parisienne mais les Racailles étrangères dont la plupart sont des soldats du Califat sont envoyés dans des écoles privées pour emmerder les élèves qui veulent réussir et imposer leur chantage à l’islamophobie à des professeurs qui sont là pour enseigner les matières élémentaires et de parler du Christianisme. La Macronie à travers cette réforme avec l’aide des syndicats enseignants Islamo Gauchistes d’extrême gauche ils veulent tout simplement anéantir, l’école, les grandes écoles pour imposer une mixité sociale qui pue l’arnaque à plein nez 👃.
Pour l’enseignement catholique, une école primaire privée catho pas loin de chez moi reçoit des muzzs dans son établissement. Le ver est dans le fruit…Les indigènes sont partout, comme une invasion de criquets !
Papa N’Diaye a mis ses chiards a l école Alsacienne………. tu ne veux quand même pas qu il les mette au Collège Youri Gagarine de Trappes !!!
qui est rempli a déborder de mômes Africains..
mes petits enfants ont fréquenté, eux,l école des Francs Bourgeois….ils te saluent d un « Nakanga def » et ton « mangui fi rèke », cher Papa N ‘diaye est le bienvenu
au fait ?? ils comprennent le Wolof ou le sérère a la maison ?
Si ce type est alsacien, je suis le descendant d’Adolf en ligne directe.
À Marseille, ils peuvent représenter 80% des élèves. Interdiction d’y enseigner la catéchèse alors qu’elle doit faire partie intégrante de l’ecole ; les enseignants y travaillent bénévolement une heure de plus que dans le privé justement pour cela. Je parle du primaire.