Voici une nouvelle rubrique qui commence… Nous avons décidé de nous battre contre nos ennemis avec leurs armes, eux qui ne cessent de faire des articles pour « décoder », « rétablir la vérité » (Le Monde, Libé…), qui nous censurent carrément d’autorité (réseaux sociaux), qui veulent même nous condamner, et nous obliger à suivre les détenteurs officiels de la vérité (le Ministère de la Vérité que vient de créer Macron)… Alors nous aussi nous allons continuer à décrypter leurs messages, leur communication et notamment celle des journaleux, et notamment François-Eugène qui lance la rubrique avec Renaud Dély. François-Eugène confirme « Radio-Paris ment » et il le prouve ! A lire attentivement, voire en prenant des notes car il répond avec quelques arguments évidents aux attaques subies par Zemmour, et il nous appartient de savoir nous aussi dire que Zemmour ne peut pas être d’extrême-droite car celle-ci hait la République et la démocratie ou que ni la 4ème République ni la 5ème République n’étaient fascistes et pourtant elles interdisaient les prénoms étrangers…
Christine Tasin
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La chronique de Renaud Dély sur France-Info en date du 30 septembre 2021 est un petit chef d’œuvre de propagande. On peut se demander comment elle peut être efficace même chez des auditeurs anesthésiés tant les procédés employés sont grossiers.
L’introduction de la chronique nous met déjà dans l’ambiance :
Éric Zemmour est qualifié d’emblée de « polémiste ». Nous retrouvons ici l’élément de langage employé dans tous les grands media du système dominant. On emploie le mot « polémiste » de manière péjorative pour dissimuler le fait que Zemmour est depuis des années journaliste, auteur de nombreux livres dont le but n’est pas de susciter des polémiques, c’est-à-dire des disputes. Il pose de vrais problèmes et propose des solutions avec lesquelles on peut ne pas être d’accord mais qui ne sont pas réductibles à des « polémiques ». Un « polémiste » est quelqu’un qui grossit le trait, qui caricature en exagérant certains aspects et en en dissimulant d’autres. Qualifier Zemmour de « polémiste », c’est déjà considérer que ses thèses sont exagérées, voire contraires à la vérité. Or, il est remarquable de constater que dans les journaux comme dans des livres ou à la radio, il n’existe pas de réfutation sérieuse des principales thèses de Zemmour.
Le présentateur souligne que « plusieurs responsables de droite ont attaqué le polémiste ». Le verbe « attaquer » évoque une certaine violence, même si effectivement on peut ici le prendre au sens figuré. Mais si le journaliste avait fait son travail en obéissant à son devoir d’objectivité, il aurait pu employer le verbe « critiquer ». L’ennui, c’est que dans les propos cités par Renaud Dély, on ne trouve pas la moindre critique sérieuse, mais seulement des attaques. Dans son ouvrage «L’art d’avoir toujours raison», Schopenhauer souligne qu’on peut critiquer la thèse de l’adversaire de deux manières : soit en s’en prenant à la chose dont il parle, soit en discréditant l’homme si on ne trouve pas d’arguments sérieux contre sa thèse. Or, nous savons que c’est toujours le cas : toute les critiques contre Zemmour s’attaquent soit à sa personne le décrivant comme « polémiste » soit en portant des jugements affectifs ou indirects, parlant par exemple de propos nauséabonds ou exagérés. Les propos de Zemmour sont qualifiés d’excessifs ou d’extrémistes, ce qui n’est qu’un jugement de valeur.
Car la vraie question à se poser devrait être celle de la vérité : oui ou non ce que dit Zemmour est-il vrai, c’est-à-dire conforme à la réalité, ou bien faux, c’est-à-dire inventé, voire mensonger ?
Dans la suite de cette première partie, les fautes déontologiques de Renaud Dély s’accumulent. Il commence fort en citant l’attitude de Gérard Larcher dont les propos prêtent à rire tellement ils sont caricaturaux. Il cite ensuite Valérie Pécresse dont le propos aurait pourtant dû susciter l’étonnement d’un journaliste honnête. Elle assimile en effet Zemmour au mouvement d’extrême-droite qui a voulu assassiner le général de Gaulle.
C’est un mensonge à double voire à triple détente.
C’est une attaque ad hominem prétendant classer Zemmour dans le pire de l’extrême-droite historique dont plus personne ne se réclame aujourd’hui. En réalité, l’imbécilité de l’argument devient évidente quand on se souvient que Zemmour se dit essentiellement proche du programme du RPR des années 90-91. Pécresse veut-elle dire que le RPR était naguère d’extrême-droite ?
Ceux qui aujourd’hui sont classés à l’extrême-droite sont en réalité tout simplement de droite. Car l’extrême-droite qui n’existe plus guère se caractérisait avant tout par son hostilité à la République et à la démocratie, ce qui n’est ni le cas de Zemmour ni de Marine Le Pen par exemple. De même, qualifier de « fasciste » ceux qui critiquent l’immigration et le grand remplacement oublient que ces critiques étaient naguère celles de la gauche, notamment de Georges Marchais dont le discours de 1980 est toujours visible sur Internet.
Pourquoi un journaliste que nous payons avec nos impôts se montre-t-il incapable de débusquer pareille imposture ? On voit bien ici qu’il n’est pas à notre service, au service de ses auditeurs mais au service du pouvoir. Naguère, on appelait cela un « collabo ».
On voit bien ici que la digue anti-Zemmour est bien empoisonnée par le mensonge mais risque fort d’intoxiquer à terme ceux qui la construisent.
Nous allons voir que la suite devient franchement risible.
Le début est ici plutôt neutre. Il faut bien que Renaud Dély justifie son salaire. Cela dit, on sent quand même son parti-pris anti-Zemmour. Il dit « il était temps ». Un journaliste honnête aurait dit quelque chose comme « Pour la droite, il était temps », ou encore « du point de vue de la droite ». Or, en disant simplement « il était temps », sans autre nuance, Renaud Dély donne ici en fait son propre point de vue. Pour lui, la droite a raison d’attaquer Zemmour, il trouve cela souhaitable, on devine bien pourquoi. Cela dit, il est plus honnête par la suite en précisant bien « pour la droite », redevenant ainsi pour quelques secondes un chroniqueur politique faisant son travail.
Mais ça se gâte tout de suite avec la remarque « à mesure que Zemmour renchérit ». On a l’impression ici que Zemmour a au fil des mois durci et exagéré ses thèses. Or, il n’en est rien car il dit exactement la même chose depuis des années. Mais Dély et ses collègues propagandistes sont tellement habitués à voir les politiques qu’ils soutiennent changer de point de vue au gré des circonstances qu’ils en viennent à penser que tout le monde fait de même.
Alors que Zemmour n’a pas changé de point de vue, Dély persiste en disant : « il s’éloigne de la rive de la droite républicaine ». L’image ici est forte : Zemmour s’éloigne de la terre ferme des certitudes consensuelles pour s’aventurer dans l’océan tourmenté et nauséabond, sulfureux et pour tout dire satanique, comme le remarquait sur CNews Mathieu Bock-Coté. Or, rien ne permet de dire que les propositions de Zemmour ne sont pas républicaines. Un mensonge que Renaud Dély, propagandiste, n’hésite pas à employer sur le service public de Radio-France. Radio-Paris ment…
Ainsi, Zemmour est censé se situer à « l’extrême-droite la plus sulfureuse », c’est-à-dire satanique, pour qui connaît un peu l’histoire. Suit alors le catalogue des soi-disant « dérives » de Zemmour :
-L’interdiction des prénoms étrangers. Allons bon ! Cela signifie que pour Renaud Dély, la 3ème République, la quatrième et la cinquième étaient elles aussi sulfureuses car Zemmour rappelle que cette obligation n’a été abolie qu’en 1993 ? Et puis Zemmour a-t-il dit que cela deviendrait obligatoire ? Avec effet rétroactif ou pour les nouveau-nés seulement ? En tout cas il souligne que les étrangers qui ont voulu vraiment s’assimiler l’ont fait spontanément. Cette question renvoie bien au problème de l’identité française. Mais bien entendu, Renaud Dély ne critique pas du tout l’obligation qui est faite aux convertis à l’islam de prendre un prénom arabe, soulignant par là que l’appartenance à l’islam est supérieure à l’appartenance à la nation française.
-Zemmour « se dit philosophiquement favorable à la peine de mort ». Il est loin d’être le seul et cela ne veut pas dire d’ailleurs qu’il l’imposerait une fois au pouvoir.
« il a même réhabilité le maréchal Pétain qu’il a osé peindre en protecteur des juifs ». Ici, l’argument est particulièrement malhonnête car Zemmour s’est souvent expliqué sur cette question, soulignant que de nombreux juifs ont été sauvés par le régime de Vichy même si effectivement ils ne l’ont pas tous été. Les choses ont été numériquement moins graves en France qu’en Belgique ou en Hollande où les Allemands faisaient ce qu’ils voulaient. Zemmour s’en était déjà expliqué dans son livre « Mélancolie française ».
–La lenteur de la réaction de la droite face à Zemmour a attendu l’intervention de Sarkozy. La question des enfants juifs massacrés en 2012 et enterrés en Israël est ici montée en épingle. Or Zemmour n’a à proprement parler rien « reproché » aux parents. Notons au passage que Dély ne cite pas les parents algériens qui ont fait de même. Ce que dit simplement Zemmour, c’est que en général on souhaite reposer sur la terre où on a vécu, où on reconnaît ses racines. On pourrait d’ailleurs lui objecter que si les parents juifs ont choisi Israël pour les petites victimes, c’est peut-être aussi parce que, tout compte fait, la France n’a rempli ses devoirs de protection à l’égard de ses citoyens en laissant se développer l’islamisme sur le terreau d’une immigration massive.
-Dans la suite, se donnant une apparence d’objectivité, Renaud Dély donne une explication étonnante sur les silences de la droite face à Zemmour. Le chroniqueur ne trouve qu’une seule explication au flottement de la droite soi-disant républicaine : « c’est parce que Éric Zemmour en vient ». L’explication de Dély est carrément minable quand on connait la situation réelle. La droite a mis du temps à réagir parce que ses dirigeants savent bien que la plupart de ses électeurs partagent le point de vue de Zemmour sur de nombreuses questions comme l’immigration ou l’identité française. Ils ont mis du temps à réagir tout simplement parce qu’ils ne disposaient pas d’une conception solide, d’une vision de la France. C’est la raison pour laquelle ils s’en tiennent à des arguments fallacieux parce que, à tort ou à raison, ils n’ont rien de sérieux à opposer à Zemmour.
-Dély affirme que depuis des années, la droite n’a cessé de se « radicaliser ». Or, ici, délibérément, Dély confond les dirigeants des Républicains et les électeurs. C’est plutôt surprenant de la part d’un soi-disant expert de la politique. En réalité, c’est parce qu’ils sont écœurés par les trahisons successives de la droite, notamment à propos du référendum de 2005 et du karcher promis dans les banlieues livrées à la délinquance que les électeurs de droite ont été attirés par le RN et maintenant par Zemmour.
Alors oui, décidément, Renaud Dély fait semblant d’être un journaliste honnête alors qu’il est bien un propagandiste zélé du pouvoir en place ou de ses frères ennemis.
Au cas où les images ne seraient pas visibles dans la version ci-dessus, en voici une autre… Cela dépend de votre explorateur.
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C’est quoi, france-intox?
Mais là, ils n’utiliseront pas round-up.
Les journalistes de la presse maintream (Renaud Dély et les autres), et les partis politiques qui attaquent ZEMMOUR se trompent de combat : aujourd’hui le seul combat qui vaille c’est d’attaquer MACRON, ses fautes dans la gestion de l’épidémie (refus de soigner les malades COVID avec des traitements curatifs précoces, les confinements et couvre-feu inutiles sur le plan sanitaire et désastreux sur le plan économique car ils ont causé une crise économique et coûté une dette supplémentaire de 300 milliards d’euros, la loi du 5 août 2021 (pass sanitaire élargi et obligation vaccinale pour certaines professions), etc.
Pendant que certains attaquent ZEMMOUR, ils n’attaquent pas MACRON : c’est ainsi que MACRON le dictateur trouvera le moyen de se faire re-élire aux présidentielles d’avril-mai 2022 : en appliquant le principe »diviser pour régner »
C’est tout le système qu’il faut changer. A sa décharge, il faut dire que s’il soutient les positions de Zemmour, il risque sa place.
Ca c’est Macron. Toute cette oligarchie, qui depuis des décennies, veut se débarrasser du peuple. Le peuple est coupable, il faut le remplacer.
Mais il ne faut pas le dire, comme ça.
Sur Rance Info on a ce genre de « rubrique » tous les jours. Nous avons l’habitude et comprenons dès les premières secondes la mauvaise foi des « journalistes ». Mais le problème est que beaucoup de gens boivent leurs paroles et s’en imprègnent car ils ne sont pas réellement informés. C’est le but de la propagande. Zemmour va devoir gravir une montagne sous l’orage.
Christine, tu as oublié qu’un patriote est classé d’office en extrême droite et à n’en pas douter, Zemmour est un patriote !…donc il est bien d’extrême-droite. CQFD
Ben non on n’est pas obligés de reprendre à notre compte leur propagande nauséabonde
Bien sûr, Christine, je ne fais qu’expliquer pourquoi les médias et les moutons de Panurge le qualifient d’extrême droite …comme pour toi qui te présentes toujours en femme de gauche mais qui est considérée comme d’extrême-droite car patriote et gardienne des valeurs ancestrales.
C’est leur formule pour détruire l’opposant et ça marche, hélas !
Autre formule utilisée contre les manifs anti passe : des énergumènes d’extrême-gauche qui, même à Dijon, perturbent depuis 2 samedis la manifestation bon enfant. En fait, ce sont les supplétifs du gouvernement, comme les journalopes.
On est bien d’accord : on ne va pas faire leur propagande.
Excellente nouvelle rubrique que « les décodeurs RR », génial !
Renaud Délit est un journaliste gauchiste, et donc à ce titre intellectuellement malhonnête au carré.
-La plupart des journalistes en effet sont malhonnêtes et déforment sciemment les faits et les propos dans le sens qui les intéresse
-Les gauchistes sont par nature intellectuellement malhonnêtes, menteurs, manipulateurs, pervers narcissiques
Dans le même genre, on peut citer Joffrin, Alkolovitch, Plenel, toute la rédaction de Libération, de france-Inter, de France 5, etc.
Il ne faut donc pas s’étonner de voir Délit distiller sa propagande fielleuse plus ou moins habilement, sous l’habillage d’une « analyse » « objective » en réalité ultra-tendancieuse comme savent si bien le faire les crapules gauchistes (cf le livre de de Villiers où il explique comment il a été assassiné politiquement pour le reste de sa carrière en 5 petites minutes par Ivan Levaï lors de sa première « Heure de Vérité » par un portrait au vitriol, Levaï lui collant une étiquette de facho réac dont il n’a jamais pu se défaire)
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Concernant la « droite », Zemmour himself les a bien cernés : LR est devenu un syndicat d’élus uniquement préoccupé de sauver leur boulot.
En outre, l’hégémonie culturelle de la gauche les a dotés d’un surmoi « de gauche », ils veulent toujours plaire à la gauche sur les domaines « sociétaux » (racisme, immigration, causes minoritaires diverses, lgbt, féministe,…), c’est-à-dire se soumettre à toutes les idées « progressistes »
Cette soumission à la gauche a été favorisée par la nécessité d’être sinon adoubés, du moins autorisés d’exister par les médias, eux aussi acquis à la pensée « progressiste » par un savant noyautage gauchiste à coups d’entrisme de groupuscules à la sauce trotsko-gramsciste.
Rappelons que les trous du cul de France-Inter se vantent de ne jamais inviter de personnalités « d’extrême-droite »… sauf contraints et forcés en période électorale (cause règle des temps de parole). [et là l’impétrant est bien « reçu », façon tir de barrage de DCA et inquisition stalinienne]
Oui, effectivement. Il a d’ailleurs récidivé aujourd’hui en soulignant que les français s’intéressent surtout au pouvoir d’achat et moins à l’identité, l’immigration et l’islam malgré les « folles » controverses de ces derniers jours… Il est effectivement profondément malhonnête au point même qu’on peut se demander s’il défend bien son camp tellement ses arguments sont grossiers… Cela dit, autre fait troublant. Tous les jours, après sa chronique, il est « mis en boite » par le présentateur principal qui le fait passer pour un idiot incapable de reconnaître un chanteur. Il a l’air de de pas déplorer ce rôle de « tête de turc »..
Il y a quelques semaines, F. Philippot était interviewé sur France-Info. Je n’ai pu savoir le nom du « journaliste ». Rarement constaté un militantisme aussi flagrant ! Hostile, faut-il le préciser …
Bravo ! Excellent travail (si je puis me permettre)
Ils passent leur temps à nous donner des leçons de morale ces enfoirés de gauchos…
BRA-VO !!!!!
En voilà une idée plu que bonne !!!! Hé, hé ! Ça promet un bon temps, salvateur en plus !
ce collabo de toujours se répand aussi régulièrement dans l’infecte émission 28mn sur ARTE qui comme toutes les émissions de collabos se targuent de détenir la vérité en clouant au pilori les affreux qui « pensant mal » – vivement un gouvernement qui nous débarrasse pour longtemps de ces parasites qui ruinent le pays depuis 40 ans
dehors ces journaleux infects
C’est probablement pour cette raison qu’ils mouillent le stringe..
Bonjour,
Un grand merci pour cette nouvelle série !
Moi aussi je zape il n’est pas audible !
Renaud Dély de faciès !
Excellente initiative! Il est temps de décoder les décodeurs déconneurs sans honneur.
J’attends avec impatience le décodeur pour Macron et son épicentre du français.
Une PUTE payée avec les euros que nous pique le » poudré « .
Il est très sûr de lui le Dely, surtout quand avec Salame ils coupent la parole à leurs interlocuteurs, Une vieille habitude française.
Je te coupe la parole parce-que je SAIS mieux que toi et je détiens la vérité.
Lorsque je vois certains noms….comme celui de Dely qui devrait s’écrire DELiT…je zappe ! Les gauchos incultes et partiaux, ne m’intéressent pas !